تقي زاده

تقي زاده

Des Palestiniens ont manifesté samedi à Bethléem, en Cisjordanie occupée, pour protester contre la vente par l'Église grecque-orthodoxe de biens fonciers à Israël, à l'occasion du Noël orthodoxe que les chrétiens de tradition orientale fêtent dimanche. 
 
Les municipalités de Bethléem et celles voisines de Beit Sahour et Beit Jala, toutes en Cisjordanie, territoire palestinien occupé par l'armée israélienne depuis 1967, ont appelé au boycott des célébrations de Noël.
 
Le Patriarcat grec-orthodoxe de Jérusalem a souvent été accusé par les Palestiniens de vendre ou louer ses biens fonciers à Israël.

Les manifestants ont tenté samedi de bloquer le convoi du Patriarche grec-orthodoxe, Théophile III de Jérusalem, qui se rendait à l'église de la Nativité à l'occasion des célébrations de Noël.

Des affrontements ont opposé manifestants et forces de sécurité palestiniennes mais le patriarche a pu rejoindre en toute sécurité l'église de la Nativité, construite à l'endroit où le Christ est né selon la tradition biblique, pour la traditionnelle veillée de Noël.

"Nous sommes là pour empêcher l'entrée du traître Théophile", a déclaré à l'AFP Salama Chahine, militante du Mouvement de la jeunesse arabe orthodoxe.

"Nous ne voulons pas de cet homme. Il doit être jugé car il a trahi la patrie, l'Eglise et tous les principes humains", a-t-elle ajouté.

Le président palestinien Mahmoud Abbas doit assister à la messe de minuit célébrée samedi soir par le patriarche, a indiqué son bureau à l'AFP.

Les municipalités ont appelé au boycott par les fidèles des célébrations pour protester contre la vente controversée de biens fonciers de l'Eglise grecque-orthodoxe à des groupes oeuvrant à la colonisation israélienne à Jérusalem-Est, partie palestinienne de la ville sainte occupée et annexée illégalement par Israël.
dimanche, 07 janvier 2018 09:34

Iran: non à la violence!

Partout à travers le pays, les Iraniens sont descendus dans les rues pour la quatrième journée consécutive, en signe de soutien à l’Ordre islamique et pour dénoncer la violence qui a marqué les récentes manifestations.

Samedi, à Téhéran, Sari, Amol et Semnan au nord, Ilam à l’ouest et Kerman au sud, des milliers d’Iraniens ont favorablement répondu à l’appel à manifester. Leurs slogans et leurs pancartes condamnaient la violence et la sédition.

La semaine dernière, des manifestations pacifiques ont été organisées dans tout le pays pour dénoncer les récentes hausses des prix et la mauvaise situation économique. Mais la présence de fauteurs de troubles et d’éléments armés a rapidement fait dégénérer l’événement qui a pris l’allure d’une émeute de rue.

Conscientes de la façon dont les fauteurs de trouble ont cherché à altérer les manifestations pacifiques, les manifestants ont été vite invités par les autorités à vider les rues.

Selon les responsables, certains émeutiers ont fait usage de fusils et de pistolets contre la police et la foule.

Alors que cette violence sporadique a coûté la vie à une douzaine de personnes, les autorités ont annoncé la fin des troubles.

Lors d’une réunion de son cabinet, le président Hassan Rohani a reconnu le droit du peuple de protester et d’exprimer ses revendications par des moyens pacifiques. Par ailleurs, il s’est engagé à régler les problèmes économiques qui affectent une partie de la société iranienne.

Rappelons que selon la loi, toute manifestation doit obtenir au préalable les autorisations nécessaires.

Le fameux livre « Fire and Fury : Inside the Trump White House », du journaliste Mickael Wolff, est finalement sorti ce samedi 6 janvier.

Le livre publie des témoignages de l’ancien conseiller de Donald Trump Steve Bannon qui parle de « l’accord du siècle », pouvant être conclu à l’issue du règlement de la question palestinienne conformément aux desiderata des Israéliens.

Steve Bannon reconnaît les tentatives de l’administration Trump visant à faire annexer la Cisjordanie à la Jordanie et Gaza à l’Égypte pour ainsi mettre fin au conflit israélo-palestinien.

L’auteur du livre Mickael Wolff évoque une rencontre entre Steve Bannon et Roger Ailes, le président fondateur de Fox News, le 3 janvier 2017.

Lors de cette rencontre, Steve Bannon a dit à Roger Ailes : « Nous allons transférer l’ambassade des États-Unis à Qods et Benjamin Netanyahu est au courant ».

Et d’ajouter : « Nous savons ce qu’on fait et ce qu’est notre mission. C’est pourquoi nous allons faire annexer la Jordanie à la Cisjordanie et Gaza à l’Égypte. Laissez les Jordaniens et les Égyptiens faire face à cette question. »

Roger Ailes a répondu : « Quelle est position de Donald Trump à ce propos ? »

« Il est pour et il a donné son feu vert », a répondu Bannon.

Le terme « l’accord du siècle » a été évoqué pour la première fois par le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi lors de sa rencontre avec le président américain aux États-Unis, en avril.

En réaction à la sortie de « Fire and Fury : Inside the Trump White House », Donald Trump a écrit sur son compte Twitter : « Michael Wolff est un loser, un raté qui a inventé des histoires afin de vendre son livre ennuyeux et mensonger. Il a utilisé Steve Bannon, qui a pleuré quand il a été viré et qui avait supplié pour garder son poste. Maintenant Steve est abandonné comme un chien errant par presque tout le monde. Dommage. »

Le président des États-Unis Donald Trump a reconnu, mercredi 6 décembre, la ville de Qods en tant que capitale d’Israël et ordonné le transfert de l’ambassade américaine depuis Tel-Aviv à Qods.

L’ambassadrice américaine à l’ONU, Nikki Haley, a apposé son veto à un projet de résolution, parrainé par l’Égypte, qui réclamait l’annulation du décret de Donald Trump.

Cependant, le projet a été présenté à l’Assemblée générale des Nations unies par l’Organisation de la Coopération islamique et a été finalement adopté à l’unanimité.

La décision de Donald Trump a terni les relations entre l’Autorité autonome palestinienne, dirigée par Mahmoud Abbas, et la Maison Blanche.

Le Premier ministre de l’Autorité autonome palestinienne Riyad al-Maliki a réagi à l’idée de cet « accord du siècle », disant que cet accord avait été abandonné aux oubliettes de l’histoire et que le peuple palestinien ne permettrait jamais sa réalisation.

Sept avions russes auraient été détruits à Hmeimim, base aérienne russe à Lattaquié.

Il y a trois jours une information a fait la une de la presse russe et puis du monde : une attaque a visé la base aérienne russe en Syrie, à savoir l’aéroport militaire de Hmeimim. Si le Kommersant a évoqué dans un premier temps, la destruction de sept avions de chasse, des morts et des blessés, le ministère russe de la Défense a aussitôt rejeté cette version, reconnaissant toutefois la mort de deux militaires.

Or, cité par Ria Novosti, le ministère affirme vouloir « renforcer des mesures de sécurité » autour de la base en question pour éviter que « ce genre d’attaques ne se reproduise ». Ce qui revient à reconnaître de manière à peine voilée l’attaque, les pertes et les dégâts qu’elle a causés. Le Kommersant avait accusé en effet les terroristes d’avoir pris d’assaut la base russe. Mais ces derniers sont loin d’avoir la capacité de planifier puis d’exécuter une offensive d’une si grande envergure surtout que les terroristes perdent la quasi-totalité de toutes les batailles, et ce, sur tous les fronts. À en croire le Kommersant, au moins quatre Su-24, deux Su-35 S et un avion de ligne Antonov 72 ainsi que des stocks d’armes russes ont été gravement endommagés ou détruits. S’agissait-il d’un raid aérien US ?

Des images mettent par ailleurs en scène les débris d’un drone « artisanal » qui se serait écrasé à Hmeimim. Les terroristes prétendent avoir pris pour cible la base en question à l’aide de « drones de combat ». Or l’appareil qui s’est écrasé à Hmeimim ne pourrait pas être un drone de combat, mais plutôt un drone de reconnaissance. Les Américains sont-ils sur le point de revenir sur les accords passés avec la Russie, quitte à bombarder les bases militaires que Moscou possède en Syrie ?

Tout est possible. Depuis cette violente offensive, l’armée syrienne et les forces de sécurité ont élargi le périmètre sécuritaire tout autour de l’aéroport et ont lancé la chasse aux terroristes.

Frantz Klintsevitch, le vice-président de la commission de la défense et de la sécurité du Conseil de la Fédération russe a évoqué l’attaque du 31 décembre en ces termes : « la Russie soupçonne la CIA d’avoir organisé le raid contre Hmeimim ».

Les États-Unis ont affirmé ne pas vouloir quitter le sol syrien bien que Daech y soit presque totalement vaincu. C’est à la demande du gouvernement légitime syrien que la Russie a étendu sa présence militaire en Syrie où elle possède à la fois une base navale (Tartous) et une base aérienne (Lattaquié).

Le rappel par le Soudan de son ambassadeur d’Égypte montre l’ampleur de la tension dans les relations diplomatiques entre Khartoum et Le Caire.

Le Soudan a pris, jeudi 4 janvier, la décision de rappeler son ambassadeur, Abdoul Mahmoud Abdoul Halim, pour « consultations », a déclaré le porte-parole du ministère soudanais des Affaires étrangères, Ghareeb-Allah al-Khidir.

Une récente visite du président turc au Soudan et la conclusion d’un accord sur la remise à Ankara « pour une période déterminée » de l’île de Suakin afin de la reconstruire, a provoqué la colère des autorités égyptiennes et a terni les relations entre les deux pays.

Recep Tayyip Erdogan a effectué le 24 novembre 2017 sa première visite officielle au Soudan. ©Gettyimages

L’escalade de la crise entre les deux pays a pourtant soulevé plusieurs interrogations quant à l’origine de cette tension diplomatique entre les deux pays.

Pour certains analystes, le président soudanais, Omar el-Béchir, semble s’être éloigné du Caire à cause de l'opposition de ce dernier à la mise en eau annoncée de l’Ethiopian Renaissance Dam, plus grand barrage d’Afrique.

Pour cette infrastructure, il faut créer un lac de 246 km de long qui risque d’impacter les eaux du Nil qui traversent le Soudan et l’Égypte. Le partage des eaux est donc un motif de conflit entre les deux pays.

D’autres analystes sont d’avis que les relations entre le Soudan et le l’Égypte se sont compliquées en raison des positions des deux pays envers les évolutions libyennes. Les deux parties s’accusent mutuellement d’être impliquée dans les événements en Libye.

D’autres causes évoquées sont les accusations de soutien à la rébellion au Darfour soudanais, proférées par Khartoum à l’encontre du Caire et le déploiement des forces militaires égyptiennes en Érythrée à la porte du Soudan.

Le gouvernement de Khartoum a également décidé d’interdire l’entrée de tous les produits agricoles en provenance d’Égypte, toujours sur fond de la crise.

Le chef de la diplomatie soudanaise, qui devrait effectuer une visite mercredi dernier au Caire, a reporté son déplacement en raison de son agenda dit très chargé ces derniers jours; mais pour les médias ce geste est en guise de protestation contre les attaques médiatiques égyptiennes contre le Soudan après la visite d’Erdogan à Khartoum.

Pourtant certains experts se disent optimistes quant à une normalisation de relations entre les deux pays. Mais le rappel par Khartoum de son ambassadeur au Caire montre le contraire.

Le directeur général de la Sûreté Générale libanaise a révélé la présence continue des réseaux d’espionnage israéliens au Liban.

Le major-général Abbas Ibrahim a déclaré, vendredi 5 janvier, que le Liban, tout comme d’autres pays, pouvait être menacé, à tout moment, par des défis sécuritaires, mais les agissements des groupes terroristes avaient connu une chute bien considérable après l’opération Fajr al-Joroud.

Le directeur de la Sûreté Générale libanaise, le major-général Abbas Ibrahim. (Photo d'archives) 

« Les menaces auxquelles faisait face le Liban ont été déjouées grâce aux efforts des services de sécurité et de l’armée. Le terrorisme n’est pas un phénomène local, il traverse les pays et les continents », a averti le directeur général de la Sûreté générale libanaise. Toutefois, il a souligné que les réseaux terroristes opérant au Liban s’étaient affaiblis en raison du succès de l’opération Fajr al-Joroud.

Le major-général Abbas Ibrahim a pourtant mis en garde contre les agissements des réseaux d’espionnage israéliens au Liban, ajoutant que le Liban continue toujours de les démanteler.

L’armée libanaise, appuyée par l’armée syrienne et le Hezbollah, ont nettoyé, il y a quelques mois, les hauteurs d’Ersal de la présence des terroristes de Daech.

Le ministre iranien des Affaires étrangères a qualifié de « nouvel échec » la politique étrangère des États-Unis pour la réunion d’urgence du Conseil de sécurité, organisée par les autorités américaines.

À l’issue d’une session extraordinaire du Conseil de sécurité, organisée par les États-Unis pour examiner les récents troubles en Iran, le ministre iranien des Affaires étrangères Mohammad-Javad Zarif a déclaré, samedi 6 janvier, que le rejet, par la majorité des membres de ce Conseil, de la logique de l’administration américaine constituait un « nouvel échec pour la politique étrangère américaine ».

« Le Conseil de sécurité de l’ONU a neutralisé la tentative bien manifeste des États-Unis de détourner sa mission principale. La majorité des membres ont prôné le respect de l’accord nucléaire et rejeté toute ingérence dans les affaires intérieures des autres pays. Un autre échec pour la politique étrangère de Donald Trump », a publié M. Zarif sur son compte Twitter.

Lors de la réunion d’urgence du Conseil de sécurité, tenue le vendredi 5 janvier, la plupart des membres ont réservé le droit de protestation au peuple iranien, tout en soulignant que les troubles en Iran étaient une question d’ordre intérieure.

Ils ont exclu la nécessité de l’examen de ce sujet par le Conseil de sécurité, disant que ces événements n’avaient représenté aucune menace contre la paix et la sécurité du monde.

Pour le président français Emmanuel Macron, avec les évolutions actuelles en Turquie, Ankara n’a aucune chance d’adhérer à l’Union européenne.

Macron a exhorté la Turquie à plutôt se pencher sur un partenariat avec l’Union européenne, au lieu d’une entrée dans l’Union.

Macron a tenu ses propos à l’issue d’une rencontre avec son homologue turc, Recep Tayyib Erdogan, en visite officielle à Paris et en réponse aux déclarations du chef d’État turc qui a indiqué que son pays était « fatigué » d’attendre une éventuelle adhésion à l’Union européenne, rapporte l’AFP.

« Il faut repenser cette relation non pas dans le cadre du processus d’intégration, mais peut-être d’une coopération, d’un partenariat. Et aussi préserver l’ancrage de la Turquie et du peuple turc dans l’Europe et de faire que son avenir se construise en regardant l’Europe et avec l’Europe préserver l’ancrage de la Turquie à l’Europe », a indiqué le dirigeant français lors d’une conférence de presse avec son homologue turc.

Macron a souligné que les récents développements concernant « l’état de droit » en Turquie « ne permettaient aucune avancée du processus d’adhésion engagé.

Le président turc Recep Tayyip Erdogan s’est déplacé à Paris pour améliorer les relations fragiles entre Ankara et l’Union européenne.

En novembre 2016, le Parlement européen a demandé le gel des négociations concernant l’adhésion de la Turquie dans l’Union en raison, notamment, des mesures jugées « disproportionnées » prises par Ankara contre ses opposants suite à la tentative de coup d’État de juillet 2016.

Des centaines d'habitants des localités de Bila, Beit Sahem et Yalda sont descendus dans la rue de Damas pour contester contre les groupes terroristes qui font obstacle à la réconciliation nationale, au renforcement de la sécurité et à la stabilité dans la région.

Dénonçant la présence néfaste des individus armés étrangers, les manifestants ont scandé « non au terrorisme et au takfirisme mais oui à la paix et à la réconciliation ». Ils ont ainsi accentué leur tendance à coopérer avec l’État pour un retour à la sécurité et la stabilité dans la région, ont rapporté les sources locales.

Les terroristes baptisés Jaysh al-Ababil ont tiré sur la foule pour terroriser et disperser les manifestants.

Les manifestants de ces localités ont, à maintes reprises, protesté contre la présence des takfiristes et ont revendiqué leur départ du Rif sud de Damas. Ils sont allés jusqu’à avoir des affrontements directs avec les terroristes du Front al-Nosra.

Une des principales organisations humanitaires autrichiennes a dénoncé vendredi la suppression d'une page Facebook qui avait recueilli plus de 20.000 messages de soutien à un bébé né le jour du Nouvel An et ciblé par des messages racistes.
Saluée par la presse populaire comme le "premier bébé viennois de l'année", la petite Asel, née le 1er janvier à 00H47 dans une clinique de la capitale autrichienne, s'est attirée des flots de commentaires racistes sur internet, en raison notamment du voile porté par sa mère sur les photos.


La réaction de l'ONG catholique Caritas, une des principales organisations d'aide aux migrants en Autriche, ne s'est pas fait attendre: son responsable viennois, Klaus Schwertner, a répliqué par une campagne de soutien en ligne au bébé.


"La haine sur internet a atteint une dimension totalement inédite en ciblant un nouveau-né innocent", s'est-il indigné, dénonçant "le franchissement d'une ligne rouge".


Plus de 20.000 messages de sympathie avaient été recueillis jeudi sur une page Facebook dédiée, avant que celle-ci ne soit désactivée par le réseau social dans la nuit.


Selon Schwertner, la page a probablement fait l'objet d'une campagne concertée de signalements, qui a abouti à sa mise hors ligne. Il a solennellement appelé le réseau social à en rétablir l'accès.


"Cher Mark Zuckerberg (patron de Facebook, ndlr), que se passe-t-il ? Je ne peux pas le croire: mon message pour un #flowerrain pour Ansel le bébé de Nouvel an et ses parents a disparu durant la nuit !", a-t-il écrit.


"Ne laisse pas faire ! Nous voulons montrer que l'amour est supérieur à la haine, dans la vraie vie comme sur Facebook", ajoute Schwertner.

La publication de messages haineux à l'égard du bébé s'inscrit dans un contexte de crispation en Autriche autour des questions de l'islam et des migrations, deux sujets concernant lesquels le nouveau chancelier conservateur Sebastian Kurz, qui gouverne en coalition avec l'extrême droite, a promis une ligne dure.


Le nouveau ministre de l'Intérieur d'extrême droite Herbert "Kickl va vous renvoyer au pays. C'est l'homme qu'il faut", a notamment estimé un internaute dans un message d'hostilité adressé à la famille du bébé.


A l'issue d'un séminaire gouvernemental, Kurz a confirmé vendredi que l'Autriche réduirait drastiquement le bénéfice des allocations familiales pour les bénéficiaires vivant à l'étranger.


Jeudi, le vice-chancelier Heinz-Christian Strache, patron du parti populiste FPÖ, avait souhaité que les demandeurs d'asile soient cantonnés dans des casernes et que leur suivi ne soit plus assuré par des ONG comme c'est majoritairement le cas aujourd'hui.

h24info