
تقي زاده
MAULOUD MABROUK"
Au Nom d’Allah, le Clément, le Miséricordieux
Que la Paix soit sur Mohammad et sur les Gens Pure de sa Maison
« Il a atteint le sommet par sa perfection,
Il a dissipé les ténèbres par sa beauté,
Tous ses caractères sont bons.
Priez donc sur lui et sur les siens » !
Le Prophète Muhammad psl : Une Vie, un Modèle, une Lumière
A l’occasion de la commémoration de l'anniversaire de notre bien aimé , nous présentons à la nation islamique les meilleurs vœux,les plus distinguées bénédictions et nos sincères congratulations.
Nos meilleurs voeux également à tous les musulmans dont l'amour pour notre Prophéte, AlHabib, Al- Moustapha, Al-khatam- Al Anbiya, Muhammad swas nous unis et nous aide à faire face devant les piéges nombreux et sournois de Satan interiure et exterieure et nous éloigne ainsi de la discorde.
**************************************************************
La vie du Prophète Muhammad ( psl); le dernier Envoyé de Dieu, est édifiante, profonde, lumineuse. Elle est l'histoire de la foi, de la mystique et de l'engagement. Elle est aussi l'histoire de la simplicité, de la conviction, de l'ouverture et de la détermination. L'histoire d'un homme, d'un Prophète. Un modèle.
" Il y a certes pour vous, dans l'Envoyé de Dieu, un parfait modèle pour qui désire Dieu et le jour dernier avec ferveur et se souvient ardemment de Dieu. " [ Sourate 33, verset 21 ]
**************************************
"Nous ne t'avons envoyé Ô Muhammed que comme une miséricorde pour les mondes" [ Sourate 21 - Verset 107 ]
LE SEIGNEUR DES NOBLES PROPHETES MOHAMMAD LE TRES PUR(AS) A DIT:
'Continuez toujours a transmettre mon enseignement, ne serait-ce qu'une phrase.'.
Il a dit : O ‘Alî! Tous les yeux pleureront le Jour de la Résurrection, sauf trois: un œil qui aura veillé pour la Cause d’Allah, un œil qui se sera abstenu de se porter sur les interdits d’Allah, et un œil qui aura débordé de larmes de crainte d’Allah.
Il s'agit de Muhammad Ibn 'Abdullâh (P) qui a été envoyé par Dieu, le Très-Haut, pour témoigner au sujet de la Nation, pour vivre avec elle, pour lui transmettre les Messages de son Seigneur, pour l'instruire, pour la purifier, pour lui enseigner le Livre et la sagesse, pour faire face en l'affrontant ce qui se dressent contre le Message et pour affirmer le principe de l'unification divine face à celui du polythéisme. Il voulait provoquer, dans cette société jâhilite enfouie dans l'arriération du Pagan et de l'ignorance, la bataille de la distinction entre la vérité et la légende ,et entre l'arriération et le progrès, pour ouvrir les entendements des gens afin qu'ils puissent distinguer le juste de ce qui est faux, le bien du mal ….
Le Messager (P) était entièrement infaillible, par sa raison, par son cœur et par toute sa vie. Son appel n'était pas adressé à la seule région où il vivait, même si cette région était le point de départ et l'origine de l'appel.
Le Prophète (P) était un Messager universel dont le Message ne s'adresse pas à une société sans autres. Son Message est le conclusion de tous les messages. Il n'est pas propre à un endroit sans autres, ni à une époque sans autres. Il est un appel à la vie : ((Vous qui croyez, répondez positivement à Dieu et à Son messager, quand il vous appelle à ce qui vous donne la vie)) (Coran VIII, 24).
Le Message du Prophète (P) a gagné toutes les contrées du monde; il a été une miséricorde pour tous les mondes. Le Prophète (P) était la bonne nouvelle annoncée par les prophètes qui l'ont précédé. Le Coran nous en parle en relatant ce que Jésus, Fils de Marie, a dit aux Fils d'Israël : ((Et quand Jésus, Fils de Marie, dit : "O Enfants d'Israël, je suis vraiment un Messager de Dieu à vous, confirmateur de ce qu'il y a devant moi de par la Thora, et annonciateur d'un Messager à venir après moi, dont le nom sera "Ahmad" !)) (Coran LXI, 6).
Lorsque nous lisons le témoignage donné au sujet du Prophète (Psl) par son frère (choisi par le messager comme frère), son élève et son gendre, par 'Alî (p) qui, parmi tous les gens, le connaissait le plus, nous trouvons les paroles suivantes :
"Dieu l'a envoyé alors que les gens étaient égarés, désorientés et épris de provoquer des discordes. Ils étaient fascinés par les passions et par l'orgueil et attirés – à la manière de Pharaon qui a séduit son peuple, et à la manière de son peuple qui lui a obéi, par l'ignorantisme le plus aveugle. /Le Prophète (P) leur a fourni ses meilleurs conseils. Il a suivi la bonne voie et il a appelé à la sagesse et à la bonne exhortation".
Il en parle aussi en disant : "Il est l'Imâm de ceux qui craignent Dieu. Il est le guide de ceux qui veulent être guidés. Il est un luminaire brillant, une étoile filante resplendissante et une étincelle éblouissante. Ses pratiques sont droites, ses actes adéquats, ses paroles tranchantes et ses jugements justes. Il a été envoyé à une époque tardives par rapport aux messagers qui l'ont précédé (Une longue période le séparait de Jésus (p)), à un moment où les gens étaient oublieux des bonnes actions, où les nations s'enfonçaient dans l'inconscience".
Et 'Alî (p) de poursuivre : "Par sa grâce, Dieu a enterré les rancunes – Par l'amour qui jaillissait de lui et de son Message, le Messager de Dieu (P) a pu enterrer les animosités, les haines et les rancunes qui sévissaient parmi les gens- et a éteint les inimités. Par sa grâce, Il a fraternisé beaucoup de gens et a séparé beaucoup de gens solidement liés. Il a rendu glorieux des humiliés et a humilié des glorieux. Ses paroles sont éloquence et son silence est loquacité".
'Alî (p) conclut en disant : "Il l'a envoyé pour apporter la lumière. Il lui a donné la priorité dans la sélection. Par sa grâce, Il a soudé les déchirures, il a affronté ceux qui cherchaient à s'opposer au vrai, il a résolu la difficulté et il a déblayé la voie abrupte jusqu'à disperser l'égarement à droite et à gauche".
MAULOUD MABROUK"
La profondeur historique de l’Islamophobie et les ressorts géopolitiques
À l’issue de leur pèlerinage, Dinet et Ben Ibrahim publie un récit de voyage où ils développent en conclusion les trois éléments qui les ont particulièrement frappés – «la vitalité de la foi musulmane, la puissance formidable de la foi musulmane et la persistance d’une hostilité plus ou moins déguisée de l’Europe contre l’Islam» – cette dernière étant la définition proposée de l’islamophobie. Mais il précise ce qu’ils entendent par islamophobie de trois manières.
Tout d’abord, ils l’inscrivent dans une histoire longue remontant aux Croisades. Selon eux, «[m]alheureusement, l’Europe a des traditions politiques qui datent des Croisades; elle ne les a pas abandonnées et, si elle est tentée de les oublier, les Islamophobes tels que [William E.] Gladstone [ancien Premier ministre britannique], [Lord] Cromer [consul britannique en Egypte], [Arthur J.] Balfour [ancien Premier ministre et ministre des Affaires étrangères britannique], l’archevêque de Canterbury et les missionnaires de toutes confessions, etc., se dressent immédiatement pour l’y ramener».
Ensuite, l’islamophobie est entendue comme une idéologie de conquête qui devrait logiquement s’effacer à mesure que les résistances armées aux conquêtes coloniales sont brisées: «L’islamophobie ne pouvant plus rien rapporter devrait donc s’éteindre et disparaître. Si elle persistait, elle prouverait définitivement à toute l’Asie et à toute l’Afrique que l’Europe veut les asservir à un joug de plus en plus tyrannique. (…) Si, au contraire, l’Europe s’entendait cordialement avec l’Islam, la paix du monde serait assurée». L’alliance entre l’Europe et l’Islam serait ainsi une «barrière infranchissable» pour la «menace du péril jaune» et du péril communiste…
Dévoilement du tout nouveau chasseur iranien
Le ministre iranien de la Défense a fait part du dévoilement, d'ici quelques jours, des toutes nouvelles productions dudit ministère.
«Pendant les jours de la décade de l'Aube, une base d'observation spatiale et l'observatoire spatial ''Imam Sadeq (Béni soit-il)'', seront dévoilés, avec, pour objectif, d'observer les missions de nos convois, dans l'espace extra-atmosphérique», a déclaré, aujourd'hui, devant les journalistes, le ministre de la Défense, le Général Ahmad Vahidi, cité par Farsnews.
Le ministre a fait part, également, du dévoilement du tout nouveau chasseur construit, en Iran, et qui est tout à fait différent, selon lui, des avions de chasse jamais construits, dans le pays. «L'inauguration de lignes de production, en matière de défense anti-aérienne, figure, aussi, à notre agenda», a, également, affirmé le Général Vahidi.
Et en ce qui concerne l'envoi d'êtres vivants, dans l'espace, il a émis l'espoir que cela, aussi, pourrait se faire, dans des jours à venir. «Nous avons, aussi, d'autres programmes, dans le domaine balistique, qui restent à annoncer, à l'avenir», a ajouté le ministre de la Défense iranien, le Général Ahmad Vahidi.
Accueil d'Egypte de la tenue des négociations entre les 5+1 et l'Iran au Caire; (Salehi)
L'Iran a proposé la tenue, au Caire, des prochaines négociations sur le dossier nucléaire iranien avec les 5+1, qui a été accueilli favorablement par l'Egypte.
Le ministre iranien des Affaires étrangères, Ali Akbar Salehi, a déclaré que l'Iran a proposé que la prochaine réunion ait lieu au Caire, cela a été accueilli favorablement par nos frères égyptiens et l'Egypte mène des consultations avec les 5+1 pour la tenue des négociations.
"Nous sommes prêt d'accueillir les négociations entre les 5+1 et la République islamique au Caire", avait déjà souligné, lundi, le chef du bureau d'intérêts égyptiens à Téhéran, Khalid Ibrahim Amara.
Il a ajouté que des consultations parallèles se déroulent actuellement entre le secrétaire général du Conseil suprême de la sécurité nationale de l'Iran, Saïd Jalili, et la chef de la diplomatie européenne, Catherine Ashton, qui représente les 5+1 (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Grande-Bretagne, plus Allemagne) pour s'accorder sur la date et le lieu de la rencontre.
"Le Conseil suprême de la sécurité nationale de l'Iran annoncera la date et le lieu des prochaines négociations", a affirmé M. Salehi.
Lavrov: le terrorisme en Syrie se poursuit à cause de l'afflux des armes
Le ministre russe des affaires étrangères, Serguei Lavrov, a affirmé que la priorité pour la Russie est de consolider le dialogue pour résoudre la crise en Syrie conformément à la déclaration du groupe d'action international à Genève.
Lavrov, qui parle à l'occasion de la conférence annuelle sur le résultat de l'activité de la diplomatie russe en 2012, a appelé toutes les parties à arrêter la violence et à s'asseoir à la table de dialogue, faisant noter que la Russie tient des rencontres avec toutes les parties syriennes, gouvernement et opposition, et réclame de tous les joueurs extérieurs, y compris, les membres du conseil de sécurité et la Turquie, l'application de la déclaration de Genève.
"Les efforts de la Russie avec la Chine et l'émissaire de l'ONU pour la Syrie Lakhdar al-Ibrahimi se heurtent à l'opposition syrienne qui refuse le dialogue et insiste sur le fait de faire chuter le régime", a souligné Lavrov qui a qualifié d'"inacceptable" cette idée qui ne contribuera pas à la tenue du dialogue.
Selon sana, il a souligné que le terrorisme se poursuit en Syrie à cause de la poursuite de l'afflux des armes et de l'infiltration des terroristes sans aucune supervision, exprimant son regret car les autres participants au groupe d'action de Genève adressent "de faux messages" à l'opposition syrienne qui refuse toute rencontre avec le gouvernement, "ce qui se contredit avec la déclaration de Genève qui appelle à préserver l'Etat et à ne pas répéter les fautes qui ont été commises dans autres pays".
En réponse à une question sur la nouvelle propagée sur une évacuation des ressortissants russes de la Syrie, Lavrov a dit: "Des dizaines de milliers de Russes vivent en Syrie mais sauf cent familles ont accepté de regagner le pays".
Il a souligné que l'ambassadeur de Russie à Damas travaille comme d'habitude et que la situation en Syrie d'après l'évaluation de l'ambassade russe n'exige pas l'exécution d'un plan d'urgence d'évacuation des ressortissants russes.
Au sujet des résultats de la politique extérieure russe en 2012, Lavrov a affirmé que tous les résultats de l'année dernière étaient basés sur les lois et les chartes internationales et la non-ingérence dans les affaires intérieures des autres pays.
Il a qualifié de "grande faute" le comportement américain d'éloigner l'Iran de tout règlement de la crise en Syrie, affirmant que l'Iran est un pays essentiel dans la région et que sans sa contribution, les problèmes de la région ne seraient pas réglés.
Il a affirmé la nécessité de trouver une solution juste de la cause palestinienne, réitérant la position de son pays stipulant le règlement des problèmes internationaux sur la base du respect mutuel et la non-ingérence dans les affaires des autres pays.
En ce qui concerne la situation au Mali, Lavrov a assuré que les terroristes et les éléments d'al-Qaïda veulent contrôler nombre de pays dans le monde, exprimant la préoccupation de la Russie devant la situation actuelle et l'avenir de ce pays.
Il a estimé que les rebelles qui combattaient au Mali sont les mêmes qui avaient fait chuter le régime d'al-Kadhafi.
Passant aux relations russo-américaines, le chef de la diplomatie russe a souligné qu'il y a un quasi malentendu qui règne sur les relations entre les deux pays à cause des comportements des administrations américaines successives et non pas de ceux de la Russie. Il a invité, à cet effet, la nouvelle administration d'Obama à apprendre les leçons des expériences précédentes et à coordonner avec la Russie pour régler les conflits dans le monde conformément aux principes communs, dont l'abandon des guerres et la propagation des méthodes pacifiques.
"Notre position persistante est de reposer sur les méthodes politiques dans le règlement des différents conflits au lieu de recourir à la force pour les résoudre car la force aboutit au désordre", a-t-il indiqué.
Par ailleurs; il a souligné que les rencontres des responsables russes avec leurs homologues à l'Union Européenne et au groupe de BRICS facilitent la consolidation des relations stratégiques communes avec les deux blocs.
Benjamin Netanyahu sanctionné en Israël
Sanctionné mais reconduit, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, est désormais confronté à la rude tâche de former une coalition gouvernementale viable.
L'issue des élections législatives de mardi, qui ont propulsé le parti centriste Yesh Atid, nouveau venu en politique, au rang de deuxième force parlementaire, montre que les préoccupations quotidiennes des Israéliens l'ont emporté sur les grands enjeux internationaux.
Après dépouillement de la quasi-totalité des bulletins, le Likoud, dont le chef du gouvernement est issu, et son partenaire ultranationaliste Israël Beïtenou étaient crédités de 31 des 120 sièges de la Knesset, onze de moins que dans la dernière législature. Son groupe parlementaire restera de loin le plus important, mais la droite toutes tendances confondues atteint tout juste la majorité.
"Un revers pour Netanyahu", titre mercredi le Yediot Ahronot, plus gros tirage de la presse quotidienne, qui comme ses confrères, prend acte du beau score de Yesh Atid.
Le parti centriste, dont le nom signifie "Un avenir existe", décroche 19 sièges, selon les projections. Comme le Parti travailliste, troisième avec 15 élus, il a su convaincre une classe moyenne laïque confrontée à l'augmentation du coût de la vie et mécontente de l'exemption des obligations militaires accordée à des ultraorthodoxes dépendants de l'aide publique.
Le Premier ministre sortant, qui s'est largement appuyé sur les partis religieux au cours de ses deux premiers mandats, a d'emblée tendu la main aux centristes en disant vouloir former une coalition aussi large que possible. Les tractations risquent néanmoins de prendre de longues semaines.
Yaïr Lapid, ex-présentateur de télévision devenu chef de file de Yesh Atid, a fait de la conscription des étudiants en théologie ultraorthodoxes et de la reprise du processus de paix israélo-palestinien ses deux arguments-phares de la campagne.
"Quiconque veut faire entrer Yesh Atid dans une coalition doit prendre en compte ces deux choses", a rappelé mercredi Ofer Shelah, membre influent de la formation, au micro de la radio militaire.
Si le Premier ministre a fait de l'Iran et de son programme nucléaire la première de ses priorités, celui des négociations avec les Palestiniens n'en fait plus guère partie.
Malgré l'opposition de ses partenaires occidentaux et des relations déjà très tendues avec le président américain Barack Obama, Benjamin Netanyahu s'est engagé à poursuivre la colonisation de la Cisjordanie occupée depuis 1967, ce qui laisse peu de chances à la relance du processus de paix. Le poids du centre pourrait toutefois l'amener à revoir ses positions sur le sujet.
Selon Reuters, coté palestinien, on doute que l'issue du scrutin puisse être bénéfique au processus de paix, y compris si les centristes entrent au gouvernement.
Pour l'éditorialiste du quotidien Al Qods, leur présence, purement "décorative", n'empêcherait pas le Premier ministre de poursuivre la colonisation et de berner l'opinion mondiale.
"Nous ne cherchons pas à faire la paix avec tel ou tel parti israélien", a quant à lui commenté Saëb Erekat, négociateur en chef de l'Autorité palestinienne. La paix, a-t-il répété, passe par la création d'un Etat palestinien et par sa coexistence pacifique aux côtés d'Israël.
Pour Amram Mitzna, membre d'Hatnua, autre parti centriste formé par l'ancienne ministre des Affaires étrangères Tzipi Livni, le scrutin de mardi a "enrayé la dérive droitière de la société israélienne".
Invitant le Premier ministre à prendre acte du message des électeurs, il a évoqué la formation d'un "gouvernement de rêve", qui rassemblerait le Likoud, la gauche et le centre.
A l'extrême droite, Bayit Yehudi, le "Foyer juif" de Naftali Bennett qui prône l'annexion de 60% de la Cisjordanie, reste toutefois un partenaire de choix pour le Premier ministre, bien qu'il n'ait pas connu le succès annoncé par les sondages.
"Il n'y pas deux discours, ni deux vérités. Il n'y en a qu'une et elle est simple. La terre d'Israël appartient au peuple d'Israël(!!!)", a martelé son chef de file dans son discours post-électoral.
"La mission de notre génération est de restaurer l'âme juive du peuple d'Israël. Un 'printemps juif' arrive en Israël(!!!)", a-t-il ajouté.
L’Iran est l’avant-garde en l’unité islamique
L’imam de la mosquée sunnite, Abou Hanifa a dit: les oulémas chiites et sunnites ont créé de grandes choses à l’aide de l’unité islamique dans le pays. Ils envoient leurs expériences aux divers pays musulmans. Et aujourd’hui, la semaine de l’unité islamique est la bête noire des ennemis de l’islam.
Selon le rapport de l’agence de presse TAGHRIB (APT) à Bodjnourde, nord-est de l’Iran ; l’imam de la mosquée sunnite Abou Hanifa félicitant la semaine de l’unité islamique a dit : L’imam Khomeiny (que son âme soit en paix) le fondateur de la République islamique a nommé la semaine, dans laquelle le prophète de l’islam est né, la semaine de l’unité islamique. Cette appellation avait accru l’unité parmi les musulmans.
Des ces dernières années, les ennemis de l’islam voient dans le développement de l’islam un grand danger pour leur hégémonie. Or, ils s’efforcent de limiter l’islam en insultant le noble prophète de l’islam et la grande religion musulmane, a-il-ajouté.
Participant à la conférence de l’Unité islamique, des grands scientifiques musulmans chiites et sunnites montrent la grandeur de l’islam. Ils montrent que les musulmans sont très conscients des complots émis par les ennemis de l’islam.
Célébrations dans 115 pays à l'occasion de l'anniversaire de la naissance du Saint Prophète Muhammad (PSLF)
Le secrétaire général de l’Assemblée mondiale d’Ahl ul-Bayt (AS), l'ayatollah Mohammad Hassan Akhtari, a déclaré que les manifestations sont prévues, qui se tiendra dans 115 pays au cours de l'heureuse occasion de l'anniversaire du Saint Prophète Muhammad (PSLF).
S'exprimant lors d'une conférence de presse le lundi, 21 Janvier, l'ayatollah Akhtari a déclaré que simultanément à l'occasion propice, une journée de intitulé «Prophète de l' Miséricorde et de Justice »a commencé en Iran et dans d'autres pays.
Il a dit que ces dernières années, certaines personnes irrationnelles, sur la base de complots ourdis par les puissances hégémoniques, en particulier aux États-Unis et Israël et ses alliés ont fait de nombreuses tentatives pour prévenir la propagation de l'Islam dans le monde, ajoutant que l'une de ces tentatives était la profanation de la figure du Prophète de l'Islam (PSLF).
L'ayatollah Akhtari a ajouté que les musulmans ont pris plusieurs mesures pour remédier à ces parcelles, et le programme mentionné est l'un d'entre eux.
Il a dit que la raison derrière les tentatives irrationnelles des ennemis de l'Islam, c'est l'ignorance de la société humaine sur la culture pure de l'islam et le statut du Prophète (PSLF), soulignant que de telles tentatives doivent être abordés de façon rationnelle.
Le prêtre a dit à l’Assemblée mondiale d’Ahl ul-Bayt (AS) a envoyé des lettres aux savants musulmans et des personnalités de premier plan dans le monde, en leur rappelant leur responsabilité pour faire face à des mouvements anti-islamiques.
Il a regretté que peu a été fait pour introduire le statut et le rôle du Saint Prophète (PSLF) pour guider l'humanité.
L'ayatollah Akhtari dit l'un des principaux programmes de la réunion est de clarifier les enseignements du Coran et de l'islam à travers les livres et les médias, constatant qu'à ce jour plus de 1000 titres en 48 langues ont été publiés et distribués aux soif pour les purs enseignements de l'Islam dans le monde entier.
Il a noté que pendant la Semaine de l'Unité (marquant la naissance du Prophète (PSLF)), un site dédié au Saint Prophète (PSLF) sera mis en place et plusieurs forums scientifiques aura lieu dans les villes de Qom et Téhéran.
L'Iran a proposé que des négociations sur le nucléaire aient lieu au Caire
L'Iran a proposé aux puissances du groupe 5+1 de tenir au Caire les prochaines négociations sur son dossier nucléaire controversé, une idée acceptée par l'Egypte, a déclaré mercredi le ministre iranien des Affaires étrangères, Ali Akbar Salehi, cité par l'agence Isna.
L'Iran a proposé que "la prochaine réunion ait lieu au Caire, cela été accueilli favorablement par nos frères égyptiens et l'Egypte mène des consultations pour la tenue des négociations", a déclaré M. Salehi à la sortie du Conseil des ministres.
Il a ajouté que des consultations parallèles "se déroulent actuellement entre Saïd Jalili (le chef du groupe des négociateurs nucléaires iraniens, ndlr) et Catherine Ashton", la chef de la diplomatie européenne qui représente les 5+1 (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Grande-Bretagne et Allemagne) pour s'accorder sur la date et le lieu de la rencontre.
"La date et le lieu des négociations seront annoncés par le Conseil suprême de la sécurité nationale" iranien, chargé des négociations nucléaires, a-t-il précisé.
L'Iran et le groupe 5+1 ont repris contact à la mi-décembre pour reprendre les négociations nucléaires après plusieurs mois d'interruption. Le dernier round des négociations a eu lieu à Moscou en juin 2012.
Les puissances occidentales soupçonnent l'Iran de chercher à fabriquer l'arme atomique sous couvert de son programme nucléaire civil, ce que Téhéran a toujours démenti. En particulier, l'Iran refuse de suspendre son programme d'enrichissement d'uranium en affirmant qu'il a un but uniquement civil, contrairement aux accusations occidentales.
La Russie dénonce l’exigence de l'opposition à renverser Assad
Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a dénoncé mercredi la préoccupation de l'opposition syrienne à renverser le régime du président Bachar al-Assad, estimant qu'elle empêche le règlement politique du conflit.
Tout se heurte à l'exigence des opposants à l'idée de renverser le régime d'Assad, a déclaré le ministre russe des Affaires étrangères au cours d'une conférence de presse.
Tant que cette position irréconciliable restera en vigueur, il ne se passera rien de bon. Les combats vont se poursuivre, les gens vont continuer à mourir, a-t-il poursuivi.
Le chef de la diplomatie russe a aussi regretté le manque de bonne volonté de la part des pays occidentaux à convaincre les opposants à dialoguer avec le pouvoir.
Selon AFP, certains pays occidentaux et certains pays du Proche-Orient ont salué la création de la coalition (de l'opposition). A la question de savoir pourquoi nos partenaires encourageaient une approche consistant à renoncer au dialogue, on nous a expliqué que l'essentiel était de réunir l'opposition avant de la convaincre de prendre une position plus constructive, a-t-il déclaré.
Mais ensuite, il n'y a pas eu de tentatives de mettre les parties en conflit à la table des négociations. Seulement nous et nos partenaires chinois, l'émissaire de l'ONU Kofi Annan et son successeur Lakhdar Brahimi ont tenté de le faire, a ajouté M. Lavrov.