تقي زاده

تقي زاده

 

 

 

 

 

 

A l’approche du Hajj et afin de sensibiliser nos Frères et Sœurs accomplissant ce pilier important de l’Islam, nous avons jugé utile de présenter un Merveilleux dialogue entre L’Imam Ali Ibn Hussain Zayn Al Abidin le 4e Imam du Descendant du Béni Prophète (pslf)de l’Islam et un Soufi et Mystique Shibli retournant du Hajj et rendant visite à l’Imam Zayn Al Abidin après avoir accompli les rituels du Hajj , l’Imam lui posa alors des questions sur l’accomplissement de son pèlerinage.

A l’approche du Hajj et afin de sensibiliser nos Frères et Sœurs accomplissant ce pilier important de l’Islam, nous avons jugé utile de présenter un Merveilleux dialogue entre L’Imam Ali Ibn Hussain Zayn Al Abidin le 4e Imam du Descendant du Béni Prophète (pslf)de l’Islam et un Grand Soufi et Mystique Shibli retournant du Hajj et rendant visite à l’Imam Zayn Al Abidin après avoir accompli les rituels du Hajj , l’Imam lui posa alors des questions sur l’accomplissement de son pèlerinage.


-As-tu accompli ton pèlerinage, ô Shibli ?

– Oui, ô fils du Messager de Dieu.

Es-tu allé au « Miqât » (lieu de mise en état de sacralisation), as-tu enlevé les habits cousus et as-tu fait la douche des grandes ablutions ?

– Oui.

-Quand tu es allé dans les « Miqât », as-tu eu l’intention de rendre visite à Dieu?

– Non.

-Lorsque tu as enlevé tes habits cousus, as-tu eu l’intention d’enlever les habits du péché et de mettre ceux de l’obéissance ? De quitter l’ostentation, l’hypocrisie et de pas entrer dans les affaires « ambiguës » ?

– Non.

-Lorsque tu as fait la douche rituelle (les grandes ablutions), as-tu eu l’intention de te laver des fautes et des péchés ?

– Non.

-Alors, tu n’es pas allé au « Mîqât », tu n’as pas enlevé les vêtements cousus et tu n’as pas fait ta douche rituelle.
T’es-tu nettoyé, t’es-tu mis en état de sacralisation et t’es-tu engagé à accomplir le Hajj ?

– Oui.

-Lorsque tu t’es nettoyé, que tu t’es mis en état de sacralisation (ihrâm) et que tu t’es engagé à accomplir le Hajj, as-tu eu l’intention avec de te nettoyer avec de la poudre blanche (nûrat) du repentir sincère envers Dieu Très-Elevé ?

De t’interdire tous les interdits que Dieu Tout-Puissant a interdits ?

– Non.

-Lorsque tu t’es engagé à accomplir le Hajj, as-tu eu l’intention de te défaire de tout engagement envers autre que Dieu ?

– Non.

-Alors tu ne t’es pas nettoyé, ni mis en état de sacralisation ni engagé à accomplir le Hajj.
Dans le « Mîqât », as-tu prié deux raka‘ts pour la mise en état de sacralisation et prononcé la « Talbiyat » (dire « Je viens à Toi ») ?

– Oui.

-Quand tu as prié les deux raka‘ts, as-tu eu l’intention de te rapprocher de Dieu en accomplissant la meilleure des œuvres et la plus grande bonne action des serviteurs, qu’est la prière ?

– Non.

-Quand tu as prononcé la «Talbiyat » (dire « Je viens à Toi »), as-tu eu l’intention de t’adresser à Dieu (qu’Il soit Exalté) en toute obéissance et en évitant tout péché ? »

– Non.

-Alors tu n’as pas prié pas dans le « Mîqât » ni prononcé la « Talbiyat ».

Es-tu entré dans l’enceinte sacrée, as-tu vu la Ka‘ba et as-tu prié ?

– Oui.

-Dans l’enceinte sacrée, as-tu eu l’intention de t’interdire de médire sur les Musulmans ?

– Non.

-Quand tu es arrivé à La Mecque, as-tu eu l’intention en ton cœur de viser [de ne visiter que] Dieu ?

– Non.

-Alors tu n’es pas entré dans l’enceinte sacrée, tu n’as pas vu la Ka‘ba ni tu n’as prié.
As-tu tourné autour de la Maison, t’es-tu arrêté à la station d’Ibrahîm et y as-tu prié deux raka‘ts? et as-tu effectué le Sa‘î (entre Safa et Marwâ) ?

– Oui.

-Quand tu t’es arrêté à la station du Prophète Ibrâhîm(P), [pour la prière du Tawâf] as-tu eu l’intention d’obéir totalement à Dieu et d’abandonner tout péché ?

– Non.

-Quand tu as prié les deux raka‘ts, as-tu eu l’intention de prier la prière d’Ibrâhîm(P) et d’abaisser, par ta prière, (le nez de) Satan ?

– Non.
As-tu effectué le Sa‘î en marchant et en faisant les allées et venues entre Safâ et Marwa ?

– Oui.

-As-tu eu l’intention d’être entre l’espoir et la crainte ? De fuir vers Dieu, le Grand Savant des Mystères le Sachant ?

– Non.

-Alors, tu ne t’es pas arrêté à la Station et tu n’y as pas prié deux raka‘ts, tu n’as pas fait le Sa‘î, tu n’as pas marché ni tu n’as fait les allées et venues entre Safâ et Marwa.

 

L’Imam continua d’interroger Shibli sur l’accomplissement de son Hajj :

-T’es-tu arrêté à la station de ‘Arafat et as-tu prié Dieu (qu’Il soit Glorifié) ?

– Oui.

-Quand tu étais à ‘Arafat, as-tu connu Dieu (qu’Il soit Glorifié) de l’ordre des connaissances et des sciences, as-tu su que Dieu détient ton livre et connait tes secrets et les intentions de ton cœur ? As-tu fait appel à Sa Miséricorde pour tous les croyants et les musulmans ?

– Non.

-Alors tu ne t’es pas arrêté à ‘Arafat ni tu n’as prié [Dieu].

As-tu marché au Muzdalifah, y as-tu pris les pierres et es-tu passé par al-Mash‘ar al-Harâm ?

– Oui.

-Quand tu as marché au Muzdalifah et que tu as cherché les pierres, as-tu eu l’intention d’éloigner loin de toi tout péché et toute ignorance et d’affirmer tout savoir et toute [bonne] action ?

– Non.

– Quand tu es passé au Mash‘ar al-Harâm, as-tu eu l’intention de faire sentir à ton cœur ce que ressentent les Pieux, la crainte de Dieu Tout-Puissant ?

– Non.

-Alors, tu n’as pas marché au Muzdalifah, ni pris les pierres ni tu n’es allé au Mash‘ar al-Harâm.
-Es-tu allé à Minâ ?

– Oui.

-As-tu eu l’intention de mettre les gens à l’abri de ta langue, de ton cœur et de ta main ?

– Non.

-Alors tu n’es pas allé à Minâ.
Arrivé à Minâ, as-tu jeté des pierres contre les stèles, t’es-tu rasé la tête, as-tu sacrifié ton offrande, et prié dans la mosquée al-Khayf ?

– Oui.

– Quand tu as lapidé les stèles, as-tu eu l’intention de lapider ton ennemi Ibliss (Satan) et de l’irriter par l’accomplissement de ton pèlerinage précieux ?

– Non.

-Alors tu n’es pas allé à Minâ, tu n’as pas lapidé les stèles, tu ne t’es pas rasé la tête, tu n’as pas accompli tes devoirs envers Dieu, tu n’as pas prié deux raka‘ts dans la mosquée d’al-Khayf.

Es-tu revenu à La Mecque et as-tu effectué le Tawâf ?

– Oui.

-Quand tu es revenu à La Mecque et que tu as fait le Tawâf, as-tu eu l’intention de demander la Miséricorde de Dieu Très-Elevé, de revenir à Son Obéissance, de t’accrocher à Son Amour, d’accomplir Ses Devoirs et de te rapprocher de Dieu Très-Elevé ?

– Non.

-Alors tu n’as pas accompli le Tawâf, ni tu ne t’es approché de Dieu.

T’es-tu approché du puits de Zam Zam et as-tu bu de son eau ?

– Oui.

-As-tu eu l’intention de t’approcher de l’obéissance et de te détourner de la désobéissance ?

– Non.

-Alors tu ne t’es pas approché du [puits] et tu n’as pas bu de son eau.

A la fin, l’Imam Zayn al-‘Abidin dit à Shiblî : « Retourne car tu n’as pas accompli le Hajj. »

Shibli se mit à pleurer sur ce qu’il a perdu de son Hajj.

En sachant qu'il n'avait pas compris la vérité du Hajj, Shibli commença à pleurer fort et regretta son inconscience et depuis ce jour, il se lança à connaître et a découvrir la philosophie du Hajj jusqu'à l'année suivante. Il resta à apprendre jusqu’à ce qu’il retournât au Hajj avec connaissance et certitude. Il a pu retourner et répéter son Hajj avec certitude et conviction.

Tire du livre "Al Mustadrak-ul-Wassael" Vol II

Soubhan Allah, l'excellente compréhension qu'avait le petit fils du Prophète psl, le joyau des adorateurs et comme quoi derrière chaque acte physique se cache l'acte véritable, le spirituel

Les paroles de l'Imam Zainul Abideen a.s(le fils d’Imam Hussein a.s) actualisent les rites du Hajj et nous démontrent que les rites du Hajj ne sont pas que des actions mais ont un sens réel et une philosophie bien profonde.

Le Hajj ne doit pas seulement être accompli par des gestes mais aussi par le cœur.

Si les mains enlèvent les vêtements cousus, le Haji doit savoir qu'il enlève les vêtements de ce bas monde, du matérialisme, de l'orgueil et il met les vêtements de la piété, de l'obéissance, de l'égalité (car tout le monde a le même port), de la pureté (blanc, signe de la pureté) et doit se rappeler de sa mort et de son linceul (Kafan qui ressemble à l'Ihram).. Etc.

Quand la langue dit "Labbaik...", le cœur doit le dire également en sachant qu'il est entrain de répondre à l'appel du prophète Abraham a.s..."ET FAIS AUX GENS UNE ANNONCE POUR LE HAJJ, ILS VIENDRONT VERS TOI A PIEDS ET SUR TOUTE MONTURE, ACCOURANT DE TOUT CHEMIN ELOIGNE". (Surat Hajj, Verset 27)

Quand on dit "Labbaik...", on répond à cette annonce qui restera jusqu'à la fin des temps mais le Hajji doit se promettre qu'il répondra à toutes les annonces et obligations de la part du Seigneur et il s'arrêtera devant tout acte de désobéissance car il ne suffit pas seulement de limiter le "Labbaik" à la langue et juste au Hajj mais il faut qu'il soit conscient le long de sa vie qu'il est Hajji donc il dira toujours "Labbaik" quand il s'agira d'aider l'Islam ou dans la voie de la satisfaction d'Allah et de même, il s'arrêtera devant toute action illicite et refusera d'avancer vers le sentier de la désobéissance…………………..

 

 

 

Le sixième Imam est Ja'far al-Câdiq, fils de Muhammad (P). Sa mère est Fâtima (dont l'autre nom est Farwah). L'Imam est né à Médine, le lundi 17 Rabi' 1, (le jour anni versaire de la naissance du prophète) en l'an 83 après l'Hégire. Il mourut empoisonné le 25 Chawwâl, 148 A.H., à l'âge de 65 ans.

Il possédait un grand savoir et des qualités supérieures. Il était un homme de sagesse, connaisseur de la chari'a et pieux. Il était sincère, juste; un homme de grandeur, de générosité et de valeur. Il était doté de beaucoup d'autres qualités.

Cheikh al-Mufid raconte: «Les savants religieux acquirent de lui beaucoup plus qu'ils n'avaient appris de tout autre membre des Ahl al-Bayt. Personne n'a été aussi prolifique que l'Imam al-Câdiq (P) quant à la propagation de la religion par mi les Uléma de l'histoire religieuse et du Hadith. En réalité le nombre de savants religieux (sérieux et apparte nant à différentes écoles) ayant acquis des connaissances de lui atteint quatre mille. Abu Hanifa, le chef de l'une des écoles sunnites, était l'un d'entre eux. Pieux, il se nourrissait de vinaigre et d'huile et mettait des vêtements rudes. Parfois ceux-ci étaient très rapiécés.

Il avait l'habitude de travailler son jardin lui-même. Il per dait souvent connaissance en se rappelant Allah. Une nuit, le Calife Abbasside de l'époque fit convoquer l'Imam par un messager. Celui-ci raconte: «Je suis allé chez

l'Imam et je l'ai trouvé dans sa chambre privée. L'Imam avait les joues couvertes de poussière, et suppliait Allah dans la plus grande humilité, les mains levées vers les cieux, les mains et le visage poussiéreux».

C'était un homme charitable et de disposition aimable. Il parlait avec tendresse et se montrait très coopératif. On avait plaisir à travailler avec lui.

Un jour l'Imam appela son domestique, Mussadif et lui donna mille dinars pour se préparer à un voyage d'affaires, en Egypte, car le nombre de sa suite avait augmenté et il était nécessaire de rechercher davantage de moyens de subsistance.

Mussadif acheta des marchandises et partit pour la Syrie avec un groupe de commerçants. Lorsqu'ils approchèrent de l'Egypte, ils rencontrèrent un autre groupe de commerçants revenant de ce pays. Ils dirent à ceux-ci qu'ils possédaient telle sorte de marchandises et qu'ils voulaient savoir si elles étaient disponibles en Egypte. Leurs interlocuteurs répondirent par la négative. Les marchands prêtèrent alors serment de ne pas revendre leurs marchandises à moins de cent pour cent de bénéfice. Ce qui fut fait. Après quoi ils retournèrent à Médine.

Mussadif rentra chez l'Imam avec deux sacs contenant chacun mille dinars. Il lui dit que l'un des deux sacs contenait le capital, l'autre, les bénéfices.

L'Imam lui fit remarquer que les bénéfices étaient excessifs et lui demanda ce qu'il avait fait des marchandises. Mussadif lui expliqua ce qu'il avait fait et le serment qu'il avait prêté (de ne pas revendre à moins de 100% de profit). L'Imam s'étonna qu'il ait juré de ne pas revendre des articles à des musulmans à moins de 100% de bénéfice!

Puis l'Imam prit l'un des deux sacs et dit: «Celui-ci contient mon capital, et nous ne touchons pas les bénéfices», Et d'ajouter :«0 Mussadif! il est plus facile de combattre avec une épée que de gagner sa vie légalement (halâl) !».

Au Nom de Dieu, le Clément, le Miséricordieux

 

Dieu, le Très Haut a dit dans ٍon Noble Livre : ((Dieu ne veut qu’écarter de vous la souillure, ô Gens de la Famille et vous purifier totalement)) (Coran XXXIII, 33).

le 25 shawwâl est l’anniversaire de la mort de l’Imâm Jafar as-Sâdiq (p), le 6em Imam de descendant du Prophète( psl), un grand personnage, très connu par tous les écoles islamiques ,surtout par le milieu scientifique. Du fait qu'il n'a jamais dit autre chose que la vérité et que tout ce qu'il a enseigné aux gens était vrai et exact, on le connaît généralement sous la dénomination d'"Al-Sâdiq (le Véridique). Il naquit à Médine en l'an 83 de l'Hégire et rendit soupir en l'an 148 de l'Hégire. Il est contemporain a la fin des Omeyyades et du début du Califat Abbasside.

Il est l’Imâm qui, à son époque, avait rempli le monde en matière de science et de culture, au point que les penseurs, les chercheurs et les savants continuent jusqu’à nos jours de lire ses œuvres et de profiter de ses connaissances. En nous penchant sur l’œuvre de l’Imâm as-Sâdiq (p), nous ne trouvons aucune question parmi les questions de l’Islam, qu’elle soit relative à la doctrine, à la loi, à la philosophie, à la morale ou à l’ouverture vis-à-vis de Dieu et des perspectives spirituelles qui portent l’homme à s’incliner devant son Seigneur, sans que l’Imâm as-Sâdiq (p) n’eut donné à son propos un avis ou une qualification.

Il avait un rôle très important dans la transmission de la sunna du prophète psl via la chaine de transmission par la famille du saint Prophète psl. Cet Imâm qui a été ouvert vis-à-vis de tous les Musulmans, et de tous les hommes. Il a porté l’Islam pour l’introduire dans toute raison afin de rationaliser les hommes par l’Islam ; pour l’introduire dans tous les cœurs afin d’ouvrir les cœurs par l’Islam ; pour l’introduire dans toute la vie afin de conduire les hommes sur la ligne de l’Islam.

Son rôle était de répandre l’Islam tel qu’il est proposé par le Coran à travers la récitation, l’interprétation et la lumière qui éclaire les raisons des hommes et leurs cœurs. Il voulait aussi répandre la Sunna Prophétique telle qu’elle a été rapportée du Messager de Dieu (P) de manière authentique.

L’Imâm as-Sâdiq (p) disait « Mes paroles sont celles de mon père, Muhammad al-Bâqir. Les paroles de mon père sont celles de mon grand-père, ‘Ali Ibn al-Hussein. Les paroles de mon grand-père sont celles d’Al-Hussein. Les paroles d’Al-Hussein sont celles d’Al-Hassan. Les paroles d’Al-Hassan sont celles de ‘Ali. Les paroles de ‘Alî sont celles du Messager de Dieu. Les Paroles du Messager de Dieu sont celle de Jibril. Les paroles de Jibril sont celles de Dieu, à Lui la Grandeur et la Gloire ».

Il instruisit plusieurs savants dans les différents domaines des sciences spéculatives et traditionnelles (aqli' wa naqli) tels Zarârah, Mohammad Ibn Muslim…. et Djâbir Ibn Hayân : l'Alchimiste. Même certains savants sunnites importants comme Sufyân Thawri, Abu Hanif ah, le fondateur de l'école Hanafi, Malik Ibn Anas : le fondateur d`ecole Malikite, Qâdi Sukûni, Qâdï Abu Al -Bakhtari, et d'autres, eurent l'honneur d'être parmi ses étudiants.

Imam Mâlik Ibn Anas, le chef de fil de l’école mâlikite a dit : « Aucun œil n’a vu, aucune oreille n’a entendu et aucun cœur d’homme n’a soupçonné quelqu’un qui soit meilleur que Ja’far Ibn Muhammad en fait de vertu, de science, de dévotion et de piété ».

On a demandé à Abû Hanîfa qui est l’homme le plus versé dans la jurisprudence à son époque ; il a répondu que c’est Ja’far Ibn Muhammad as-Sâdiq. S’expliquant, il a fait le rapport suivant : « Le Calife Abû Ja’far al-Mansûr m’a convoqué et m’a dit : ‘Les gens sont fascinés par Ja’far Ibn Muhammad. Prépare-lui donc quelques-unes parmi les questions les plus sophistiquées pour prouver son incompétence. Je me suis donc rendu au palais où m’attendait une assemblée de savants dont l’Imâm Ja’far.Al-Mansûr m’a dit : ‘Pose tes questions à Abû ‘Abdullâh’ Ja`far. J’ai commencé à les poser et chaque fois, il me répondait : ‘Vous les jurisconsultes de Khoufa, vous dites telle chose, nous, Ahlul-Baytes, nous disons telle chose et les jurisconsultes de Médine disent telle chose’. Il a ainsi répondu à toutes mes quarante questions montrant qu’il connaissait les vues de tous les jurisconsultes musulmans. Et Abû Hanîfa de conclure : « Ne disons-nous pas que le plus savant parmi les gens est celui qui connaît le plus leurs points de divergences ? ».

De toutes les contrées, les gens accouraient vers l’Imâm as-Sâdiq (p) pour s’instruire. On dit que juste avant de quitter ce monde, son père, l’Imâm Muhammad al-Bâqir (p) lui a dit : « Mon fils ! Je te recommande de bien traiter mes compagnons ». – « Je m’efforcerai, a répondu l’Imam as-Sâdiq (p), de les éduquer et de les instruire jusqu’à ce qu’ils n’auront plus besoin de se renseigner auprès de qui que ce soit ». Et en fait, l’Imâm as-Sâdiq (p) s’est appliqué dans son école à être fidèle à cet engagement.

Recueillons ensemble certaines des paroles de l’Imâm as-Sâdiq (p) en ce qui concerne la question morale « Trois personnes sont les plus proches de Dieu, à Lui la Grandeur et la Gloire, jusqu’à la fin du Jugement dernier : Le premier est celui qui, puissant, ne se laisse pas pousser par sa colère à traiter injustement ceux qui sont moins puissants que lui. Le deuxième est celui qui, invité à juger entre deux hommes, le fait sans prendre partie pour l’un ou pour l’autre ne serait-ce que de la valeur d’un grain d’orge. Et le troisième est celui qui dit la vérité dans et contre son intérêt », se conformant ainsi à l’enseignement de Dieu lorsqu’Il dit : ((Vous qui croyez, assumez l’équité, témoignez de Dieu, fût-ce à l’encontre de vous-mêmes)) (Coran IV, 135).

Un autre hadith : ‘Ne veux-tu pas que je te dise quelle est la chose la plus difficile que Dieu a imposée à Ses créatures : Que tu te juges toi-même pour rendre justice aux autres ; que tu traites ton frère de la même manière que tu te traites toi-même et que tu te rappelles de Dieu dans toutes les situations. Certes je dis : ‘Louange à Dieu, il n’y a pas de Dieu autre que Dieu et Dieu est le plus grand’, mais bien que ce que je dis soit vrai, le fait de se rappeler de Dieu dans toutes les situations reste plus importante car il nous exige de la volonté et de la piété’».

L’Imâm as-Sâdiq a dit : « Dieu a révélé à Adam (p) : ‘Je vais rassembler pour toi les mots en quatre’. - Lesquels ? A-t-il répondu. Dieu lui a dit : ‘Un mot pour Moi, un mot pour toi, un mot entre Moi et toi et un mot entre toi et les gens’. Adam a dit : ‘Seigneur ! Explique-toi. Alors, Dieu a dit : ‘Le mot qui est pour Moi c’est que tu m’adores sans rien M’associer. Le mot qui est pour toi est que Je te récompense pour ton action au moment où tu auras le plus besoin de Moi. Le mot qui est entre Moi et toi est que tu m’évoques et Je te réponds. Quant au mot qui est entre toi et les gens est que tu acceptes pour les gens ce que tu acceptes pour toi-même, et que tu détestes pour eux ce que tu détestes pour toi-même ».

L’Imâm as-Sâdiq (p) a donné au verset coranique qui dit : ((A Dieu appartient la gloire, à Son Messager et aux croyants)) (Coran LXIII Monafegune, 8) l’interprétation suivante : « Dieu a donné au croyant la liberté d’agir dans toutes ses affaires, mais Il ne lui a pas donné la liberté d’être humilié ». Sois donc glorieux et tenace devant les défis et devant tous les oppresseurs. Dans une autre Tradition attribuée à l’Imâm, il est dit : « Le croyant est plus résistant que la montagne : La montagne peut être amoindrie par les pioches, mais rien ne peut amoindrir la foi du croyant ». Après cela, l’Imâm demande aux croyants d’avoir peur de Dieu dans toutes leurs affaires. Il dit à ce propos : « Crains Dieu comme si tu Le voyais. Mais si tu ne le voyais pas, c’est Lui qui te voit. Si tu pensais qu’Il ne te voit pas, tu tombes alors dans la mécréance. Et si tu pensais qu’Il te voie et tu oses pourtant Lui désobéir, tu En fais alors le plus faible parmi tous ceux qui te regardent ».

Ces paroles de l’Imâm Ja’far as-Sâdiq (p) éclairent la raison, ouvrent le cœur, dirigent l’homme sur la bonne voie et construisent, pour les Musulmans, une société de justice et d’humanisme.

Le calife abbasside, Abû Ja’far al-Mansûr, a demandé à l’Imâm as-Sâdiq (p) : « Pourquoi ne me crains-tu pas comme le font tous les autres ? ». Et l’Imâm (p) de répondre : « Tu n’as rien de ce dont j’ai besoin. Celui qui recherche l’Autre monde ne te suit pas. Tu es suivi par ceux qui recherchent ce monde ci ; quant à moi, je ne veux rien de ton monde ».

Finalement, le calife Abbasside a empoisonné Imam, le 25 Shawal de l`an 148 de l'Hégire par crainte pour son pouvoir de califat.

jeudi, 13 septembre 2012 12:12

L’agression culturelle

Aujourd’hui, l’agression culturelle, grâce aux technologies modernes de communication, est un problème très grave.

Des centaines de moyens et de chaines d’information sont utilisés pour influencer la jeunesse.

Ils utilisent la télévision, la radio et d’autres moyens informatiques pour semer le doute et répandes des pensées corrompues. Par exemple, lorsque les Européens ont décidé de reprendre l’Andalousie aux musulmans, selon un plan à long terme, les ennemis de l’Islam et certains pouvoirs politiques, car à cette époque les sionistes n’existaient pas, ont commencé à encourager la corruption morale chez les jeunes.

Les motifs étaient variables, chrétiens, religieux ou politiques. L’une de leurs mesures consistait à consacrer certains vignobles pour fournir gratuitement du vin aux jeunes. Ils ont séduits les jeunes par leurs femmes et leurs filles, afin de les prendre au piège de la volupté.

Le temps n’a rien changé et les mêmes méthodes peuvent encore conduire un peuple à la corruption ou au progrès. Les mêmes choses se passent encore actuellement.

Beyrouth- Suite à la diffusion du film offensant à l’égard du prophète de l'Islam Mohamad (SAWA), produit par un israélo-américain, le Hezbollah a publié le communiqué et dénoncé cet acte.

Selon l’Agence Internationale de Presse Coranique citant Almanar, « La personnalité du prophète Mohamad (SAWA) a été insultée dans un film récemment projeté aux États-Unis, financé par des extrémistes juifs et coptes égyptiens.

Ce film représente un acte immoral incarnant les plus hauts degrés d’hostilité contre le droit humain le plus sublime, le droit à respecter ses croyances et ses saintetés, ainsi que le droit à respecter ses sentiments.

Cet acte suspect réalisé par des financeurs extrémistes coptes et juifs, cherche à alimenter le feu de la haine et à attiser les tensions entre les Musulmans et les Coptes en Egypte, en vue de les entrainer dans le feu maudit de la sédition. Il est indéniable que cet acte n’est pas l’expression de cas individuels, mais une interprétation de politiques déjà mises, qui reflètent la réelle position de l'alliance américano-sioniste à l’égard de l'Islam et des Musulmans.

Dans ce cadre, les déclarations de condamnation américaines officielles ne trompent personne. Il faut ici se demander : Quelle en est la position de la Ligue arabe et de l'Organisation de la conférence islamique ? Quelles en sont les positions des peuples musulmans envers ces outrages ? Quelles en sont les positions des organisations des droits de l'homme et des Nations Unies, censées aujourd'hui émettre des résolutions qui inculpent de tels actes, suivant le modèle des résolutions qui inculpent l'antisémitisme?

Aujourd'hui, nous avons besoin d'une position islamo-chrétienne claire et ferme, prise sur les plus hauts niveaux et qui agit pour dévoiler, condamner, et lutter contre de telles insolences.

Téhéran- Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères a qualifié de démarche scandaleuse et révulsante la projetions d'un film blasphématoire contre l'Islam et son noble prophète et l'a condamné dans les termes les plus vifs.

Selon l’Agence Internationale de Presse Coranique, le ministère iranien des Affaires étrangères a dénoncé haut et fort un film américain diffamatoire contre le noble prophète de l’Islam, le considérant dans le cadre des politiques américaines visant à propager de la haine culturelle.

« La RII condamne vivement tout outrage à l’encontre des valeurs sacrées de l’Islam et elle compatit avec les sentiments blessés de l’Ummah islamique », a ajouté monsieur Mehmanparast.

« L'ONU appelle dans ses documents à l'engagement de tout Etat à éviter la diffusion des œuvres aptes à provoquer la haine entre les cultures et les religions.

Washington, au delà de ces engagements a la responsabilité directe pour mettre un terme à l'extension de la haine et du ressentiment contre telle ou telle religion ».

Mehmanparast a ajouté que le «silence systématique et continu du gouvernement américain face à ce type d'actes ignobles est la raison centrale de la poursuite de ces actes. Le gouvernement américain a la responsabilité d'arrêter cette tendance dangereuse».

Washington- Le film, "Innocence of Muslims", est réalisé par Sam Bacile, promoteur immobilier de sont état.

Selon l’Agence Internationale de Presse Coranique citant Press TV, c’est un israélo-américain, qui a tourné en Californie ce poncif de 2 heures, en levant des fonds (5 millions de dollars) auprès d’une centaine de juifs qui ont souhaité rester anonymes.

Dans un entretien au Wall Street Journal, il affirme que cette vidéo est extraite d’un long métrage de deux heures, réalisé grâce à une levée de fonds de 5 millions de dollars auprès de «donateurs juifs». Ces propos, invérifiables, sont à prendre avec précaution, d’autant que même s’il s’en défend, l’homme semble avoir agi en conscience et rechercher le conflit. Dans son entretien avec le journal américain, Sam Bacile souligne qu’il s’agit d’un «film politique» et que «l’islam est un cancer».

Ce n’est donc pas un film copte, comme on a pu l’entendre dans un premier temps. Les premiers extraits du film ont été diffusés dès juin, et il avait alors obtenu le silence retentissant qu'il mérite. Et ce malgré le soutien du Pasteur intégriste Terry Jones, le brûleur de Coran, qui a béni le film et projette de le diffuser à l'office.

Mais mardi, une chaîne de télévision égyptienne a choisi de diffuser un large extrait vidéo, déclenchant les émeutes. Aujourd’hui, la presse américaine se questionne à juste titre sur l’opportunité de diffuser cela au 11 septembre.

Des centaines de personnes ont manifesté mercredi dans plusieurs pays arabes contre un film jugé insultant pour l'islam.

Selon l’Agence Internationale de Presse Coranique citant Al manar, des milliers de manifestants égyptiens rassemblés devant l'ambassade des Etats-Unis au Caire pour dénoncer un film qu'ils jugent "anti-Islam" ont déchiré mardi le drapeau américain. Une dizaine d'hommes ont escaladé le mur d'enceinte de l'ambassade et l'un d'eux a arraché le drapeau américain, qui a ensuite été déchiré.

Au Maroc, des citoyens ont manifesté à proximité du consulat des États-Unis à Casablanca, la plus grande ville du pays. Ces manifestants, des jeunes dans leur grande majorité, se sont regroupés à 200 m du consulat, sous forte présence policière, en scandant «Mort à Obama».

Plusieurs centaines de personnes ont également manifesté devant l'ambassade des États-Unis à Khartoum, selon un responsable à l'ambassade qui a précisé que personne n'était entré dans l'enceinte du bâtiment.

De même, la présidence afghane a fortement condamné mercredi un film polémique sur l'islam, qui a provoqué de violentes manifestations entraînant la mort de l'ambassadeur des Etats-Unis et de trois fonctionnaires américains en Libye, le qualifiant d'inhumain et insultant.

L’Algérie également déplore fortement l’"irresponsabilité" des auteurs du film "innocence of muslims" qui offense l’Islam et son prophète (SAWA), a indiqué le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Amar Belani.

"Partant de son profond attachement à la concorde entre les différentes confessions et au respect de toutes les religions, l’Algérie déplore fortement l’irresponsabilité des auteurs du film +innocence of muslims+ qui offense l’Islam et son prophète (QSSL)", précise M. Belani dans une déclaration.

"Les outrages aux symboles religieux sacrés, quels qu’ils soient, ne peuvent que susciter réprobation et indignation car ces provocations visent à attiser la haine et les tensions et à contrarier les efforts menés au niveau international dans le cadre du dialogue des civilisations et des religions", lit-on encore dans la déclaration.

Le porte-parole de l’OCI a déploré aujourd’hui, l’annonce faite par une section de coptes égyptiens expatriés sur la production d’un film offensant et injurieux sur la vie du Prophète Muhammad (PSL).

Il a déclaré que la production du film proposé serait un acte d’incitation à la haine intercommunautaire. Il a salué les déclarations faites par les trois principales confessions coptes en Egypte, à savoir, les producteurs du projet de film ignoraient les véritables enseignements du christianisme.

Le porte-parole de l’OCI a appelé les producteurs à faire preuve de respect à l’égard des sensibilités religieuses qui sont sacrées chez les musulmans et adeptes des autres confessions.

Le porte-parole du Vatican, le père Federico Lombardi, a déploré également dans un communiqué les résultats tragiques causés par ces offenses.

«Le respect profond pour les croyances, les textes, les grands personnages et les symboles des diverses religions est une condition essentielle à la coexistence pacifique des peuples», ajoute-t-il, déplorant «les conséquences gravissimes des offenses injustifiées et des provocations à la sensibilité des croyants musulmans».

mardi, 11 septembre 2012 11:31

60 % des blessés n’étaient pas syriens

Une guerre menée en Syrie en l’absence des syriens; la majorité des blessés n’étaient pas syriens.

Des islamistes étrangers, notamment français, sont venus gonfler les rangs des insurgés en Syrie, a déclaré ce samedi le chirurgien français Jacques Bérès, rentré la veille d’Alep, dans le nord de la Syrie. Ces islamistes croient participer à « une guerre sainte » !

Le chirurgien français Jacques Bérès cofondateur de l’organisation Médecins sans frontières (MSF), le médecin de 71 ans a soigné pendant deux semaines les blessés dans un hôpital contrôlé par les rebelles dans la capitale économique de la Syrie Alep.

Il a précisé que, contrairement à ce qu’il avait vu lors de ses précédentes missions la majorité des blessés qu’il a soignés à Alep étaient des combattants et non des civils, et au moins la moitié d’entre eux n’étaient pas des Syriens.

Lors d’une interview à Paris, le chirurgien français a déclaré que les autorités turcs avait noyé de grande surface dans les régions frontalières avec la Syrie pour empêcher les refugiés syriens d’arriver en Turquie.

Ajoutant «Il y a une assez forte proportion de fondamentalistes et de djihadistes (…) Ce qui les intéresse, c’est surtout l’après-Assad, l’établissement d’un régime islamiste et de la charia, en vue de l’Emirat mondial», a-t-il poursuivi. Parmi ces islamistes étrangers figuraient «quelques djihadistes français», a ajouté le docteur Bérès.

mardi, 11 septembre 2012 11:21

ziarat de saint prophet psl devant AR-RAWDHA

 

Hadith du Prophète : "Entre ma tombe et mon minbar se trouve un jardin des jardins du Paradis"

Quand les Musulmans visitent le Saint Prophète à Médine, ils le saluent à son tombeau, (dans"ar-Rawdha" ou le jardin du paradis) situé dans La Mosquée du Prophète (Masjid Nabawi).

اَلسَّلامُ عَلَيْكَ يا رَسُولَ اللهِ وَرَحْمةُ اللهِ

وَبَرَكاتُهُ

Que la Paix soit sur toi, ô Messager de Dieu, ainsi que la Miséricorde d’Allah et Ses bénédictions !

A salæmu

اَلسَّلامُ عَلَيْكَ يا مُحَمَّدُ بْنَ عَبْدِ اللهِ

Que la Paix soit sur toi, ô Muhammad fils d’abdallâh,

A salæmu

اَلسَّلامُ عَلَيْكَ يا خِيَرَةَ الله

Que la Paix soit sur toi, ô choisi par Dieu !

A salæmu

اَلسَّلامُ عَلَيْكَ يا حَبيبَ اللهِ

Que la Paix soit sur toi, ô bien–aimé de Dieu !

A salæmu

اَلسَّلامُ عَلَيْكَ يا صِفْوَهَ اللهِ

Que la Paix soit sur toi, ô élite de Dieu !

A salæmu

اَلسَّلامُ عَلَيْكَ يا اَمينَ اللهِ

Que la Paix soit sur toi, ô probe de Dieu !

A salæmu

اَشْهَدُ اَنَّكَ رَسُولُ اللهِ

J‘atteste que tu es le Messager de Dieu !

Aã-hadu annaka rasýlu Allah,

وَاَشْهَدُ اَنَّكَ مُحمَّدُ بْنُ عَبْدِ الله

ِJ‘atteste que tu es Muhammad fils d’Abdillâh,

Wa aã-hadu annaka Muhammadu bnu Abdillah,

وَاَشْهَدُ اَنَّكَ قَدْ نَصَحْتَ لاُِمَّتِكَ

ِJ‘atteste que tu as conseillé ta communauté,

Wa aã-hadu annaka qad na‡a…ta li-ummatik,

وَجاهَدْتَ فى سَبيلِ رَبِّكِ وَعَبَدْتَهُ حَتّى أتاكَ

الْيَقينُ

Tu as milité sur le sentier de Dieu, que tu l’as adoré jusqu’à ce que la certitude te soit parvenue,

Wa jahadta fñ sabñli Rabbika wa

فَجَزاكَ اللهُ يا رَسُولَ اللهِ اَفْضَلَ ما جَزى نَبِيّاً عَنْ

اُمَّتِهِ

Due Dieu te récompense, ô Messager de Dieu, du meilleur dont Il a récompensé un Prophète envers sa communauté,

Fa-jazæka Allahu yæ rasýla Allahi afšala mæ jazæ nabiyyane

اَللّـهُمَّ صَلِّ عَلى مَحَمِّد وآلِ مُحَمِّد اَفْضَلَ ما صَلَّيْتَ عَلى

اِبْرهِيمَ وَآلِ إبراهيمَ

Seigneur ! Béni Muhammad et ses proches َde la meilleur façon comme Tu as béni Ibrahim et la famille d’Ibrahim

Allahumma ‡allñ

اِنَّكَ حَميدٌ مَجيد.

ٌCertes, Tu est Louable et Exalté.

Innaka …amidune majid.