
تقي زاده
La méthode de l'Imam Sadegh(AS)
Téhéran(IQNA)- Les discordes entre les Omeyyades et les Abbassides ont permis à l'Imam Bagher (AS) et à l'Imam Sadegh (AS) d'organiser des activités culturelles et de présentation des enseignements islamiques.
L'Hodjat-ol-islam Mojtaba Reza'i, membre de l'Association "Ayande Rushan", dans un entretien avec l'Agence Internationale de Presse Coranique, a déclaré qu'après le vide créé par le martyre de l'Imam Hossein (AS) dans la communauté islamique, les Omeyyades corrompus au niveau moral et économique, et les religieux de la cour, avaient ouvert la voie aux idéologies dangereuses et déviantes.
"L'Imam Sadegh (AS) insistait sur le fait que la raison doit être soumise au Coran en premier lieu. Avec l'affaiblissement des Omeyyades et l'espoir des Abbassides d'accéder au pouvoir, les Abbassides ont tenté de donner d'eux une bonne image dans la société, et ont utilisé leurs liens familiaux avec le prophète (AS) et les Ahl-ul-bayt (AS) pour tenter de se rapprocher de l'Imam Sadegh (AS) qui a résisté durement à leurs demandes.
Les discordes entre les Omeyyades et les Abbassides ont permis à l'Imam Bagher (AS) et à l'Imam Sadegh (AS) d'organiser des activités culturelles et de présentation des enseignements islamiques. L'Imam Bagher (AS) a ainsi institué la première université islamique pour montrer le rôle directeur des Ahl-ul-bayt (AS) dans le domaine culturel et idéologique. Cette université a été une forteresse qui a empêché les déviations à l'époque de l'Imam Bagher (AS) et ensuite à l'époque de l'Imam Sadegh (AS).
Le prophète (AS) avait présenté le Coran et les Ahl-ul-bayt (AS) comme complémentaires, mais les gens s'étaient éloignés des Ahl-ul-Bayt (AS), c'est pour cette raison que l'Imam Sadegh (AS) s'est appuyé sur le Coran et son commentaire dans ses enseignements pour montrer de façon pratique, qu'il était aussi nécessaire aussi de se référer aux Ahl-ul-Bayt (AS). Certains de ses élèves, comme Abou Hanife, ont ensuite lancé des courants de pensées où la raison jouait un rôle primordial dans l'élaboration des règles religieuses et qui ont réussi à s'étendre et à se développer grâce à l'appui des gens au pouvoir", a-t-il expliqué.
Les ennemis suscitent la haine entre les musulmans
La cérémonie de nomination du nouveau secrétaire général de l'Assemblée mondiale de la proximité des écoles de pensée islamiques, a eu lieu, dimanche à Téhéran, La capitale de la République islamique d’Iran.
Le commandant de la révolution islamique l'Imam Ayatollah Khamenei a nommé lors de la cérémonie Cheikh Mohsen Alaraki comme secrétaire général de l'Assemblée mondiale pour le rapprochement des écoles de pensée islamiques.
En marge de la cérémonie l'ayatollah Alaraki a fait des déclarations exclusive à l’agence de presse (APT- Téhéran) annonçant que sa priorité principale est de promouvoir la compréhension mutuelle entre les différentes sectes islamiques, disant à ce propos "Nous croyons que le blocage qui empêchent les musulmans de se connaitre mutuellement e été crée et imposé par les ennemis", estimant que ce blocage offense les musulmans et sape la confiance.
Il a souligné que les ennemis donnent des fausses définitions et de fausses normes à chaque secte qui ne correspondent pas à la réalité de ces sectes, afin de secouer la confiance et de consacrer la méfiance entre les groupes ethniques et les croyants, notant que « nous cherchons dans un premier temps à la compréhension et la connaissance mutuelle entre les écoles islamiques et cela sera une première étape. »
« A partir de cette étape nous allons prouver à tous que toutes les écoles de pensées islamiques se rejoignent dans les fondements et les principes. Et à partir de là nous pourrions accéder à la deuxième étape, qui est de trouver le climat nécessaire pour une action commune et la coopération à tous les niveaux, politiques, économiques, culturels et autres », a-t-il ajouté.
« Nous allons ensuite travailler à unir toutes les doctrines et les sectes face à un seul et même ennemi, vu que les défis et les dangers qui menace le monde islamique sont les mêmes pour être en mesure de surmonter et de contrôler l'ensemble de ces défis et ces menaces grâce à la coopération et l'action commune. »
A propos de la relation avec Al-Azhar al-Charif, cheikh Alaraki a souligné que « les relations avec l'Al-Azhar seront fortes et étroites et nous donnerons les mesures nécessaires dans ce cadre progressivement ».
Le silence des organisations internationales face à la tragédie du Myanmar est incroyable
Téhéran(IQNA)- Le député de la ville de Mobarakeh au parlement islamique iranien, Ali Iranpour a déclaré que l’ONU et l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI) ne devaient pas garder le mutisme devant les crimes commis par les groupes terroristes en Syrie et le massacre des musulmans au Myanmar.
Selon la chaîne Press TV, lors d’une séance publique du parlement iranien, Ali Iranpour a précisé : « L’indifférence de l’ONU et de l’OCI face aux actes terroristes en Syrie et le massacre des musulmans innocents au Myanmar est incroyable. »
« Les gouvernements occidentaux s’ingérant dans les affaires syriennes essaient de semer la discorde au sein des musulmans syriens », a-t-il indiqué.
Les derniers rapports font état du massacre de 650 musulmans par les bouddhistes extrémistes qui ont chassé également des milliers d’autres musulmans de leurs maisons au cours de ces derniers mois.
Le gouvernement du Myanmar s’abstient de reconnaître la citoyenneté des musulmans Ruhingyas alors que leur immigration au Myanmar date du 8e siècle.
L'éveil islamique et les objectifs des pays non alignés
Téhéran(IQNA)- Cette organisation rassemble 130 pays et peut jouer un rôle politique non seulement dans la région mais aussi dans le monde à condition que ses objectifs initiaux soient respectés.
Ismail Kossari, membre de la commission parlementaire de sécurité nationale et des affaires étrangères, dans un entretien avec l'Agence Internationale de Presse Coranique, a fait allusion à la 16ème réunion des pays non alignés à Téhéran et a déclaré que la République islamique pouvait utiliser les mouvements d'éveil islamique et les revendications en Europe et aux Etats-Unis, pour orienter les membres de l'organisation vers ses véritables objectifs.
"Cette organisation rassemble 130 pays et peut jouer un rôle politique non seulement dans la région mais aussi dans le monde à condition que ses objectifs initiaux soient respectés. Le premier objectif est le refus de s'aligner sur les pays du front de l'arrogance, si les participants se présentent à cette réunion avec cette vision et organisent leur politique en fonction de ce critère, nous pourrons avoir une influence au niveau international car plus de la moitié des membres font partie des Nations unies.
Malheureusement certains pays ne respectent pas les objectifs de l'organisation ou se contentent d'être un de ses membres sans entreprendre aucune action. Nous espérons que l'Iran réussira à mobiliser les membres lors de cette réunion. Certains pays ont connu de grands changements et ont réussi à sortir de l'emprise des puissances arrogantes comme en Amérique latine, certains pays par contre, sont encore au service du sionisme et de l'arrogance. Les pays occidentaux tentent d'isoler l'Iran sur le plan politique pour affaiblir les résultats de cette réunion et ne veulent pas que les pays suivent l'Iran et avancent dans cette direction", a-t-il déclaré.
L’ancien ministre libanais de renseignement puni pour avoir soutenu la résistance et la Syrie
Beyrouth(IQNA)- La famille de Michel Samaha, ex-ministre libanais de renseignement a annoncé qu’il a été arrêté et puni à cause de ses positions en soutien à la Syrie et à la résistance.
Selon le site de la chaîne d’information Al Alam, le système de renseignement poursuit ses enquêtes contre l’ex-ministre libanais Michel Samaha, ce qui a augmenté les tensions sur la scène politique libanaise.
Le pouvoir judiciaire libanais n’a pas encore annoncé aucune accusation contre cet ancien responsable libanais, mais le premier ministre Najib Miqati a annoncé que l’affaire était liée à la sécurité.
La famille de Samaha a annoncé qu’il est puni à cause de ses prises de position en soutien à la Syrie et à la résistance.
L’épouse de Michel Samaha a indiqué: «Les forces de sécurité ont cassé la porte et sont entrées des armes à la main. Leur façon d’entrer c’était comme s’ils se trouvaient sur le front de guerre. »
Un avocat libanais a indiqué: « La façon dont cet ancien ministre libanais a été arrêté a provoqué la colère des Libanais, parce qu’en principe, tant de violence n’était pas nécessaire et Michel Samaha n’avait pas l’intention de s’enfuir. »
"La simple idée d’attaquer l’Iran ne reste qu’un rêve"
Le ministre iranien de la Défense, Ahmad Vahidi, a déclaré que le régime sioniste sait parfaitement que l’idée d’attaquer l’Iran est un rêve inaccessible, à moins que le régime ne souhaite se suicider.
Il a souligné que les forces armées iraniennes sont prêtes à réagir fermement à toute attaque.
Réagissant au retard dans la livraison du système de missile S-300 à l’Iran par la Russie, le ministre iranien de la défense a précisé que Téhéran était prêt à s’entretenir avec la partie russe de cette question.
Audience accordée aux étudiants
L'Ayatollah Khamenei, Guide suprême de la Révolution islamique, a reçu le 6 aout 2012 près d'un millier d'universitaires actifs et a écouté leurs points de vue sur diverses questions universitaires, scientifiques, culturelles, sociales, économiques et politiques.
Au début de cette rencontre, onze universitaires actifs dans les domaines politiques et culturels, et représentants des associations estudiantines, ont présenté pendant deux heures et demie, leurs points de vue sur différentes questions nationales puis le Guide de la Révolution a pris la parole, a répondu à leurs questions et déclaré que la société attendait des milieux universitaires des positions équilibrées et optimistes dans les domaines politiques, moraux, scientifiques et spirituels. Il a ensuite présenté une série de directives au sujet de la critique modérée, juste et positive concernant les affaires du pays.
Le Guide suprême a qualifié les points soulevés par les participants de très pertinents et représentatifs de l'atmosphère qui règne dans les universités, et a déclaré que certaines de ces suggestions étaient très utiles et instructives et que les responsables devaient en tenir compte.
Parmi les points intéressants mentionnés par les étudiants, l'Ayatollah Khamenei a évoqué la nécessité de la tolérance et de l'ouverture d'esprit vis-à-vis des gens qui ont des points de vue différents des nôtres dans divers domaines y compris politiques, et déclaré : « La fidélité aux valeurs et aux principes, et la tolérance vis-à-vis de ceux qui ont d'autres visions politiques, n'ont rien de contradictoire ».
Son Eminence a encouragé les responsables du pays à fréquenter davantage les universités et à écouter les points de vue des étudiants, ajoutant « Je suis tout à fait d'accord et je pense que les responsables des trois pouvoirs, de la télévision et des forces armées, ne sont pas présents comme ils le devraient dans les universités pour présenter leurs arguments et apporter des réponses aux questions des étudiants. Cela permettrait de lever de nombreux doutes et ambiguïtés qui existent dans la jeune génération ».
En ce qui concerne les cas où l'appareil judiciaire a convoqué certains auteurs de blogs et de site Web en justice, le Guide suprême a déclaré : « Bien entendu, le pouvoir judiciaire a des raisons pour agir mais je pense qu'il ne faut pas se mettre en colère si un étudiant se montre agressif. »
L'honorable Ayatollah Khamenei s'est référé à la vision économique basée sur la justice et a abordé le point de vue de l'Islam à propos du capitalisme.
« Au sujet des questions économiques, la recherche de la justice doit être le centre de nos activités et n'est pas en contradiction avec l'article 44 qui s'il est appliqué comme convenu, n'aboutira jamais à la domination d'une vision capitaliste dans les décisions majeures du pays. » a-t-il souligné.
Le Guide suprême de la Révolution islamique a fait remarquer : "Les problèmes et la crise économique qui sévissent actuellement en Occident et en Europe, viennent de la nature même du capitalisme qui privilégie le capital. Il faut aussi éviter qu'une vision socialiste domine notre système économique et appliquer à la lettre, les directives de l'article 44 pour atteindre une économie respectueuse de la justice."
L'Ayatollah Khamenei a abordé ensuite la notion de «l'économie de résistance» qui a été récemment proposée par Son Eminence pour contrer les sanctions occidentales et les pressions, différente de l'économie agressive proposée par un étudiant. A ce propos, il a fait remarquer : "L'économie de résistance n'est pas une économie agressive, et il est nécessaire que ces questions soient éclairées au niveau universitaire, cela pourra peut-être compléter les principes du système de l'économie de résistance qui n'est pas une économie défensive et protectionniste, mais une économie qui permet à une nation, même dans les conditions difficiles de pressions et de sanctions, de progresser et de se développer».
En réponse à la question d'un étudiant qui avait demandé si critiquer revenait à compléter le puzzle de l'ennemi, le Guide suprême a déclaré qu'il avait toujours recommandé aux milieux universitaires de garder un esprit critique et rejeté le refus des critiques « Cependant, a-t-il ajouté, dans nos critiques nous devons veiller à ne pas faire le jeu des ennemis».
En Réponse à la question d'un étudiant qui avait demandé si les points de vue différents des points de vue du Guide suprême devaient nécessairement être interprétés comme une opposition au Guide, Le Guide suprême a déclaré : « Aucune critique et aucun avis qui seraient contraires aux visions du Guide suprême, ne peuvent être considérés comme une opposition au régime ou à la wilayat. Les résultats de toute activité scientifique et argumentée quels qu'ils soient, ne doivent pas être considérés comme une opposition au régime et sont valables pour le chercheur ».
Le Guide suprême a ensuite insisté sur la nécessité d'établir des relations entre les associations universitaires iraniennes et celles qui sont impliquées dans les mouvements d'éveil islamique.
Au sujet d'une critique d'un étudiant sur la lenteur des travaux du Haut Conseil juridique virtuel, son Excellence a déclaré qu'il ne fallait pas être pressé et que ce genre de travail demandait des années d'efforts et de travail.
Dans la deuxième partie de son discours, l'Ayatollah Khamenei, a déclaré que l'université était un ensemble de forces capables de diriger parfaitement le pays si elles sont libres et bien orientées.
« L'université peut répondre à toutes les attentes de la société si elle s'appuie sur le dynamisme et la confiance en soi renforcé après la Révolution», a ajouté le Leader de la Révolution.
Le Guide suprême a mentionné que la fidélité aux idéaux était une attente essentielle des milieux universitaires dans les domaines politiques, scientifiques, moraux et spirituels.
En ce qui concerne les slogans scientifique, s'adressant à des millions d'universitaires à travers le pays, l'Ayatollah Khamenei a souligné qu'ils exigeaient des efforts dans les études « car, a-t-il noté, aujourd'hui, apprendre, étudier et faire des recherches font tous partie du Djihad».
Le Guide suprême a sérieusement critiqué ceux qui considèrent que les universités sont opposées à la religion et expliqué : « C'est une grande erreur de considérer le milieu universitaire comme un milieu opposé à la religion. Cette idée a été insufflée lors de la création des universités en Iran, il y a des dizaines d'années, par ceux qui voulaient former une génération d'intellectuels pro-occidentaux. L'université est le milieu de la défense de la religion, de la morale et de la spiritualité, et doit être le lieu de la promotion des vertus religieuses et morales pour tous ceux qui y entrent».
Le Guide suprême a fait remarquer également que la défense des valeurs et des principes ne devait pas se manifester de façon agressive.
A ce propos il a ajouté : « La participation des organisations universitaires au cours de ces deux ou trois dernières années, aux questions sociales et politiques, a été très dynamique et louable, cependant au cours des mêmes années, certaines décisions ont été prises qui ne sont pas justes et sont plus des décisions émotionnelles que le résultat d'une réflexion approfondie. Par exemple, malgré l'opposition du régime islamique aux dictatures de la région, nous ne devons pas être opposés aux activités traditionnelles de la diplomatie. Il n'y a pas de contradiction entre les revendications des organisations universitaires et les intérêts nationaux, le respect de la loi et la gestion intelligente, autrement dit, il est possible pour les jeunes, de manifester leurs sentiments et leurs idéaux, sans causer de problèmes au système de gestion et aux intérêts du pays».
En guise de résumé le Guide suprême a précisé : « Nous devons prêter attention au sens exact et profond des objectifs de la jeunesse et prendre des décisions réfléchies, fondés sur les réalités et les intérêts du pays, et travailler selon ces décisions en évitant les réactions émotionnelles. Nous devons toujours avoir à l'esprit que l'idéalisme signifie aussi le respect des principes, des valeurs et des idéaux, et que notre objectif est d'influencer et non d'être influencés».
Dans une autre partie de ses déclarations, le Guide suprême de la Révolution islamique a souligné : « Il est possible de présenter les avis des étudiants dans les médias qui dépendent des universités et de donner ainsi aux organisations universitaires la possibilité d'une présence et d'une participation plus actives. Il est nécessaire que ces organisations créent un centre dont les décisions seront suivies par tous les étudiants pour éviter des décisions précipitées qui auraient un effet très négatif et nuiraient à la réputation de ces organismes. »
S'adressant à tous les étudiants, l'Ayatollah Khamenei a dit : « Je vous recommande d'éviter les accusations injustes et les calomnies, et de vous abstenir de faire des déclarations sur des sujets que vous ne maîtrisez pas. »
Son Eminence a demandé aux jeunes étudiants de ne pas tomber dans le piège des postes qui était autrefois insignifiant mais qui pourrait être aujourd'hui attirant, en précisant : « Il est vrai qu'à certaines époques, les organisations universitaires étaient isolées mais ce n'est plus le cas aujourd'hui, vous devez faire attention au piège des postes qui a trompé et mis à genoux des gens qui se croyaient bien préparés spirituellement».
L'Ayatollah Khamenei a ensuite expliqué les objectifs de l'ennemi dans la guerre soft aux étudiants: « Je vous considère, chers étudiants, comme les soldats de la guerre soft, je vous appelle donc à tenir compte du véritable objectif de l'ennemi dans cette guerre qui consiste à pousser le peuple et les responsables iraniens à changer de politique. La guerre soft de l'ennemi vise le cœur, l'esprit, la pensée et la volonté du peuple. Les ennemis disent ouvertement qu'il faut obliger les Iraniens à réviser leurs positions et à comprendre que la poursuite de la résistance à l'Arrogance et aux oppresseurs n'est pas dans leur intérêt. Les soldats de la guerre soft (les étudiants) doivent être conscients de cet objectif de l'ennemi et y répondre de façon appropriée ».
A ce propos, il a recommandé aux étudiants d'approfondir leurs connaissances : « Ne vous limitez pas à quelques sites internet ou blogs, mais référez-vous au Coran, aux livres du martyr Motahhari, d'autres religieux éminents et des jeunes religieux des centres islamiques, pour augmenter votre niveau d'information », a-t-il conseillé.
L'Ayatollah Khamenei a qualifié l'espoir de très important et déclaré que le renforcement des études islamiques, la conscience des réalités du pays, les critiques constructives et une surveillance continue faisaient partie des responsabilités des associations universitaires soulignant : «Tout cela doit se faire dans la tolérance et la rationalité, et dans le respect du juste milieu. La situation du pays est encourageante et il est nécessaire de développer cet espoir dans les cœurs ainsi que chez vos compatriotes ».