تقي زاده

تقي زاده

Le commandant en chef du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) a déclaré que la vengeance de l’Iran pour l’assassinat par le régime sioniste d’un haut conseiller militaire iranien en Syrie ne serait rien d’autre que l’élimination totale d’Israël.

Le général de division Hossein Salami a fait ces remarques, jeudi 28 décembre, lors d’un cortège funèbre pour le général de brigade Seyyed Razi Moussavi, un commandant du CGRI qui est tombé en martyr lors d’une frappe aérienne israélienne sur un quartier de Damas lundi.

 

Les psychiatres​ israéliens avertissent le régime de Tel-Aviv d'un lourd bilan des cas de suicide parmi les colons et les soldats de l'armée sioniste depuis le déclenchement de l'opération Tempête d'Al-Aqsa.

Les psychiatres et les spécialistes de la santé mentale israéliens affirment que le nombre des cas de suicide parmi les soldats et les colons sionistes a augmenté suite à la poursuite de la guerre dans la bande de Gaza et à l'opération Tempête d'Al-Aqsa menée par la résistance palestinienne en représailles aux attaques répétées des sionistes contre la mosquée Al-Aqsa. C’est ce qu’a révélé le site web israélien News Israel.

Le Hamas a déclaré que l'opération Tempête d'Al-Aqsa menée par les mouvements de la résistance palestiniens basés dans la bande de Gaza avait mis le régime d’occupation sioniste « en voie d'extinction ».

Abou Obeida, porte-parole des Brigades al-Qassam, branche militaire du Hamas, a fait ces remarques jeudi 28 décembre concernant l'opération du 7 octobre, au cours de laquelle les groupes de résistance ont capturé des centaines de colons israéliens.

« Le 7 octobre, nous avons porté le coup du siècle aux sionistes », a-t-il déclaré.

« Ce que le 7 octobre a planté dans la conscience de notre peuple restera [comme] une image de la défaite de cet ennemi criminel et notre peuple sera fier de sa victoire », a affirmé Abou Obeida.

 

Les forces israéliennes ont attaqué des bureaux de change en Cisjordanie et confisqué 2,8 millions de dollars, les accusant d'avoir transféré de l'argent aux mouvements de résistance palestiniens Hamas et au Jihad islamique à Gaza.

Selon la radio militaire israélienne, environ 10 millions de shekels (2,8 millions de dollars) ont été saisis jeudi par les forces israéliennes lors de raids contre neuf magasins à Ramallah, à Jénine et à Al-Khalil.

Les magasins sont des succursales de cinq bureaux de change en Cisjordanie que le ministre israélien de la Guerre, Yoav Gallant, a qualifiés d'« organisations terroristes » pour avoir prétendument transféré des fonds au Hamas et au Jihad islamique.

Dans une publication sur la plateforme de médias sociaux X, l’armée israélienne a partagé une vidéo d’une descente dans un bureau de change en Cisjordanie occupée et d’une fouille dans un coffre-fort pour y confisquer des fonds.

Le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, a déclaré que le Hamas avait informé la République islamique d’Iran qu’il disposait de capacités suffisantes pour poursuivre la confrontation avec Israël dans la bande de Gaza assiégée pendant des mois.

Amir-Abdollahian a déclaré, jeudi 28 décembre 2023, dans la ville sainte de Qom que plus de 80 jours se sont écoulés depuis la guerre à Gaza, mais le régime sioniste n’a rien obtenu.

« Selon les commandants du Hamas, seulement 14 % des capacités de résistance ont été endommagées jusqu’à présent », a affirmé le ministre iranien des Affaires étrangères.

Amir-Adbollahian a ajouté que la longueur des tunnels du Hamas est aujourd’hui supérieure à la superficie de Gaza, indiquant que les ateliers de fabrication de drones de la Résistance palestinienne n’ont pas été fermés même une heure depuis l’opération de Tempête d’Al-Aqsa le 7 octobre.

Les combattants de la « Résistance islamique en Irak » ont pris pour cible une nouvelle fois, ce jeudi 28 décembre, le champ gazier Conoco en Syrie.

Plus tôt jeudi, la « Résistance islamique en Irak » avait annoncé dans un communiqué avoir visé un centre d’espionnage appartenant au régime sioniste près de l’aéroport international d’Erbil du Kurdistan irakien, en représailles au massacre des civils par le régime occupant.

Au cours de ces dernières semaines, des bases américaines en Syrie et en Irak ont été attaquées à plusieurs reprises par des drones, des roquettes et des missiles de la « Résistance islamique en Irak ».  

Des manifestants pro-palestiniens à Los Angeles et à New York ont ​​bloqué les routes menant à deux aéroports bondés pendant les jours de vacances dans ce pays, exigeant l’attention aux attaques du régime sioniste contre Gaza. Certaines sources ont fait état de l’arrestation de plus de 60 personnes.

Les manifestants ont la circulation et les déplacements sur les routes menant aux aéroports de Los Angeles et de John F. Kennedy en créant des barrières physiques, selon Huffington Post.

Des milliers de Palestiniens se sont retrouvés sans abri sûr après qu’Israël a étendu son offensive terrestre aux quelques camps de réfugiés surpeuplés restants dans la bande de Gaza, tuant des dizaines de personnes.

Les Palestiniens ont commencé à fuir, mercredi 27 décembre, plusieurs camps de réfugiés construits dans la partie centrale du territoire assiégé, alors que l’armée israélienne poursuivait ses bombardements intensifs sur les camps de réfugiés Bureij, Nuseirat et Maghazi.

Les médias palestiniens ont rapporté que des avions de combat israéliens avaient frappé les maisons de deux familles palestiniennes dans le camp de réfugiés de Nuseirat, tuant plusieurs personnes et en blessant des dizaines d’autres, ajoutant que cinq personnes avaient été tuées lors d’une frappe contre une école de filles à Maghazi.

Selon des sources locales, de violents combats ont eu lieu à l’est et au nord de Bureij ainsi que dans le village voisin Juhr al-Deek.

vendredi, 29 décembre 2023 07:14

Umm al-Banîn (as)

Umm al-Banîn (as)*

*Nom* : Fatima Bint Hizam

*Père* : Abu al-Majl Hizâm b. Khâlid, de la tribu Banû Kilâb

*Mère* : Thumâma bt. Suhayl b. ‘Âmir b. Mâlik.

*Enfants* : Abbas, Abdallah, Jafar et Uthman

*Décédé* : 13 Jumada El Thani, Cimetière El Baqi, Médine

Elle s’appelait Fatima mais elle demanda à l’ Imam Ali (as) de ne plus l’appeler ainsi car en entendant ce nom, l’Imam Hassan et l’Imam Hussein (as) se rappelaient leur mère et en étaient affectés. De ce fait, l’Imam (as) la nomma Umm al-Banîn (mère des enfants).

Elle servit l'Imam Ali (as) de la même manière qu'Umm Salama servit le Saint Prophète (pslf) après la disparition de Seydda Khadija (as).
Dans la maison, elle promit d'agir elle-même comme une esclave des enfants de Seydda Fatima Zahra (as). Sa sincérité fut très respectée par les enfants de Seydda Fatima Zahra (as) qui lui ont toujours donné un statut élevé et du respect.

De son mariage avec l’Imam Ali naquirent Abbas, Abdallah, Jafar et Utthman, tous martyrisés à Karbala.
Elle avait élevé ses enfants dans l’amour et au service de l’Imam Hussein (as) et leur demanda, lors de son départ pour Karbala, de  sacrifier leur vie dans la cause sacrée de l'Imam Hussein (as).

Après la tragédie de Karbala, Umm al-Banîn se lamentait pour l’Imam Hussein (as) et ses enfants d’une manière qui affectait même les ennemis des Ahloul Bayt (as).

D’après les rapports, Umm al-Banîn fut une poétesse éloquente et une sage qui avait beaucoup de savoirs.
Voici un de ses poèmes élégiaques pour le deuil d’Abbas :
« Ô toi qui as vu Abbas attaquer les ennemis, accompagné des enfants braves de Haydar (as).
On dit que les mains de mon fils furent coupés et que l’épée cogna sa tête.
Malheur à moi ! Si tu avais ton épée dans la main, personne ne se serait approché de toi ».

Sayyid Mahmûd Shâhrûdî  a dit :
« Dans mes difficultés, je récite cent fois la Salawat et j’offre sa récompense à Umm al-Banîn et Allah exauce mon voeux(InchaAllah). »

Par Ali Haideri

La dernière agression du régime israélien contre la Syrie, qui a tué un haut conseiller militaire iranien, est un signe de désespoir alors que les mouvements de Résistance dans la région ont mis le régime en retrait au milieu de la guerre à Gaza.

Lundi après-midi, le général de brigade Seyyed Razi Moussavi, commandant supérieur du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) et conseiller militaire en poste en Syrie, a été assassiné lors d'une frappe aérienne à proximité de Sayyeda Zainab, dans la campagne de Damas.

Moussavi était un conseiller militaire chevronné et l'un des commandants du CGRI chargé de fournir « un soutien logistique à l'axe de la Résistance en Syrie ».

Le communiqué du CGRI a indiqué que Moussavi était un « camarade » du plus haut commandant antiterroriste iranien, le général de corps d’armée, Qassem Soleimani, ancien chef de la Force Qods du CGRI, assassiné lors d'une frappe aérienne américaine en Irak en janvier 2020.

Moussavi aurait survécu à plusieurs tentatives d'assassinat au cours des dernières années.

L'année dernière, la chaîne 14 israélienne a décrit Moussavi comme le « directeur du bureau de liaison entre Damas et Téhéran », démontrant qu'il était sous la loupe du régime sioniste depuis longtemps.

L’ambassadeur d'Iran en Syrie, Hossein Akbari, a déclaré aux médias que trois missiles avaient frappé sa maison près de Damas quelques heures seulement après son retour de l'ambassade iranienne.

Akbari a souligné que Moussavi était titulaire d'un passeport diplomatique et d'un lieu de résidence et que, selon les conventions internationales de 1961 et 1973, son assassinat constitue un crime flagrant.

L'ambassadeur iranien en poste à Damas a également déclaré que le lieu de résidence du commandant du CGRI qui a été assassiné était bien connu et que l’attaque terroriste israélienne n’avait donc pas nécessité un travail de renseignement approfondi.

Ce n’était pas le premier acte aussi téméraire. Plus tôt en décembre, le régime israélien a tué deux conseillers militaires du CGRI, Mohammad Ali Ataee Shoorcheh et Panah Taqizadeh, lors d'une attaque en Syrie.

L'Iran maintient une mission consultative en Syrie à la demande de Damas pour aider ce pays à se débarrasser des terroristes soutenus par l'étranger qui combattent le gouvernement syrien depuis 2011.

Le régime israélien et les États-Unis ont travaillé main dans la main avec le groupe terroriste Daech et d’autres groupes terroristes en Syrie, menant de fréquentes attaques contre les forces associées au gouvernement syrien et à ses alliés.