تقي زاده

تقي زاده

Le Mouvement de résistance libanais Hezbollah a fermement condamné l’occupation du territoire syrien par Israël et la destruction des capacités militaires du pays, qualifiant ces actions d’« actes d’agression dangereux ».

Dans un communiqué publié mardi 10 décembre, le Hezbollah a affirmé que le Conseil de sécurité de l’ONU, la communauté internationale ainsi que les nations arabes et musulmanes ont la responsabilité de mettre fin à l’agression du régime sioniste et de protéger le peuple syrien.

Le groupe a noté que les actes israéliens sur le territoire syrien « exacerbent la déstabilisation de la Syrie ».

Le Hezbollah a ajouté : « Cette occupation violente de terres syriennes coïncide avec l’agression militaire sioniste en cours contre le Liban et ses violations quasi quotidiennes contre Gaza. Ces menaces interconnectées mettent en péril les peuples de la région, mettant en lumière l’importance d’une lutte commune face à cette agression. »

Le Hezbollah a averti à plusieurs reprises sur les ambitions expansionnistes d’Israël et a opposé une résistance forte pour empêcher le régime sioniste d’atteindre ses objectifs.

 

Dans le cadre d’une nouvelle vague d’agression à travers la bande de Gaza, les frappes israéliennes ont coûté la vie à des dizaines de Palestiniens. Cela tombe alors que l’entité occupante intensifie son assaut effréné sur le territoire assiégé.

L’armée israélienne a lancé, mercredi 11 décembre, des attaques de missiles sur diverses zones du nord et du centre de la bande de Gaza, ont rapporté les médias locaux, citant des sources médicales.

Les raids israéliens ont fait un total de 27 blessés palestiniens dans les régions du nord de l’enclave palestinienne, ont fait savoir les mêmes sources.

Aux premières heures de ce mercredi, l’armée du régime d’occupation a bombardé un immeuble résidentiel à Beit Lahia, près de l’hôpital Kamal Adwan assiégé depuis plus de deux mois, dans le nord de Gaza.

 

Une frappe aérienne israélienne dans le sud du Liban a entraîné la mort d’une personne, accentuant les tensions déjà exacerbées après le cessez-le-feu récemment instauré entre Tel-Aviv et Beyrouth.

Dans un communiqué publié mercredi 11 décembre, le ministère libanais de la Santé a déclaré qu’une « frappe de drone ennemi israélien sur la ville d’Ainata a tué une personne et en a blessé une autre ».

La chaîne de télévision libanaise Al-Mayadeen a confirmé cet incident, ajoutant que quatre soldats libanais ont été blessés à la suite de frappes de deux missiles israéliens ayant visé un véhicule près d’un poste de contrôle de l’armée libanaise à Bint Jbeil.

Samedi, six personnes ont perdu la vie lors d’une agression aérienne de l’ennemi sioniste dans le sud du Liban.

Plus tôt, le Premier ministre libanais par intérim, Najib Mikati, a exhorté la communauté internationale à prendre des mesures décisives pour mettre un terme aux violations répétées par Israël du cessez-le-feu conclu entre Tel-Aviv et Beyrouth.

Les militaires israéliens ont tué plus de 350 footballeurs palestiniens depuis le lancement de leur campagne de mort et de destruction dans la bande de Gaza, le 7 octobre 2023.

La Fédération palestinienne de football a déclaré dans un communiqué que plus de 353 footballeurs, dont 91 enfants et 262 jeunes hommes, ont été jusqu’à présent tués dans le territoire palestinien.

Lors d’une frappe aérienne sur le camp de réfugiés de Nuseirat, dans le centre de la bande de Gaza, ce lundi 9 décembre, les militaires israéliens ont tué deux frères, Mohammad et Mahmoud Khalifa, qui étaient des footballeurs professionnels. 

Le 10 décembre;

La journée internationale des droits de l'homme*

La bonté vis-à-vis des frères et des sœurs :

L’imam Sadjad (as):

«Le droit de ton frère sur toi est que tu réalises que tu es sa main, son soutien, sa source de gloire et sa  force. Alors, ne l’utilise pas comme un instrument dans la désobéissance envers Dieu. Ne n’utilise pas comme une force d’appui pour commettre l’injustice sur les créatures de Dieu et ne cesse de l’assister face aux ennemis et de vouloir du bien pour lui ».

Al-Faqih, v.2, p.621
 

L’étude des droits humains au début de l’Islam et à l’époque du Prophète (AS) montre l’existence d’une révolution politique et culturelle dans le domaine des droits de l’homme.
Le respect qu’accordait le Prophète (AS) qui est la meilleure créature que Dieu ait créée dans l’Histoire de l’humanité, envers tous les êtres humains, quelles que soient leur couleur, leur rang social et leurs idées, est célèbre.

Le Prophète (AS) qui se levait devant la dépouille d’un juif, acceptait que les juifs et les chrétiens fassent partie de la société islamique, constituait une unité nationale, considérait l’enterrement des filles comme le crime le plus abjecte contre l’humanité, encourageait ses partisans à déclarer leurs idées même si elles étaient contraires aux siennes et préférait s’asseoir parmi les gens au lieu de s’appuyer sur le pouvoir que lui conférait ce grand empire, a donné un exemple de degré supérieur des droits humains à une époque marquée par l’oppression et l’obscurantisme.
Les partisans du Prophète (AS) qui avaient été éduqués dans cette école, étaient tous un modèle dans ce domaine mais l’Imam ‘Ali (AS) plus que tous, a été exigeant et a fait le meilleur travail d’information

Un jour, Imam Ali b. Abi Talib (as) rentra chez lui et dit à son épouse: "Tu as l'air malade. - Je le suis, oui. M'est-il possible d'avoir une grenade? - Pourquoi ne me l'as-tu pas demandé? - Je ne voulais pas te déranger. Mon père a dit: 'Quelque femme qui demande quelque chose à son mari qui est au-dessus de ses moyens, Allah la retire de la Grâce divine.' Mon père m'a aussi dit: 'Ne dérange jamais Ali b. Abi Talib.' - Fatima, cela ne me dérange nullement. Apporter une grenade seulement me dérangerait, selon toi? Je vais aller en chercher pour toi." Il acheta une grenade et se rendait chez lui lorsqu'il vit une femme âgée assise par terre. Elle leva les yeux vers lui et dit: "Oh fils d'Abu Talib! Je suis malade. Pourriez-vous me donner quelque chose à manger?" Il regarda la grenade et songea à Bibi Fatima (as). Il coupa la grenade en deux et en offrit la moité à la dame. Il retourna chez lui et dit à sa femme:  "Oh Fatima! Voici une moitié de grenade. - Jazakallah khairu jaza (Qu'Allah vous récompense de la meilleure récompense)! ditelle.  - Tu ne me demandes pas pourquoi est-ce qu'il n'y a qu'une moitié? - Pourquoi? - En revenant, j'ai vu cette femme qui était malade. J'ai coupé la grenade en deux et lui ai donné une moitié. - Qu'Allah vous accorde la meilleure récompense d'être venu en aide à un serviteur d'Allah ainsi qu'à moi."
Tout à coup, on frappa à la porte. C'était Salman qui leur dit:  "Oh famille du Prophète! Je viens de la part du Prophète. - Qu'est-ce qui se passe? demanda Ali b. Abi Talib. - Voici neuf grenades pour l'acte d'Ali b. Abi Talib." Ali b. Abi Talib l'observa et dit:  "Je ne crois pas que cela vient du Prophète. - Pourquoi? demanda Salman. - Car le Prophète a dit que pour chaque bonne action, vous serez récompensés par dix par Allah. - Vous êtes vraiment Ali b. Abi Talib!" dit Salman et il retira la dixième grenade de sa poche.


*Source :LES QUATORZE INFAILLIBLES*

La porte-parole du gouvernement iranien a déclaré que Téhéran surveillait de près le comportement des groupes armés qui ont forcé le président syrien Bachar al-Assad à quitter le pouvoir, soulignant que leur éloignement envers Israël est un critère essentiel pour déterminer l’approche de Téhéran envers les nouveaux dirigeants de Damas.

« Leur écart par rapport au régime sioniste est l’un des facteurs qui sont importants pour nous », a déclaré Fatemeh Mohajerani aux journalistes lors d’un point de presse hebdomadaire dans la capitale Téhéran, mardi.

Elle a ajouté que Téhéran surveillait de près l’évolution de la situation en Syrie et attendait avec impatience de voir le comportement et les actions des groupes armés au pouvoir avant de décider d’une approche envers le pays arabe.

Mohajerani a noté que les engagements pris par l’Iran en Syrie étaient conformes à ses « intérêts nationaux ». D’après la porte-parole iranienne, le gouvernement d’Assad s’est effondré parce qu’il n’avait pas engagé de négociations avec son propre peuple et que son armée n’avait aucune motivation pour se battre pour lui.

 

Le commandant en chef du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) a affirmé que les forces armées iraniennes ont dans leur ligne de mire les intérêts stratégiques et vitaux de l’ennemi en Asie occidentale.

Le général de division Hossein Salami a fait ces remarques, mardi 10 décembre, lors d’une réunion qui s’est tenue à huis clos au Parlement iranien. Cette réunion a été organisée pour discuter des récents événements en Syrie, notamment la prise de Damas par des groupes armés, dont Hayat Tahrir al-Cham (HTC), qui ont proclamé la fin du gouvernement de Bachar al-Assad.

À l’issue de cette réunion, Ebrahim Rezaï, porte-parole du Comité de la sécurité nationale et de la politique étrangère du Majlis, a déclaré que le commandant en chef du CGRI avait présenté une analyse détaillée de la conjoncture en Asie occidentale.

Il a insisté sur le fait que l’influence et le pouvoir de l’Iran dans la région n’avaient pas diminué, et que sa puissance militaire demeurait intacte, malgré les défis actuels.

 

Des rapports indiquent sur l’armée syrienne est entrée dans le bâtiment du ministère syrien de la Justice à Quneitra.

La chaîne de télévision Al-Jazeera a annoncé que plusieurs détonations ont été entendues dans le quartier de Mezzeh, dans la ville de Damas, et que les premiers rapports font état d'une attaque du régime sioniste.

Selon ce rapport, lors de cette attaque, le régime sioniste a bombardé l'entrée principale de l'aéroport militaire de Mezzeh ainsi que les hélicoptères et avions qui y étaient stationnés.

Dans le même temps, des sources médiatiques arabe ont rapporté que l'armée israélienne est entrée dans le bâtiment du ministère syrien de la Justice à Quneitra et l’ont transformé en base militaire à l'aide de véhicules militaires.

Ces sources ont également publié des photos de la présence de sionistes dans le bâtiment du ministère de la Justice à Quneitra.

En Syrie, Mohammad al-Bachir a annoncé ce mardi dans une déclaration télévisée avoir été nommé Premier ministre chargé des affaires courantes d’un gouvernement de transition jusqu’au 1er mars 2025 en Syrie. Al-Bachir était le chef du soi-disant « Gouvernement du salut » du groupe HTC (Hayat Tahrir al-Cham) dans son bastion du nord-ouest de la Syrie.

Al-Bachir, qui a également occupé par le passé le poste de directeur des affaires démographiques au sein du « Gouvernement de salut de la Syrie » dans la province d’Idlib, est désormais confronté à la tâche complexe de diriger un gouvernement dans un environnement instable.