تقي زاده

تقي زاده

La présence du Guide suprême de la révolution, de hauts fonctionnaires et de la population aux premières heures des élections de l'Assemblée consultative islamique et du cinquième mandat de l'Assemblée des experts, ont eu un impact sur les médias étrangers, en particulier les médias arabes.

Plus de 7000 candidats se présentaient le 21 février 2020, pour les 290 sièges du parlement iranien.

es réseaux Al Jazeera et Reuters ont diffusé des images en direct, de la présence du Guide suprême au Hussainiyeh « Imam Khomeiny ».


Le site d'information libanais al- Mayadeen a déclaré que l'Ayatollah Ali Khamenei avait voté aux premières heures, considérait ces élections comme une fête nationale, et avait invité tout le monde à voter.


L'agence de presse Al-Mayadeen a également cité son correspondant à Téhéran disant que les 55000 bureaux de vote avaient été témoins de la présence généralisée de la population dans les diverses provinces d'Iran.


L'agence de presse irakienne « Al-Forat News » a également couvert la présence du guide suprême aux premières heures des élections, qui a insisté sur le fait que les élections étaient un "droit de la nation".
La chaine Al Manar a également cité la participation de l’imam Khamenei qui a déclaré que la participation aux élections était un devoir religieux.


Le site d'information Al-Arabi al-Jadid a annoncé le Guide suprême de la révolution islamique d'Iran et le ministre des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, avaient voté aux premières heures.


Le site d'information libanais Al-Ahad a annoncé que l'Ayatollah Ali Khamenei avait déposé son bulletin de vote aux premières heures de l'élection, et avait déclaré que les élections garantissaient l'intérêt national et que toute personne soucieuse des intérêts de la nation devait participer aux élections.


Le site internet irakien Al-Sumaria News a annoncé que les Iraniens élisaient les nouveaux membres du parlement ce vendredi, et que l'Ayatollah Ali Khamenei, Guide de la République islamique d'Iran, avait déclaré qu’il s’agissait d’une fête nationale en Iran.


L’agence de presse libanaise Al-Nashra a publié une photo du guide suprême mettant son bulletin dans l'urne, et a écrit que le guide suprême de la révolution islamique d'Iran avait appelé le peuple à être présent aux urnes tôt dans la journée et à voter.


CNN a écrit que les Iraniens participaient aux élections législatives dans un contexte de tensions entre l'Iran et les États-Unis, et de nombreux problèmes intérieurs, et a écrit qu'il était peu probable qu'elles contribuent à une amélioration des tensions entre Téhéran et Washington.


« Les experts estiment que la question de la réduction des tensions entre l'Iran et les États-Unis est dans le camp américain et que peut-être, après les élections présidentielles américaines, les Usa devront repenser leur politique à l'égard de l'Iran », a écrit la CNN.


L'agence de presse Reuters a déclaré que selon le leader iranien, une participation massive aux élections était un message à Washington et montrait que l'Iran n'avait pas plié après les sanctions et l'assassinat du Général Soleimani.


L’Ayatollah Ali Khamenei, dans ses propos diffusés en direct à la télévision iranienne, a déclaré que les Iraniens se rendaient aux urnes ce matin, pour voter pour un nouveau parlement et protéger les intérêts nationaux de l'Iran.


Arab News 21 a également publié une image de l’Hodjat-ol-islam Hassan Rouhani, le président iranien, qui déposait son bulletin dans l'urne.


Le site Web du quotidien américain « The Wall Street Journal » a également déclaré dans un rapport sur l’importance des élections en Iran, que le Majlis adoptait des lois et le budget, et pouvait agir comme un poids contre le président en destituant les ministres et en rejetant les projets de loi du gouvernement.


Le New York Times, important média américain, a écrit au sujet des élections iraniennes, que le futur parlement iranien devra adopter une position ferme contre les États-Unis et qu’il est peu probable qu'il soutienne un nouvel accord sur le nucléaire ou mette fin aux demandes des États-Unis qui exigent de l’Iran qu’il abandonne ses alliés dans la région. Les analystes s'attendent à ce que l'Iran renforce ses liens avec le Hezbollah au Liban, et d'autres groupes de résistance en Irak et en Syrie.


La chaîne satellitaire du Qatar, Al Jazeera, a également annoncé les 11èmes élections parlementaires en Iran, et déclaré que l'Ayatollah Ali Khamenei avait été le premier à voter au cours des trois dernières décennies, et avait exigé une participation électorale généralisée. Le rapport indique que la constitution reconnaît la présence de représentants des minorités religieuses au parlement, avec cinq sièges pour les chrétiens, les juifs et les zoroastriens.


Le site d’information « Russia Al Yaoum » a annoncé que les Iraniens votaient dans 55000 bureaux de vote, pour élire leurs 290 représentants parmi 7148 candidats.


L'agence de presse russe « Sputnik » a également cité la déclaration du guide suprême selon laquelle les élections garantissaient les intérêts nationaux de l'Iran.

Le chef de la révolution islamique d'Iran souligne que les Iraniens participent à la prise de décision du pays par le biais des élections.

"Le jour des élections est la journée des droits civiques de la nation qui veut voter et concrétiser sa participation à l'administration des affaires de son pays, ce qui est son droit", a déclaré l'ayatollah Seyed Ali Khamenei al exercer votre droit de vote aux élections législatives dans un collège électoral de Téhéran (capitale).

Après avoir souligné que le jour du scrutin est une célébration nationale, le chef a félicité tous les citoyens du pays perse.

Soulignant l'importance des élections, l'ayatollah Khamenei a ajouté que les élections garantissent les intérêts nationaux et que ceux qui s'intéressent aux intérêts nationaux du pays doivent participer aux élections.

L'ayatollah Khamenei avait précédemment demandé une participation massive aux élections législatives. "Une participation massive aux élections du Parlement montre l'unité du peuple contre les ennemis", a-t-il souligné.

À son tour, le président du pays perse, Hasan Rohani, a souligné lundi l'importance des élections et a indiqué que l'Iran était le premier pays de la région de l'Asie occidentale à inaugurer une démocratie, à établir un Parlement et à organiser des élections.

Quelque 58 millions d'Iraniens ont le droit d'élire ce 21 février les 290 députés de la 11e Assemblée consultative islamique d'Iran (Majles). En outre, ils voteront aux élections de mi-mandat de la Ve Assemblée des Experts dans les provinces de Téhéran, Khorasan Razavi, North Khorasan, Fars et Qom.

Près de 3 millions des personnes convoquées sont celles qui ont atteint 18 ans et, selon la Constitution, ont le droit de participer pour la première fois aux élections.

En outre, l'Iran organise les élections en toute transparence et sécurité. Le commandant adjoint des forces de police iraniennes, le général Ayoub Soleimani, a expliqué jeudi que sur 280 000 policiers, quelque 180 000 officiers seront présents dans les bureaux de vote, tandis que 40 000 autres surveilleront les lieux voisins.

Aux premières heures de la matinée du vendredi 21 février, une opération militaire particulièrement complexe impliquant à la fois des drones de combat et des missiles a visé le terminal pétrolier de Yanbu dans l'Ouest saoudien, frappe revendiquée quelques heures plus tard par Ansarallah qui a affirmé en révéler de plus amples détails dans les jours à venir. S'il est vrai que les médias saoudiens ont tenté, contrairement à toutes les autres fois, d'en limiter la portée en affirmant avoir intercepté les missiles craignant sans doute qu'Aramco soit cette fois mis totalement K.O., les Israéliens, eux, ne l'ont pas perdu de vue.

Le Quartier général OTAN/USA a subi sa première défaite monumentale le jeudi 20 février quand il a envoyé ses hordes à l'assaut de Nerab, localité stratégique de l'est d'Idlib. Fort de l'appui "balistique", en "drone" et en "renseignement" otanien depuis l'est de la Méditerranée, les officiers turcs ont tenté par HTC et FLN interposés de reprendre la ville en question pour couper l'autoroute stratégique Alep-Damas que l'armée syrienne et la Résistance, secondée par l'aviation russe a repris entièrement envoyant ainsi un pied de nez aux USA et Israël qui font tout pour empêcher la reprise de l'économie syrienne. 

Faisant preuve de fidélité envers l’héritage du général Qassem Soleimani, les Iraniens ont participé, ce vendredi, aux élections parlementaires et à celles de mi-mandat de l’Assemblée des experts. Les sources d’imitation ont toutes insisté sur la création d’une épopée nationale et le Leader de la Révolution a souligné qu’aujourd’hui, c’était jour de fête.

Le célèbre journal américain, The New York Times, a prévu que lors des élections parlementaires de ce vendredi en Iran, c’est le groupe ayant des positions anti-américaines fermes qui l’emportera.

« L’on s’attend à ce que le Parlement adopte une position dure contre les États-Unis et il est peu probable qu’il soutienne le dialogue pour un nouvel accord nucléaire ou qu’il réponde positivement aux exigences américaines », a écrit le New York Times.

Les produits chimiques utilisés dans le processus de raffinage du pétrole du champ pétrolier Pars Sud (South Pars) ont été réduits et par conséquent, le coût de production a diminué et la qualité du pétrole a augmenté, a annoncé la société pétrolière offshore de Kish.

Avec l'installation des deux dernières plateformes de la phase 13 de ce champ offshore partagé entre l'Iran et le Qatar, les objectifs finaux pourront être atteints. L'Iran extrait actuellement 630 millions de mètres cubes de gaz par jour, ce qui passera à 680 millions de mètres cubes par jour en exploitant les nouvelles plateformes.

Depuis environ un an, l’Iran a devancé le Qatar dans l’extraction du gaz naturel en exploitant simultanément des parties des quatre phases 13, 22, 23, 24 du champ Pars Sud. On s’attend à ce que cet écart augmente avec l’exploitation des plateformes et des raffineries en construction.

 

Alors que le ministre turc de la Défense menace d'installer des missiles de Patriot à Idlib, l'armée turque et ses soutiens de l'OTAN ont tenté le 20 février d'abattre un avion de combat Su-24 des Forces aérospatiales russes (VKS), qui a habilement évité au moins deux missiles antiaériens tout en fournissant aux forces syriennes dans le sud d'Idlib un soutien aérien rapproché.

Halab Today, une nouvelle chaîne terroriste, a publié une vidéo mettant en scène le Su-24 russe esquivant l'un des deux missiles en manœuvrant et en lançant des fusées éclairantes de brouillage.

« Eu égard aux évolutions qui traversent pendant ces derniers jours la province d’al-Mahra, située à l’est yéménite, non loin de la frontière du Sultanat d’Oman, les forces tribales de ce gouvernorat sont en état d’alerte et un nombre important d’entre elles se sont mobilisées pour affronter les troupes saoudiennes », a-t-on appris des sources locales.

Interviewé par le quotidien libanais Al-akhbar, Ahmed Belhaf, du comité d'organisation du sit-in pacifique de la population d'al-Mahra, un groupe, s'opposant à la présence militaire saoudienne dans ce gouvernorat le plus oriental du Yémen, s’est exprimé en ces termes : « Premièrement, les agissements militaires de l'Arabie saoudite ont pour objectif de contrôler pleinement les ports terrestres et maritimes d'al-Mahrah, en préparation du projet d'oléoduc que le royaume cherche à étendre à la mer d’Oman, en particulier par le port d’al-Nishtun dont se sont emparés des troupes de la coalition d'agression dirigée par le régime de Riyad. Deuxièmement, l'Arabie saoudite a assiégé le Yémen et imposé un blocus économique à ce pays pour en subjuguer le peuple. Les marchandises sont importées au Yémen via le point de passage de Shehn qui est également un poste frontalier important pour la circulation des gens ».

Le quotidien chinois anglophone de référence South China Morning Post, acheté par le géant chinois de l'internet Alibaba, a écrit que le sous-secrétaire américain à la Défense, Chad Esbragia, avait souligné que son pays se préparait à une confrontation militaire avec Pékin.

« Nous devons avoir des armes avancées, être agile et intelligent car c'est un processus à long terme », a ajouté Chad Esbragia.

« Il faut fabriquer des armes et renforcer les liens avec les alliés et les capacités du Pentagone pour ce possible conflit militaire avec la Chine.

Une haute autorité militaire américaine a considéré donc la probabilité d'une confrontation militaire avec la Chine comme très forte.

Le leader iranien, l'ayatollah Seyed Ali Khamenei, souligne le déclin de l'hégémonie américaine et le qualifie de "Titanic en perdition".

 "Comme la gloire du célèbre navire Titanic ne l'a pas empêché de couler, les tentatives d'embellir l'apparence et la gloire des États-Unis ne l'empêcheront pas de couler, et les États-Unis il coulera », a déclaré mardi le leader perse.

Lors d'une rencontre avec des milliers de citoyens de la province iranienne d'Azerbaïdjan oriental, l'ayatollah Khamenei a ainsi évoqué le gigantesque navire à passagers britannique RMS Titanic - le plus grand navire au monde à la fin de sa construction - qui a coulé dans l'océan Atlantique Nord en 1912.

Après avoir fait référence aux dizaines de bases que les États-Unis a établi dans les pays de la région de l'Asie occidentale, le leader iranien a insisté sur le fait que "si quelque chose se produit", de telles installations militaires n'aideront ni Washington ni "ceux qui lui donnent son argent", L'hégémonie américaine est en déclin.

À un autre moment dans ses déclarations, l'ayatollah Khamenei a dénoncé cela, au cours des 40 dernières années, aux États-Unis a recouru à tous les moyens possibles, notamment militaires, politiques, économiques, culturels et médiatiques, pour renverser le système de la République islamique d'Iran.

Cependant, a-t-il célébré, Washington a échoué dans ses complots, la République islamique étant devenue 1000 fois plus forte, tandis que les États-Unis eux-mêmes s'est affaibli de plus en plus.

Les autorités perses critiquent la profonde hostilité de Washington envers Téhéran et soulignent que les États-Unis ne peut pas atteindre ses objectifs en imposant des mesures restrictives contre l'Iran, car le peuple iranien ne cédera jamais.