تقي زاده

تقي زاده

L'Europe met en garde les USA contre la prolongation des sanctions contre Iran. Ces derniers jours, des responsables européens ont averti la Maison Blanche que si le gouvernement américain ne prolongeait pas l'exemption des sanctions contre la coopération avec l'Iran, Téhéran pourrait se retirer de l’accord nucléaire, a confié une source au sein de la compagnie américaine de presse The McClatchy, selon Fars News.

Ces sanctions visent le noyau de l'accord de 2015 et si les exemptions viennent à être prolongées, Téhéran pourra alors reprendre certaines de ses activités nucléaires.

L’approfondissement des relations entre le Venezuela et les différents pays du monde a neutralisé les sanctions américaines contre ce pays, a-t-on appris du chef de la diplomatie vénézuélienne.

Évoquant sa toute récente tournée en Afrique, en Asie et en Europe, le ministre vénézuélien des Affaires étrangères Jorge Arreaza a déclaré que la communauté mondiale ne se bornait pas uniquement aux États-Unis et à une cinquantaine de pays qui les suivaient.

« Les États-Unis tentent de faire croire au monde entier que le Venezuela serait un pays isolé sur la scène du géopolitique mondial », a-t-il indiqué.

Le haut diplomate vénézuélien a ajouté avoir discuté avec le président syrien Bachar al-Assad, lors de son déplacement à Damas, d’une stratégie permettant d'empêcher le déclenchement d’une guerre au Venezuela, similaire à celle ayant éclaté il y a huit ans en Syrie.

 

Vassili Nebenzia, représentant permanent de la Russie auprès de l’ONU, a souligné qu’à l’exception de l’Iran et de la Russie, les troupes des autres pays devaient quitter la Syrie.

Lors d’une interview accordée jeudi 11 avril au quotidien extrarégional saoudien Ashraq al-Awsat, basé à Londres, Vassili Nebenzia a déclaré que les forces des pays dont la présence était illégitime en Syrie, devaient s'en retirer.

« La présence russe en Syrie est légitime. Nous sommes en Syrie à la demande du gouvernement de Damas pour l'aider à lutter contre la menace terroriste », a-t-il assuré.

La cérémonie de l’ouverture de la 36e édition des compétitions coraniques internationales de la république islamique d’Iran a eu lieu mercredi après-midi au Mussalla Imam Khomeiny (ra) de Téhéran.
Lors de cette cérémonie, le chef de l’organisation iranienne des owqaf et des affaires caritatives a indiqué : « Cette organise cherche à promouvoir le développement de la culture coranique. »


L’hojat ol islam Sayed Mahdi Khamouchi qui s’exprimait lors de la cérémonie d’ouverture de ces compétitions a présenté ses felicitations à l’occasion des fêtes du mois de cha’ban.


Il a présenté le programme des compétitions qui se clôturera par une rencontre avec le guide suprême de la révolution islamique.


Citant un hadith de l’imam Sadegh (as) selon lequel « Quand le jeune fidèle lit le Coran, ce dernier entre dans sa chaire et son sang », l’hojat ol islam Khamouchi a souligné : « L’organisation des owqaf et des affaires caritatives de la république islamique d’Iran suit cette tâche à travers l’organisation des cours et des compétitions coraniques. »

Faisant référence au soutien des États-Unis, de l’Arabie saoudite et d’Israël aux terroristes, le chef de la diplomatie iranienne a affirmé qu’ils devaient voir la réalité de face, car ils ne peuvent plus restaurer les groupes terroristes.

Le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, a déclaré que la décision américaine de blacklister le Corps des gardiens de la Révolution d’Iran ne contribuerait en rien à son projet de réanimer les groupes terroristes Daech et al-Nosra.

« Les perdants de la guerre contre le terrorisme dans notre région ne peuvent pas effacer l’histoire. Cibler le CGRI ne ravivera pas Daech et al-Nosra — leurs clients et leurs créations », a écrit Zarif ce jeudi sur son compte twitter.

A tout moment où une catastrophe est survenue pour notre pays, les Iraniens ont pu la surmonter à cause de leur esprit de coopération et d'unité, a dit membre de la fraction des sunnites du parlement iranien.
l'unité entre les chiites et sunnites dans les inondations survenues, Syed Ahsan Alawi, député des villes Sanandaj et Divandareh a déclaré: à cause du manque de la gestion correcte, nous ne pouvons pas profiter des bénédictions divines.

A tout moment où une catastrophe naturelle est survenue en Iran, le peuple de notre pays l'a surmonté à cause de leur esprit de coopération et d'unité, a-t-il marqué.

Il y a de l'unité et de la fraternité entre toutes les écoles islamiques en Iran. Cela est un grand point positif pour ne pas laisser seul les Iraniens malgré les divergences dans les croyances, a-t-il suivi.

Nous avons vu l'image dans laquelle un religieux chiite aide religieux sunnite; cela est un symbole de l'unité et de la coopération de tout le peuple iranien et surtout nous devons faire attention que dans les crises, appartenir à une école islamique n'a pas d'importance, a-t-il poursuivi.

Malheureusement, dans les inondations des dernières semaines, de nombreuses infrastructures dont des routes, des ponts et des chemins de fer se sont sérieusement endommagés, a-t-il continué.

Les récents incidents ont montré que nous n'avons pas une direction unie pour faire face aux inondations et des organisations cherchent à suivre leur programme séparé des autres organisations. Toutes les organisations doivent diriger sous une direction, a-t-il ajouté.
 
Une source militaire israélienne a annoncé une probable attaque au missile depuis Gaza contre les territoires occupés d’ici le 9 avril, date des élections législatives
Les risques de tirs de missiles depuis Gaza d’ici le jour des élections vont crescendo. Il est évident pour tout le monde que le Hamas, le Jihad islamique et d’autres groupes sont décidés à renverser Netanyahu », a déclaré la même source.

Selon Sputnik, les groupes de la résistance palestinienne à Gaza concentrent tous leurs efforts sur le renversement du gouvernement de Benjamin Netanyahu et cherchent à impacter le vote des Israéliens en menant des attaques au missile.


Pour en savoir plus : Guerre : « On n’est pas prêt ! » (Israël)

Impuissant face à la résistance des Palestiniens à Gaza, acculé par les affaires judiciaires et à la tête d’une coalition famélique et impotente, le Premier ministre Benjamin Netanyahu redoute un échec lors des élections législatives du 9 avril.
 
Le chef de la diplomatie omanaise a appelé samedi les pays arabes à prendre des "initiatives" afin "d'apaiser les craintes" d'Israël concernant son futur au Moyen-Orient, suscitant des critiques de la Jordanie.
'Occident a offert un soutien politique, économique et militaire à Israël qui dispose maintenant de tous les vecteurs de pouvoir (...) mais malgré cela, (Israël) craint pour son futur en tant que pays non-arabe entouré par 400 millions d'Arabes", a déclaré Youssef ben Alaoui ben Abdallah.

"Je pense que nous, Arabes, devons être capables d'examiner cette question et essayer d'apaiser les craintes d'Israël à travers des initiatives et de vrais accords entre Israël et nous", a affirmé le ministre omanais des Affaires étrangères lors d'un débat en marge du Forum économique mondial sur le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord, en Jordanie.

Israël n'a de relations diplomatiques qu'avec deux pays arabes, l'Egypte et la Jordanie, mais courtise depuis quelques mois les pays du golfe Persique.

En février, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a rencontré M. ben Abdallah, quatre mois après s'être rendu à Mascate où il s'était entretenu avec le sultan Qabous.

La plupart des pays arabes ont historiquement fait du règlement de la question palestinienne la condition d'une normalisation avec Israël.

Les propos de M. ben Abdallah ont suscité des critiques de son homologue jordanien, Aymane Safadi, présent lors du débat. "Si (Israël) dit qu'il ne se sent pas confortable (dans la région), ce n'est pas mon problème", a-t-il dit.

"Le problème n'est pas que les Arabes doivent donner des garanties (...), c'est qu'Israël doit faire ce qu'il faut pour la paix", a-t-il affirmé.

Pour M. Safadi, Israël doit "se retirer des terres arabes occupées depuis 1967 et permettre" la création d'un Etat palestinien.

Les colonies israéliennes installées en Cisjordanie, occupée par Israël depuis 1967, sont illégales au regard du droit international et une grande partie de la communauté internationale voit en elles un obstacle majeur à la paix.

Israël occupe aussi le plateau du Golan, conquis à la Syrie en 1967 puis annexé en 1981.
 
Des violents affrontements opposaient vendredi une coalition de groupes armés loyaux au Gouvernement d’union nationale aux forces de l’Armée nationale libyenne (ANL) de Khalifa Haftar à une cinquantaine de kilomètres de la capitale Tripoli, siège du GNA, a-t-on appris auprès des deux camps.une source de sécurité du GNA, les combats se déroulent dans les régions de Soug al-Khamis, al-Saeh et Soug al-Sabt, à moins de 50 km au sud de Tripoli, une zone essentiellement de fermes agricoles.

Le bureau média de l’ANL a confirmé des combats près de Tripoli.

“Les forces armées (…) et les soldats de toutes les régions de Libye sont actuellement engagés dans des affrontements violents à la périphérie de Tripoli contre les milices armées”, a-t-il indiqué sur sa page Facebook.

Il s’agit des premiers combats significatifs entre les deux camps, depuis l’installation du GNA à Tripoli fin mars 2016.

Jusqu’ici, le maréchal Haftar et le chef du GNA, Fayez al-Sarraj, ont évité une confrontation directe malgré la tension politique et militaire entre les deux camps rivaux.

Les deux hommes s‘étaient même rencontrés fin février à Abou Dhabi sous l‘égide de l’ONU et ont conclu un accord sur l’organisation d’élections avant la fin d’année.

Le maréchal Haftar a annoncé jeudi le lancement d’une offensive pour prendre la capitale, une bataille susceptible de plonger le pays dans un nouveau conflit.

Mais hormis la prise d’un barrage à l’ouest de Tripoli, perdu ensuite, l’ANL s‘était contentée de prendre position dans des régions qui lui sont acquises, notamment autour des villes de Gharian et Al-Assabaa (à une centaine de km au sud-ouest de Tripoli), sans opérer de percée notable.