C’est une affaire extrêmement grave : sous les apparences d’une union de leurs efforts pour la paix, Paris et Berlin rapprochent leur politique étrangère et bientôt de Défense. En réalité, cette évolution se fait par le haut, sans consultation des peuples, et détruit de l’intérieur leurs acquis démocratiques.

تقي زاده
Dame Fatima zahra as
Fatima Zahra fille du saint Prophete Mohammad (paix soit sur eux tous)
Fatimatou-z-Zahra (s) est la fille du Prophète Mohammad (pslf) et Khadija bt. Khuwaylid (psl) et l’épouse de l’Imam Ali (s). Elle est née 5 ans après le commencement de la prophétie du Prophète (pslf) et mourut en martyre en l’an 11 H.
Elle fait partie de Ahl-ul-Kissa (gens du manteau) et les musulmans la considèrent parmi les quatorze immaculés (14 Ma’sum).
Le deuxième et le troisième Imam des musulmans, l’Imam Hassan al-Mujtaba (a) et l’Imam Hussein (a) sont ses fils.
Zahra (brillante), Batoul (une femme qui a le privilège de ne pas avoir de menstruation), Sayidatou-n-Nissae-l-Alamin (la Maîtresse des femmes des mondes) et Oumou Abiha (la mère de son père) sont certains de ses titres/surnoms.
Fatima fut la seule femme, en compagnie du Prophète (pslf) le jour de l’Ordalie (Al-Moubahala) avec les chrétiens de Najran.
Au cours de l’événement de Saqifatou Bani Sa’idah, Fatima Az-Zahra (s) ne considéra pas le califat d’AbouBakr comme légitime et ne lui prêta pas le serment d’allégeance.
Lorsque le premier calife s’empara de Fadak et força l’Imam Ali (a) à lui prêter le serment d’allégeance, elle alla à la mosquée du Prophète (pslf) et y fit un sermon, qui fut nommé Al-Khoutbatou-l-Fadakiyah (le discours de Fadak).
Après le martyre de son père, le Prophète (pslf), lorsque les partisans d’AbouBakr attaquèrent la maison de l’Imam Ali (s), Fatima (s) fut blessée, tomba malade et peu de temps après, au 3 Joumada-l-Akhirah 11 H, elle décéda en martyre (dans d’autre version 13 Joumada-l-Oula 11 H).
Elle avait demandé à son mari, l’Imam Ali (a) de l’enterrer en cachette pendant la nuit. C’est pour cette raison que personne ne sait où elle fut enterrée.
La sourate Al-Kawthar, le verset d’At-Tat’hir, le verset d’Al-Mawaddah, le verset d’Al-It’aam et beaucoup de hadiths prophétiques prouvent les mérites nombreuses de Fatima (s) et son statut privilégié auprès d’Allah et auprès de l’Envoyé d’Allah (pslf).
D’après les hadiths du Prophète (pslf), Fatima Zahra (s) est la Maîtresse des femmes des mondes et sa colère cause celle du Prophète (pslf) et son contentement est la cause de celui du Prophète (pslf) et par conséquent ceux d’Allah SWT.
Mous’haf Fatima (s) est un livre, contenant les paroles des anges avec Fatima (s), écrit par l’Imam Ali (a). Les imams infaillibles des musulmans gardèrent ce livre avec eux et aujourd’hui, il est auprès de l’Imam Mahdi (Ajf). Fatima (s) est un des meilleurs exemples à suivre parmi les musulmans.
L’anniversaire de son martyre est commémoré chaque année par les musulmans de ce qu’on appelé Al Ayamou-l-Fatimiyah (durant environ 20 jours).
Surnoms et titres :
Les surnoms suivants sont attribués à Fatima Zahra (a) :
• Oumou Abihi (la mère de son père)
• Oumou-l-A’immah (la mère des Imams)
• Oumou-l-Hassan (a) (la mère de l’Imam al-Hassan (a))
• Oumou-l-Hussein (a) (la mère de l’Imam al-Hussein (a))
• Oumou-l-Mouhsin (la mère de Mouhsin fils Ali (a))
Aussi, plus de 30 titres lui sont attribués, dont les plus connus sont :
• Zahra (Brillante)
• Siddiqah (Véridique)
• Mouhaddathah (Une femme qui reçoit des propos de la part des anges)
• Batoul (Ecartée des gens/une femme qui n’a pas de menstrues)
• Sayidato Nissae-l-Alamin (Maîtresse des femmes des mondes)
• Mansourah (Assistée)
• Tahirah (Pure)
• Moutaharah (Purifiée)
• Zakiyyah (Pure)
• Moubarakah (Bénie)
• Radhiyah (Satisfaite (de la volonté Divine))
• Mardhiyyah (Une femme de laquelle, Allah est satisfait)
Le Venezuela annonce la création d'une coalition pour s'opposer à l'ingérence US
Jeudi, le Venezuela a annoncé la création d'une coalition réunissant l'Iran, la Russie, la Corée du Nord, la Chine et la Palestine pour contrecarrer l'ingérence des États-Unis dans les affaires intérieures d'autres pays, rapporte l'agence de presse Fars News.
Face à la tentative de renversement de Nicolas Maduro soutenue par les États-Unis, le ministre vénézuélien des Affaires étrangères, Jorge Arreaza, a déclaré dans un discours à New York, devant plusieurs délégués des Nations unies, que le groupe envisage de prendre des mesures communes pour protéger les principes fondamentaux de la Charte des Nations unies rétablie pour protéger la souveraineté des pays et qui exhorte au principe de non-ingérence dans les affaires intérieures d’autrui.
Le ministère vénézuélien des Affaires étrangères a publié une déclaration à cet égard et a noté qu'un certain nombre d'États membres de l'ONU avaient décidé d’agir via des mesures concrètes pour protéger la Charte des Nations unies et les droits de tous ses membres.
« Nous sommes convaincus que notre coalition partage les mêmes intérêts. Nous nous efforçons de défendre les principes suivants », indique une déclaration émise par Caracas:
1- Respect du principe de l'égalité des droits et de l’autodétermination des peuples
2- Respect de l’égalité souveraine de tous les membres
3- Régler les conflits internationaux par des moyens pacifiques afin que la paix et la sécurité internationales ne puissent jamais être menacées
4- Éviter le recours à la force contre d'autres pays
5- Respect de l'intégrité territoriale et de l'indépendance politique de tous les pays
6- Non-ingérence dans les affaires intérieures d'autres pays
« Nous pensons que ces principes sont en train d’être violés et cela représente une menace pour notre droit à la paix et à la sécurité, bafoue les droits des peuples et sape leurs efforts de progrès », insiste la diplomatie vénézuélienne
Les pays engagés dans la coalition anti-ingérence prendront des mesures appropriées, dans les prochains jours, pour sensibiliser le public aux dangers auxquels leurs populations sont confrontées, conclut le texte.
Hezbollah/Hamas: Israël effrayé par les risques d'une guerre
Les médias en Israël parlent de la peur des autorités de Tel-Aviv au sujet d’une guerre des missiles entre ce régime et les mouvements de la Résistance libanaise et palestinienne (Hezbollah et Hamas).
Le site web israélien Walla a fait part de profonds désaccords entre l’armée israélienne et le Centre de l’état d’urgence du régime sur la question de la préparation du front intérieur à une potentielle guerre.
Selon le site, des discordes sont apparues au sein de l'appareil de sécurité israélien, suite à la divulgation des informations sur l'existence de profondes divergences et des fissures qui continuent à accroître au sein du régime en ce qui concerne la préparation du front intérieur pour faire face à une situation extraordinaire et à une guerre future.
Le site israélien Walla a ajouté qu’Israël craint une guerre des missiles avec le Hezbollah libanais au nord ou contre la Résistance palestinienne au sud de la Palestine occupée.
Attaque aérienne de l'armée irakienne contre Daech en Syrie
Les hélicoptères de l'armée irakienne ont frappé, jeudi 14 février, des positions des terroristes de Daech dans les profondeurs de la Syrie, tuant nombre d’entre eux, a annoncé une haute autorité gouvernementale irakienne depuis la province d’al-Anbar à l’ouest, rapporte l’agence russe Sputnik.
Selon ce responsable, des hélicoptères de l'armée irakienne ont bombardé des lieux de rassemblements et des stocks d'armes et de munitions des éléments terroristes de Daech sur différentes régions syriennes dans les profondeurs et à proximité des frontières syriennes, éliminant ainsi un nombre de criminels daechistes.
Les frappes ont conditionné une épaisse fumée au-dessus des sites visés et des détonations puissantes et régulières se faisaient entendre à chaque attaque.
Le responsable irakien a souligné que les frappes aériennes de l'armée irakienne contre les positions des terroristes sur le territoire syrien visaient à affaiblir le pouvoir militaire des terroristes et à les empêcher de s'approcher des régions occidentales de la province irakienne d'al-Anbar.
Suite à une coordination entre Bagdad et Damas, les opérations de nettoyage se poursuivent dans les zones frontalières irako-syriennes.
En vertu de l'accord entre les deux voisins victimes du terrorisme, les avions de combat et les hélicoptères de l'armée irakienne sont autorisés à prendre pour cible les terroristes de Daech dans les zones adjacentes aux frontières des deux pays.
Violence policière aux USA: 1000 personnes tuées par an
Le quotidien britannique The Independent a rapporté qu’un millier de civils sont tués tous les ans par la police américaine.
Parmi les millions de confrontations entre les policiers et les civils aux États-Unis, certaines dégénèrent en violence et en échanges de tirs mortels. L'année dernière, la police a abattu 998 personnes, soit 11 cas de plus qu'en 2017. En 2016, la police a tué 963 personnes et 995 en 2015, indique un article publié le mercredi 13 février par The Independent.
Des années de protestations, de sensibilisation accrue du public, de réformes de la police locale et de formation des officiers ont eu peu d'effet sur le bilan annuel des personnes abattues. Tout le monde s’accorde à dire - chercheurs en justice pénale, universitaires et statisticiens - que toute l’attention n’a pas suffi à réduire les chiffres, ajoute l’article.
Le quotidien américain The Washington Post a lancé une enquête après que Michael Brown, un noir non armé, a été tué en 2014 par la police à Ferguson, dans le Missouri. L’enquête révèle que le système de suivi du FBI sous-estime de moitié environ le nombre de tirs mortels commis par la police, en raison du fait que les rapports des services de police sont volontaires et que de nombreux départements n'en fournissent pas. Le projet en cours repose sur des comptes de nouvelles, des publications sur les réseaux sociaux et des rapports de police.
La conférence de Varsovie a échoué (Tink tank US, Stratfor)
Suite à l’échec de cette conférence mort-née, qui a eu lieu mercredi 13 et jeudi 14 février à Varsovie, le think tank américain Stratfor affirme que Washington n’a pas réussi, une fois de plus, à atteindre ses objectifs anti-iraniens.
Cette agence de renseignements, basée au Texas, fournit aux journalistes et producteurs une nouvelle compréhension géopolitique des grands événements internationaux. Dans un rapport ayant pour titre « Moyen-Orient: aucun progrès pour les États-Unis sur l’Iran à la conférence de Varsovie », elle se focalise sur les résultats obtenus par Washington à l’issu de ce rendez-vous anti-iranien.
« La réunion de deux jours organisée à Varsovie par les États-Unis sur la sécurité au Moyen-Orient s'est terminée le 14 février. Des représentants de 60 pays ont discuté des stratégies du renforcement de la sécurité au Moyen-Orient. Au menu de cette conférence figuraient également des consultations sur la promesse faite par les États-Unis de dévoiler le soi-disant plan de paix israélo-palestinien (Deal du siècle, NDLR) après les élections du 9 avril d’Israël. Mais seulement un tiers des pays participants ont envoyé leur chefs de la diplomatie à la réunion. »
Autant d’absences qui soulignent les tensions grandissantes entre l’UE et les États-Unis, surtout depuis le retrait américain de l’accord international sur le nucléaire iranien et le rétablissement des sanctions unilatérales et extraterritoriales américaines contre Téhéran.
Pour le groupe de réflexion américain, l’absence d’un grand nombre de ministres des Affaires étrangères dans cette conférence était due à la nature anti-iranienne du sommet.
Bien sûr, des progrès ont été accomplis dans l'amélioration des relations entre les pays arabes du golfe Persique et Israël, y compris la rencontre entre le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu et le ministre des Affaires étrangères d'Oman.
Le ministre des Affaires étrangères de Bahreïn a également annoncé qu'il « normaliserait » les relations de Manama avec Israël.
Selon le groupe de réflexion américain, le Sommet de Varsovie, au lieu de souligner la convergence et le consensus sur les questions de sécurité au Moyen-Orient, a mis l'accent sur la divergence et le désaccord, plus particulièrement, sur les arguments des États-Unis sur la nécessité d’adopter des positions obstinées et rudes à l’égard de l’Iran. Une position qui n’a pas reçu l'approbation d'un grand nombre d'autorités européennes.
Ansarallah: Khaled al-Yamani ne représente pas la nation yéménite
La participation du ministre des Affaires étrangères du gouvernement démissionnaire du Yémen, soutenu par l’Arabie saoudite aux côtés du Premier ministre israélien à la Conférence de Varsovie a provoqué la colère des Yéménites.
Le bureau politique du Mouvement yéménite Ansarallah a annoncé, vendredi 15 février dans un communiqué, que la participation du ministre des Affaires étrangères du gouvernement démissionnaire du Yémen à la solde de l’Arabie saoudite, Khaled al-Yamani, à la Conférence de Varsovie faisait partie des complots d’Israël et des États-Unis contre les nations du Moyen-Orient.
Le bureau politique d’Ansarallah s’est vivement opposé à toute tentative de normalisation avec l’ennemi israélien qui serait certes au détriment des causes du monde musulman dont et surtout celle de la Palestine.
« Le fait que Khaled al-Yamani se soit assis aux côtés du Premier ministre du régime israélien met en évidence un extrême déclin, de dépendance et de décadence éthique du gouvernement à la solde et ses alliés à Riyad et à Abou Dhabi », indique le communiqué.
Ansarallah a souligné que Khaled al-Yamani ne représentait pas la nation yéménite et qu’il violait plutôt les principes et les traditions du Yémen.
« La participation de Khaled al-Yamani à la Conférence de Varsovie incarne une trahison et constitue une honte pour tous les participants à cette réunion controversée aux motifs suspects », ajoute le texte.
Le rapprochement de Paris et Berlin
L’une des bases sur laquelle l’Onu est fondée est que chaque État et chaque peuple sont libres, égaux et indépendants. C’est la grande différence avec la SDN qui l’a précédée. Celle-ci a toujours refusé de reconnaître l’égalité des peuples de manière à pouvoir laisser perdurer le système de la colonisation.
Chaque État dispose d’une voix égale à celle des autres. Par conséquent, il n’a pas été possible aux États-Unis de faire adhérer leurs 50 États fédérés, ni à l’URSS de faire adhérer ses 15 Républiques unies, mais uniquement les deux États fédéraux. Il aurait été abusif que les États-Unis aient 50 voix et l’URSS 15 quand les autres n’en avaient qu’une.
Or, la France et l’Allemagne, qui doivent assurer la présidence du Conseil de sécurité respectivement en mars et en avril, viennent d’annoncer qu’elles vont exercer ensemble leur mandat. Cela semble impliquer, mais ce n’est pas précisé, que les deux délégations tiendront la même position sur tous les sujets qui se présenteront. La politique étrangère des deux États ne sera plus libre et indépendante l’une de l’autre.
Aucune organisation fondée sur l’égalité de ses membres ne peut survivre à ce type de coalition.
Cette question s’est déjà posée, depuis 1949 et la création de l’Otan. Les États membres se sont engagés à réagir collectivement à toute agression contre l’un d’entre eux. Mais pour ce faire, ils ont accepté une forme d’organisation placée sous l’autorité des États-Unis qui exercent systématiquement les fonctions importantes, dont celles du Suprême Commandeur (du chef d’état-major).
À l’époque l’Union soviétique dénonça la création d’un bloc dans lequel les États membres n’étaient plus libres et indépendants. Pourtant c’est ce que fit la même URSS, en 1968, en envahissant la Tchécoslovaquie au motif que les membres du Pacte de Varsovie ne pouvaient pas s’éloigner de la doctrine commune du communisme. Aujourd’hui, le totalitarisme soviétique n’est plus, mais celui des États-Unis est toujours là.
C’est précisément parce qu’il s’opposait à ce que les armées françaises se trouvent sous commandement états-unien que le président Charles De Gaulle quitta le commandement intégré de l’Otan tout en restant dans le Traité de l’Atlantique-Nord. Cette sage décision a été abrogée par le président Nicolas Sarkozy qui a ré–incorporé le commandement intégré, en 2009.
La France assure que l’exercice conjoint de la présidence du Conseil de sécurité avec l’Allemagne ne signifie pas que les deux pays s’apprêtent à fusionner leur siège à l’Onu. Pourtant, c’est à partir du mandat de Nicolas Sarkozy que le Quai d’Orsay et la Wilhelmstrasse (c’est-à-dire les deux ministères des Affaires étrangères français et allemand) ont commencé à réduire leur personnel et à charger leurs ambassades de se répartir diverses fonctions.
Ce rapprochement s’est interrompu avec les présidents François Hollande et Emmanuel Macron en vue d’une alliance militaire avec le Royaume-Uni qui avait été envisagée par Jacques Chirac. Mais il a repris lorsqu’il est apparu que Londres réaliserait le Brexit et se préparait à de nouvelles alliances.
Une éventuelle fusion des politiques étrangères française et allemande pose plusieurs problèmes : en premier lieu, elle n’est possible que si les deux armées fusionnent également, faute de quoi elle ne serait pas crédible, c’était déjà l’idée d’Alain Juppé en 1995. Dans ce cas, l’Allemagne aurait une position co-décisionnaire sur la force de frappe française. C’est ce qu’envisagea le Bundestag en 2017 et c’est désormais la position de Wolfgang Ischinger, le directeur de la Conférence sur la Sécurité de Munich qui se réunit ce week-end, [1]. C’est pourquoi Emmanuel Macron a évoqué une armée européenne dans des termes différents de ceux du projet de Communauté européenne de Défense (1954), de sorte qu’il puisse aboutir in fine à une fusion des armées franco-allemandes. En second lieu, disposer de la même politique étrangère et de Défense suppose de poursuivre les mêmes intérêts. C’est ce à quoi s’essayent Paris et Berlin en déployant des troupes jointes, légalement au Sahel et illégalement en Syrie.
Loin de créer un nouvel État, le rapprochement franco-allemand consacrera la dépendance de la nouvelle entité vis-à-vis de Washington : aujourd’hui les deux armées sont membres du commandement intégré de l’Otan et y obéissent au même Suprême Commandeur choisi par le président des États-Unis. C’est d’ailleurs uniquement ce suzerain qui a assuré la paix entre la France et l’Allemagne. Ainsi, il n’y a pas si longtemps encore, les forces spéciales de l’un et de l’autre se battaient secrètement les unes contre les autres en ex-Yougoslavie, côté serbe pour l’un et croate pour l’autre. Le combat ne prit fin que lorsque Washington imposa son point de vue.
En souhaitant fusionner à terme l’Allemagne et la France, leurs dirigeants ignorent les réalités humaines de leurs pays. Confondant la réconciliation de leurs peuples, réalisée par leurs prédécesseurs, avec le rapprochement de leurs intérêts et de leur façon de penser, ils entendent créer un nouveau système politique, sans s’astreindre au contrôle démocratique. Au demeurant, pourquoi s’encombrer de ces procédures puisque nul n’est souverain ?
[1] “Ischinger sieht bei Bundeswehr „krassen Nachholbedarf“”, Michael Backfisch, Neue Ruhr Zeitung, 9 février 2019.
Le présiden condamne fermement l'attaque terroriste dans le sud-est de l'Iran
« Nul doute que tous les agents de cet acte néfaste et cynique et leur maîtres seront bientôt identifiés et punis grâce aux efforts des forces puissantes de sécurité et de l’ordre du pays », a promis le Président Rohani.
« Nul doute que tous les agents de cet acte néfaste et cynique et leur maîtres seront bientôt identifiés et punis grâce aux efforts des forces puissantes de sécurité et de l’ordre du pays », a promis le Président Rohani.
Les attentats renforcent la volonté du peuple et du gouvernement
Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Bahram Qassemi, a exprimé ses vifs regrets et sa profonde indignation envers l’attentat terroriste de Sistan-et-Baloutchistan. "Les fils du peuple, les forces dévoués de l'armée et des renseignements iraniens vengeront le sang des martyrs de cet attentat", a-t-il martelé.
Bahram Qassemi a compati aux douleurs des familles des victimes et blessés et condamné l'attentat revendiqué par un groupuscule terroriste. "En procédant à de tels crimes inhumains, ce groupuscule terroriste qui profite d’ailleurs de l’appui financier, militaire et intellectuel de certains États de la région, ne fait que renforcer la volonté du peuple et du gouvernement iraniens dans sa lutte contre le terrorisme dans la région", a-t-il déclaré.
27 effectifs du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) ont été tués et plusieurs autres blessés dans l'attentat terroriste de ce mercredi soir qui a frappé un bus sur la route reliant Khash à Zahedan dans la province du Sistan-et-Baloutchistan, au sud-est de l'Iran.