تقي زاده

تقي زاده

Samer al Heidari, directeur de l’association islamique des Ahl-ul-Bayt (as) de Londres, diplômé de l’université de Londres, a présenté les activités de cette association créée en 2003, et déclaré que l’application des règles de l’islam améliorera la situation des musulmans et des non musulmans.

« La famille et la mosquée ont un rôle important et doivent transmettre cet héritage culturel et religieux. Cependant cela ne signifie pas entrer en collision avec la culture occidentale, la confiance en soi et la conscience de leur identité chez les jeunes musulmans, doivent se faire par étapes mais ne peut se faire que par la connaissance de leur passé et de leur culture chez les jeunes », a-t-il déclaré.

Dans un entretien avec l’Agence iranienne de presse coranique (Iqna), Heidari a expliqué : « Le principal problème des musulmans est un problème d’identité. Les jeunes musulmans sont confrontés à des problèmes culturels qu’il faut régler par l’éducation et aussi peut-être, par les réseaux sociaux islamiques. Nous avons aussi besoin de religieux compétents, capables de transmettre ces enseignements.»

1. Gloire à Toi ! Ô Mon Dieu ! Je viens mendier la protection de Ton Amour !
2. Gloire à Toi ! Ô Mon Dieu ! Tu T’es prescrit l’Exaltation très élevée !
3. Gloire à Toi ! Ô Mon Dieu ! Le Pouvoir est Ta Couverture ! 
4. Gloire à Toi ! Ô Mon Dieu ! La Puissance est Ton Habit !
5. Gloire à Toi ! Ô Mon Dieu ! La Magnificence est Ton Autorité !
6. Gloire à Toi ! Le Très Majestueux ! Tu es bien le Très Majestueux !
7. Gloire à Toi ! Tu es loué dans le plus haut ! Tu entends et Tu vois ce qui est sous terre ! 
8. Gloire à Toi ! Tu es Le Témoin de chaque conversation confidentielle ! 
9. Gloire à Toi ! Le Lieu où chaque plainte est déposée !
10. Gloire à Toi ! Le Présent en toute assemblée !
11. Gloire à Toi ! L’Unique objet des grands espoirs !
12. Gloire à Toi ! Tu vois ce qui est dans les profondeurs des eaux !
13. Gloire à Toi ! Tu entends la respiration des poissons dans les abysses des océans !
14. Gloire à Toi ! Tu connais le poids des cieux !
15. Gloire à Toi ! Tu connais le poids des terres !
16. Gloire à Toi ! Tu connais le poids du soleil et de la lune !
17. Gloire à Toi ! Tu connais le poids de l’obscurité et de la lumière !
18. Gloire à Toi ! Tu connais le poids de l’ombre et de l’air !
19. Gloire à Toi ! Tu connais le poids du vent et le nombre de fois le poids de l’atome qui y est contenu !
20. Gloire à Allah ! Le Très Saint ! Le Très Saint ! Le Très Saint !
21. Gloire à Toi ! Surprenant, comment celui qui Te connaît ne finit-il pas par Te craindre ?
22. Gloire à Toi ! Ô mon Dieu ! A Toi appartient La Louange !
23. La Gloire appartient à Allah ! Le Très Haut ! Le Très Majestueux !


Dans les Psaumes de l’Islam (‘Assahifat as-Sajjadiyat)

Peut-être certain se demanderons s’il y’a un lien entre les songe et les évènements et si ça un côté scientifique ou intellectuel ou peut servir de source de connaissance ?
 Beaucoup suivant les pas de Freud pense qu’on ne peut interpréter les rêves comme une sorte de satisfaction des penchants et à part ça il y’a rien d’autre car tous les autres changements qu’on remarque dans le rêve ne vise qu’à tremper le Moi. Ou alors selon l’expression de certains, les choses et certains désirs refoulés non satisfait se cachent au fond des êtres humains et se manifeste dans le songe en essayant de se satisfaire dans l’imaginaire parfois cela se reflète sans interprétation un peu comme un amoureux qui perd l’être aimé et le voit dans le rêve parfois cela change de forme et apparait sous une forme beaucoup plus convenable dans ce cas cela a besoin d’interprétation.
 Ceci n’est qu’une hypothèse et non une preuve pour détailler leur propos. Il est possible qu’une série de rêve apparaisse ainsi ou alors que cette affirmation selon laquelle tous les rêves sont ainsi apparaît creuse et sans fondement.1

Petit à petit les partisans de la doctrine Cebrowski avancent leurs pions. S’ils doivent cesser de créer des guerres au Moyen-Orient élargi, ils le feront dans le Bassin des Caraïbes. Avant toutes choses, le Pentagone planifie l’assassinat d’un chef d’État élu, la ruine de son pays, et sape l’unité de l’Amérique latine.

devant la communauté anti-castriste au Miami Dade College, John Bolton a dénoncé « Cette troïka de la tyrannie, qui s’étend de La Havane à Caracas en passant par Managua, [qui] est la cause d’immenses souffrances humaines, l’impulsion d’une énorme instabilité régionale, et le génèse d’un sordide berceau du communisme dans l’hémisphère occidental ».

John Bolton, le nouveau conseiller national de Sécurité des États-Unis, a relancé le projet du Pentagone de destruction des structures étatiques du Bassin des Caraïbes.

On se souvient que, dans la foulée des attentats du 11-Septembre, le secrétaire à la Défense de l’époque, Donald Rumsfeld, avait créé un Bureau de transformation de la force (Office of Force Transformation) et désigné l’amiral Arthur Cebrowski pour le diriger. Sa mission était de former l’armée états-unienne à sa nouvelle mission à l’ère de la globalisation financière. Il s’agissait de changer la culture militaire afin de détruire les structures étatiques des régions non-connectées à l’économie globale. Le premier volet de ce plan a consisté à disloquer le « Moyen-Orient élargi ». La seconde étape devait être de faire de même dans le « Bassin des Caraïbes ». Le plan prévoyait de détruire une vingtaine d’États côtiers et insulaires, à l’exception de la Colombie, du Mexique et autant que faire se peut des territoires britanniques, états-uniens, français et néerlandais.

Lors de son accession à la Maison-Blanche, le président Donald Trump s’était opposé au plan Cebrowski. Cependant deux ans plus tard, il n’est parvenu qu’à interdire au Pentagone et à l’Otan de confier un État aux groupes terroristes qu’ils emploient (le « Califat »), mais pas à renoncer à manipuler le terrorisme. Concernant le Moyen-Orient élargi, il est parvenu à faire décroitre la tension, mais les guerres continuent à moindre intensité. En ce qui concerne le Bassin des Caraïbes, il a bridé le Pentagone, lui interdisant de déclencher des opérations militaires directes.

Au mois de mai dernier, Stella Calloni révélait une note de l’amiral Kurt Tidd, commandant en chef du SouthCom, exposant les moyens mis en œuvre contre le Venezuela [1]. Une seconde pénétration est conduite simultanément au Nicaragua et une troisième depuis un demi-siècle contre Cuba.

De diverses analyses précédentes, nous avions conclu que la déstabilisation du Venezuela, débutée par le mouvement des guarimbas, poursuivie par la tentative de coup d’État du 12 février 2015 (opération Jéricho) [2], puis par les attaques sur la monnaie nationale et l’organisation de l’émigration, déboucherait sur des opérations militaires [3] conduites depuis le Brésil, la Colombie et de la Guyana. Des manœuvres multinationales de transport de troupes ont été organisées par les États-Unis et leurs alliés en août 2017 [4]. L’accession au pouvoir à Brasilia, le 1er janvier 2019, du président pro-israélien Jair Bolsonaro rendra cela possible.

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Le vice-président brésilien Hamilton Mourão et le président Jair Bolsonaro.

En effet, le prochain vice-président brésilien sera le général Hamilton Mourão, dont le père joua un rôle notable lors du coup d’État militaire pro-US de 1964. Lui-même s’est illustré par ses déclarations contre les présidents Lula et Rousseff. En 2017, il avait déclaré —au nom du Grand Orient du Brésil— que le moment d’un nouveau coup d’État militaire était venu. En définitive, il a été élu avec le président Bolsonaro. Dans un entretien à la revue Piaui, il a annoncé un prochain renversement du président vénézuélien, Nicolás Maduro, et le déploiement d’une force de « paix » brésilienne (sic). Devant la gravité de ces propos qui constituent une violation de la Charte des Nations unies, le président élu Bolsonaro a assuré que personne ne voulait faire la guerre à personne et que son vice-président parlait trop.

Quoi qu’il en soit, le président Maduro, dans une conférence de presse le 12 décembre 2018, a révélé que le conseiller national de Sécurité US John Bolton assurait la coordination entre l’équipe du président colombien Iván Duque et celle du vice-président brésilien. Un groupe de 734 mercenaires est actuellement à l’entrainement à Tona (Colombie) afin de perpétrer une attaque sous faux drapeau du Venezuela contre la Colombie et justifier ainsi une guerre de la Colombie contre le Venezuela. Il serait commandé par l’ancien colonel Oswaldo Valentín García Palomo, aujourd’hui en fuite après la tentative d’assassinat par drone du président Maduro lors de l’anniversaire de la Garde nationale, le 4 août dernier. Ces mercenaires sont appuyés par des Forces spéciales stationnées sur les bases militaires US de Tolemaida (Colombie) et d’Eglin (Floride). Le plan états-unien prévoit de s’emparer dès le début du conflit des trois bases militaires vénézuéliennes Libertador de Palo Negro, Puerto Cabello et Barcelona.

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Avis de recherche du colonel Oswaldo Valentín García Palomo de la Garde nationale vénézuélienne, après qu’il ait commandé une tentative d’assassinat du président de la République bolivarienne.

Le Conseil national de Sécurité US tente de convaincre divers États de ne pas reconnaître le second mandat de Nicolás Maduro (réélu en mai dernier, mais qui devrait débuter avec la nouvelle année). C’est pourquoi les États du Groupe de Lima ont contesté le scrutin présidentiel avant même sa tenue et ont interdit illégalement aux consulats vénézuéliens de l’organiser. De même, la crise migratoire s’avère n’être qu’une manipulation de plus : les Vénézuéliens qui ont fuit la crise monétaire en croyant trouver facilement du travail dans un autre État latino-américain sont aujourd’hui nombreux à tenter de rentrer chez eux. Mais le Groupe de Lima les en empêche, interdisant aux avions vénézuéliens qui tentent de les rapatrier de survoler leur espace aérien et aux autobus venus les chercher de franchir les frontières.

Tout se passe donc comme si l’on assistait à un remake des événements qui ensanglantent le Moyen-Orient élargi depuis les attentats du 11 septembre 2001. L’essentiel ne réside pas dans les actions militaires, mais dans la représentation du désordre que donnent les événements. Il s’agit d’abord de faire prendre des vessies pour des lanternes [5]. En cinq ans, le Venezuela et le Nicaragua qui disposaient d’une image positive à l’étranger sont aujourd’hui considérés à tort comme des « États faillis ». Si l’on ne réécrit pas encore l’histoire des Sandinistes et de leur lutte face à la dictature des Somoza, on pose comme acquis qu’Hugo Chávez Frías était un « dictateur communiste » (sic) alors que son pays a vécu un incroyable bond en avant, politique et économique, sous sa présidence. Il sera bientôt possible de détruire ces États sans que personne ne trouve rien à y redire.

Le temps s’écoule de plus en plus vite. Ainsi, lorsqu’en 1823, le président James Monroe décida de fermer les Amériques à la colonisation européenne, il ne se doutait pas que sa doctrine évoluerait 50 ans plus tard en une affirmation de l’impérialisme US. De même aujourd’hui, lorsque le président Donald Trump affirmait le jour de son investiture que le temps des changements de régime était révolu, il ne pensait pas qu’il serait trahi par les siens. Pourtant, le 1er novembre 2018 son conseiller de sécurité John Bolton déclarait à Miami que Cuba, le Nicaragua et le Venezuela forment la « troïka de la tyrannie ». Puis son secrétaire à la Défense, le général James Mattis, affirmait le 1er décembre devant le Reagan National Defense Forum que le président élu Maduro est un « despote irresponsable » qui « doit partir » [6].

[1] « Plan to overthrow the Venezuelan Dictatorship – “Masterstroke” », Admiral Kurt W. Tidd, Voltaire Network, 23 février 2018. « Le « Coup de Maître » des États-Unis contre le Venezuela », par Stella Calloni, Traduction Maria Poumier, Réseau Voltaire, 11 mai 2018.

[2] « Obama rate son coup d’État au Venezuela », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 23 février 2015.

[3] « Le général Jacinto Pérez Arcay considère "inexorable" l’invasion du Venezuela », Réseau Voltaire, 10 juin 2016.

[4] « Grandes manœuvres autour du Venezuela », par Manlio Dinucci, Traduction Marie-Ange Patrizio, Il Manifesto (Italie) , Réseau Voltaire, 23 août 2017.

[5] « Venezuela, l’intervention illégale », par Julio Yao Villalaz, Traduction Maria Poumier, Réseau Voltaire, 3 mars 2018.

[6] “Mattis condemns Venezuela’s Maduro as a ’despot’ who has to go”, Reuters, Phil Stewart, December 1, 2018.

Le représentant permanent de la Russie auprès de l'ONU, Vassily Nebenzia, a mis en cause le plan de « paix » américain pour régler le conflit israélo-palestinien.

Moscou se dit sceptique face à la faisabilité d'un plan américain pour résoudre le conflit israélo-palestinien, selon l’ambassadeur russe aux Nations unies, Vasily Nebenzia.

En réponse aux commentaires de Nicky Haley, l'ambassadrice démissionnaire américaine à l'ONU Nikki Haley, qui a déclaré que les États-Unis avaient élaboré un plan pour résoudre le conflit israélo-palestinien, le diplomate russe a déclaré : « nous avons entendu parler de ce plan pour la deuxième fois, mais nous n'avons encore rien vu. »

Il a ajouté: « (Les Américains) parlent régulièrement de ce plan de paix, pour lequel ils accumulent de belles promesses, mais nous n’avons rien vu jusqu’à présent. Quand nous en connaîtrons les détails ? Nous n'en savons rien. »

La réaction de la Résistance irakienne au tweet du président US où il dit vouloir retirer ses 2000 soldats de Syrie d'ici au plus tard 100 jours, n'a pas tardé : le leader du groupe irakien Asaïb Ahl al-Haq a déclaré qu’après la Syrie, "il est grand temps que les forces américaines se retirent aussi d’Irak". 

Cheikh Qais al-Khazali, secrétaire général du groupe Asaïb Ahl al-Haq (Ligue des vertueux), l’un des composantes des Hachd al-Chaabi a écrit, mercredi 19 décembre, dans un tweet qu’"il était le temps de réclamer aux États-Unis de retirer leurs troupes d’Irak". Cette revendication partagée par une grande partie de la population irakienne fait son chemin au Parlement où les députés préparent un projet de loi en ce sens. 

« Trump vient d'annoncer, dans un tweet, la défaite de Daech en Syrie; l’existence de ce groupe en Syrie était la seule raison de la présence des forces US en Syrie, comme le prétend Trump. Et bien reprenant sa logique, il faut lui demander pourquoi les forces américaines ne se retirent-elles pas de l'Irak puisque Daech y a été défait depuis des mois? Y-a-t-il d'autres raisons qui poussent les États-Unis à maintenir leurs troupes en Irak? », s'interroge le commandant. 

Les États-Unis ont annoncé vouloir retirer leurs troupes de Syrie pour les "repositionner à Erbil". Un premier contingent de 120 marines seraient d'ailleurs arrivés au Kurdistan irakien.

L’armée syrienne s’est mise en état d'alerte alors qu'un appareil israélien a survolé le long des frontières syro-libanaises.

L'armée syrienne s'est placée en état d'alerte maximale le mercredi 19 décembre au soir après qu'un avion de combat israélien a survolé le long de la ligne entre la montagne de Jabal Cheikh et Damas.

Pour l'acte 6 des Gilets jaunes prévu ce samedi 22 décembre, des manifestants français ont lancé un appel aux Gilets jaunes européens pour qu'ils bloquent avec eux les frontières, informe le quotidien Le Parisien se référant à une des figures du mouvement, Priscillia Ludosky, cité par Sputnik.

La plupart des Français approuvent le mouvement des Gilets jaunes, selon un sondage

«Le mouvement est né en Italie, on verra s'ils viendront, les Belges nous retrouveront», a expliqué Mme Ludosky ajoutant que les Gilets jaunes suisses n'avaient pas, pour le moment, exprimé leur volonté de rejoindre les manifestants français.

Elle a indiqué que des manifestants des villes avaient également lancé un appel à ceux des régions.

«Beaucoup de gens dans les régions sont venus à Paris, cette fois, on leur propose de rejoindre les Gilets jaunes des frontières», a expliqué Priscillia Ludosky.

Selon Mme Ludosky, certains Gilets jaunes s'organisent avec des «compagnies de car sympathisantes» pour se rendre aux frontières. D'après l'Indépendant, des cars seront affrétés vers la frontière espagnole depuis Montpellier, Albi-Castres, Montauban, Toulouse et Nîmes. D'autres membres du mouvement s'arrangent sur les réseaux sociaux pour le covoiturage.

Face à la hausse des prix du carburant, qui frappe surtout le diesel, de nombreux Français sont descendus dans les rues depuis le 17 novembre 2018. Les mobilisations des Gilets jaunes ont régulièrement dégénéré en affrontements entre manifestants et forces de l'ordre marqués par de nombreuses scènes de pillages, des incendies, des interpellations et des violences extrêmes.

Selon le dernier bilan, le ministère de l'Intérieur faisait état de 66.000 manifestants le samedi 15 décembre dans toute la France vers 19h00, dont 4.000 au plus fort de la journée à Paris. Ces chiffres, en baisse comparativement à la semaine dernière, alors que plus d'un policier était mobilisé pour chaque manifestant, n'ont pas tardé à faire polémique.

La Russie se dit assurée du fait qu'Ankara ne faillira pas à honorer son engagement de ne pas divulguer les coordonnées géographiques des S-400 qui lui seront livrés en 2019. 

Selon l’agence de presse Interfax, le porte-parole du Kremlin Dimitri Peskov a déclaré, ce mercredi 19 décembre que les autorités russes étaient rassurées que la Turquie ne permettrait jamais aux experts américains d’avoir accès aux systèmes de défense antiaériens S-400 russes.

« Toutes les coopérations militaires et techniques qu’entretient la Russie avec les autres parties sont soumises à de sérieux engagements juridiques portant sur le caractère secret des coordonnées géographiques et des informations délicates concernant ces coopérations. La partie turque n’est pas une exception », a expliqué Dimitri Peskov.

Par ces déclarations, le porte-parole du Kremlin a balayé d’un revers de main toutes les rumeurs selon lesquelles la Turquie permettrait aux techniciens américains d’avoir accès aux S-400 russes pour pouvoir les étudier.

Le ministre russe des Affaires étrangères a rejeté la protestation de Tel-Aviv contre la visite du chef du bureau politique du Hamas à Moscou.

La chaîne israélienne Canal 10 a cité hier, mardi, des sources diplomatiques à Tel-Aviv selon lesquelles, l’ambassadeur d’Israël en Russie, Gary Koren, avait remis une lettre au ministère russe des Affaires étrangères pour protester vigoureusement contre la décision de Moscou d’inviter Ismaïl Haniyeh, le chef du bureau politique du Hamas à visiter prochainement la Russie. Dans le même temps, le ministère israélien des AE a remis une copie de cette lettre à l’ambassade de Russie à Tel-Aviv.

Lors d’une rencontre avec le chef de la diplomatie russe à Moscou, Gary Koren a souligné que le Premier ministre israélien  insistait sur la nécessité de rencontrer le plus tôt possible le président Poutine. En réponse à cette demande, Sergueï Lavrov s’est contenté de hocher la tête "de manière peu significative", a rapporté Canal 10.