تقي زاده

تقي زاده

Lors de sa rencontre avec la coordinatrice de l’ONU pour le Liban, Michel Aoun a qualifié d’infondés les récents propos des autorités israéliennes sur le Hezbollah.
Cité par la chaîne de télévision Al-Alam, le président libanais, Michel Aoun, a dénoncé les récents propos des autorités israéliennes sur le mouvement de résistance libanais, le Hezbollah.

« Les allégations de Tel-Aviv sur l’existence d’ateliers de fabrication d’armements ou des dépôts d’armes cachés dans certaines régions libanaises sont sans fondement », a déclaré le président libanais à Pernille Dahler Kardel, coordinatrice spéciale de l’ONU pour le Liban.

Les autorités de Tel-Aviv avaient, auparavant, allégué qu’il existait au Liban des ateliers de fabrication d’armements et des entrepôts d’armes.


Netanyahu avait envoyé, pour sa part, un message au Hezbollah dans lequel il avait appelé la Résistance libanaise à éviter « le déclenchement d’une nouvelle guerre » et à ne pas procéder à la fabrication de nouveaux missiles de haute précision. Mais les évolutions de ces derniers jours ont bel et bien prouvé le contraire : c’est Israël qui doit s’inquiéter d’une nouvelle guerre. En raison de l’absence de sécurité en Israël et d’un très haut risque de guerre, les entreprises multinationales s’apprêtent à quitter Israël.

Par ailleurs, selon l’Institut juif pour les affaires de sécurité nationale, la puissance de feu du Hezbollah est 95 % plus élevée que celle des armées conventionnelles au monde.

Après les avertissements lancés par les autorités du cabinet israélien, l’armée a organisé début septembre, pour la 4e fois en un mois, des manœuvres militaires de grande ampleur ayant pour objectif de simuler une guerre éventuelle contre le Hezbollah et l’axe de la Résistance au Liban.

Lors d’une interview accordée au quotidien français Le Figaro, Michel Aoun avait réservé au Hezbollah le droit de défendre le Liban face aux attaques du régime de Tel-Aviv tout en évoquant la popularité croissante du mouvement de résistance libanais auprès de deux tiers de la population libanaise.
 

Le directeur du marketing du ministère du Tourisme de l’Autorité autonome palestinienne qui se trouve à Londres pour assister au Salon international du tourisme de Londres (WTM) a critiqué le transfert de l’ambassade des États-Unis de Tel-Aviv à Qods, affirmant que cette action avait néanmoins stimulé l'envie chez les touristes du monde entier de se rendre en Palestine.

« Bien que l’industrie du tourisme palestinien se heurte à des problèmes, nombreux sont les touristes enthousiastes qui souhaitent visiter la Palestine. À l’heure actuelle, on ne peut même pas trouver de chambre libre dans les hôtels palestiniens », a souligné Majed Ishaq, directeur du marketing au sein du ministère palestinien du Tourisme.

Majed Ishaq, directeur du marketing au sein du ministère palestinien du Tourisme au Salon international du tourisme de Londres (WTM). ©IRNA

Selon ce dernier, contrairement au passé, les saisons touristiques en Palestine ont été prolongées et les voyageurs de diverses nationalités s’intéressent davantage à visiter les patrimoines culturels et la civilisation palestinienne. Aujourd’hui, des touristes en provenance de la Chine, de la Malaisie, de l’Indonésie, de l’Inde et même les adeptes des autres religions que l'Islam se rendent en Palestine.

« Mais, il  y a un problème. Pour entrer en Palestine, les touristes doivent traverser la frontière israélienne [Palestine occupée, NDLR] ; c’est là où le régime israélien tergiverse. Il contrôle les frontières palestiniennes et les ressortissants de nombreux pays ne peuvent pas entrer en Palestine. Malgré cela, notre stratégie consiste à développer notre industrie du tourisme. Actuellement, nous faisons du marketing pour le nord de la Palestine, de Ramallah à Jénine jusqu’au sud d’al-Khalil. Nous encourageons aussi les touristes à visiter les villages, les déserts et les camps de réfugiés palestiniens », a indiqué Ishaq.

D’après ce responsable palestinien, à présent, quelque 40 000 personnes sont actives dans le domaine touristique et il existe plus de 900 000 chambres d’hôtel en Palestine. L’an dernier, 2 300 000 touristes étrangers ont visité la Palestine.  

Interrogé sur les conséquences de la décision américaine de transférer l’ambassade américaine de Tel-Aviv à Qods, Majed Ishaq a précisé que les responsables politiques palestiniens s’y étaient opposés. « De notre point de vue, les États-Unis n’ont aucunement le droit de confier la gestion de Qods à Israël. La ville sainte fait partie des territoires occupés palestiniens et nous sommes contre la décision américaine », a-t-il ajouté.

Il a cependant rappelé que la décision injuste de l'Amérique de transférer son ambassade de Tel-Aviv à Qods avait fait que de nombreux touristes en particulier des musulmans s'étaient rendus en Palestine pour exprimer leur solidarité au peuple palestinien. 

« Ils visitent la ville occupée de Qods et aident financièrement les résidents palestiniens de la ville. La décision américaine a donc donné le résultat inverse et elle s’est terminée en faveur du tourisme palestinien", a souligné Ishaq.

Les Forces démocratiques syriennes (FDS), dont les Kurdes sont l’épine dorsale, ont relancé leur opération anti-Daech à Deir ez-Zor alors qu’ils se sentent de plus en plus délaissés par les Américains. 

Au terme d’un arrêt d’une semaine de leur opération baptisée « Tempête d’al-Jazira », les FDS ont donc repris la bataille anti-Daech sur l’est de l’Euphrate. Les affrontements se sont ainsi déroulés dans la ville de Hajin, située à l’est de la Syrie où les États-Unis ont massacré dans la nuit de vendredi à samedi pas moins de 26 civils. Mais où veulent en venir les Américains à Deir ez-Zor ? 

Début novembre, la Russie a envoyé un contingent de forces spéciales à Soueïda où l'armée syrienne et ses alliés mènent une vaste et longue opération contre Daech. Pour les Américains qui pilotent depuis la base d'al-Tanf les opérations des terroristes, il s'agit surtout de faire des monts d'al-Safa, un nouveau "Tora Bora" à la syrienne, propres à se transformer en un "abcès" sécuritaire à l'ouest de la capitale. Force est de constater que l'armée syrienne ne peut plus se fier à des méthodes classiques pour se débarrasser des résidus de Daech qui, retranchés dans des grottes et des caves des hauteurs volcaniques d'al-Safa empêchent sa progression. Mais quelle sera sa nouvelle tactique? 

L’armée syrienne pourrait faire usage de drones pour éradiquer les résidus de Daech retranchés à Tulul al-Safa. Ce qui n'est pas forcément une bonne nouvelle pour les Américains dans la mesure où les drones syriens et russes pourraient se lancer dans des opérations non seulement contre les terroristes mais aussi contre la base qui les pilotent à savoir la base Us à al-Tanf. Après tout, les opérations US contre la base aérienne russe à Hmeimim pourraient bien être ripostées. 

Les forces terrestres de l'armée syrienne doivent franchir les hauteurs et des altitudes élevées de Tulul al-Safa pour combattre les terroristes de Daech qui s’y sont retranchés.

 

Appuyés par les avions de chasse syriens et russes, l’armée et les groupes de défense populaire syrienne ont lancé pendant l’été 2018 une opération à grande échelle pour éradiquer les cellules dormantes de Daech dans le nord-est de la province de Soueïda et à l’ouest de Damas.

Au cours de la première étape de l'opération, les forces syriennes ont réussi à nettoyer les zones du nord-est de Soueïda, mais les conflits se poursuivent toujours à l'ouest de Damas.

La facilité d’accès des zones situées dans le nord-est de Soueïda a permis aux forces syriennes de récupérer rapidement des centaines de kilomètres carrés dont s’étaient emparés les terroristes.

L’éditorialiste de Rai al-Youm Abdel Bari Atwan a estimé, dans un article, que les résultats des élections de mi-mandat aux États-Unis d’une part, et la montée des tensions dans les relations entre Moscou et le régime israélien de l’autre, sont dans l’intérêt du front de la Résistance au Moyen-Orient.

« Cette semaine, l’orgueil et l’audace de Donald Trump et de Benjamin Netanyahu sont partis en fumée : les résultats des élections de mi-mandat aux États-Unis ont exaspéré Trump, tandis que Netanyahu, qui souhaitait mettre fin aux différends avec Moscou et rétablir les coordinations avec la partie russe en Syrie, a été humilié par le président russe Vladimir Poutine qui a rejeté sa demande de rencontre en marge de la commémoration de fin de la Première Guerre mondiale à Paris », a écrit Abdel Bari Atwan.

L’éditorialiste de Rai al-Youm rappelle qu’après le crash d’un Il-20 de l’armée russe, dont la responsabilité a été attribuée à Tel-Aviv par Moscou, le président Poutine a autorisé la livraison, en moins de deux semaines, de systèmes balistiques S-300 à l’armée syrienne. D’après Atwan, cet événement pourrait mettre définitivement un terme à la suprématie des forces aériennes israélienne dans l’espace aérien de la Syrie, là où les avions israéliens avaient mené quelque 210 frappes aériennes dans différentes régions du pays.

L’auteur souligne que Ksenia Svetlova, membre de la commission de la politique étrangère et de la défense au Parlement israélien, a avoué le 5 novembre que l’armée israélienne n’avait mené aucune opération aérienne dans l’espace aérien de la Syrie depuis la livraison des systèmes russes S-300 à l’armée syrienne. Elle a avoué ainsi que l’équilibre des forces a perceptiblement changé.

Ces derniers jours, les autorités israéliennes ont pourtant menacé d’intervenir pour bombarder les batteries S-300 syriennes, qu’ils considèrent comme une menace vitale contre la sécurité d’Israël, quand bien même ces bombardements mettraient en péril la vie des conseillers militaires russes sur le terrain.

L’agence russe Ria Novosti vient de publier une note de l’analyste russe Ivan Danilov portant sur la vulnérabilité du système de défense nationale et du complexe militaro-industriel des États-Unis.

« Les journalistes qui ont examiné les résultats des recherches d’experts américains et étudié en profondeur l’état de l’armée US et de l’industrie de défense, ont admis qu’il existait une froide logique dans les prises de décisions récentes du président Donald Trump : il veut empêcher l’Amérique de se transformer en un tigre de papier », a écrit l’analyste.

Le noyau du problème se révélerait dans un rapport du chroniqueur de l’agence Reuters, Andy Home, qui a obtenu un exemplaire du rapport de septembre du département de la Défense sur la situation des livraisons d’équipements essentiels à l’armée américaine : plus de 300 éléments clés nécessaires au fonctionnement normal des forces armées américaines et de l’industrie de la défense sont menacés.

Les fabricants américains sont au bord de la faillite ou ont déjà été remplacés par des fournisseurs chinois ou d’autres pays en raison de la désindustrialisation de l’économie nationale et de la délocalisation de la production essentiellement vers les pays du Sud-est asiatique.

Andy Home donne un exemple frappant et clair, tiré du rapport : « Il s’avère que le dernier producteur américain de fils synthétiques nécessaires à la production de tentes de l’armée a fermé récemment. Cela signifie que si les États-Unis subissaient un embargo sur le textile, certains soldats américains seraient sérieusement confrontés à la perspective de dormir à la belle étoile. Il est difficile de ne pas remarquer qu’une telle perspective semble légèrement humiliante pour une armée qui se prétend détenir la plus haute technologie de la planète. »

La situation pourrait être considérée comme sans importance si elle n’affectait pas un large éventail de besoins de l’armée américaine et du complexe militaro-industriel. Les parties déclassifiées du rapport du département américain de la Défense révèlent qu’aux États-Unis, les livraisons futures des interrupteurs dont sont équipés presque tous les missiles américains posent des problèmes. Comme le rapportent les responsables du Pentagone, le fabricant américain de ces commutateurs a mis la clé sous la porte, mais les plus haut gradés de l’armée ne l’ont appris que lorsqu’ils ont été informés qu’il n’y en avait plus en stock. Et il n’y a nulle part où en trouver de nouveaux, car le producteur s’est volatilisé il y a deux ans.

Un autre exemple frappant : le seul fabricant de moteurs à propergol solide pour missiles air-air, « a rencontré des problèmes techniques de production », selon l’expression des autorités du Pentagone. Les tentatives de redémarrage de la production ont échoué et le Pentagone a été obligé de faire appel à une société norvégienne pour assurer des livraisons ininterrompues. « Évidemment, cela indique une certaine dégradation technique du système américain dans son ensemble, car seule la perte de certaines compétences clés peut expliquer la situation actuelle dans laquelle la production ne peut pas être restaurée et le problème ne peut même pas être résolu », écrit Ivan Danilov.

L’analyste russe ajoute que le document du département américain de la Défense qui date de septembre 2018 ressemble à la liste des problèmes très graves auxquels était confrontée l’armée russe des années 1990. « Il n’existe littéralement aucun domaine dans lequel il n’y a pas de problèmes graves ou très graves et, souvent, ils ne peuvent même pas être résolus malgré l’augmentation du budget militaire », a-t-il écrit.

Lors de sa rencontre avec la coordinatrice de l’ONU pour le Liban, Michel Aoun a qualifié d’infondés les récents propos des autorités israéliennes sur le Hezbollah.
Cité par la chaîne de télévision Al-Alam, le président libanais, Michel Aoun, a dénoncé les récents propos des autorités israéliennes sur le mouvement de résistance libanais, le Hezbollah.

« Les allégations de Tel-Aviv sur l’existence d’ateliers de fabrication d’armements ou des dépôts d’armes cachés dans certaines régions libanaises sont sans fondement », a déclaré le président libanais à Pernille Dahler Kardel, coordinatrice spéciale de l’ONU pour le Liban.

Les autorités de Tel-Aviv avaient, auparavant, allégué qu’il existait au Liban des ateliers de fabrication d’armements et des entrepôts d’armes.


Netanyahu avait envoyé, pour sa part, un message au Hezbollah dans lequel il avait appelé la Résistance libanaise à éviter « le déclenchement d’une nouvelle guerre » et à ne pas procéder à la fabrication de nouveaux missiles de haute précision. Mais les évolutions de ces derniers jours ont bel et bien prouvé le contraire : c’est Israël qui doit s’inquiéter d’une nouvelle guerre. En raison de l’absence de sécurité en Israël et d’un très haut risque de guerre, les entreprises multinationales s’apprêtent à quitter Israël.

Par ailleurs, selon l’Institut juif pour les affaires de sécurité nationale, la puissance de feu du Hezbollah est 95 % plus élevée que celle des armées conventionnelles au monde.

Après les avertissements lancés par les autorités du cabinet israélien, l’armée a organisé début septembre, pour la 4e fois en un mois, des manœuvres militaires de grande ampleur ayant pour objectif de simuler une guerre éventuelle contre le Hezbollah et l’axe de la Résistance au Liban.

Lors d’une interview accordée au quotidien français Le Figaro, Michel Aoun avait réservé au Hezbollah le droit de défendre le Liban face aux attaques du régime de Tel-Aviv tout en évoquant la popularité croissante du mouvement de résistance libanais auprès de deux tiers de la population libanaise.
 

En Syrie, 26 civils ont été massacrés dans une frappe aérienne de la coalition prétendument anti-Daech qui a visé Hajin, une ville située dans la banlieue est de Deir ez-Zor.

Selon l’agence de presse officielle syrienne SANA, au moins 26 civils dont des femmes et des enfants ont été tués dans la nuit de vendredi à samedi sous les bombes larguées sur le quartier de Hawama de Hajin.

Ces derniers temps, la coalition américaine lance des attaques systématiques sur Hajin. Et elle a aussi recours souvent aux armes prohibées dans ces attaques sur la province syrienne de Deir ez-Zor, ont rapporté à maintes reprises les médias syriens.

 

En effet, l’agence de presse syrienne SANA précise que la coalition US a utilisé des bombes au phosphore blanc dont l’usage est interdit par les lois internationales et ce pour soi-disant attaquer les positions de Daech dans la ville de Hajin.

Mais pourquoi les Américains intensifient-ils les frappes contre Hajin et autres localités de Deir ez-Zor? 

À peine arrivé à Paris hier vendredi 9 novembre, le président américain, Donald Trump a dénoncé sur Twitter les propos "très insultants" de son homologue français, Emmanuel Macron sur la création d'une armée européenne. Mais quel crime de lèse majesté a commis le président français pour que l'Américain se mette à ce point en colère? Emmanuel Macron a eu l'outrecuidance de réclamer une "armée européenne". L'intéressé n'avait pourtant pas osé aller jusqu'au bout de son idée et expliquer la nature des relations de cette armée européenne avec l'OTAN. Et pourtant le président Trump a décidé de réagir, humiliant via son tweet à la fois la France et son président. 

"Le président Macron vient de suggérer que l'Europe construise sa propre armée pour se protéger contre les États-Unis, la Chine et la Russie", a tweeté Donald Trump au moment même où Air Force One atterrissait près de Paris. "Très insultant! Mais peut-être que l'Europe devrait d'abord payer sa part à l'OTAN que les États-Unis eux subventionnent largement !", a ajouté le président américain.

Mardi 6 novembre, sur la radio française Europe1, Emmanuel Macron a déclaré que l'Europe ne pourrait pas se défendre sans "une vraie armée européenne". "On ne protégera pas les Européens si on ne décide pas d’avoir une vraie armée européenne" avait-il plaidé. "Face à la Russie qui est à nos frontières et qui a montré qu’elle pouvait être menaçante (…) on doit avoir une Europe qui se défend davantage seule, sans dépendre seulement des États-Unis et de manière plus souveraine", avait poursuivi le président français dont le pays est bien plus largement menacé par les Etats-Unis que par la Russie. 

 

S'exprimant lors d’un programme diffusé par la chaîne Al-Mayadeen, Wafiq Ibrahim, analyste libanais des affaires régionales, a déclaré que l'Iran avait réussi à former des coalitions qui étaient considérées comme une force-clé contre l'influence américaine dans la région: « le rôle de l’Iran dans la région a touché celui des États-Unis et d'Israël, et l'Iran, malgré toutes les sanctions demeure un puissant État. »

« L'Occident s'efforce de remplacer la République islamique d’Iran par un régime semblable à celui du Shah mais l'unité sociale en Iran qui se révèle de plus en plus durant les crises que traverse le pays, ne laissera jamais ce genre de projet se réaliser. Avec ses coalitions régionales et son unité nationale, l’Iran fait peur aux États-Unis. La bataille qu’a lancé l’Amérique, elle n’est pas seulement contre l’Iran mais contre toute la région en réalité » a-t-il ajouté.

Ibrahim a ensuite rappelé que la Russie et la Chine resteraient toujours aux côtés de l'Iran.

Évoquant le meurtre de Jamal Khashoggi, l’analyste libanais a déclaré que les États-Unis restaient silencieux sur l’affaire et tentaient coûte que coûte sauver la peau de la dynastie Saoud de laquelle ils entendaient soutirer encore quelques temps de l’argent.

Ibrahim a souligné aussi que les coalitions de la Résistance ne seraient pas affectées par les sanctions américaines imposées à l'Iran.

«Le plan américain pour résoudre la crise palestinienne, appelé "Deal du siècle" ne pourra jamais fonctionner ; les Palestiniens le rejettent en bloc », a-t-il rappelé.