تقي زاده

تقي زاده

Le département d’État américain a publié un communiqué portant sur une rencontre entre Mike Pompeo et son homologue marocain à Washington.

Le département d’État américain a annoncé, le mardi 18 septembre, que le secrétaire d’État américain Mike Pompeo avait discuté avec son homologue marocain Nasser Bourita d’un éventail de sujets dont « le soutien de l’Iran au terrorisme ».

« Ils se sont penchés sur les opportunités qui permettent le développement des coopérations économiques et sécuritaires entre les États-Unis et le Maroc », a-t-on appris du communiqué.

Selon le texte, « Mike Pompeo et Nasser Bourita discutaient également des efforts des deux pays destinés à mettre fin au soutien de l’Iran au terrorisme et à lutter contre l’influence malveillante de l’Iran dans la région ».

Les deux hauts diplomates ont également abordé d’autres sujets régionaux et internationaux et ont convenu d’organiser, en 2019, des négociations stratégiques.

« Le crash de l’avion Il-20 qui a entraîné la mort des 15 militaires à son bord n’aura aucun impact sur l’accord trouvé par les dirigeants russe et turc, Vladimir Poutine et Recep Tayyip Erdogan, sur la création d’une zone démilitarisée dans la province syrienne d’Idlib », a affirmé le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, cité par l’agence de presse ITAR-TASS.

D’après le porte-parole du président russe, il est hyper important que rien ne porte atteinte à ces accords. « Les accords obtenus sont d’une importance vitale pour l’avenir de la Syrie », estime Dmitri Peskov d’après lequel cet accord est la conclusion des efforts de Moscou et Ankara pour aider au règlement pacifique de la crise syrienne en prenant des décisions constructives.

 

Un accord turco-russe à Idlib est la pire des choses qui aurait pu arriver à Israël. Israël vient de perdre une carte majeure dans sa politique d’escalade en Syrie.

Le porte-parole du département d’État américain a salué la conclusion d’un accord entre la Russie et la Turquie sur la mise en place d’une zone de désescalade à Idlib.

Le lundi 17 septembre, le président russe Vladimir Poutine a rencontré son homologue turc Recep Tayyip Erdogan à Sotchi. La rencontre a duré plus de quatre heures et demie. Les deux hommes ont convenu, à l’issue de ces entretiens, de mettre en place une zone de désescalade dans la province syrienne d’Idlib d’ici au 15 octobre.

« Nous saluons les efforts de la Russie et de la Turquie pour empêcher une offensive militaire des forces d’Assad et de ses alliés contre Idlib. Les États-Unis souhaitent une désescalade de la tension à long terme en Syrie. Ils n’ont toutefois eu aucune implication dans les pourparlers entre la Russie et la Turquie », a déclaré le porte-parole du département d’État américain. 

Il a ensuite mis en garde le gouvernement syrien et ses alliés contre toute attaque visant la province d’Idlib.

Un accord turco-russe à Idlib est la pire des choses qui aurait pu arriver à Israël. Israël vient de perdre une carte majeure dans sa politique d’escalade en Syrie.

Le porte-parole du département d’État américain a salué la conclusion d’un accord entre la Russie et la Turquie sur la mise en place d’une zone de désescalade à Idlib.

Le lundi 17 septembre, le président russe Vladimir Poutine a rencontré son homologue turc Recep Tayyip Erdogan à Sotchi. La rencontre a duré plus de quatre heures et demie. Les deux hommes ont convenu, à l’issue de ces entretiens, de mettre en place une zone de désescalade dans la province syrienne d’Idlib d’ici au 15 octobre.

« Nous saluons les efforts de la Russie et de la Turquie pour empêcher une offensive militaire des forces d’Assad et de ses alliés contre Idlib. Les États-Unis souhaitent une désescalade de la tension à long terme en Syrie. Ils n’ont toutefois eu aucune implication dans les pourparlers entre la Russie et la Turquie », a déclaré le porte-parole du département d’État américain. 

Il a ensuite mis en garde le gouvernement syrien et ses alliés contre toute attaque visant la province d’Idlib.

 

Israël vient de reconnaître avoir attaqué Lattaquié en Syrie tout en imputant la responsabilité de cette agression à Damas et à Téhéran.

L’armée israélienne a reconnu, ce mardi 18 septembre, son implication dans les attaques aériennes nocturnes de la veille contre la ville syrienne de Lattaquié.

L’armée israélienne a regretté la mort de militaires russes dans une frappe aérienne israélienne, mais en a imputé la responsabilité à Téhéran et à Damas.

Le général de brigade Ronen Manelis, porte-parole de l’armée israélienne, a reconnu l’attaque d’Israël contre la Syrie, disant que l’armée israélienne avait pris pour cible une installation militaire syrienne qui « produisait des armes létales de haute précision » pour les livrer au Hezbollah libanais de la part de l’Iran.

Lors d’un entretien téléphonique, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a présenté ses « regrets » au président russe Vladimir Poutine et a accusé le gouvernement syrien d’être responsable de ce drame.

Ces nouvelles accusations anti-iraniennes visent en effet à camoufler le rôle d’Israël dans cette agression et à justifier, d’une manière ou d’une autre, les attaques israéliennes contre le territoire syrien. Mais la Russie, qui n’est pas dupe, pointe explicitement du doigt le régime israélien comme responsable de la destruction de son avion Il-20.

Le quotidien israélien Yediot Aharonot a déploré que le communiqué qu’a publié le ministère russe de la Défense constitue un message ferme et dur à l’encontre Israël.

Les chiites de différentes nationalités ont participé à une procession de deuil à l’occasion de Muharram à Dearborn dans l’Etat de Michigan.

Selon le site d’information alkafeel, les participants portaient des drapeaux noirs en signe de deuil et soulignaient la nécessité de suivre les leçons de l’événement de Karbala.

 

 

تصاویری از راهپیمایی حسینی در «دیربورن» آمریکا
 
تصاویری از راهپیمایی حسینی در «دیربورن» آمریکا
 
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Un jeune Palestinien de 16 ans a succombé samedi à ses blessures subies le mois passé lors d'une manifestation à Gaza, ont indiqué les services de secours. 
 
Des soldats israéliens avaient abattu l'adolescent le 3 août, à l'ouest de Khan Younis, une ville au sud de la bande de Gaza.

Les manifestations contre les forces d'occupation israéliennes ont commencé il y a six mois. Les manifestants plaident en faveur du droit au retour dans leur pays, qu'ils ont été contraints de quitter ou ont fui lors de la création d'Israël en 1948.

Selon le ministère de la Santé palestinien, l'armée israélienne a mortellement abattu 178 personnes depuis le début des protestations le 30 mars. Plus de 19.000 autres ont été blessées.

Les chiites musulmans de partout dans le monde n’oubliez pas le jour de Tassua, un jour avant le martyre de l’Imam Hussein (P), troisième Imam chiite et petit-fils du prophète de l’Islam. 

Agence de Nouvelles d'Ahlul Bait (ABNA) : Arrive Tassua, un des jours plus importants de l’histoire islamique pour les musulmans chiites. Le neuvième jour du mois de Muharram du calendrier lunaire, lorsque commémorant le martyre de Abalfazl Abas (que la paix soit sur lui), le frère du troisième imam des chiites, l’Imam Hussein (P), petit-fils du prophète de l’Islam, Hazrat Mohammad (P). Qui, avec sa famille et ses partisans se jeta sur le tyran du temps : le calife omeyyade, Yazid. 

Tout cela a été vécu dans l’année 680 apr. J.-C. dans le désert de Karbala, située dans l’actuel Irak. C’était une bataille inégale, les soldats de Yazid, ils ont bloqué l’accès à l’eau de l’Imam et ses compagnons. Son frère, Abalfazl Abbas essayé d’obtenir de l’eau et ennemi de rangs fauché, il atteint le fleuve de l’Euphrate, mais le retour est tombé en martyr. 

Par ce que chaque année, vêtus de noir, des millions de musulmans chiites commémorent les cérémonies de deuil le jour de Tassua, neuf en arabe. Un jour avant le même Imam Hussein (P) et ses compagnons sont tombés martyrs. 

Tout cela et autres rituels pour symboliser la force d’âme, courage et sacrifice ainsi une position éternelle dans la bataille de la vérité contre le mensonge et la lutte de l’humanité et de la morale contre l’injustice et l’oppression. Selon les chiites, l’Imam Hussein (P), avec sa force et son sacrifice, a empêché la transformation de l’Islam dans une fausse religion. 

Le président sud-coréen s’est rendu à Pyongyang avec une grande délégation de personnalités politiques et économiques ; les États-Unis s’inquiètent alors des transactions commerciales qui pourront, certainement, nuire au mécanisme de sanctions qu’ils ont imposées contre la Corée du Nord.

Le président sud-coréen est arrivé, ce mardi matin 18 septembre à Pyongyang, à la tête d’une délégation de 110 responsables et personnalités politiques et économiques.

Moon Jae-in et son épouse ont été accueillis à l’aéroport Sunan de Pyongyang par le leader nord-coréen Kim Jong-un, son épouse et sa sœur ainsi que des centaines de personnalités politiques nord-coréennes.

Le président sud-coréen à l'aéroport de Sunan à Pyongyang. ©Yonhap 

Le président sud-coréen a souhaité, avant son départ pour la Corée du Nord, que les entretiens des deux parties aboutissent à une avancée dans le processus de la dénucléarisation de la Péninsule coréenne et la revivification des discussions Washington/Pyongyang.

 

Avant ce déplacement du président sud-coréen en Corée du Nord, un entretien téléphonique a eu lieu entre les ministres des Affaires étrangères des deux Corées. Washington craint, pourtant, que les transactions commerciales des deux Corées ne diminuent le poids des sanctions imposées contre la Corée du Nord, vu le nombre considérable de PDG de grandes compagnies sud-coréennes qui accompagnent le président à Pyongyang, parmi d’autres, l’héritier de Samsung Lee Jae-yong et le vice-président de Hyundai Motor. La délégation sud-coréenne doit visiter plusieurs lieux importants de Pyongyang. Le président sud-coréen entend renforcer la coopération économique entre les deux pays. 

Les deux hommes doivent aussi débattre, lors de leur troisième sommet, de l’apaisement des tensions militaires sur la péninsule. Le président sud-coréen se dit déterminé à faire tout pour rétablir une paix durable entre les deux Corées et affirme que même « les évolutions internationales ne pourront contrer ses efforts ».

Certes,  ce rapprochement des deux Corées ne plaît guère aux États-Unis  qui continuent de sanctionner Pyongyang avec qui ils sont, d’ailleurs, en négociations après le démantèlement par ce dernier de ses sites nucléaires conformément à ses engagements.

Le Bureau du contrôle des avoirs étrangers (OFAC) du département du Trésor américain a annoncé ce vendredi qu’il appliquerait de nouvelles sanctions contre un individu et trois sociétés en relation avec les sanctions anti-Pyongyang.

Le département du Trésor américain a annoncé, il y a moins de deux mois,  l’application de nouvelles sanctions contre une banque russe, accusée d’avoir « facilité une transaction importante » d’un banquier nord-coréen lui-même déjà visé par des sanctions américaines.

Les Américains ont même avancé une initiative bizarre exhortant Pyongyang à transférer 50 % de ses ogives nucléaires sur le sol britannique.

Le journal Rodong Sinmun, organe officiel du Parti du travail de Corée, a annoncé que tant que les discussions ne sonnaient pas la fin de la guerre entre les deux Corées, et qu’un régime de paix pour mettre fin au conflit n’était pas annoncé, les risques d’escalade ne sembleraient pas très loin et le moindre incident pourrait nous faire repartir à zéro sapant les quasi-normalisations avec Séoul et Washington.

Des cibles russes à Lattaquié ont été attaquées, lundi soir, par Israël secondé par la France. 

Des dernières informations, en provenance de la Syrie, font état d'une attaque balistique conjuguée France/Israël contre des cibles russes à Lattaquié. Selon le ministère russe de la Défense, peu après des frappes aux missiles, depuis quatre F-16 israéliens, contre la banlieue de Lattaquié, une frégate française a visé un avion russe au dessus de la Méditerranée avec 14 militaires à bord.

L'appareil, un II-20 a perdu tout contact avec la base aérienne russe Hmeimim vers 00h23 (Heure locale) après que la frégate française Auvergne a tiré des missiles. Il survolait la Méditerranée à 35 km de la côte syrienne. Pour la première fois depuis le début de la guerre contre la Syrie, Israël se fait accompagner de l'un des membres de l'Otan, la France pour frapper non seulement des sites militaires syriens mais aussi des cibles russes. 

Le ministère russe de la Défense a affirmé dans un communiqué, émis le 17 septembre, que l’attaque de missiles sur la ville syrienne de Lattaquié a été réalisée depuis la mer parallèlement au tir de missiles israéliens contre des cibles russes à Lattaquié.

Le commandement central de l’armée syrienne a annoncé, dans un communiqué, que les chasseurs du régime israélien ont attaqué lundi soir un établissement des industries techniques à Lattaquié. L’attaque a causé des dégâts matériels et tué deux personnes qui étaient sur place.   

« L’ennemi veut ainsi rehausser le moral chez les groupes terroristes échoués à Idlib face aux victoires fulgurantes de l’armée. Cela affirme encore une fois de plus qu’Israël soutenait directement les terroristes en Syrie », indique le communiqué.

L’agence d’informations syrienne SANA a annoncé plutôt que les systèmes de défense antiaérienne de l'armée syrienne avaient repoussé lundi une attaque de missiles menée depuis" air et mer "contre la banlieue de la ville de Lattaquié.