تقي زاده

تقي زاده

Une poignée de main israélo-palestinienne sur la pelouse de la Maison Blanche, Donald Trump en rêverait. Mais 25 ans après les accords d'Oslo, les Etats-Unis sont moins bien placés que jamais pour jouer les médiateurs. 
 
Le président américain lui-même semble s'être fait à l'évidence: réunir les dirigeants des deux camps pour signer un accord de paix, comme Bill Clinton en 1993 à Washington avec Yitzhak Rabin et Yasser Arafat, ou comme Jimmy Carter il y a 40 ans à Camp David avec l'Egypte et l'Etat hébreu, sera compliqué.
 

Novice en diplomatie, l'homme d'affaires républicain a promis à sa prise de fonctions de conclure "l'accord ultime" entre Israéliens et Palestiniens. Il a confié cette tâche à un petit groupe tout aussi inexpérimenté mais réputé proche des positions israéliennes, sous la houlette de son gendre et conseiller Jared Kushner.

 
Après avoir laissé le bénéfice du doute à ce président iconoclaste, les Palestiniens ont gelé tout contact dès fin 2017. Un divorce provoqué par la décision de Donald Trump de reconnaître Al-Qods (Jérusalem) comme capitale d'Israël, en rupture avec des décennies de consensus international qui veut que le statut de la Ville sainte soit confié à la négociation.
Les Etats-Unis ont annoncé lundi la fermeture du bureau de représentation palestinienne à Washington, accusant les dirigeants palestiniens de refuser de parler à l'administration de Donald Trump et d'engager des négociations de paix avec Israël. 
 
 
Mais les responsables palestiniens, qui ont gelé tout contact avec le gouvernement américain depuis que le président des Etats-Unis a unilatéralement reconnu, fin 2017, Al-Qods (Jérusalem) comme capitale d'Israël, ont aussitôt dénoncé de nouvelles "menaces américaines".
 

"L'Organisation de libération de la Palestine (OLP) n'a pris aucune mesure pour permettre le début de négociations directes et significatives avec Israël", a déclaré la porte-parole du département d'Etat américain Heather Nauert dans un communiqué.

"Au contraire, les dirigeants de l'OLP ont condamné le plan de paix américain sans même l'avoir encore vu et ont refusé de parler avec le gouvernement américain au sujet de ses efforts de paix", a-t-elle ajouté. En conséquence, "l'administration a décidé que le bureau de l'OLP à Washington allait fermer pour l'instant", a-t-elle annoncé.

La fermeture de cette mission, qui fait office d'ambassade de l'Autorité palestinienne aux Etats-Unis, est justifiée juridiquement par les démarches palestiniennes visant à traîner les dirigeants israéliens devant la Cour pénale internationale (CPI) pour "crimes de guerre".

Mais le département d'Etat a clairement fait le lien avec le processus de paix et cette décision s'ajoute à une rafale de mesures prises ces dernières semaines par l'administration Trump: annulation de plus de 200 millions de dollars d'aide bilatérale, arrêt du financement de l'agence onusienne de soutien aux réfugiés palestiniens (UNWRA), suppression de 25 millions de dollars d'assistance aux hôpitaux palestiniens d'Al-Qods (Jérusalem-Est).

Les Palestiniens ne "succomberont pas aux menaces américaines" et ne fléchiront ni dans leur attitude vis-à-vis de l'administration Trump, ni dans leurs efforts pour faire juger les crimes commis selon eux par les dirigeants israéliens, a répondu le numéro deux de l'OLP, Saëb Erakat.

Le représentant palestinien à Washington, Hossam Zomlot, informé lundi matin de cette nouvelle mesure, a dénoncé une "dangereuse escalade".
Les Irakiens placent chaque année des drapeaux noirs au-dessus des mausolées des imams chiites (as) à Najaf et à Karbala pour marquer l’arrivée du mois de Muharram.
Selon le site de la chaîne internationale alkafeel, chaque année, avec le début du mois de Muharram, des drapeaux noirs sont placés au-dessus des mausolées de l’imam Hussein (as) et de Hazrat Abbas (as) et ce, au cours d’une grande cérémonie avec la participation d’un grand nombre d’Irakiens.

Cette année, pour la 14e année consécutive, cette cérémonie s’est tenue en présence des grandes personnalités religieuses et culturelles, dans les sactuaires de l’imam Hussein (as) et de Hazrat Abbas. 

Cette cérémonie a eu lieu lundi soir, cérémonie qui a commencé par la lecture du Saint Coran par Bassem Karbalaï, suivie du discours prononcé par l’adjoint des affaires culturelles de l’Astan Qods Husseini.

تصاویری از  پرچم عزای حسینی بر فراز گنبد ائمه(ع) در عراق

تصاویری از  پرچم عزای حسینی بر فراز گنبد ائمه(ع) در عراق

تصاویری از  پرچم عزای حسینی بر فراز گنبد ائمه(ع) در عراق

تصاویری از  پرچم عزای حسینی بر فراز گنبد ائمه(ع) در عراق

تصاویری از  پرچم عزای حسینی بر فراز گنبد ائمه(ع) در عراق

تصاویری از  پرچم عزای حسینی بر فراز گنبد ائمه(ع) در عراق

تصاویری از  پرچم عزای حسینی بر فراز گنبد ائمه(ع) در عراق

تصاویری از  پرچم عزای حسینی بر فراز گنبد ائمه(ع) در عراقتصاویری از  پرچم عزای حسینی بر فراز گنبد ائمه(ع) در عراق

تصاویری از  پرچم عزای حسینی بر فراز گنبد ائمه(ع) در عراق

تصاویری از  پرچم عزای حسینی بر فراز گنبد ائمه(ع) در عراق

تصاویری از  پرچم عزای حسینی بر فراز گنبد ائمه(ع) در عراق

تصاویری از  پرچم عزای حسینی بر فراز گنبد ائمه(ع) در عراق

Les autorités turques sont en train d’évaluer la possibilité d’une participation de l’armée turque dans la grande manœuvre de Vostok en Sibérie.

La Turquie est en train d’examiner l’invitation de la Russie à son armée de se joindre à ce qui pourrait être les plus grands exercices militaires en un demi-siècle, a annoncé le ministre turc de la Défense, le général Hulusi Akar, après le retour de Téhéran.

« Si le gouvernement d’Erdogan accepte l’invitation de Moscou, cela sera interprété comme un message important à l’adresse des États-Unis et de l’OTAN », disent certains médias turcs.

Le chef d’état-major de l’armée russe, le général russe Valery Gerasimov, a déclaré que les manœuvres Vostok 2018 étaient les plus grands exercices militaires de la Russie.

Le président américain Donald Trump, qui n’a pas encore précisé s’il attaquera les forces iraniennes et russes en Syrie, cherche une excuse pour une intervention militaire dans ce pays.

Citant The Wall Street Journal, l'agence de presse russe Sputnik a rapporté que le président syrien avait confirmé l’utilisation du gaz chlore lors de la dernière attaque contre les terroristes dans la province d’Idlib.

« Cette confirmation pourrait provoquer des représailles de la part des forces américaines », lit-on dans ce rapport.

En se référant à des autorités américaines, The Wall Street Journal a écrit : « le Pentagone est en train de mettre au point un scénario militaire, mais Donald Trump n’a encore trouvé aucune excuse pour justifier une intervention militaire. Les États-Unis attaqueront-ils les forces qui soutiennent Bachar al-Assad ? »

Les autorités officielles américaines n'ont toujours pas confirmé le mode des attaques en cas d’utilisation de chlore.

Les missiles Fateh de la République islamique d’Iran peuvent atteindre, avec une haute précision, des cibles maritimes, aériennes et terrestres.

Les divers prototypes du missile Fateh sont le Fateh-110 (portée de 300 km) le Fateh-313 (portée de 500 km), le Fateh Mobin (portée de 500 km), Zolfaqar (portée de 700 km) et les prototypes maritimes Khalij Fars et Hormuz (portée de 300 km).

Missile Fateh-110 ©Mashregh News

Le missile Fateh-110 est le premier acquis important de la République islamique d’Iran dans la conception et la fabrication des missiles balistiques à propulsion solide.

Les analystes du think tank américain, The Brookings Institution proposent un changement réaliste de 10 degrés de la politique des États-Unis en Syrie. Mais qu'est-ce que signifie ce changement de 10 degré? 

Dans une analyse sur les répercussions de la bataille prochaine de l’armée syrienne et ses alliés à Idlib, qui devra libérer la dernière enclave encore aux mains des terroristes, cinq analystes de l’Institut Brookings prétendent s’inquiéter des conséquences que cette bataille pourrait avoir pour la "stabilité régionale". Ils prévoient aussi "l’émergence ou la ré-émergence de nouveaux groupes extrémistes". Ainsi, proposent-ils une "révision" voire "une mise à jour" des analystes concernant la Syrie de même qu’"un changement réaliste de 10 degrés" de la politique américaine vis-à-vis de la Syrie, "en ce moment crucial de la guerre".

Le ministre colombien des affaires étrangères a affirmé qu’aucun changement n’était pas intervenu dans la décision de son pays de reconnaître la Palestine.
Carlos Holmes Trujillo, ministre colombien des affaires étrangères, a déclaré lors d’un voyage aux États-Unis, que les positions de l’ancien président, Juan Manuel Santos, trois jours avant la fin de son mandat, sur la reconnaissance officielle de la Palestine, était aussi les positions du nouveau gouvernement et du président Iván Duque Márquez nouvellement élu. 
 
lundi, 10 septembre 2018 10:11

Deir ez-Zor sous les bombes au phosphore US

Deux F-15 américains ont largué dans la nuit de dimanche à lundi des bombes à sous-munition sur la ville de Deir ez-Zor, a annoncé le général Vladimir Savtchenko, chef du Centre russe pour la réconciliation des parties en conflit en Syrie.

«Des frappes ont été réalisées le 8 septembre contre la localité de Hajin dans le gouvernorat de Deir ez-Zor, avec utilisation de munitions incendiaires au phosphore par deux appareils F-15», a-t-il indiqué.
Les frappes ont provoqué d'importants incendies. Le bilan des pertes est à déterminer. 
L'usage d'armes au phosphore blanc est interdit par le protocole additionnel de la Convention de Genève, a-t-il rappelé.
Les États-Unis ont lancé vendredi dernier des exercices dans l'est de la Syrie en présence de plus de 100 effectifs des forces spéciales et en réponse aux mises en garde de la Russie, non loin de la base  d'al-Tanf.

À al-Tanf, les militaires US forment et arment les terroristes de Daech et autres formations takfiristes ou kurdes. Le camp de réfugiés de Rukban est situé dans une «zone de sécurité» à proximité de la base militaire américaine d'al-Tanf, déployée illégalement en avril 2017 sous le prétexte de la lutte antiterroriste.

 

Après avoir vendu ses bons du Trésor américain, la Russie a acheté de l’or pour ainsi augmenter ses réserves d’or, une mesure qui va dans le sens de la dédollarisation.

La Russie stocke de l’or alors que le pays continue de vendre ses bons du Trésor américain en réponse aux nouvelles sanctions américaines. Depuis juillet, le président Vladimir Poutine a ajouté 26 tonnes d’or dans la réserve fédérale de la Russie, soit environ 1 milliard de dollars.

 

Début 2018, le gouvernement russe a vendu 84 % de ses bons du Trésor américain. Aussitôt après, la Russie est sortie de la liste de 33 pays étrangers ayant des bons du Trésor américain. La démarche russe a été entreprise après que l’administration américaine a décidé d’imposer des sanctions sans précédent contre ce pays.

La banque centrale russe a acquis 26,1 tonnes d’or, au mois de juillet, augmentant ainsi les réserves d’or du pays à 2.170 tonnes, soit quatre fois plus qu’en 2008.

Avec ce volume de transactions d’or, dans une courte période de temps, la Russie a devancé la Chine, du point de vue de réserves d’or. La Russie compte, actuellement 2.170 tonnes d’or avec une valeur de 83 milliards 600 millions de dollars, ce qui la place à la 5e place dans le classement mondial.

La décision de Moscou est une stratégie en réaction aux sanctions américaines et aussi pour diminuer la valeur de dollar. Une stratégie optée également par la RII et la Turquie pour faire face à l’hégémonie du dollar.

 

Ces 14 derniers mois, le dollar américain a compté une hausse considérable par rapport aux autres devises, ce qui a beaucoup réjoui le président américain Donald Trump qui n’a pas pu s’empêcher d’exprimer sa joie dans ses tweets.

Dans leur stratégie pour faire face à cette hausse du dollar et aux sanctions américaines, la Russie, l’Iran et la Turquie ont décidé de vendre leurs dollars américains et d'acheter de grandes quantités d’or à la place.

Selon le professeur d’économie d’entreprise de l’Université Brunel de Londres, Francesco Moscone, la Russie n’est pas le seul pays à se lancer dans le domaine de l’or.

« De nombreux autres pays, y compris la Chine, la Turquie et l’Iran, achètent de l’or alors qu’ils cherchent à se protéger de  l’hégémonie du dollar américain et de ses fluctuations », précise-t-il.

« La plupart des économies émergentes ont une dette libellée en dollar, ce qui les rend très vulnérables vis-à-vis de la poursuite de la hausse des taux d’intérêt à Washington : “c’est l’une des principales raisons pour lesquelles la Russie a réduit de plus de moitié ses avoirs en dette extérieure américaine depuis 2017”.

La Turquie a également commencé à retirer toutes les réserves de lingots d’or détenus aux États-Unis tandis que la Russie et la Chine ont convenu de régler les transactions en rouble et en yuan.

« Les superpuissances mondiales cherchent à accroître leur indépendance vis-à-vis du dollar américain, en l’éliminant de leurs transactions », affirme l’analyste.

Et parmi d’autres, « la Russie a en particulier de bonnes raisons d’échanger ses dollars en échange de l’or car contrairement aux devises, l’or ne peut être déclaré sans valeur ».