تقي زاده

تقي زاده

L’indifférence des instances internationales et des pays arabes envers la répression par Israël des Palestiniens a amené la Résistance à entrer directement sur la scène de combat.

S’attardant sur les dimensions et les raisons des tirs de roquettes de la Résistance palestinienne, le mardi 29 mai, en direction des colonies israéliennes aux alentours de Gaza, l’expert iranien des questions internationales Saadallah Zaeri a affirmé: « Ces attaques sont en effet un nouveau modèle de riposte aux frappes israéliennes contre Gaza et au massacre des citoyens palestiniens lors de la Marche du grand retour. Cela montre qu’on est témoin d’un changement fondamental de la stratégie des groupes de résistance palestiniens face à Israël. »

La cadence avec laquelle les événements nouveaux se produisent au Moyen-Orient dépasse souvent l'entendement. Israël est l'un des acteurs qui, rien que par son incapacité organique à encaisser les crises, se sent souvent dépassé par les événements. Quatre ans après avoir lamentablement perdu sa guerre contre Gaza (2014), les officiels israéliens en sont à revivre l'expérience : après avalanche surprise de quelques 130 roquettes contre les colonies sionistes limitrophes de Gaza, plusieurs responsables israéliens appellent à envahir "l'enclave".

D'autres appellent à l’assassinat ciblé des "commandants" de la Résistance. Et pourtant, Tel-Aviv a annoncé à plusieurs reprises avoir tiré leçon de la guerre de 2014 et avoir travaillé à des "tactiques nouvelles" pour contrer les "Résistant". Or rien n'est moins vraie que cette prétention d’innovation. 

Le ministre israélien de la Sécurité intérieure Gilad Erdan a menacé, le mardi 29 mai, de reprendre les assassinats ciblés dans la bande de Gaza. Or la méthode date déjà d'une 20 aine d'années. 

Alors que la politique européenne sur plusieurs dossiers y compris celui de Qods ou encore du nucléaire iranien va à l'opposé de celle de Tel-Aviv, Israël s'inquiète d'avoir à perdre l'une des principales sources de revenu : le trafic d'armes en provenance de l'Europe. Dans un récent article, l'expert israélien en question militaire Yusi Millman, affirme que le récent contrat pour l'achat et la vente d'armements entre Israël et l’Azerbaïdjan, pourrait mettre en difficulté Tel-Aviv. Ayant servi depuis longtemps de courroie de transmission des armes trafiquées, Israël laisse entendre qu'il pourrait ne plus se montrer aussi coopératifs que par le passé face à l'Europe. 

Yusi Millman précise que le contrat d'armement signé entre Israël et l'Azerbaïdjan, selon lequel les armes européennes seront livrées via la Slovaquie en Israël puis en Azerbaïdjan, a mis en difficulté Tel-Aviv. "Ce transfert d’armes est contraire aux règles communes de l’UE", estime-t-il dans un article publié dans le quotidien israélien Maariv. 

Le spécialiste israélien Yusi Millman (Archives)

"Ces armes sont fabriquées en République tchèque, mais seront exportées en Israël via la Slovaquie. Le fabricant d’armes israélien Elbit se chargera de leur transfert vers la République d’Azerbaïdjan. La valeur de ce contrat est de 50 millions de dollars",  affirme l'Israélien laissant supposer que ce trafic juteux pourrait ne plus se faire via le territoire israélien. 

"Voisin de l'Iran, l’Azerbaïdjan entretient depuis deux décennies des relations stratégiques avec Israël. Et pourtant, ce nouveau contrat d’armement met Israël dans l'embarras puis nos autorités. Car les révélations faites dans nos journaux au sujet de ce transit pourrait mettre en colère le gouvernement d'Ilham Aliyev. Certaines autorités azerbaïdjanaises proches d’Aliyev ont déjà exprimé leur mécontentement de la diffusion de certains rapports au sujet de ces contrats sans que Tel-Aviv prenne le temps de leur répondre", ajoute l'article. 

Le président de la République d’Azerbaïdjan Ilham Aliyev rencontre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, à Davos, le 24 janvier 2018.

"Bakou est un grand marché de vente pour les armes israéliennes. Lors de la visite de Netanyahu à Bakou en 2016, le président azerbaïdjanais a fait état de la signature d’un contrat d’armement avec Israël d'une valeur de 5 milliards de dollars. Or ce contrat a pris des dimensions énormes puisque Bakou se trouve désormais en ligne de mire de l'UE qui lui reproche la violation des règles des droits de l'homme ou encore le conflit avec l’Arménie. L’Union Européenne a interdit la vente d’armes à Bakou et c'est cela qui pourrait s'avérer embrassant pour nous, les israéliens", ajoute l'analyste israélien. 

Dans la suite de l'article, l'auteur s'inquiète des révélations récentes sur le trajet du trafic d'armes : "La télévision de la République tchèque aurait des informations qui prouveraient que les armes sont transportées avec l’accord du ministère israélien des Affaires militaires, par avion et via la société d'armements Elbit à l’aéroport Ben Gurion, avant d'être expédiées à Bakou. Ces révélations mettent dans l'embarras à la fois la Slovaquie et la Tchéquie et puis Israël qui contredit ainsi les réglementations de l'UE. Tout ceci ressemble à du blanchiment d'argent et Israël y est impliqué. La conséquence pourrait être grave : Israël risque d'avoir à faire face à des sanctions".

Le Comité national syrien pour l'élimination des armes chimiques a annoncé que les États-Unis orchestraient des attaques chimiques en Syrie dans le but de fomenter un nouveau complot contre le gouvernement syrien.

« Les États-Unis et leurs services de renseignement préparent toujours des mises en scène dans certaines régions de la Syrie, poussant leurs agents à utiliser des armes chimiques contre les civils syriens pour porter ensuite de fausses accusations contre l'État syrien », a indiqué un représentant du Comité national syrien pour l'élimination des armes chimiques cité par l’agence de presse officielle syrienne SANA.

Le Comité national syrien pour l'élimination des armes chimiques affirme par ailleurs que d'autres pays, dont la France et la Grande-Bretagne, seraient aussi impliqués dans ce complot destiné à justifier leurs attaques en Syrie.  

Formellement, l’ampleur de l’abstention lors de l’élection présidentielle au Venezuela ne permet pas de valider le caractère démocratique de la victoire de Nicolás Maduro. Cependant, la participation est largement suffisante, en pleine guerre économique, pour illustrer le soutien populaire aux institutions nationales. Car, bien plus que le maintien au pouvoir des Chávistes, c’est l’avenir du pays face à l’agression en cours qui était en jeu.

L’élection présidentielle au Venezuela devait être l’occasion de lancer une nouvelle étape dans la préparation de la destruction du « bassin des Caraïbes ». C’est tout au moins ce que le SouthCom espérait [1].

Il existe plusieurs lectures de la crise que traverse le Venezuela. Pour les pays occidentaux, elle est le fruit de la mauvaise gestion du président Maduro et de son fantasme socialiste. Pour l’armée, qui observe les préparatifs militaires du Panama, de la Colombie, du Brésil et de la Guyana, elle est au contraire le résultat d’une terrible guerre —pour le moment uniquement économique— conduite contre le pays sous le commandement des États-Unis. Toujours est-il que le Produit intérieur brut chute de 15 % par an et que l’inflation atteint des sommets (18 000 % depuis le début de l’année). Si l’administration Maduro parvient à distribuer des vivres et à éviter la famine, elle échoue pour le moment à arrêter la descente aux enfers.

Sans aucune raison valable, les 14 États membres du Groupe de Lima avaient contesté à l’avance la légitimité du scrutin [2]. Comme en Syrie, en 2014, l’un d’entre eux avait délibérément violé la Convention de Vienne sur les relations consulaires en interdisant à l’ambassade du Venezuela d’organiser des bureaux de vote dans ses consulats. Cette fois, c’était le Canada (membre du Groupe de Lima) et non plus la France et l’Allemagne (qui ne font pas partie de ce Groupe) [3].

Comme en Syrie, l’opposition pro-US avait appelé au boycott du scrutin. Pis, elle avait organisé une grève des transports, empêchant les électeurs des campagnes et des faubourgs de se rendre aux bureaux de vote.

Le taux d’abstention ne pouvait qu’être anormalement élevé. D’autant qu’un million et demi de Vénézuéliens ont quitté le pays du fait des privations en cours et n’ont pas eu le temps de se réinscrire dans les ambassades à l’étranger.

Pourtant, 46 % des vingt millions d’électeurs se sont exprimés. Et 67 % d’entre eux ont soutenu le candidat chaviste, Nicolás Maduro.

Les études électorales attestent que le taux de participation est d’autant plus élevé que la circonscription abrite des électeurs pauvres.

Les mêmes études attestent que seuls les électeurs de plus de 40 ans se sont déplacés aux urnes, pas les jeunes qui furent presque totalement absents. C’est-à-dire que les jeunes ont exprimé leur désintérêt de la politique ou ont suivi les consignes de l’opposition pro-US, tandis que ceux qui ont connu le Venezuela d’avant la Révolution bolivarienne ont tenu à voter.

Il fallait y tenir, non seulement pour se déplacer aux urnes, mais pour soutenir Nicolás Maduro malgré la faillite générale de l’économie ! Les plus défavorisés, ceux dont le salaire mensuel ne permet plus d’acheter un kilo de viande, ont été proportionnellement les plus nombreux à voter. C’est dire que, contrairement à ce qu’espéraient les États-Unis, les Vénézuéliens ne considèrent pas l’administration Maduro comme responsable de la catastrophe économique. Ils poursuivent le combat engagé par Hugo Chávez pour libérer leur pays de l’impérialisme US.

Cette anomalie est la conséquence du sentiment national qui s’est développé durant les 18 années de la Révolution bolivarienne. Elle rend difficile toute intervention militaire étrangère dans le pays.

Par ailleurs, le fait qu’un candidat sérieux, Henri Falcón (ancien gouverneur de l’État de Lara), ait annoncé en début de journée, le jour du scrutin, que celui-ci était truqué, qu’il ne permettrait pas sa victoire et ne méritait pas de se rendre aux urnes, n’a pas empêché près de deux millions d’électeurs de se déplacer et de voter pour lui. Leur comportement ne peut être interprété que comme une double volonté de défendre leur pays et d’appeler l’ensemble de la classe politique à la réconciliation face à l’agression en cours.

Signe du désespoir croissant, près d’un million d’électeurs a voté pour le pasteur évangélique Javier Bertucci, qui ne voit d’autre solution pour sauver le pays qu’une repentance collective et une intervention divine.

Avant même que le résultat du scrutin soit connu, Washington avait annoncé la promulgation d’un « décret présidentiel interdisant certaines opérations supplémentaires concernant le Venezuela » [4] et le G7 [5] avait préparé une déclaration pour « rejeter le processus électoral » [6].

Devant la réalité du résultat, ce fut le silence. Quelle suite donner au plan de destruction des États et des sociétés de la région ? N’est-il pas dangereux de se lancer à l’attaque du Venezuela comme on l’a fait avec la Syrie, au risque de rencontrer une sévère résistance ? Bref, faut-il y aller maintenant ou faut-il appauvrir encore et diviser un peu plus les Vénézuéliens avant de les attaquer ?

En outre, le fait que, contrairement aux habitudes diplomatiques, la Russie ait à l’avance réagi aux déclarations du Groupe de Lima et souligné qu’elles relevaient de l’ingérence dans les affaires intérieures [7], laisse à penser que Moscou n’est pas dupe. En cas d’intervention de l’Otan, la Russie va-t-elle encore s’en mêler ?

Il est trop tôt pour que le SouthCom puisse décider. Durant cette période d’évaluation, le Pentagone devrait « travailler » la jeunesse vénézuélienne qui n’a presque pas participé au scrutin. Il pourrait aussi accentuer sa pression sur d’autres États du « bassin des Caraïbes », notamment le Nicaragua.

[1] « Plan to overthrow the Venezuelan Dictatorship – “Masterstroke” », Admiral Kurt W. Tidd, Voltaire Network, 23 février 2018. « Le "Coup de Maître" des États-Unis contre le Venezuela », par Stella Calloni, Traduction Maria Poumier, Réseau Voltaire, 11 mai 2018.

[2] “Declaration on Venezuela on the sidelines of the Summit of the Americas”, Voltaire Network, 14 April 2018.

[3] « Le Canada interdit aux Vénézuéliens vivant sur son sol d’élire leur président », Réseau Voltaire, 19 mai 2018.

[4] « Décret présidentiel interdisant certaines opérations supplémentaires concernant le Venezuela », par Donald Trump, Réseau Voltaire, 21 mai 2018.

[5] Le G7 est composé par : les États-Unis, le Japon, l’Allemagne, la France, le Royaume-Uni, l’Italie et le Canada.

[6] « Déclaration des dirigeants du G7 concernant le Venezuela », Réseau Voltaire, 23 mai 2018.

[7] “Comment by the Russian Foreign Ministry on developments in Venezuela”, Voltaire Network, 16 May 2018.

بسم الله الرحمن الرحیم

 

« L’honorable Khadija(SA) était non seulement l’épouse du dernier Prophète divin, mais la mère de l’honorable Fatima (SA). Elle a fait tout dans la voie de l’extension de l’Islam. Aujourd’hui il est du devoir des musulmans d’honorer la mémoire de cette honorable femme et de maintenir leur dépendance et leur attachement aux enseignements islamiques et à ceux qui éprouvent du dévouement pour protéger cette religion. »

 

 

 

L`ancien cimetière Al-Mouala, à la Mecque

 

 

 

le Dix du mois bénit Ramadan (En 619 J.C, Dixième année après l`avènement prophétique, trois ans avant l’hégire), coïncide avec l’anniversaire du décès de La Grande Dame d`Islam, La première femme de Vénéré Prophète (sawas),Dame Khadija Al-Kobra (que la paix d’Allah soit sur elle).

 

 

 

 

 

 

 

Son Excellence Khadîja (as) passa vingt-cinq ans dans la maison du Prophète Mohammad (sawas). Elle fut la première musulmane.

 

 

 

Khadija occupe une place sans équivoque dans l’histoire de l’islam. Elle détient la primauté en adoptant, l’islam juste après le prophète(p). Elle fut la première femme à croire en lui.

 

Le Messager de Dieu (pslf) présente, dans ses paroles, Khadidja (S) comme étant son épouse élevée à la plus haute station. Le Messager (pslf) a dit à ce propos:

"Les femmes les plus élevées au Paradis sont Khadidja Bint Khuwaylid ; Fatima Bint Mohammed; Asiyah Bint Muzahim(la femme de Pharaon) et Maryam Bint Imran [la Mère de Jésus (p)]".

 

 

Le Messager de Dieu (pslf) déclara également ceci:

"Les meilleures de toutes les femmes sont au nombre de quatre: Maryam Bint Imran [la mère de Jésus (pse)] ; Khadidja Bint Khuwaylid; Fatima Bint Mohammed et Asiyah, l'épouse de pharaon".

 

 

 

« " Aicha a déclaré ceci: "Un jour, le Messager de Dieu se remémorant Khadidja [après son décès], j'en fus jalouse et lui dis qu'elle était âgée et d'autres choses, et que maintenant Dieu, en ma personne, lui avait procuré une épouse bien meilleure. Le Messager de Dieu me répondit ceci:

"Dieu ne m'a jamais procuré une épouse meilleure; Khadidja crut en ma Prophétie alors que les autres se refusaient à me suivre; elle témoigna et prit fait et cause en faveur de mes paroles alors que les autres les contredisaient; elle mit toute sa fortune à ma disposition alors que tous les autres m'abandonnaient ; Allah m'a béni d'enfants par elle et non par aucune autre épouses.".

 

Le verset 8 du sourate Al-Zoha, concerne la générosité de Khadija(p) :

 

وَوَجَدَكَ عَائِلًا فَأَغْنَىٰ

 

Ne t'a-t-Il pas trouvé pauvre? Alors Il t'a enrichi.

 

 

 

Elle fut considérée (que la paix d’Allah soit sur elle) parmi les riches de la péninsule arabique de l’époque. Elle organisa, à travers ses employés, des voyages au Levant et dans d’autres endroits pour le commerce. Nombreux notables de Quraysh lui proposèrent des fiançailles mais elle refusa d’épouser tout autre que le Messager (que la bénédiction d'Allah soit sur lui et sur sa famille) après avoir connu sa sincérité, son honnêteté, son sens moral et sa fusion avec Allah. Elle l’hébergea quand il fut délaissé par ses ennemis et ses proches. Elle le crut quand les autres le tinrent pour menteur. Elle fut dévouée corps, âme et argent pour la cause du prophète et de son message. Il mit l’argent au service du message de l’islam et de sa propagation.

 

 

 

Les racines de Dame Khadija se réfèrent à un arbre très haut de gloire, de fierté et d'honneur. Elle est la fille de Khowayled ibn Abed Al-Aaza ibn Qosay et elle a avec le prophète(p) un lien de parenté, Qosay étant le quatrième ancêtre du Messager d’Allah (que la bénédiction d'Allah soit sur lui et sur sa famille).

 

 

 

Dame Khadija fut une femme riche et une commerçante honnête. Elle fut appelée « la Pure »Tahira. Son commerce se caractérisa par la véracité, l'honnêteté et la confiance de ses clients. Elle voulut, ainsi, trouver un homme honnête pour lui confier son commerce. Elle choisit Mohamad l’honnête et le loyal et l’envoya pour du commerce au Levant avec son serviteur. Il revint de son voyage avec beaucoup du gain. Le serviteur lui décrira ses bonnes mœurs, sa probité, son honnêteté, son intelligence en ce qui concerne les affaires du commerce et la confiance et l’amour que lui portèrent les gens. Elle approuva ce propos et décida d’être sa fidèle épouse.

 

 

 

Le Messager d'Allah (que la bénédiction d'Allah soit sur lui et sur sa famille) aima beaucoup Khadija, il fut très triste quand elle décéda et appela cette année « l’année du chagrin ».Le grand oncle du Prophète (psl), Abou Tàlib (Ra) est décédé la même année.

 

L’extrême intelligence de Dame Khadija fut décrite par un poète arabe :

 

Si les femmes sont comme elle

 

On préférerait les femmes sur les hommes

 

Parce que ni la féminité de la lune n’est une tare

 

Ni la masculinité du soleil est une gloire

 

 

 

 

 

Il suffit pour l’honneur de Dame Khadija, qu’Allah lui envoie une salutation spéciale pour lui rendre hommage grâce à son service au prophète et à son message. En effet, il a été évoqué dans un récit qu’Allah envoya le loyal Gabriel au Prophète (que la bénédiction d'Allah soit sur lui et sur sa famille) pour lui dire :

 

« O Mohamad, dis à Khadija qu’Allah t’envoie ses salutations »

 

 

 

Khadija est ainsi la seule Dame à laquelle Allah envoya sa salutation après l’islam. Elle lui répondit:

 

«ان الله هو السلام ، وفیه السلام ، الیه السلام ، وعلی جبرئیل السلام

 

Allah c`est lui Salam, c`est de lui le Salam et se retourne vers lui le Salam, et sur l`ange Gabrielle le Salam."

 

(D`après Abou saeed Khidri, Rapporté par Bukhari dans son Sahih, volume 3, page 175, chapitre "La jalousie et l'amour des femmes", dans la conclusion de "Livre sur le Mariage-Nikah".

 

 

 

Il y a ici dans sa réponse un style littéraire qui confirme la sagesse et l’éloquence de Khadija, parce qu’elle n’a pas dit: « que la paix soit sur Allah » mais « qu’Allah est la paix ». Évidemment, comment peut-elle saluer Allah alors qu’il est la paix elle-même ? C’est une femme complète surtout en ce qui concerne son éloquence avec Allah (gloire pour lui)

 

 

 

Devant ces postions consciencieuse et son amour propre de l’islam Dame Khadija paya fortement l’impôt de loyauté. Elle souffrit de son isolément et de sa solitude après avoir été délaissée par les femmes de Quraysh. Ce boycott se poursuivît même après sa grossesse de sa fille Fatima (que la paix d’Allah soit sur elle) et lors de son accouchement.

 

Pour cela, Allah envoya quatre femmes de paradis : Eve, Asia fille de Mozahem, Sarah et Marie fille d’Imran (que la paix d’Allah soit sur elles) et elles dirent à Khadija : « nous sommes les messagers de ton seigneur pour toi ». Et Elles l’aidèrent à accoucher de Fatima Al-Zahra (que la paix d’Allah soit sur elle).

 

 

 

Le boycott des femmes de Mecque se poursuivît même après l’accouchement, Allah voulut que Fatima soit pour Khadija un soulagement même quand elle fut dans le ventre de sa mère ce qui caractérisa Dame Khadija (que la paix d’Allah soit sur elle). Elle passa de sa vie 24 ans et un mois avec le Messager (que la bénédiction d'Allah soit sur lui et sur sa famille) et ils donnèrent naissance, pour les garçons, à Al-Kassem et Abdallah surnommés Al-Tayyeb et Al-Taher.

 

 

 

Khadija (que la paix d’Allah soit sur elle) décéda le 10 du mois de ramadan le bénit, trois ans avant l’hégire. Le Messager (que la bénédiction d'Allah soit sur lui et sur sa famille) l’inhuma de sa main à la Mecque(le cimetière Al-Mouala). Il l’évoqua avec respect après sa mort.

 

 

 

Les musulmans seront pour toujours redevables pour cette femme pure. Elle fut, avec le jdihad d’Ali (que la paix soit sur lui) deux facteurs essentiels pour la diffusion et la victoire de l’islam.

Au nom Allah le miséricordieux , le plus miséricordieux
Le 10 du Mois Ramadan 3 ans avant l`Hijir, est l'anniversaire de décès  triste de Grande Dame d`Islam, la vénérée Khadija. Dame Khadija la première femme du Noble Prophète(pslf), la première femme croire en lui et la mère de Dame Fatima Zahra, l`impeccable.
Prophète(pslf) a perdu dans la même année deux grand soutient, sa femme douce et pieuse Khadija(Tahira) et son grand oncle Abou-Taleb.Il fut très triste et appela cette année « l’année du chagrin ».
Il suffit pour l’honneur de Dame Khadija, qu’Allah lui envoie une salutation spéciale pour lui rendre hommage grâce à son service au prophète et à son message.  En effet, il a été évoqué dans un récit  qu’Allah envoya le loyal Gabriel au Prophète (que la bénédiction d'Allah soit sur lui et sur sa famille) pour lui dire :
« O Mohamed, dis à Khadija qu’Allah t’envoie ses salutations »
Elle lui répondit:
«ان الله هو السلام ، وفیه السلام ، الیه السلام ، وعلی جبرئیل السلام
Allah c`est lui Salam, c`est de lui le Salam et se retourne vers lui le Salam, et sur l`ange Gabrielle le Salam."

Pour rappel, voici en pièce joint un article sur la noble vie de Khadija(Ra), en plus Les beaux Do`a à lire durant ce mois bénie.

Le Leader de la Révolution islamique, l’honorable Ayatollah Khamenei a reçu, le lundi 28 mai 2018, des centaines de jeunes étudiants de diverses universités iraniennes.

Au cours de cette rencontre, qui a duré trois heures, le Leader de la Révolution islamique a prononcé un discours et a écouté les critiques, les propositions et les points de vue des représentants de différentes organisations estudiantines dans les domaines scientifique, culturel, politique et social, dans un climat enthousiaste et amical.

Au cours de cette rencontre, l’honorable Ayatollah Khamenei a déclaré que l’esprit de jeunesse, la conscience de l’identité, les motivations religieuses et les idéaux révolutionnaires des jeunes étudiants étaient tous des éléments d’espoir pour un avenir meilleur. Le Leader de la Révolution islamique a insisté aussi sur trois facteurs : être révolutionnaire, rester révolutionnaire et agir d’une manière révolutionnaire. « Compte tenu des capacités immenses du pays, nous devons accélérer notre mouvement vers la réalisation de tous les idéaux de la Révolution », a souligné le Leader de la Révolution islamique.

Au début de son discours, l’honorable Ayatollah Khamenei a déclaré que les réunions avec les étudiants avaient le grand avantage de mettre en exergue leur esprit enthousiaste, indépendamment de toutes les tendances politiques. « Contrairement à ce que les ennemis, les puissances étrangères et certaines gens à l’intérieur du pays suggèrent, cela prouve que le désespoir et la dépression n’ont aucune place dans nos universités », a déclaré le Leader de la Révolution islamique. L’honorable Ayatollah Khamenei a ajouté que l’existence de cet esprit enthousiaste et dynamique donnait aux étudiants le sentiment qu’ils sont capables d’exercer une influence sur le cours des événements et qu’ils pouvaient exprimer leurs points de vue à haute voix et en toute liberté.

Le Leader de la Révolution islamique a déclaré que la plupart des critiques et des protestations, exprimées au début de cette réunion par les représentants des organisations estudiantines, concernant les différentes affaires du pays, étaient correctes. L’honorable Ayatollah Khamenei a affirmé : « Les étudiants expriment facilement et avec beaucoup d’enthousiasme leurs vœux, pourtant il faut prendre en compte la réalité des choses et savoir que la concrétisation de ces vœux n’est pas toujours très facile et exige beaucoup de travail. »

Le Leader de la Révolution islamique a déclaré : « L’une des conditions décisives pour la réalisation de ces vœux, c’est la présence constante des jeunes sur la scène et leur participation active aux efforts qui visent à résoudre les problèmes dans divers domaines. »

Pour répondre aux critiques formulées par les étudiants concernant certaines institutions, le Leader de la Révolution islamique a souligné : « Il est vrai que le commandement des forces armées iraniennes relève, selon la Constitution, des prérogatives du Leader, mais ce n’est pas exactement le cas pour d’autres institutions. Par exemple, bien que je nomme moi-même le président du pouvoir judiciaire ou le président de l’IRIB [la radiotélévision iranienne, NDLR], je n’interviens pas dans la gestion de ces institutions. Je peux même dire que j’ai souvent critiqué, par exemple, certaines prises de position de l’IRIB. »   

Le Leader de la Révolution islamique a ajouté : « L’une des solutions les plus efficaces consiste à introduire les ressources humaines jeunes, actives, croyantes et motivées dans toutes ces institutions. J’en ai parlé aux responsables de l’IRIB et d’autres institutions. »

Le vice-ministre russe des Affaires étrangères dit ne pas être au courant d’un soi-disant accord avec Israël au sujet de la Syrie.

Le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Mikhaïl Bogdanov, a annoncé qu’il n’était pas au courant d’une quelconque entente russo-israélienne au sujet des frontières du Sud syrien, près des territoires occupés palestiniens.

Selon l’agence de presse IRNA, Mikhaïl Bogdanov l’a annoncé ce mardi 29 mai devant les journalistes.

 

Selon un quotidien taïwanais, « les transactions pétrolières qui se font par la monnaie nationale chinoise aboutiront à l’essor des relations irano-chinoises ».

Le journal taïwanais Taipei Times a indiqué, dans un article publié le mardi 29 mai, que la multiplication des transactions pétrolières irano-chinoises par le yuan renforcerait le marché chinois et donnerait un coup de pouce aux relations entre Pékin et Téhéran.

« On parle récemment de l’internationalisation du yuan et c’est très probablement grâce à la multiplication des transactions pétrolières avec l’Iran que la Chine a actuellement plus de chances de faire de sa devise une monnaie d’échange internationale. Cependant, le gouvernement chinois a précisé que l’internationalisation du yuan constituait un processus qui dépendait de la croissance économique de la Chine », indique le Taipei Times.

Dans la foulée, le quotidien hongkongais The Morning Post a proposé l’inauguration d’un réseau commercial et bancaire indépendant via lequel des pays tels que la Chine pourraient entretenir des relations commerciales avec l’Iran, en réaction à la décision des États-Unis de se retirer de l’accord nucléaire.