تقي زاده

تقي زاده

Dans la conférence de presse de la 28e Conférence de l'Unité islamique, l'ayatollah Araki, secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques a présenté les programmes de la 28e conférence de l'Unité islamique qui sera tenue du 7 à 9 janvier dans la capitale iranienne.
L'extrémisme et le takfirisme ne sont pas seulement des menaces pour notre région mais, ils constituent une vraie menace pour toute l'humanité. L'instabilité et la disparition de l'identité des nations peuvent finir en une instabilité permanente, a souligné l'ayatollah Araki lors de ce point de presse.

Après avoir expliqué la situation de la région du Moyen-Orient, l'ayatollah Araki a expliqué les différents programmes. La fête de l'anniversaire du grand prophète de l'islam, le festival du poème religieux chiite et sunnite constituent des programmes de la 28e conférence de l'Unité islamique, a-t-il souligné.

Dans la 28e conférence de l'Unité islamique, les oulémas et les penseurs issus de plus de 62 pays seront présents. La conférence aura 9 commissions qui ont des sujets différents, a-t-il précisé.

Les professeurs d'universités, les femmes musulmanes, et les commerçants du monde musulman participeront également à cette conférence, a-t-il ajouté.

Répondant à la question du journaliste de l'agence de presse Taqrib (APT) concernant les programmes pour contrer les courants extrémistes et takfiriste, l'ayatollah Araki a répondu: la préparation des fatwas des oulémas chiistes et sunnites constituent un péritable point de repère dans la luette contre courants extrémistes et takfiris.

Dans une déclaration, M. Larijani à féliciter la naissance du Prophète de l’Islam, Hazrat Mohammad (paix soit sur lui et sa Famille), leurs homologues musulmans, a indiqué que la responsabilité de renforcer la fraternité et la solidarité entre les adeptes de cette foi repose les élites et les dirigeants du monde musulman.

Dans différents pays islamiques, la commémoration de la naissance du Prophète de l’Islam, Hazrat Mohammad (PSLF), a lieu chaque année du 12 au 17 Rabi'al-Awwal (le troisième mois du calendrier lunaire), qui coïncide cette année avec le cycle entre 4 et 9 Janvier.

Cette période est connue comme la semaine de «l'unité islamique», une initiative du fondateur de la République islamique d’Iran, l'imam Khomeiny (que Dieu vous en sa sainte gloire avoir), afin de favoriser l'unité parmi les musulmans et mettre de côté les différences; ainsi que souligné à plusieurs reprises le même Prophète (PSLF).

" Le gros problème est que certaines personnes ont des valeurs qui encouragent les plus susceptibles de commettre ces actes odieux ", a déclaré Kuhnke, se référant aux préjugés qui ont certains des Suédois.

Dans le même temps, le ministre a dit que le gouvernement suédois essayer de résoudre ce problème par des mesures de détention et de surveillance à l’extérieur, car ils soulagent seul problème à court terme." Nous ne allons pas changer (la situation) avec plus de gardiens de prison ou des caméras, " a-t-il dit.

Le haut fonctionnaire a déclaré que, dans le but de mieux décider d'une stratégie contre l’islamophobie, de coordonner les efforts du gouvernement avec les communautés musulmanes suédoises et ce dernier à demander d'aider l'État à adopter des mesures et des actions.

Ces derniers jours, il y a eu trois attaques sur trois mosquées dans diverses parties de la Suède. Les assaillants, dans toutes les agressions enregistrées, ont tenté de mettre le feu aux mosquées.

Rejetant ces faits, plus de 1000 Suédois sont venus le vendredi dans les rues et ont exigé un terme à la discrimination contre les musulmans vivant dans ce pays .Ce est durant ces mêmes protestations lorsque le ministre de la Culture a annoncé la stratégie nationale visant à réduire l'islamophobie en Suède.

Les attaques contre les musulmans sont de plus en Suède, où les partis d'extrême droite anti-immigration tendances sont de plus en plus de soutien tous les jours.

dimanche, 04 janvier 2015 01:00

Le Hezbollah, prêt à faire face à Israël?

«Pour faire face aux agressions du régime sioniste, le Hezbollah est fin prêt», a affirmé Nabil Kaouk, le vice-Président du Conseil exécutif du Hezbollah libanais. «Des milliers de forces de la Résistance figurent dans les rangs du Hezbollah» a précisé, ce samedi, Nabil Kaouk, en rappelant que le Hezbollah est prêt à se battre contre les Sionistes, a-t-on appris du site d’information libanais, An-Nachra.

«La réponse du Hezbollah au plan du régime sioniste visant à semer la sédition Sunnite-Chiite est la Résistance et l’unité, face au régime sioniste», a-t-il ajouté.

En violation de la résolution 1.701 du Conseil de sécurité des Nations Unies, mettant fin à la guerre de 22 jours de 2006 contre le Liban, le régime sioniste continue de violer l’intégrité territoriale libanaise.

1. Selon ce qui ressort des jugements émis par les guides religieux la zakat s’applique sur neuf choses : Le blé, l’orge, les dattes, les raisin secs, l’or, l’argent, le chameau, le bœuf, le mouton.[1] Si quelqu’un détient l’un de ces neuf biens, il doit en verser une partie comme zakat selon certaines conditions à l’un des concernés mentionnés dans la question 6221 (les cas où la zakat doit être dépensée).
2. Les conditions financières qui impliquent la zakat sont ;
A – le bien doit atteindre le taux que nous mentionnerons bientôt.
B – Son propriétaire doit être majeur et avoir toutes ses facultés mentales.
C – Le propriétaire doit pouvoir disposer de ces biens.
D – En ce qui concerne le bœuf, le chameau, le mouton, l’or et l’argent, douze mois doit passer. Et la précaution veut que la zakat s’applique à partir du douzième mois.[2]
E – La zakat s’applique sur l’or et l’argent frappés sous forme de pièce en vogue et utilisés dans le marché. Dans le cas contraire la zakat ne s’applique pas dessus.[3]
3. Le taux des biens mentionnés ci-haut :
A – Ratio du blé, de l’orge, des dattes et des raisins secs : la zakat du blé, l’orge, les dattes, les raisins secs devient obligatoires dès que le taux atteint 847 kilos.[4]Dans ce cas, si ces produits dans l’ensemble ont été irrigués par la pluie ou une rivière on prélève les un dixième. Et si dans la majeure partie ils ont été arrosés avec l’eau de puits la zakat s’applique sur les un vingtième. Et s’ils ont été irrigués communément par les deux sources, un quinzième doit être prélevé comme zakat.[5]
B – Ration des chameaux : le chameau a plusieurs taux. Pour cinq chameaux il faut donner un mouton comme zakat. Tant que les chameaux n’atteignent pas ce nombre la zakat ne s’applique pas dessus. Et après cela pour chaque groupe de cinq chameaux un mouton s’ajoute. Jusqu’à ce que le nombre de chameaux atteint 30. Alors pour 30 chameaux, il va falloir donner un chameau comme zakat.[6]
C – Ratio des bœufs est de trente têtes. Et pour trente têtes il faut prévoir un taureau qui a amorcé sa deuxième année. Et si le nombre de bœuf atteint 40, sa zakat équivaut à une vache qui vient d’entrer dans sa troisième année de vie. Si le troupeau atteint 60 têtes, il faut donner deux taureaux qui viennent d’aborder leur deuxième année de vie.[7]
D – Ratio des moutons : quarante moutons égale un mouton pour la zakat. Et tant que le nombre de moutons n’atteint pas 40 la zakat ne s’applique pas sur le reste. Quand le nombre de têtes atteint 121 on doit donner deux moutons comme zakat. Le troisième ration concerne 201 têtes : il faut mettre trois moutons de côté pour la zakat. Au-delà de ce nombre il faut procéder par taux de cent par cent et donner un mouton pour chaque cent tête.[8]
E – Ratio de l’or : le ratio de l’or est de 20 mithqâl conformément aux normes islamiques (ce qui fait l’équivalent de 70 grammes environ selon ce qui est en vogue). Alors la zakat appliquée est de 2.5%. Et chaque fois que quatre mithqâl de plus s’augmentent, 2.5% d’or s’ajoute.[9]
F – Ratio de l’argent : Pour 105 mithqâl ordinaire (environ 484 grammes) la zakat concerne 2.5% d’argent si les autres conditions évoquées sont remplies. Et chauqe fois que 21 mithqâl ordinaire s’augmente, 2.5% d’argent s’ajoute.[10]
Il faut surtout préciser que les cas évoqués sont ceux que les gens connaissent beaucoup au quotidien. Donc, pour en savoir plus sur les autres rations il faut consulter les ouvrages de jurisprudence mentionnés en référence.
RÉFÉRENCES :

[1] - Tawzih ul mamsa’il, Imam Khomeyni (mahashâ), complilé par Sayyed Mohammad Hossein Bani Hashimi Khomeyni, vol 2, p 107 bureau de publication, Qom, huitième impression, 1424 hégire lunaire. En plus des neuf elements mentionnés, certains jurisconsultes ont ajouté le capital venant de la profession et le commerce par précaution. Certains affirment que c’est juste recommandé, consulter thème 9422 (cas sur lesquels la zakat obligatoire et surrérogatoire s’aplique).
[2] - Ibid, 108
[3] - Extrait de la question 34289
[4] - Ibid, p 112, question 1864
[5] - Ibid, p 118 et 119
[6] - Ibid, p 135, question 1910
[7] - Ibid, p 136, question 1912
[8] - Ibid, p 137, question 1913
[9] - Ibid, p 128
[10] - Ibid, p 129

Les Etats-Unis n'aiment pas les « loosers » même parmi leurs alliés. Si les alliés arabes se sont avérés « perdants » sur la donne régionale, les Etats-Unis n'hésitent pas à interagir avec les « vainqueurs » ; et c'est ainsi que les Etats arabes se voient obligés d'opter pour l'ouverture envers Damas. C'est l'essence d'un article de l'analyste et expert des questions moyen-orientales, Abdel Bari Atwan paru sur le site Raialyoum. Plus de détails, dans les lignes qui suivent...

''Rouge, Blanc, Noir ! Le drapeau tricolore de la Syrie sera hissé de nouveau en haut de l'ambassade de ce pays au Koweït. Après 20 mois de fermeture, l'ambassade syrienne devait se rouvrir aujourd'hui au Koweït ; or, le gouvernement koweïtien et d'autres Etats riverains du golfe Persique auraient cru, pendant cette durée, que le gouvernement de Bachar Al-Assad serait renversé et les ambassades syriennes sur leur territoire tomberaient entre les mains de l'opposition. C'est pourquoi ils avaient suspendu le membership de la Syrie au sein de la Ligue arabe, confiant le siège de la Syrie à Maaz Al-Khatib, alors chef de l'opposition qui a prononcé, à ce titre, un discours au sommet arabe de Doha.

Mais le gouvernement syrien a survécu et il n y'a aucun signe qui promettrait sa chute au moins à long terme ; alors qu'au début de la crise, certains éléments, même au sein de l'armée ou aux instituts politiques et diplomatiques, avaient pris leur distance avec le gouvernement syrien, pour dire Oui aux propositions financières de l'empire propagandiste de l'Occident et des pays du golfe Persique. Ils avaient fait trop de confiance en les allégations des responsables américains, israéliens et turcs qui disaient que les jours du régime Assad en Syrie étaient comptés...Pour accélérer la chute du gouvernement de Damas, la partie opposée a recouru à l'arme, mais cette révolution n'a pas pris beaucoup de temps, pour se déboucher sur l'affrontement autour du pouvoir. Des milliards de dollars d'argent et des milliers de tonnes d'armements ont été injectés des deux côtés dans la donne syrienne. Les cartes du jeu se sont confondues, les équations ont changé, pour que 10.000.000 de syriens vivent actuellement dans les conditions difficiles, tandis que la Syrie a perdu, depuis, plus de 300.000 de ses meilleurs citoyens.

Ces évolutions ont enfoncé la Syrie dans un chaos meurtrier, faisant du pays le champ de bataille des Etats. L'unité géographique et anthropologique de la Syrie a été détruite et l'ethnicisme s'est imposé sur d'autres facteurs d'identité et d'alliance. Les opposants syriens aussi sont devenus dupes des promesses rassurantes des Etats-Unis et des pays arabes surtout les pays du golfe Persique. Ils se faisaient l'illusion d'être à seulement quelques jours du départ d'Assad qui devrait être remplacé, selon eux, par une république démocratique.

La réouverture de l'ambassade syrienne au Koweït serait la reconnaissance d'une réalité, en ce sens que les politiques des pays arabes du golfe Persique en Syrie ont échoué, d'autant plus qu'on est témoin également d'une ouverture considérable envers l'Irak, en tant qu'allié de la Syrie, ce qui consiste à inaugurer deux consulats et signer 46 accords commerciaux, dans ce cadre de la nouvelle stratégie koweïtienne en vue e normaliser et renforcer les liens avec les pays voisins.

Le Koweït a appelé en 2012 son ambassadeur à Damas, demandant à l'ambassadeur syrien sur son sol de retourner à son pays. Le Koweït a pris cette meure dans le cadre de la coordination avec les pays arabes du golfe Persique, bien que le Sultanat d'Oman ne soit pas resté fidèle à cet engagement et ait maintenu ouverte son ambassade à Damas. La question qui s'impose actuellement consiste à savoir si la réouverture de l'ambassade koweïtienne à Damas résulte d'une décision individuelle ou d'une mesure dans le cadre de l'accord avec les pays du golfe Persique, ce qui entraînerait la réouverture des ambassades syriennes dans toutes ou une grande partie de leurs capitales.

La Tunisie a été le premier pays arabe à avoir fermé son ambassade à Damas et à accueillir sur son sol la réunion des amis de la Syrie (qui n'existe plus). Mais ce pays était aussi le premier pays à la rouvrir, tandis que le nouveau président élu tunisien Beji Caïd Essebsi a reçu des messages de félicitation de Bachar Al-Assad. Nous n'excluons pas que cela marque le début d'un nouveau domino qui se poursuivra avec la réouverture, l'une après l'autre, des ambassades des pays arabes, en Syrie.

Plusieurs facteurs viennent compléter cet argument :

-Premièrement, les Etats-Unis ont réalisé que le camp Iran-Syrie-Irak, soutenu par la Russie, est le vainqueur de la donne actuelle. C'est pourquoi les Américains comptent sur cet axe avec lequel ils cherchent à interagir. C'est pour cette raison que les Etats-Unis cherchent en quelque sorte de le reconnaitre au grand dam de leurs alliés de longue date dont ils ont vidé la poche des années durant, en leur vendant plus de 150 milliards de dollars d'armes.

-Le deuxième facteur concerne le renforcement du poids de Daesh (Etat islamique), avec un califat autoproclamé et autosuffisant en termes d'argent et d'armement, avec une étendue plus grande que la France et tous les Etats du golfe Persique, à l'exception de l'Arabie saoudite. Daesh regarde l'extension géographique comme une stratégie et cela fait peur à tous les Etats de la région. Cette question a même changé les priorités de l'Occident, faisant croire à tous qu'il serait possible de voire en Syrie un allié digne de confiance pour l'avenir et les coopérations du futur.
-Troisièmement : la ligue arabe a perdu son prestige en tant qu'un parapluie de protection régionale en termes de politique. D'autre part, le coup d'Etat militaire en Egypte a mis fin au gouvernement des Frères musulmans en Egypte, entravant une vraie alliance entre l'Egypte d'une part, et le Qatar et la Turquie, de l'autre. Par ailleurs, les récentes élections tunisiennes ont donné vainqueur les libéraux en Tunisie et la troïka d'Ennahda n'existe plus. Quant à la Lybie, le pays a perdu sa stabilité et s'est embourbé dans des conflits sanglants. Tous ces facteurs font basculer la donne en Syrie et au travers du monde arabe.
-Quatrièmement ; le prix du pétrole à réduit de plus de 50% et pourrait même chuter à l'avenir jusqu'aux 20 dollars le baril ! Ce processus menace le camp des pays du littoral Persique et les rendent de plus en plus inquiets des agitations sociopolitiques internes. La baisse des prix du brut pourrait faire réduire les subventions gouvernementales et augmenter les taxes, avec, peut-être, une suppression des subventions appliquées sur la nourriture et les carburants.
-Le cinquième facteur consiste en l'effet boumerang du complot : le terrorisme revient avec force aux pays arabes du golfe Persique. Déjà en EAU et Arabie saoudite, les attaques étrangères ont été augmentées, tandis que Daesh a lacé des campagnes impressionnantes pour inciter au renversement de ces régimes. Pas mal de jeunes arabes ont été attirés par ces campagnes.
-Le sixième facteur concerne l'émergence de l'axe Egypte-Russie pour réunir les représentants du gouvernement et de l'opposition syriens, pour tenter de trouver une solution politique sans condition à la crise syrienne et indépendamment de la Turquie et des pays du golfe Persique ; or, beaucoup de groupes opposants syriens ont fait preuve de coopération avec cette initiative.
IL n'est pas exclu que le Ministre syrien des Affaires étrangères Walid Mouallem participe à la réunion de la ligue arabe prévue fin mars au Caire. Et il n'est pas exclu, non plus, que Maaz Al-Khatib, l'ancien chef de la coalition de l'opposition, Hassan Abdelazim, chef du conseil de coordination et d'autres membres de la délégation syrienne prennent place derrière ce diplomate chevronné syrien. Tout est possible ces jours-ci...''

Pendant ce temps, le commandant de la Force navale de l’armée, l'amiral Habibollah Sayari, a annoncé hier, samedi, que les plus âgés des exercices de missiles dans l'histoire de manœuvres militaires iraniennes commencent ce dimanche.

La grande manœuvre militaire de « Mohammad Rassoul Allah (PSLF) » les forces armées iraniennes, a commencé jeudi dans la ville portuaire de Jask, dans la province méridionale de Hormozgan dans une zone de plus de 2, 000,000 200,000 kilomètres carrés et culminera le 31 Décembre.

Les exercices couvrant une superficie entre l'est du détroit d'Ormuz et dans la région sud du golfe d’Aden, montrent la "haute capacité de l’armée iranienne dans le maintien de la sécurité des frontières nationales ", selon l'Purdastan général.

Lors d'une interview à la chaîne de nouvelles iranienne en anglais « Press TV », le commandant Persique a clairement fait savoir que ces exercices militaires, les forces armées de l'Iran veulent maintenir et renforcer leur préparation à l'entrée dans le combat.

Dans son avis, la grande manœuvre militaire des Forces armées de l’Iran, appelé « Mohammad Rassoul Allah (P) », qui se déroule dans le sud du pays Persique ne doit pas être considéré comme un fait que l'Iran " se sentaient menacés ".

" Dans ces exercices, l'Iran teste et utilise l'expérience acquise au cours des huit années de guerre [imposée par le régime baasiste irakien] ", a déclaré Chitforush, puis mettez en surbrillance le caractère défensif de cette manœuvre.

Le porte-parole de l’Armée de l'Air iranienne a expliqué que la manœuvre « Mohammad Rassoul Allah (PSLF) », l'armée de l'Iran cherche à utiliser l'équipement militaire qui ont été développés et renouvelé par des experts iraniens dans l'industrie de la défense, y compris des avions, des missiles et les navires.

Les exercices militaires susmentionnés ont commencé jeudi dans la ville portuaire de Jask, dans la province méridionale de Hormozgan, dans une zone de plus de 2,2 millions de kilomètres carrés, et culminent le 31 Décembre.

Ces exercices militaires, dont les Forces de l'air au sol, de la marine et l'armée de la République islamique d'Iran participé, sont pris en charge par l’Anti-avions Base de défense Khatam Al-Anbia.

Ce samedi est le troisième jour de cette manœuvre, dans lequel la base Khatam Al-Anbia l'armée iranienne a mené des opérations de détecter et d'intercepter aéroglisseur d'un ennemi hypothétique.

Au cours des dernières années, l'Iran a fait des progrès considérables dans le secteur de la défense; cependant, a toujours insisté pour que sa doctrine militaire soit basée sur la dissuasion, et que sa puissance militaire ne pose pas de menace pour les autres pays, en particulier ses voisins.

Le bureau militaire de haute note que cette manœuvre, appelée « Mohammad Rassoul Allah (PSLF) », confirme que nous sommes prêts à coopérer avec tous les pays de la région sous la bannière de l'Islam et dans le but d'établir la sécurité.

Se référant à la mer d'Oman et le détroit d'Ormuz en plus importantes voies maritimes les dans le monde " en passant de l'économie mondiale “, souligne l'importance de la sécurité dans ces domaines.

Et à cette fin, a appelé tous les pays de la région à unir leurs forces avec la République islamique pour renforcer la sécurité régionale.

Ces manœuvres démontrent au monde que les pays riverains du golfe Persique sont plus que capables d'établir la sécurité et ne nécessitent pas la présence d'étrangers ajoute.

Les exercices militaires susmentionnés, qui impliquent les forces terrestres, la marine et l'armée de l'air de la République islamique d’Iran, a commencé le 25 Décembre dans la ville portuaire de Jask, dans la province méridionale de Hormozgan, couvrant une superficie de plus de 2 millions 200000 kilomètres carrés. Termine le 31 Décembre.

Au cours des dernières années, l’Iran, malgré les sanctions internationales, a accompli des réalisations importantes dans le secteur de la défense ; cependant, insiste sur le fait que sa doctrine militaire est basée sur la dissuasion, et que sa puissance militaire ne pose pas de menace pour les autres pays, en particulier ses voisins.

mardi, 30 décembre 2014 01:00

Un conseiller militaire iranien tué en Irak

Un gradé militaire iranien a été tué en Irak, où il participait à une mission de conseil dans la lutte contre les rebelles du groupe Daech, ont annoncé dimanche les gardiens de la révolution, l'armée d'élite iranienne.
"Le brigadier général Hamid Taghavi est tombé en martyr lors d'une mission pour conseiller l'armée et les volontaires irakiens pour lutter contre les terroristes de Daech dans la ville de Samarra", à 110km au nord de Bagdad, selon un communiqué des Gardiens de la révolution publié sur leur site officiel, Sepahnews.com.


Les obsèques de M. Taghavi seront organisées lundi à Téhéran dans une mosquée située à l'intérieur du siège du commandement général des Gardiens de la révolution, de même source.