États-Unis doivent apprendre que vous ne pouvez pas résoudre vos problèmes provoquant des guerres, ni peut établir un ordre unilatéral en leur faveur dans le monde. L'étape de monde unipolaire a pris fin.

Donc, ce dimanche a affirmé le commandant adjoint de l'état-major des forces armées iraniennes, le général de brigade Seyed Massoud Jazayeri, notant qu'il est détesté des États-Unis dans le monde d'aujourd'hui par les musulmans et les résidents de la région.

" Le monde est témoin aux États-Unis commet des crimes de guerre et de provoquer les guerres et les conflits les plus sanglants ", a-t-il souligné.

Le militaire de haut rang a rejeté comme ridicules les dernières déclarations des autorités américaines sur l'option militaire contre l'Iran en assurant que la politique du pays perse ne sera pas affectée par les menaces américaines.

Il a insisté sur la puissance militaire du pays et a averti que de nombreux intérêts régionaux américains et le régime israélien sont sous la puissance militaire du pays perse et que " l'Iran a déjà décidé comment réagir face à l'ennemi. "

L'expérience de la défense sacrée ( huit années de guerre imposées par les baasistes ex-régime de l'Irak contre l'Iran ) et les efforts des anciens combattants et spécialistes iraniens au cours des dernières années, a-t-il ajouté, ont fait de nous réjouissons d'un demi-siècle accès aux militaires scientifique et de haute technologie en dépit des sanctions.

Jazayeri mis en garde les grandes puissances à ne pas interférer dans les affaires intérieures du pays pour marquer la direction sage persan du Guide suprême de la révolution islamique, l'ayatollah Seyed Ali Khamenei, qui a conduit le pays à une stratégie militaire défensive haut de gamme.

" Nous allons répondre à toute attaque avec certitude, " a-t-il conclu.

Il n'est jamais diplomatie fructueuse qui est basé sur la force, le bellicisme et la violation des droits des nations, et a déclaré dimanche le ministre iranien de la Défense, le général de brigade Hussein Dehqan.

" La langue et menaçant rhétorique de guerre loin de la raison et la logique sont inestimables et inacceptable ", a déclaré Dehqan en réaction aux récentes déclarations du secrétaire à la Défense des États-Unis, Chuck Hagel sur la diplomatie avec l'Iran est basée sur la force militaire.

Le chef de la Défense iranien a déclaré que les déclarations de son homologue américain confirment l'influence du lobby israélien dans les autorités américaines et a déclaré que ces allégations suscitent la méfiance et la haine du peuple envers les Etats-Unis.

Rappelant les déclarations Hagel sur les ventes d'armes aux pays arabes riverains du Golfe Persique, le militaire de haut rang a souligné que de telles approches sont adoptées dans le cadre du plan iranophobie dans la région.

Montrent plus que les Américains ne se soucient pas de la sécurité de la région, mais poursuivent leurs propres intérêts à protéger son économie en crise.

" Les autorités américaines sur un des champions du côté de la paix et de défenseurs des droits humains et autres batteurs sur la demande de la guerre et de la menace ", le responsable iranien a affirmé, après en avoir avisé le golfe Persique à être plus vigilants guerre psychologique contre les États-Unis dans la région.

" Sécurité durable dans la région est réalisable grâce à de bon voisinage, l'interaction mutuelle et la coopération fondée sur la confiance ", a conclu Dehqan.

Pour la première fois les représentants américains, britanniques et d'autres pays occidentaux se sont entretenus à Ankara avec des membres de groupuscules islamistes syriens qui combattent contre le président Bachar al-Assad, écrit vendredi le quotidien Kommersant.Jusqu'à présent l'Occident n’avait affiché son soutien qu’aux mouvements laïques composant l'Armée syrienne libre (ASL). Cependant, l'influence de ces groupes chute si rapidement que Washington et ses alliés ont dû chercher de nouveaux partenaires parmi les radicaux, qui comptent instaurer la charia en Syrie s’ils prennent le dessus sur Assad.

Les négociations ont été organisées à Ankara par la Turquie et le Qatar – deux Etats du monde islamique qui soutiennent l'opposition de manière inconditionnelle depuis le début de la guerre civile en Syrie, y compris les mouvements fondamentalistes.

Les opposants de Bachar al-Assad étaient représentés, dans la capitale turque, par les membres de l'alliance Front islamique récemment créée. Selon les experts, elle rassemble aujourd'hui plus de la moitié de tous les combattants de l'opposition.

Le programme politique du Front n'a pas grand-chose à voir avec la démocratie ou les valeurs laïques prônées par les dirigeants occidentaux. Les membres de l'alliance ne cachent pas qu'ils ont pour objectif de former en Syrie un Etat islamique qui vivra selon la loi de la charia et que le régime de Bachar al-Assad est inadmissible à leurs yeux, de par sa nature laïque et libérale.

L'un des participants occidentaux aux négociations a confié au journal britannique The Daily Telegraph que le Front comportait des "éléments sinistres". Ce dernier est toutefois convaincu qu’un dialogue avec l'alliance est nécessaire, "au moins pour savoir ce que les islamistes veulent de la communauté mondiale".

En établissant un contact avec le Front islamique, les diplomates occidentaux espèrent empêcher son fusionnement avec des groupes encore plus radicaux comme le Front al-Nosra ou l'Etat islamique en Irak et au Levant, deux organisations étroitement liées à Al-Qaïda. Etant donné que l'influence de l'ASL est en chute libre, les Américains et les Européens ont commencé à considérer les islamistes modérés syriens comme un moindre mal par rapport aux terroristes internationaux, avec qui il est impossible d'établir un dialogue. Ces derniers sont reconnus par Washington, Londres et autres capitales occidentales comme le principal problème pour l'avenir de la Syrie.

Le général Salim Idris, commandant de l'ASL, est également de cet avis. Il a même récemment déclaré dans une interview, de manière paradoxale : "Après la victoire sur Bachar al-Assad l'opposition modérée devra s'unir avec le reste des forces gouvernementales pour chasser les groupuscules liés à Al-Qaïda".

Mais seulement 10 à 15% des combattants de l'opposition obéissent au général Idris, et les troupes jihadistes sont généreusement financées par les pays du Golfe persique, mieux armées et plus opérationnelles, ce qu'elles ont prouvées à plusieurs reprises ces derniers mois en partageant les sphères d'influence avec d'autres mouvements d'opposition sur les territoires "libérés".

Le président iranien, Hassan Rohani, a déclaré que la dignité, la justice et la liberté, sont les objectifs qui ont été imposées aux personnes, jeunes étudiants et iraniens.

Alors, que dit Rohani samedi dans un discours à l'Université Shahid Beheshti à Téhéran, la capitale, à l'occasion de l'étudiant de l'Université.

Rohani a dit également que les étudiants sont les défenseurs de la science et de la politique, et chaque fois que le gouvernement ou toute autre institution dévié de la voie de la sagesse et de bien-être national, ils écouter pour éviter les erreurs.

En outre, le président iranien a souligné que le gouvernement fera tout son possible pour exploiter le talent de l'université pour améliorer l'avenir du peuple iranien et les pays du monde musulman .

Rohani , se souvenant d'éviter plus et demander la modération , du progrès et de la liberté, a assuré que l'énergie nucléaire comme un droit légitime de l'Iran , fin des sanctions , le bien-être de la population, l'amélioration conditions de vie et le développement, sont également des droits absolus de la nation perse.

En outre, le président iranien, se référant à l'accord entre l'Iran et le G5+1 (USA, Royaume-Uni, la Chine, la Russie et la France, plus l'Allemagne), a fait valoir que de nombreux alliés et voisins de l'Iran se sont réjouis à Obtiennent l'alliance, mais en retour, beaucoup d'autres, qui voient leurs bénéfices à long terme en danger, ont été dégoûté et ont décidé de suivre la politique du régime d'Israël.

De même, il a souligné que les objectifs de la République islamique d'Iran sont que le respect de sa souveraineté, de l'indépendance, de maintenir leur identité iranienne et islamique, le progrès et l'amélioration Justice ; objectifs poursuivis par le peuple et le gouvernement de l'Iran.

6 Décembre 1953, trois étudiants iraniens ont été martyrisés au cours des manifestations qui ont eu lieu en face de l'université de Téhéran contre les retours de relations entre l'Iran et le Royaume-Uni, et le voyage de Richard Nixon, vice-président des États-Unis à l'époque, Téhéran.

"L'Iran doit son succès lors des négociations nucléaires à Genève à la force de son peuple ", a considéré comme l'imam de la prière du vendredi à Téhéran, l'ayatollah Seyed Ahmad Khatami.

Se référant à l'accord conclu récemment entre l'Iran et le groupe 5+1, atteint dans la ville suisse de Genève, le clerc a annoncé que la fierté de la nation est dans sa force et non sur la table des négociations.

Il a également continué à dire que la culture généralisée de la résistance garantit le bien-être du pays et le système.

La résistance du peuple iranien forcé l'ennemi à battre en retraite, l'ayatollah Khatami a souligné, alors souligner que ce combat exige des efforts diplomatiques, avec enthousiasme révolutionnaire.

Auparavant, les ennemis n'ont pas permis aux activités de centrifugeuses en Iran pour mener des recherches scientifiques, il a rappelé la prière collective aujourd'hui, de se référer à plus tard, grâce à la résistance du peuple et les efforts des scientifiques iraniens, actuellement, il ya 19 000 centrifugeuses actives.

Il a également été dirigé à l'équipe de négociation nucléaire iranienne en pourparlers pour recommander d'être très prudent et éviter d'être trompé par les parcelles de l'ennemi.

" La nation croit en vous, mais en même temps a perdu confiance dans USA et d'autres pays occidentaux ", a-t-il expliqué.

L’islam est une religion sociale qui accorde une attention spéciale à la société humaine. L’Hodjat-ol-islam Hossein Ebrahimi, membre du Parti des religieux révolutionnaires, dans un entretien avec l’Agence Internationale de Presse Coranique, a déclaré qu’il était nécessaire de définir les droits des citoyens et que pour cela, il fallait en grande partie, s’inspirer du Coran et du recueil de Droit de l’Imam Sajad (AS).

« L’islam est une religion sociale qui accorde une attention spéciale à la société humaine. Le recueil de Droit de l’Imam Sajad (AS) présente les droits de la personne, des voisins, des coreligionnaires et des citoyens.

La lettre de l’Imam Ali (AS) à Malik Ashtar, le livre qui est un ensemble de hadiths rapportées dans le Kafi et le « Vassa’el-o-Shia » peuvent aussi servir de référence dans cette étude sur les droits des musulmans, des êtres humains et des voisins, et l’élaboration d’un système de droits qui réponde aux besoins humains à toutes les époques. Ce travail bien entendu, est un travail de spécialistes », a-t-il dit.

Randy Short, militant américain pour la défense des droits de l’homme et membre du Comité pour la paix mondiale de Washington, dans un entretien avec l’Agence Internationale de Presse Coranique, a déclaré que les gens aux États-Unis, étaient privés d’information sur l’Ayatollah Khomeiny.

« L’introduction de l’islam dans les équations politiques mondiales a contribué à de grands changements et les pouvoirs qui ne voulaient pas accepté les revendications des musulmans ont été, grâce à leur foi, mis de coté. Les médias qui sont au service du sionisme, donnent une image déformée de cette personnalité.

Je suis un nationaliste américain, indien et africain, et tous mes leaders, Martin Luther King, Edgard Varèse et Malcom Shabaz, ont été emprisonnés et assassinés. Nous sommes donc au courant des techniques impérialistes de diabolisation des leaders qui cherchent à libérer les peuples. Malgré tous les mensonges qui ont été dits sur lui, j’ai compris qu’il était un grand homme et que les Iraniens l’aimaient.

J’ai vu que la Savak, la Cia et la police de Washington frappaient et arrêtaient les opposants au Shah. L’Ayatollah Khomeiny était soutenu par les intellectuels qui voulaient libérer l’Iran du joug des États-Unis, de l’Angleterre et d’Israël, et du joug des gens qui ne se souciaient aucunement de la pauvreté qui sévissait dans le pays. Je ne pourrai jamais oublier la comparaison qu’il a faite au sujet des États-Unis qui depuis la deuxième guerre mondiale, ne faisaient que tuer, piller et voler, en les traitant de « grand Satan ».

Des dizaines de millions de gens ont été tués à cause d’eux, en Afrique, en Amérique latine et en Asie. La Corée du nord, le Japon, le Cambodge, le Laos, la Palestine, la Somalie, l’Afghanistan, Haïti et le Libéria ont été détruits. Aucun gouvernement n’a autant volé que celui des États-Unis, même Saddam, le Shah et les princes saoudiens.

Le noyau de corruption aux États-Unis est une réalité, les cabalistes, les sionistes, les illuminatis et d’autres sociétés secrètes comptent des personnalités politiques importantes aux Usa. Un des avis très juste de l’Ayatollah Khomeiny était la nécessité de protéger les jeunes des assauts culturels occidentaux, nous devons lui être reconnaissants d’avoir parlé à haute voix de la spiritualité et j’espère pouvoir lire d’autres livres sur le leader de la Révolution en anglais.

Cela m’aidera beaucoup. Toute révolution pour avoir des effets à longs termes, a besoin de cadres expérimentés et instruits. Sans cela il ne s’agit que d’émeutes provisoires. Les leaders qui réussissent sont ceux qui ont un programme précis et réaliste, et avancent sans tenir compte des menaces et des pressions », a-t-il dit.

Une conférence internationale ayant pour titre « Bénéficier de la technologie IT au service du Coran et des sciences coraniques » se tient le 22 décembre à l’université Tayyiba dans la sainte ville de Médine en Arabie.

Selon le site de l’université Tayyiba, la conférence de 4 jours se tiendra avec la participation des chercheurs et des experts de IT, au service du Saint Coran et des sciences coraniques.

La conférence aura pour but de permettre l’échange des résultats des recherches et des découvertes dans le domaine de l’emploi de IT au service du Saint Coran et d’examiner les procédés qui peuvent être employés dans le futur.

IT et les services à la science des lectures, IT et servir l’interprétation du Saint Coran, E-learning au service du Saint Coran et des sciences coraniques, les standards de qualité dans l’emploi d’IT en vue de servir le Coran et les sciences coraniques et les recherches en soutien à l’application d’IT au service du Coran et des sciences coraniques sont les axes de cette conférence internationale.

Les intéressés peuvent envoyer l’extrait de leurs travaux au site de la conférence.

Les travaux de recherche choisis par les experts seront publiés dans le cadre d’un livre et placés sur le site Internet de l’université.

Le penseur chiite saoudien et l’Imam de la première du vendredi de Qatif a affirmé : « Offenser les sacro-saints est en contradiction avec la tradition de l’Ahl-ul-Bayt (AS) et les recommandations des grandes références. »

Selon la chaîne d’information Rasid, le cheikh Hassan al Saffar a indiqué : « L’intolérance et les tendances confessionnelles sont des symboles ainsi que les origines des conflits politiques. »

Lors d’une interview accordée à la chaîne Al Kout, il a souligné : « Explosions, assassinats et terrorisme dont nous sommes aujourd’hui témoin dans le monde de l’Islam, n’ont pas seulement pour origine les éléments confessionnels, mais ils sont des signes des conflits politiques. »

Hassan al Saffar a ajouté : « Certaines organisations politiques profitent des courants takfiristes terroristes pour atteindre à leurs objectifs dans les conflits entre les groupes politiques. »

Mettant en garde contre la poursuite du processus de la violence dans le monde de l’Islam, le religieux saoudien a précisé : « Si la communauté musulmane ne lutte pas contre le despotisme politique et si les nations n’arrivent pas à une entente nationale, la situation va se prolonger. »

Critiquant les offenses envers les sacro-saints d’autrui, il a ajouté : « Ce comportement est en contradiction avec la tradition de l’Ahl-ul-Bayt (AS) et des recommandations des grandes références. »

Al Saffar a mis l’accent sur la nécessité de la convergence et du dialogue entre les disciples des religions islamiques, ajoutant : « Nous n’accepterons pas de combattre les projets visant à rapprocher les écoles islamiques et assurer l’unité dans le monde de l’Islam, parce que l’unité islamique est un grand acquis. »

Le cheikh d’Al Azhar a reçu, le mardi 3 décembre, un message officiel du Pape pour la reprise du dialogue bilatéral entre les deux centres religieux.

Selon le site d’information Al Ahram, Ahmad al Tayyeb, cheikh d’Al Azhar a reçu le message du Pape François 1er, qui a mis l’accent sur la reprise du dialogue bilatéral et des efforts visant à servir l’humanité.

Le message a été remis mardi au Caire, par une mission du Vatican, à Abbas Chauman, adjoint du cheikh d’Al Azhar et à Mahmoud Azab, son conseiller aux affaires du dialogue.

Lors de cette rencontre, les responsables d’Al Azhar ont mis l’accent sur la nécessité de coordonner leurs efforts à côté de ceux du Vatican et de tous les hommes honnêtes en vue de servir l’humanité.

L’adjoint du cheikh d’Al Azhar a souligné : « Il y a une coordination entière entre Al Azhar et l’église égyptienne pour servir l’humanité et dans ce but, des rencontres auront lieu dans un proche avenir entre Al Azhar et les églises égyptiennes. »