تقي زاده

تقي زاده

Le Parlement en Iran a adopté dimanche un projet de loi contre le financement du "terrorisme", un texte critiqué par les conservateurs mais considéré comme vital pour sauver l'accord sur le nucléaire avec les partenaires de Téhéran, après le retrait américain. 
 
Ce projet de loi, l'un des quatre mis en avant par le gouvernement iranien pour répondre aux demandes du Groupe d'action financière (Gafi), a été adopté par 143 voix pour et 120 contre, selon l'agence semi-officielle Isna.

Le Gafi est un organisme intergouvernemental fondé en 1989 par le G7, visant à développer et promouvoir des politiques nationales et internationales de lutte contre le blanchiment d'argent et le financement du "terrorisme".

En juin, il avait donné trois mois à l'Iran pour adopter plusieurs lois nécessaires à son retrait de la liste noire des pays ou territoires non coopératifs.

"Ni le président ni moi ne pouvons garantir que tous les problèmes seront résolus si nous adhérons" à la Convention onusienne, a affirmé le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, au cours d'un débat précédent le vote.

"Mais je peux assurer que ne pas y adhérer donnera aux Etats-Unis plus d'excuses pour accroître nos problèmes", a-t-il ajouté.

Le projet de loi a pour objectif de permettre à l'Iran de s'aligner avec les normes internationales et d'adhérer à la Convention de l'ONU pour la répression du financement du terrorisme.
Jusqu'à 5.000 personnes sont présumées disparues dans deux sites durement touchés de Palu, localité de l'île indonésienne des Célèbes frappée par un puissant séisme suivi d'un tsunami, a annoncé dimanche un porte-parole de l'agence de gestion des catastrophes.
Sutopo Purwo Nugroho a expliqué aux journalistes que ce chiffre était fondé sur les estimations des chefs de villages à Petobo et Balaroa, sites dévastés par la double catastrophe survenue le 28 septembre dans l'agglomération de 350.000 habitants et que les recherches de disparus se poursuivront jusqu'au 11 octobre. A cette date, ils seront présumés morts.
 
A ce stade, 1.763 corps ont été retrouvés, selon un dernier bilan.

Mais les secours craignent que des milliers d'autres dépouilles ne se trouvent dans deux quartiers de Palu particulièrement dévastés.
Deux des trois Israéliens blessés lors d'une attaque armée perpétrée dimanche près d'une zone industrielle adjacente à une colonie israélienne de Cisjordanie occupée sont décédés, a indiqué l'armée israélienne. 
 
Selon un porte-parole de l'armée, l'assaillant, toujours en fuite, est un Palestinien de 23 ans qui travaillait dans la même entreprise que les victimes, dans la zone industrielle de Barkan.

La zone industrielle se trouve à côté des colonies de Barkan et d'Ariel, dans le nord de la Cisjordanie, un territoire palestinien occupé illégalement par Israël depuis plus de 50 ans.

En réaction aux verbiages des parties occidentales avant le début de la bataille d’Idlib, le président syrien a affirmé que la libération de cette province déjouerait les plans des États-Unis et de l’Occident.

Le Comité central du parti Baath a tenu aujourd’hui une réunion présidée par le secrétaire régional du parti, le président Bachar al-Assad.

« La question du Deal du siècle est aussi ancienne que la cause palestinienne, mais elle s’est accélérée dernièrement en vue de bénéficier de la défection d’un certain nombre d’États du front anti-israélien », a-t-il fait savoir.

 

De retour de Moscou où il a rencontré de hauts responsables militaires russes, le commandant des forces armées indiennes, le général Bipin Rawat, a déclaré que l’Inde poursuivrait sa politique indépendante.

L’Inde, qui a toujours été proche de la Russie, a clairement défié les États-Unis, en achetant vendredi à Moscou le système de défense antiaérienne S-400 à l’occasion de la visite en Inde du président russe Vladimir Poutine. Ce contrat va à la fois agacer et embarrasser les États-Unis. La transaction s’élève à 5,2 milliards de dollars, selon des responsables diplomatiques indiens joints par l’AFP.Dans ce droit fil, le général Bipin Rawat a déclaré que New Delhi poursuivrait sa politique indépendante et qu’il comptait acquérir des hélicoptères Kamov et d’autres équipements russes.

« Suite à l’achat de S-400 à la Russie, l’Inde encourt des sanctions américaines. Néanmoins, les Russes se réjouissent de la coopération avec l’armée indienne. Ils savent que notre armée est puissante et capable de défendre nos intérêts », a-t-il souligné.

Au sujet du développement de la coopération indo-américaine, il a dit avoir assuré les autorités russes qu’il a rencontrées à Moscou de l’autonomie de New Delhi.

L’Inde cherche aussi à accéder à la technologie aérospatiale russe.

Un radar volant de l’OTAN a été intercepté par la DCA syrienne alors qu’il menait une mission de reconnaissance sur une base militaire russe en Syrie où sont désormais déployés des systèmes de défense antiaérienne S-300.

La DCA syrienne a intercepté l’avion de détection et de commandement de l’OTAN, Boeing E-3A Sentry, connu également sous le nom d’AWACS, qui de provenance d’Allemagne, a survolé pour une durée de 3 heures les eaux internationales de l’est de la Méditerranée à proximité du Liban afin de scanner la base militaire russe Hmeimim près de Lattaquié en Syrie, a rapporté Sputnik.

Depuis la livraison de systèmes russes de défense antiaérienne S-300 à l’armée syrienne, les avion-espions de l’US Air Force font régulièrement des tours à proximité des côtes syriennes où sont situées les bases militaires russes.

Ayant promis de renforcer les systèmes de guerre radio-électroniques en Syrie, Sergueï Choïgou, le ministre russe de la Défense avait fait état lors d’une réunion avec le président russe Vladimir Poutine et les membres du Conseil de sécurité de la fédération de Russie, du débarquement du dispositif de guerre électronique « Krassukha-4 » le 25 septembre en Syrie dans le cadre de la livraison des S-300.

Les médias syriens ont fait part, samedi soir, d’une opération héliportée de la coalition américaine lors de laquelle elle a sorti un nombre d’éléments supposément de Daech de la localité d’al-Shaafa, au sud-est de Deir ez-Zor, dans l’est de la Syrie. Au nombre de ces éléments, il se pourrait qu'il y ait des officiers occidentaux. 

En effet, ce sont les hélicoptères de la coalition américaine qui ont effectué l’opération de transfert des terroristes de Daech vers l’extérieur de Deir ez-Zor.

Les terroristes dont la plupart étaient blessés ont été transférés vers un endroit inconnu. La localité d’al-Shaafa est occupée par Daech, supplétifs takfiristes des forces US basées à Al-Tanf. 

D’après des rapports officiels, les Américains ont, à maintes reprises, aidé les terroristes de Daech à quitter la région dans la mesure où Daech n'est qu'un nom d'emprunt pour dissimuler la vraie identité des parties impliquées dans la guerre contre l'Etat syrien et ses alliés. 

La réaction américaine à la frappe balistique iranienne contre Hajin à Abou Kamal a été singulière : d'une hostilité ouverte, les Américains en sont désormais à proposer à l'Iran "une connexion au réseau commun de communication militaire américano-russe". À ceci s'ajoutent des rapports publiés par les Think Tanks américains qui font état, ces derniers jours, de l'incapacité US à faire face à une guerre généralisée ayant plusieurs fronts. Pourquoi? 

Dans son index sur la capacité de l’armée américaine, le laboratoire d'idées et lobby américain basé à Washington, Foundation Heritage écrit que malgré le budget alloué à l’armée américaine, celle-ci aurait du mal à se battre si elle était forcée à faire face à deux conflits simultanément . 

" Les équipements militaires modernes de l'armée américaine représentent les deux tiers de ce qu'ils devraient être. Les équipements utilisés sont également plus anciens et moins performants, et leur utilisation au niveau d’alerte engendrera des problèmes ", indique l’index de la force militaire américaine publiée par la Fondation Heritage qui propose des analyses des problèmes de politique de défense de l’année écoulée.

La coalition al-Fath en Irak met en garde les États-Unis et Israël contre la riposte écrasante à toute attaque qui viserait les positions de l’axe de la Résistance situées en Irak.

Entesar Hassan al-Moussaoui, le représentant de la coalition d’al-Fath auprès du Parlement irakien, a mis en garde ce samedi 6 octobre les États-Unis et Israël contre toute attaque visant les positions des forces de la Résistance en Irak.

« Washington et Tel-Aviv veulent relancer le terrorisme après la victoire des forces de la Résistance islamique et des Hachd al-Chaabi », a déclaré Entesar Hassan al-Moussaoui lors d’une interview accordée à l’agence irakienne de presse Al-Maalouma.

Pour Entesar Hassan al-Moussaoui, le consulat américain à Bassora dans le sud du pays représente « un sérieux danger » pour la sécurité et la souveraineté irakienne. 

La Palestine dénonce un complot israélien nouveau pour remplacer les services de l’UNRWA et expulser subrepticement dans la ville occupée d’Al-Qods (Jérusalem). 

Al-Qods israélien maire, Nir Barkat, a annoncé jeudi dernier qui avait produit « un plan détaillé » pour remplacer l’Office des Nations Unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA, pour son sigle en anglais) et assumer les services fournis par cette Agence dans la partie orientale d’Al-Qods. 

« Cette décision fait partie d’une campagne agressive lancée par l’occupation israélienne de judaïser la ville d’Al-Qods et d’éliminer son identité palestinienne, agissant surtout sur le secteur de l’éducation dans la ville sainte », a déploré aujourd'hui samedi le ministère d’Éducation en Palestine. 

Le portefeuille des palestinien, a également examiné cette mesure dans le cadre de « une série d’étapes malveillantes » du gouvernement américain à bloquer les opérations de l’UNRWA et mettre fin à l’humanitaire et l’éducation prend en charge les réfugiés palestiniens. 

L’annonce du maire israélien survient près d’un mois depuis que Washington a annoncé la coupe de tout le budget alloué à l’UNRWA sous prétexte que c’est « une opération a irrémédiablement échouée ». 

Selon le nouveau plan israélien, les écoles de l’UNRWA, qui comptent environ 1800 élèves, fermera à la fin de cette année scolaire, et les enfants seraient transférés dans les écoles municipales. 

Le Ministère palestinien, cependant, croit que la décision controversée de fermer les activités de l’Agence dans la ville d’Al-Qods est « un défi flagrant à l’ONU et ses institutions ». 

La suspension des contributions américaines à l’UNRWA a suscité des critiques de la part des Palestiniens et la communauté internationale. L’autorité nationale palestinienne (ANP) a décrit la décision de nous d’une « attaque flagrante » aux Palestiniens. 

La mesure, cependant, a été saluée par le régime de Tel-Aviv. Un représentant du Bureau de l’israélien premier ministre Benjamin Netanyahu, accusé, en fait, l’UNRWA de « perpétuer le conflit entre la Palestine et Israël ». « Consolider les réfugiés palestiniens statut est l’un des problèmes qui perpétue le conflit », il a soutenu.