Un Croyant peut très bien se souvenir d'un péché commis 40 années auparavant et plus puis implorer le Pardon de الله-Dieu, et الله-Dieu le lui pardonnera ".
Rapporté par Zayd Al-Shuh'ham, cité dans Mishkat Al-Anwar, précité, hadith 459, page 245 de l'arabe.
Au Jour de la Résurrection, un homme se dirigeant vers le Feu verra l'un de vos Croyants, lui rappellera qu'il l'avait aidé en cette Doun'ia et lui demandera alors de l'aider [à se sortir de là]. Le Croyant demandera aux Anges de le laisser sortir et الله-Dieu ordonnera à Ses An-ges de le laisser entrer au Paradis ".
Au Jour de la Résurrection, un homme se dirigeant vers le Feu verra l'un de vos Croyants, lui rappellera qu'il l'avait aidé en cette Doun'ia et lui demandera alors de l'aider [à se sortir de là]. Le Croyant demandera aux Anges de le laisser sortir et الله-Dieu ordonnera à Ses An-ges de le laisser entrer au Paradis ".
Rapporté par Meysar, cité dans Mishkat Al-Anwar, précité, hadith 464, page 249 de l'arabe.
Au Jour de la Résurrection, il sera demandé à celui qui n'a au-cune Bonne Action de comptabilisée en sa faveur de fouiller dans son passé pour s'y rappeler éventuellement une Bonne Action, il se sou-viendra alors d'avoir fourni de l'eau à un Croyant désireux d'accomplir ses ablutions avant de prier. Puis, le Croyant en question sera questionné par الله-Dieu sur la véracité de l'action citée : " C'est vrai, ô mon Seigneur ! " Enfin, الله-Dieu Très-Majestueux dira : " JE te pardonne, laissez entrer Mon Serviteur en Mon Paradis ".
Au Jour de la Résurrection, il sera demandé à celui qui n'a au-cune Bonne Action de comptabilisée en sa faveur de fouiller dans son passé pour s'y rappeler éventuellement une Bonne Action, il se sou-viendra alors d'avoir fourni de l'eau à un Croyant désireux d'accomplir ses ablutions avant de prier. Puis, le Croyant en question sera questionné par الله-Dieu sur la véracité de l'action citée : " C'est vrai, ô mon Seigneur ! " Enfin, الله-Dieu Très-Majestueux dira : " JE te pardonne, laissez entrer Mon Serviteur en Mon Paradis ".
Rapporté par Mohammed Ibn Hamran, cité dans Mishkat Al-Anwar, hadith 465, page 249 de l'arabe.
Au Jour de la Résurrection, les Croyants seront ordonnés d'observer les gens et d'y trouver parmi eux ceux qui les auraient se-courus [en cette Doun'ia] en les nourrissant ou en leur procurant de l'eau à boire etc. Ils seront ensuite ordonnés de les prendre par la main et de les mener au Paradis.
En chemin, les Anges leur demanderont vers quel lieu ils se dirigeaient ; puis الله-Dieu ordonnera : " Accordez à Mes Serviteurs la permission de passer ". Ils passeront. C'est la rai-son pour laquelle le Croyant est nommé " Mu'min ", signifiant en langue arabe : " Celui qui accorde la Dispense " près de الله-Dieu et que الله-Dieu accepte ".
Au Jour de la Résurrection, les Croyants seront ordonnés d'observer les gens et d'y trouver parmi eux ceux qui les auraient se-courus [en cette Doun'ia] en les nourrissant ou en leur procurant de l'eau à boire etc. Ils seront ensuite ordonnés de les prendre par la main et de les mener au Paradis.
En chemin, les Anges leur demanderont vers quel lieu ils se dirigeaient ; puis الله-Dieu ordonnera : " Accordez à Mes Serviteurs la permission de passer ". Ils passeront. C'est la rai-son pour laquelle le Croyant est nommé " Mu'min ", signifiant en langue arabe : " Celui qui accorde la Dispense " près de الله-Dieu et que الله-Dieu accepte ".
Rapporté par Mufaz'il, cité dans Mishkat Al-Anwar, précité, hadith 466, page 249 de l'arabe.
L’Imam Jafar Sadiq (as): “Mon père m’a rapporté de son père qu’un homme de Koufa avait écrit une lettre à l’Imam Husayn (as) et avait demandé à l’Imam (as) de lui dire quel est le meilleur acte pour ce monde et pour l’autre monde. L’Imam (as) lui a répondu ainsi: “Au nom de Dieu, Clément et Miséricordieux. Celui qui veut obtenir la satisfaction divine malgré le mécontentement des gens, Dieu le mettra dans une situation où il n’aura pas besoin des gens. Celui qui recherche la satisfaction des gens et provoque le mécontentement divin, Dieu le mettra dans une situation où il aura besoin des gens et l’abandonnera à lui-même». Bihār ul-Anwar, v. 71, p. 208