Lors de l’Acte 9 des Gilets jaunes, le 12 janvier, un jeune Syrien qui s’est retrouvé mêlé malgré lui aux manifestations des protestataires, à Saint-Étienne, a été victime de la violence de la police française.
e journal Le Figaro a écrit que le jeune Syrien, Mohammad, qui avait fui avec ses parents la guerre syrienne pour trouver refuge en France, a connu un triste sort dans ce pays qu’il croyait sûr. Le jeune Mohammad, 15 ans, a été touché par des tirs de la police française en direction des Gilets jaunes qui étaient descendus dans la rue, lors du 9e samedi de protestation contre le capitalisme macronien.
D’une voix triste, il a confié à l’AFP qu’il avait fui la guerre en Syrie, mais qu’il avait perdu son œil dans la guerre de rue que mènent les policiers français contre les manifestants.
Pour la première fois depuis novembre 2018, les Français s’en sont pris aux forces de l’ordre. Un scénario-piège auquel la Macronie a poussé les Français ? Il est vrai que l’incendie de Notre-Dame a tout fait pour que la colère atteigne son apogée.
Aîné d’une famille de trois enfants arrivée en France en mai 2018, il explique s’être retrouvé malgré lui au milieu de Gilets jaunes sur qui tirait la police, le samedi 12 janvier, dans le centre de Saint-Étienne. C’est alors que, selon lui, une munition en caoutchouc tirée par un lanceur de balle de défense (LBD) lui a fait perdre définitivement l’usage de l’œil droit.
Son avocate, Me Solange Viallard-Valézy, a expliqué que le samedi 12 janvier, Mohammad observait l’agitation autour de lui lorsqu’un tir de LBD l’a atteint.
Le Figaro a expliqué qu’« à la suite de la plainte déposée par la famille, le procureur de la République David Charmatz a confié à l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) une enquête pour violence commise par personne dépositaire de l’autorité publique. L’enquête est en cours et l’adolescent a été de nouveau entendu la semaine dernière, ajoute la source.
D’une voix triste, il a confié à l’AFP qu’il avait fui la guerre en Syrie, mais qu’il avait perdu son œil dans la guerre de rue que mènent les policiers français contre les manifestants.
Pour la première fois depuis novembre 2018, les Français s’en sont pris aux forces de l’ordre. Un scénario-piège auquel la Macronie a poussé les Français ? Il est vrai que l’incendie de Notre-Dame a tout fait pour que la colère atteigne son apogée.
Aîné d’une famille de trois enfants arrivée en France en mai 2018, il explique s’être retrouvé malgré lui au milieu de Gilets jaunes sur qui tirait la police, le samedi 12 janvier, dans le centre de Saint-Étienne. C’est alors que, selon lui, une munition en caoutchouc tirée par un lanceur de balle de défense (LBD) lui a fait perdre définitivement l’usage de l’œil droit.
Son avocate, Me Solange Viallard-Valézy, a expliqué que le samedi 12 janvier, Mohammad observait l’agitation autour de lui lorsqu’un tir de LBD l’a atteint.
Le Figaro a expliqué qu’« à la suite de la plainte déposée par la famille, le procureur de la République David Charmatz a confié à l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) une enquête pour violence commise par personne dépositaire de l’autorité publique. L’enquête est en cours et l’adolescent a été de nouveau entendu la semaine dernière, ajoute la source.