Au terme de la réunion sur la Syrie dans la capitale kazakhe, les pays garants du processus de paix d’Astana sur la Syrie — l’Iran, la Russie et la Turquie — se sont accordés pour conférer à l’Irak et au Liban le statut d’observateurs dans les négociations de paix entre les parties syriennes.
Dans la déclaration finale de leur 12e réunion dans la capitale kazakhe, récemment rebaptisée Noursoultan, les trois pays ont mis l’accent sur l’intégralité territoriale de la Syrie et l’extermination de tous les groupes terroristes actifs en Syrie.
Lors d’une rencontre avec son homologue iranien, dans le cadre de la Conférence de Moscou sur la sécurité internationale, le ministre russe de la Défense a souligné le haut niveau de coopération militaire qui existe entre l’Iran et la Russie.
Le texte affirme par ailleurs la nécessité du respect de toutes les résolutions onusiennes et condamne la décision de Trump de reconnaître la souveraineté d’Israël sur le Golan occupé.
Les parties négociatrices se sont également mises d’accord sur la tenue du round final des négociations de paix sur la Syrie en juillet prochain.
La déclaration finale rappelle d’ailleurs la nécessité de l’application complète des termes de l’accord de Sotchi sur Idlib et l’élimination de Daech, en soulignant qu’il n’y a aucune solution militaire pour le dossier syrien.
Par ailleurs, ils se sont accordés sur la présence de l’Irak et du Liban dans le processus de paix d’Astana en tant qu’observateurs des négociations de paix.
Le haut secrétaire du ministère des Affaires étrangères, Ali Asghar Khaji, dirigeait la délégation iranienne à la réunion de Noursoultan.
Lors d’une rencontre avec son homologue iranien, dans le cadre de la Conférence de Moscou sur la sécurité internationale, le ministre russe de la Défense a souligné le haut niveau de coopération militaire qui existe entre l’Iran et la Russie.
Le texte affirme par ailleurs la nécessité du respect de toutes les résolutions onusiennes et condamne la décision de Trump de reconnaître la souveraineté d’Israël sur le Golan occupé.
Les parties négociatrices se sont également mises d’accord sur la tenue du round final des négociations de paix sur la Syrie en juillet prochain.
La déclaration finale rappelle d’ailleurs la nécessité de l’application complète des termes de l’accord de Sotchi sur Idlib et l’élimination de Daech, en soulignant qu’il n’y a aucune solution militaire pour le dossier syrien.
Par ailleurs, ils se sont accordés sur la présence de l’Irak et du Liban dans le processus de paix d’Astana en tant qu’observateurs des négociations de paix.
Le haut secrétaire du ministère des Affaires étrangères, Ali Asghar Khaji, dirigeait la délégation iranienne à la réunion de Noursoultan.