En réaction aux propos du chef de la diplomatie française demandant l’arrêt de la « sale guerre » contre le Yémen, le mouvement de résistance yéménite Ansarallah a salué la position française toute en demandant la fin de la vente d’armes à l’Arabie saoudite.
Mohamed Abdul Salam, le négociateur en chef d’Ansarallah lors des négociations de paix, a salué mardi l'appel de la France à l'arrêt de la guerre de quatre ans au Yémen, mais a déclaré que cela ne suffisait pas et que Paris devait cesser de vendre des armes à la coalition militaire dirigée par l'Arabie saoudite.