Le vendredi 24 mai, la plus haute instance décisionnelle de l'Iran et commandant en chef des forces armées l'a reconnu et l'a confirmé : l'Iran ne laissera pas les Palestiniens de la Cisjordanie à leur sort. " A un moment donné, nous avons jugé opportun que les missiles arrivent à Gaza; nous les y avons acheminé, quitte à changer les rapports de force. Depuis, Gaza fait trembler Israël, a dit le commandant en chef des forces armées iraniennes laissant entendre que la Cisjordanie n'échappera pas à cette règle. " C'est un honneur pour l'Iran que de secourir les opprimés, ceux qui sont victimes du simonisme international". Lundi, le PM israélien a cru bon de lancer un pari pour faire taire des critiques qui de Lieberman à Olmert le dénoncent pour avoir poussé Israël vers la guerre civile, et ce, dans le strict objectif de se sauver la peau en mettant en avant la date du 1er juillet comme date boutoir de l'annexion des territoires cisjoradaniens.