«Le travail commencé par le ministère des Affaires étrangères et les responsables du gouvernement en matière de négociations, se poursuivra. L'Iran ne violera pas ses engagements mais tout le monde doit savoir que les États-Unis sont hostiles à la Révolution islamique et à l'Islam, et que cette animosité ne disparaîtra pas à l'issue de ces négociations » , a déclaré le Guide suprême de la Révolution islamique à la veille de la reprise des négociations sur le nucléaire iranien.
Audience accordée à des milliers d'habitants de la province d'Azerbaïdjan oriental (2014/02/17)
«En réponse à l'indécence, aux outrances, à l'impolitesse et à l'insolence des dirigeants américains, le peuple iranien a déclaré lors de la marche du 22 Bahman, qu'il ne se soumettra jamais à l'hégémonie et au chantage des États-Unis», a déclaré le Guide suprême de la Révolution islamique, au cours d'une audience accordée le 17 février 2014, à des milliers d'habitants de la ville de Tabriz et d'autres villes de la province d'Azerbaïdjan oriental.
Son excellence a rendu hommage à la grande nation iranienne pour avoir fait la démonstration de sa cohésion et de son unité à l'occasion des marches du 22 Bahman marquant le 35ème anniversaire de la victoire de la Révolution islamique, avant d'indiquer :
« La question nucléaire est un prétexte pour les ennemis pour manifester leur animosité. Les porte-paroles de l'administration américaine ont évoqué les droits de l'Homme, les missiles balistiques et les armes... Je suis étonné que les Américains n'éprouvent aucune honte à parler des droits de l'Homme. N'importe qui d'autre peut défendre les droits de l'Homme dans le monde, en dehors des États-Unis qui ne sont vraiment pas habilités à avoir une telle prétention, avec tous les scandales qu'ils ont à leur actif, dans ce domaine».
Concernant les négociations nucléaires, le Guide suprême de la Révolution a déclaré : «Le travail commencé par le ministère des Affaires étrangères et les responsables du gouvernement en matière de négociations, se poursuivra. L'Iran ne violera pas ses engagements mais tout le monde doit savoir que les États-Unis sont hostiles à la Révolution islamique et à l'Islam, et que cette animosité ne disparaîtra pas à l'issue de ces négociations ».
Au début de son discours, l'Ayatollah Khamenei a remercié le peuple pour sa participation massive aux marches de commémoration de la victoire de la Révolution et a déclaré que la résistance et l'union étaient les deux messages que le peuple d'Iran avait donnés au monde. « Il est impossible de remercier le peuple pour l'image glorieuse, dynamique et enthousiaste qu'il a donnée de la Révolution. Je me prosterne devant Dieu en signe de gratitude et remercie le peuple d'Iran. Les commentateurs ont annoncé que cette année, les gens avaient été plus nombreux à participer aux manifestations qui sont un évènement exceptionnel par rapport aux célébrations protocolaires des révolutions que nous voyons dans le monde. Contrairement aux propagandes et analyses erronées des médias étrangers, les laboratoires d'idées (Think tanks] étrangers ont bien capté les messages de cette présence, de cet enthousiasme, de cette foi et des slogans scandés par le peuple d'Iran », a noté le Leader.
L'Ayatollah Khamenei a souligné que cette année, les rassemblements du 22 Bahman avaient deux messages principaux à savoir l'insistance sur les idéaux de la Révolution et l'unité de la nation.
« Les slogans primordiaux sont la justice sociale, le respect des règles islamiques, la participation du peuple aux affaires, l'indépendance économique, l'indépendance culturelle, la défense des opprimés, les progrès du pays, les progrès scientifiques, la morale et la spiritualité, et les slogans secondaires sont le refus de la nation iranienne de plier devant les menaces ou le chantage du front hégémonique représenté surtout par les États-Unis. Personne ne peut cacher le visage hideux des Usa derrière un maquillage pour le présenter comme un état favorable à la nation iranienne », a-t-il dit.
L'Ayatollah Khamenei a rappelé les crimes des États-Unis ces 80 dernières années, y compris le déclenchement de nombreuses guerres, le massacre d'innocents, leur soutien aux dictateurs, au terrorisme international et au terrorisme d'État dans différentes parties du monde, leur soutien au régime usurpateur et terroriste des sionistes, leurs opérations militaires qui ont causé la mort de dizaines de milliers de personnes lors de l'invasion de l'Irak et de l'Afghanistan, la formation de compagnies chargées de tuer et d'effecteur des actes terroristes comme les groupe des Black water et les groupes takfiristes.
L'Ayatollah Khamenei a également souligné les mesures hostiles des États-Unis contre l'Iran au cours du siècle dernier, surtout après l'instauration de la République islamique et a condamné le Président américain pour son soutien aux dirigeants du mouvement de sédition contre la République islamique après les élections présidentielles de juin 2009.
Après cette introduction, le Guide suprême a rappelé ses remarques du 20 mars 2013 dans la ville de Machhad, où il avait souligné sa vision pessimiste sur la possibilité d'un accord sur le nucléaire avec les puissances dirigées par le gouvernement américain :
« Certains hommes d'état dans les gouvernements précédents et dans l'actuel gouvernement s'imaginent que si nous négocions avec les États-Unis, le problème sera résolu, (en réponse) j'ai dit que je n'avais pas d'objection à des négociations sur la question nucléaire en raison de leur insistance, mais j'ai souligné dès le début, que je n'étais pas optimiste », a-t-il dit.
Dans ses remarques en mars dernier, l'Ayatollah Khamenei avait mis en doute l'honnêteté des États-Unis dans leur offre de négociations avec l'Iran et avait souligné que les négociations n'auraient pas de sens tant que Washington poursuivrait sa politique hostile envers l'Iran.
« Je ne suis pas opposé à des discussions sur la question nucléaire mais certaines questions doivent être clarifiées. Nous avons affirmé à plusieurs reprises, que nous ne cherchons pas à avoir d'armes nucléaires. Si vous ne croyez pas ces mots honnêtes, pourquoi devrions-nous accepter vos paroles ?», a dit le Guide suprême qui avait d'ailleurs noté que les États-Unis voulaient prolonger le cours des négociations dans le but de "paralyser" la nation iranienne.
« L'Iran ne sera jamais paralysé et si les Américains veulent vraiment que la question soit résolue, il y a une solution simple qui est que les États-Unis mettent de côté leur hostilité envers la nation iranienne », a-t-il dit.
Le Guide suprême a précisé que certains signes confirmaient son pessimisme comme « les déclarations outrancières et insultantes des sénateurs et des hommes d'état américains à l'encontre de la nation iranienne».
« Le peuple a répondu à ces insultes lors de la marche du 11 février de cette année et a giflé les responsables américains en pleine figure», a-t-il ajouté, soulignant que les insultes, l'arrogance et l'intimidation des autorités américaines avaient été une des causes principales du taux de participation élevé et sans précédent de la population aux manifestations de cette année.
Le Guide suprême a ajouté que cette présence admirable avait montré aux responsables iraniens que « la nation se tenait fermement debout et que les responsables ne devaient pas se sentir faibles dans leur confrontation avec l'ennemi ».
L'Ayatollah Khamenei a renouvelé ses remarques antérieures sur la raison des problèmes des États-Unis avec l'Iran, affirmant que la République islamique ne reviendrait pas en arrière, même d'un iota et qu'au cas où « la question nucléaire se résoudrait comme les États-Unis le souhaitaient, les Américains chercheraient encore d'autres prétextes comme l'ont montré les porte-paroles de l'administration des États-Unis qui ont critiqué les droits de l'homme en Iran et les capacités des missiles et de la défense de notre pays». L'Ayatollah Khamenei a ajouté : « Comment un pays comme les États-Unis qui est responsable de tant de crimes dans le monde, ose-t-il parler de la défense des droits de l'homme ?! Les Américains devraient avoir honte d'y faire seulement allusion ».
Il a ensuite rappelé le dossier noir des États-Unis dans les questions relatives aux droits de l'homme dans les prisons de Guantanamo et d'Abou Ghraib, et leur assistance aux terroristes notoires du monde, et a demandé comment les Américains osaient si audacieusement parler de la situation des droits de l'homme en Iran.
Le Guide suprême de la Révolution a souligné que ses paroles ne devaient pas être interprétées comme un terme aux négociations sur le nucléaire et a précisé : « Ce que les responsables du ministères des Affaires étrangères et du gouvernement ont commencé en ce qui concerne les négociations sur le nucléaire, se poursuivra et l'Iran ne violera pas ses engagements mais tout le monde doit savoir que l'hostilité des États-Unis est en substance, contre la Révolution islamique et l'islam, et qu'elle ne prendra pas fin avec les négociations ».
Le Leader a souligné à ce propos : « La seule façon de lutter contre cette animosité est de nous fonder sur notre puissance nationale et les capacités internes du pays, et de renforcer nos structures internes.»
« Si nous nous appuyons sur nos propres capacités, les États-Unis ne pourront plus s'opposer à nous et toutes les portes s'ouvriront devant nous. Vous avez vu comment les pays occidentaux ont récemment manifesté leur désir d'avoir des relations avec l'Iran. Incha-Allah, les complots des États-Unis et du front de l'arrogance échoueront et le peuple fêtera sa victoire aux yeux de tous et en dépit de la volonté de ses malveillants», a conclu l'Ayatollah Khamenei.
Son excellence a rendu hommage à la grande nation iranienne pour avoir fait la démonstration de sa cohésion et de son unité à l'occasion des marches du 22 Bahman marquant le 35ème anniversaire de la victoire de la Révolution islamique, avant d'indiquer :
« La question nucléaire est un prétexte pour les ennemis pour manifester leur animosité. Les porte-paroles de l'administration américaine ont évoqué les droits de l'Homme, les missiles balistiques et les armes... Je suis étonné que les Américains n'éprouvent aucune honte à parler des droits de l'Homme. N'importe qui d'autre peut défendre les droits de l'Homme dans le monde, en dehors des États-Unis qui ne sont vraiment pas habilités à avoir une telle prétention, avec tous les scandales qu'ils ont à leur actif, dans ce domaine».
Concernant les négociations nucléaires, le Guide suprême de la Révolution a déclaré : «Le travail commencé par le ministère des Affaires étrangères et les responsables du gouvernement en matière de négociations, se poursuivra. L'Iran ne violera pas ses engagements mais tout le monde doit savoir que les États-Unis sont hostiles à la Révolution islamique et à l'Islam, et que cette animosité ne disparaîtra pas à l'issue de ces négociations ».
Au début de son discours, l'Ayatollah Khamenei a remercié le peuple pour sa participation massive aux marches de commémoration de la victoire de la Révolution et a déclaré que la résistance et l'union étaient les deux messages que le peuple d'Iran avait donnés au monde. « Il est impossible de remercier le peuple pour l'image glorieuse, dynamique et enthousiaste qu'il a donnée de la Révolution. Je me prosterne devant Dieu en signe de gratitude et remercie le peuple d'Iran. Les commentateurs ont annoncé que cette année, les gens avaient été plus nombreux à participer aux manifestations qui sont un évènement exceptionnel par rapport aux célébrations protocolaires des révolutions que nous voyons dans le monde. Contrairement aux propagandes et analyses erronées des médias étrangers, les laboratoires d'idées (Think tanks] étrangers ont bien capté les messages de cette présence, de cet enthousiasme, de cette foi et des slogans scandés par le peuple d'Iran », a noté le Leader.
L'Ayatollah Khamenei a souligné que cette année, les rassemblements du 22 Bahman avaient deux messages principaux à savoir l'insistance sur les idéaux de la Révolution et l'unité de la nation.
« Les slogans primordiaux sont la justice sociale, le respect des règles islamiques, la participation du peuple aux affaires, l'indépendance économique, l'indépendance culturelle, la défense des opprimés, les progrès du pays, les progrès scientifiques, la morale et la spiritualité, et les slogans secondaires sont le refus de la nation iranienne de plier devant les menaces ou le chantage du front hégémonique représenté surtout par les États-Unis. Personne ne peut cacher le visage hideux des Usa derrière un maquillage pour le présenter comme un état favorable à la nation iranienne », a-t-il dit.
L'Ayatollah Khamenei a rappelé les crimes des États-Unis ces 80 dernières années, y compris le déclenchement de nombreuses guerres, le massacre d'innocents, leur soutien aux dictateurs, au terrorisme international et au terrorisme d'État dans différentes parties du monde, leur soutien au régime usurpateur et terroriste des sionistes, leurs opérations militaires qui ont causé la mort de dizaines de milliers de personnes lors de l'invasion de l'Irak et de l'Afghanistan, la formation de compagnies chargées de tuer et d'effecteur des actes terroristes comme les groupe des Black water et les groupes takfiristes.
L'Ayatollah Khamenei a également souligné les mesures hostiles des États-Unis contre l'Iran au cours du siècle dernier, surtout après l'instauration de la République islamique et a condamné le Président américain pour son soutien aux dirigeants du mouvement de sédition contre la République islamique après les élections présidentielles de juin 2009.
Après cette introduction, le Guide suprême a rappelé ses remarques du 20 mars 2013 dans la ville de Machhad, où il avait souligné sa vision pessimiste sur la possibilité d'un accord sur le nucléaire avec les puissances dirigées par le gouvernement américain :
« Certains hommes d'état dans les gouvernements précédents et dans l'actuel gouvernement s'imaginent que si nous négocions avec les États-Unis, le problème sera résolu, (en réponse) j'ai dit que je n'avais pas d'objection à des négociations sur la question nucléaire en raison de leur insistance, mais j'ai souligné dès le début, que je n'étais pas optimiste », a-t-il dit.
Dans ses remarques en mars dernier, l'Ayatollah Khamenei avait mis en doute l'honnêteté des États-Unis dans leur offre de négociations avec l'Iran et avait souligné que les négociations n'auraient pas de sens tant que Washington poursuivrait sa politique hostile envers l'Iran.
« Je ne suis pas opposé à des discussions sur la question nucléaire mais certaines questions doivent être clarifiées. Nous avons affirmé à plusieurs reprises, que nous ne cherchons pas à avoir d'armes nucléaires. Si vous ne croyez pas ces mots honnêtes, pourquoi devrions-nous accepter vos paroles ?», a dit le Guide suprême qui avait d'ailleurs noté que les États-Unis voulaient prolonger le cours des négociations dans le but de "paralyser" la nation iranienne.
« L'Iran ne sera jamais paralysé et si les Américains veulent vraiment que la question soit résolue, il y a une solution simple qui est que les États-Unis mettent de côté leur hostilité envers la nation iranienne », a-t-il dit.
Le Guide suprême a précisé que certains signes confirmaient son pessimisme comme « les déclarations outrancières et insultantes des sénateurs et des hommes d'état américains à l'encontre de la nation iranienne».
« Le peuple a répondu à ces insultes lors de la marche du 11 février de cette année et a giflé les responsables américains en pleine figure», a-t-il ajouté, soulignant que les insultes, l'arrogance et l'intimidation des autorités américaines avaient été une des causes principales du taux de participation élevé et sans précédent de la population aux manifestations de cette année.
Le Guide suprême a ajouté que cette présence admirable avait montré aux responsables iraniens que « la nation se tenait fermement debout et que les responsables ne devaient pas se sentir faibles dans leur confrontation avec l'ennemi ».
L'Ayatollah Khamenei a renouvelé ses remarques antérieures sur la raison des problèmes des États-Unis avec l'Iran, affirmant que la République islamique ne reviendrait pas en arrière, même d'un iota et qu'au cas où « la question nucléaire se résoudrait comme les États-Unis le souhaitaient, les Américains chercheraient encore d'autres prétextes comme l'ont montré les porte-paroles de l'administration des États-Unis qui ont critiqué les droits de l'homme en Iran et les capacités des missiles et de la défense de notre pays». L'Ayatollah Khamenei a ajouté : « Comment un pays comme les États-Unis qui est responsable de tant de crimes dans le monde, ose-t-il parler de la défense des droits de l'homme ?! Les Américains devraient avoir honte d'y faire seulement allusion ».
Il a ensuite rappelé le dossier noir des États-Unis dans les questions relatives aux droits de l'homme dans les prisons de Guantanamo et d'Abou Ghraib, et leur assistance aux terroristes notoires du monde, et a demandé comment les Américains osaient si audacieusement parler de la situation des droits de l'homme en Iran.
Le Guide suprême de la Révolution a souligné que ses paroles ne devaient pas être interprétées comme un terme aux négociations sur le nucléaire et a précisé : « Ce que les responsables du ministères des Affaires étrangères et du gouvernement ont commencé en ce qui concerne les négociations sur le nucléaire, se poursuivra et l'Iran ne violera pas ses engagements mais tout le monde doit savoir que l'hostilité des États-Unis est en substance, contre la Révolution islamique et l'islam, et qu'elle ne prendra pas fin avec les négociations ».
Le Leader a souligné à ce propos : « La seule façon de lutter contre cette animosité est de nous fonder sur notre puissance nationale et les capacités internes du pays, et de renforcer nos structures internes.»
« Si nous nous appuyons sur nos propres capacités, les États-Unis ne pourront plus s'opposer à nous et toutes les portes s'ouvriront devant nous. Vous avez vu comment les pays occidentaux ont récemment manifesté leur désir d'avoir des relations avec l'Iran. Incha-Allah, les complots des États-Unis et du front de l'arrogance échoueront et le peuple fêtera sa victoire aux yeux de tous et en dépit de la volonté de ses malveillants», a conclu l'Ayatollah Khamenei.