Pendant les sept années de la guerre en Syrie, les États-Unis et leurs alliés ont soutenu les groupes terroristes de diverses manières, notamment par la création de cellules d’opérations militaires, dont la plus importante est la cellule d’opération al-Mouk.
Selon l’agence d’information Tasnim News, depuis le début de la guerre contre la Syrie en 2011, les pays occidentaux, et surtout les États-Unis, le Royaume-Uni et la France, ainsi que certains pays arabes, comme l’Arabie saoudite, la Jordanie et le Qatar, soutiennent des groupes terroristes.
La cellule d’opération militaire al-Mouk, dirigée conjointement par les services de renseignement américain, français et jordanien, en étroite coordination avec le Mossad, a pour objectif de fournir aux groupes terroristes des renseignements et des armes, y compris des missiles antichars américains Tow et Stinger.
La cellule al-Mouk soutient notamment le front du Nord, près des frontières avec la Turquie, et celui du Sud, frontalier avec la Jordanie, où sont présentes les forces du régime israélien.
Les éléments des groupes terroristes de l’Armée syrienne libre (ASL), du Front al-Nosra et d’autres groupes armés sont entraînés en Jordanie et en Arabie saoudite sous la supervision de la cellule d’opération al-Mouk.
En outre, les groupes soutenus par la cellule d’opération al-Mouk durant les années de guerre en Syrie avaient pour mission de protéger les frontières du régime israélien dans la région du Golan occupé et de protéger l’armée israélienne de toute menace, tout en bénéficiant du soutien de Tel-Aviv.