تقي زاده
Au moins trois personnes ont été tuées dans de nouvelles frappes israéliennes sur le sud du Liban
L'armée israélienne a tué au moins trois personnes au Sud-Liban lors de frappes aériennes distinctes, après avoir menacé de reprendre une agression « à grande échelle » contre le pays.
Dans un communiqué publié dimanche 14 décembre, le ministère libanais de la Santé a déclaré qu'une « frappe ennemie israélienne » contre une moto à Yater, au Sud-Liban, avait fait un mort et un blessé. Une autre attaque visant une voiture a également tué une personne entre les villes de Safad al-Batikh et Barashit.
Par ailleurs, un membre du conseil municipal de Jouaya a été tué lors d’un bombardement sur la ville.
Le ministre israélien de la Guerre, Israël Katz, a averti fin novembre que Tel-Aviv était prêt à lancer une nouvelle guerre contre le Liban si le Hezbollah ne déposait pas les armes d'ici fin 2025.
Les civilisations doivent s'unir contre l'unilatéralisme et le bellicisme, selon le vice-ministre iranien des AE
Le vice-ministre iranien des Affaires étrangères chargé des affaires juridiques et internationales a déclaré que l'unité des civilisations doit servir de principe stratégique face aux crises mondiales, insistant sur le fait qu'une alliance des civilisations doit constituer un rempart contre les politiques bellicistes.
S'exprimant lors du 11e Forum mondial de l'Alliance des civilisations des Nations unies (UNAOC) à Riyad, capitale saoudienne le vice-ministre iranien des Affaires étrangères chargé des affaires juridiques et internationales Kazem Gharibabadi a souligné la nécessité cruciale de la cohésion pour relever les défis mondiaux, notamment la lutte contre le terrorisme, l’établissement d’une paix et d’une sécurité durables, la promotion de la justice sociale et économique, ainsi que le développement de la science et de la technologie partagées.
Il a identifié les principaux responsables de l’instabilité internationale, pointant du doigt les politiques hégémoniques occidentales.
L'Iran condamne l'attaque violente contre un événement juif en Australie
L’Iran a condamné l’attaque violente perpétrée par deux hommes armés ce dimanche 14 décembre contre un événement juif à Sydney, qui a fait au moins 12 morts et des dizaines de blessés.
« Par principe, l’Iran condamne l’attaque violente perpétrée contre des civils à Sydney en Australie », a déclaré le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Esmaïl Baghaï, dans un message publié dimanche sur son compte X, quelques heures après l’attentat.
« Les actes terroristes et les massacres doivent être condamnés, où qu’ils soient commis, comme illégaux et criminels », a-t-il ajouté.
Le Hamas met en garde contre les projets israéliens de « remodeler » Gaza
Le Hamas a tiré la sonnette d’alarme concernant les tentatives israéliennes visant à remodeler la bande de Gaza et à procéder au déplacement forcé de sa population palestinienne.
Dans un communiqué publié ce dimanche 14 décembre, le mouvement a mis en garde contre toute forme de complicité avec ces tentatives qui, selon lui, s’inscrivent dans le droit fil des plans de l’ennemi israélien.
Il a également réaffirmé son rejet absolu de toute tutelle ou tout mandat sur la bande de Gaza, ou sur la moindre parcelle de la Palestine occupée.
Le Hamas a réaffirmé que le peuple palestinien était la seule autorité légitime à choisir ses dirigeants et à gérer ses propres affaires.
Les tensions au Yémen s'inscrivent dans un plan israélien de désintégration de la région (Baghaï)
Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères a mis en garde contre une reprise des tensions au Yémen, affirmant qu’elle ne profiterait qu’au régime israélien et à sa stratégie de fragmentation des pays de l’Asie de l’Ouest.
Esmaïl Baghaï s’est exprimé en ces termes dimanche 14 décembre lors d’une conférence de presse, alors que les affrontements armés s’intensifient dans le sud du Yémen entre des milices soutenues par l’Arabie saoudite et des groupes séparatistes alliés aux Émirats arabes unis.
« L’évolution de la situation au Yémen devrait susciter de vives inquiétudes parmi les États de la région, car elle s’inscrit dans la politique du régime sioniste visant à désintégrer les pays régionaux », a-t-il averti.
Il a par ailleurs réaffirmé l’importance du dialogue entre les factions yéménites pour garantir la stabilité, la souveraineté et l’intégrité territoriale du pays.
L'Iran termine deuxième aux Jeux para-asiatiques de la jeunesse à Dubaï
La délégation sportive iranienne s'est consacré la deuxième position à la cinquième édition des Jeux para-asiatiques de la jeunesse organisés à Dubaï, en remportant un nombre record de 262 médailles. Il s'agit de la meilleure performance de l'histoire du pays dans ces compétitions continentales para sportive pour la jeunesse.
Les Jeux, organisés par les Émirats arabes unis du 10 au 14 décembre, se sont conclus avec un palmarès de 76 médailles d'or, 96 d'argent et 90 de bronze pour l'Iran, réparties dans 21 disciplines sportives.
En compétition avec des athlètes de 34 pays asiatiques, l'équipe iranienne, baptisée « Enfants d'Iran, Ambassadeurs de la Victoire » et concourant sous la devise « Foi, Résistance, Autorité », a réalisé une performance illustrant le développement rapide des programmes de parasport pour la jeunesse du pays.
Araghchi appelle les États-Unis à respecter le peuple iranien et le pouvoir en place qu'il a choisi
Le ministre iranien des Affaires étrangères a exhorté les États-Unis à respecter la nation iranienne et le pouvoir en place qu'elle a choisi.
Abbas Araghchi a formulé ces propos, samedi 13 décembre, dans une interview accordée à la chaîne qatarie Al Jazeera, dans le cadre d'un documentaire examinant les aspects de la guerre non provoquée de 12 jours en juin, imposée par le tandem israélo-américain à la République islamique d'Iran.
Il a réitéré que seule la nation iranienne pouvait juger du sort de son pays, conseillant aux États-Unis de respecter à la fois le peuple iranien et l’ordre politique qu’il a choisi par le biais d’un processus électoral démocratique.
États-Unis : une fusillade a fait deux morts et plusieurs blessés sur le campus de l’Université Brown
Une nouvelle fusillade de masse a frappé les États-Unis, samedi 13 décembre, cette fois sur le campus de l’université Brown dans l’État du Rhode Island (nord-est), faisant au moins deux morts et neuf blessés graves. L’assaillant, un homme non identifié, a ouvert le feu avant de prendre la fuite, déclenchant une vaste opération de recherche des forces de l’ordre.
Les autorités locales ont confirmé qu’aucune interpellation n’avait encore eu lieu. « Nous n’avons pas de tireur en détention à ce stade et un ordre de s’abriter sur place est en vigueur », a indiqué le maire de Providence, Brett Smiley, lors d’une conférence de presse. Il a précisé que les neuf personnes grièvement blessées se trouvent dans un état stable.
Évoquant la récurrence des violences armées aux États-Unis, le maire s’est dit profondément affecté par cet incident. « C’est malheureusement le type d’événement que la ville de Providence et l’État du Rhode Island espéraient ne jamais connaître », a-t-il déclaré.
Pour sa part, la présidente de l’université, Christina Paxson, a déclaré avoir été informée que dix personnes touchées par les coups de feu, y compris les deux morts, étaient des étudiants.
L’OMS met en garde contre la mort de plus de 1 000 Palestiniens en attendant une évacuation médicale
Plus d’un millier de Palestiniens sont morts dans la bande de Gaza en attente des permis d’évacuation médicale délivrés par les autorités israéliennes, a averti l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).
Environ 1 092 patients de la bande de Gaza sont décédés en attendant une évacuation médicale entre juillet 2024 et le 28 novembre 2025, a déclaré vendredi Rik Peeperkorn, représentant de l'OMS dans le territoire palestinien occupé, aux journalistes au siège de l'ONU à New York, citant les autorités sanitaires de Gaza.
L'université de l'Arkansas licencie une professeure iranienne pour son soutien à l'Iran et à la Palestine
Une professeure iranienne de sciences politiques à l’université de l’Arkansas, aux États‑Unis, a été démise de son poste de directrice du programme d’études sur le Moyen‑Orient en raison de sa solidarité envers l’Iran et la Palestine dans ses publications sur les réseaux sociaux.
Dans une interview accordée vendredi au New York Post, un porte-parole de l'Université a annoncé la suspension de Shirin Saeidi du programme d'études sur le Moyen-Orient, précisant toutefois qu’elle conservait son poste de professeure de sciences politiques au sein de l’université.
Cette mesure, qui soulève de sérieuses inquiétudes quant à la liberté d'expression académique, intervient après que l'université a subi des pressions de la part de personnalités anti-iraniennes et du lobby sioniste.



















