تقي زاده

تقي زاده

dimanche, 07 septembre 2014 02:00

Les énigmes des drones iraniens !!

Un analyste occidental estime que la technologie iranienne de fabrication de drone va de l'avant et que mêmes les sanctions n'ont pas pu empêcher les Pasdaran de fabriquer des drones modernes et performants. Dans un article qu'il fait publier sur le site Arkenston, Allen Wright, expert des questions militaires, estime que les progrès réalisés par l'Iran, dans la fabrication de drones, met en cause l'efficacité des sanctions anti-iraniennes : "Les Etats Unis ne sont plus le seul pays au monde à collecter des informations, sur le compte de leurs ennemis, via des vols de drones. Ces jours-ci, le ciel syrien, celui d'Irak ou encore, le ciel d'autres pays du Moyen-Orient, est le théâtre du vol des drones de reconnaissance iraniens. C'est pendant les huit années de sa guerre contre l'Irak que l'Iran a investi dans des projets de fabrication de drones, et, ces derniers temps , ses progrès en la matière se sont accélérés. La vérité est que les sanctions anti-iraniennes n'ont pas pu empêcher le corps des Gardiens de la Révolution islamique, (Pasdaran) de faire décoller ses drones, et, pourtant, les Etats Unis et leurs alliés continuent à maintenir leurs sanctions contre l'Iran. La taille des drones iraniens se réduit, de jour en jour, et ces appareil deviennent de plus en plus légers. Il existe des preuves, au sujet de la capacité iranienne de fabriquer les moteurs de la plupart de ses drones. Certes, on ne peut se fier aux déclarations des commandants du CGRI, en la matière, n'empêche que la conception du drone "Chahed 129", en 2012, a constitué un tournant, dans le programme militaire iranien. Jusqu'à cette date, les drones iraniens étaient de petite taille et de courte endurance, mais "Chahed 129" a une période d'endurance de 24 heures. Les Pasdaran disent vouloir fabriquer des moteurs plus puissants, pour leurs drones. Les autorités du ministère de la Défense, elles, ne disent pas autre chose, et affirment qu'il faut s'orienter vers la fabrication des moteurs de type jet, pour les drones iraniens. "Et Wright, s'appuyant sur sa propre expérience, d'ajouter : "Le dévoilement du drone "Karar" est un signe; l'Iran aurait accédé à la capacité de construire des moteurs de type turbojet. Ce drone est la concrétisation des efforts iraniens, pour entrer dans le domaine de la technologie du drone, efforts, qui visent à armer les drones de missiles téléguidés. C'est la première fois, pendant la guerre contre l'Irak, que les Iraniens ont équipé leurs drones de roquettes RPG". L'expert conclut : "Certains pays bénéficient de la technologie de télécommunication, pour téléguider leurs drones. D'autres ont recours à l'industrie aérospatiale. L'Iran n'a pas, encore, annoncé avoir maîtrisé cette branche là, et, pourtant, des drones a la longue pointe et semblables aux modèles téléguidés, se manifestent, de plus en plus, dans le ciel syrien....sont-ils iraniens?

Les pays qui se donnaient le nom des « Amis de la Syrie » ont tout essayé afin de renforcer les takfiristes dans ce pays. Maintenant, c'est sous l'appellation de l'Alliance internationale pour la lutte contre Daesh qu'ils sont entrés dans l'arène, avec, dans la tête, les plans funestes, pour le Moyen-Orient et l'Irak. Les dirigeants des pays membres de l'Otan se sont réunis samedi au Pays de Galles pour discuter des questions d'ordre sécuritaire, par exemple, la crise ukrainienne, les violences en Libye et les actes de Daesh en Irak et en Syrie.
Les agissements continus de Daesh, avec l'exécution de deux journalistes américains et le commencement des raids aériens US contre les positions des takfiristes dans certaines régions irakiennes, ont placé Daesh au centre d'attention des responsables occidentaux et des dirigeants déterminants au sein de l'alliance nord-atlantique. Sur ce fond, le Président français François Hollande a affirmé que son pays était prêt à adhérer à l'alliance anti-takfiriste en Irak, tandis que le Premier ministre britannique David Cameron a plaidé pour l'augmentation du budget militaire des pays de l'Otan, en allusion à la menace grandissante de Daesh. Le Président américain, Barack Obama a lui aussi affirmé qu'il vaincrait Daesh, tout comme il a déjà vaincu Al-Qaïda. Les dirigeants de l'Otan ont tous parlé de la formation d'une alliance internationale de la lutte contre Daesh. Cette initiative prévoit la formation d'une coalition réunissant les USA, la France, le Royaume Uni, l'Allemagne et leur allié régional : la Turquie, membre, elle-même, de l'Otan, ainsi que la Jordanie, l'Arabie saoudite, le Qatar, l'Egypte et les Emirats Arabes Unis, pour combattre le groupe terroriste Etat islamique ou Daesh. Les dirigeants de l'Otan appellent aussi à la contribution d'autres pays voisins de l'Irak, allusion à l'Iran et à la Syrie, pour freiner Daesh. Cette initiative a été élaborée, alors que les Etats-Unis ont commencé il y a quelques semaines leurs attaques aériennes contre les positions de Daesh dans le Nord irakien. Les responsables militaires états-uniens et des autres pays de l'Otan savent pourtant bien qu'étant donné le statut de paramilitaire de Daesh, de telles opérations limitées ne donneront pas les résultats escomptés.
De l'autre côté, les pays occidentaux qui ont accumulé une mauvaise expérience en Irak et en Afghanistan, sont toujours aux prises avec les problèmes issus de la crise financière, tandis que leurs opinions publiques bannissent l'intervention militaire directe contre Daesh en Irak. En fait, le jeu des pays occidentaux dont les Etats-Unis, la France et la Grande Bretagne consiste à écarter la menace que le groupe Daesh représente à leurs intérêts, concernant, surtout, les ressources pétrolières, au Nord de l'Irak ; mais pour ce faire, ils ne veulent pas expédier d'effectifs militaires au champ de bataille. Ils préfèrent plutôt rester en dehors de l'arène et intégrer les autres à la guerre, en fonction de leurs propres intérêts. Une fois que la donne sera calmée, ils en profiteront pour récolter les résultats de la nouvelle conflictualité au Moyen-Orient.
Certains médias du mont ont parlé d'une coopération Téhéran-Washington contre Daesh, ce que les responsables de la RII ont rapidement démenti. Mais il ne faut pas oublier que l'ennemi de notre ennemi ne s'avère pas toujours être notre ami. C'est seulement dans le cadre des efforts conjoints avec ses amis en Irak, qu'ils soient kurdes, chiites ou sunnites, que la RII accepte de contribuer à la lutte contre les takfiristes. L'Iran aura perdu au jeu, une fois réduit à l'infanterie des opérations otaniennes contre Daesh en Irak. Il y a également une autre question à ne pas oublier. Bien que Daesh ne représente pas le vrai islam, bien qu'il représente une fausse vitrine du sunnisme, lorsqu'il s'agit de faire face directement à ce groupe, il faut veiller à ne pas agir de sorte à permettre aux haut-parleurs médiatiques de l'Occident ou anti-iraniens, de faire passer la lutte contre Daesh comme étant une guerre contre le sunnisme en Irak.
Serions-nous, donc, face à une ironie de l'histoire ?!! L'initiative de former l'alliance anti-Daesh élaborée à l'Otan révèle clairement l'insolence des dirigeants occidentaux ou régionaux. Cela fait 3 ans en Syrie, lorsqu'ont surgi les protestations qui, au début, n'étaient pas armées, ces mêmes pays qui forment aujourd'hui leur alliance antiterroriste, se donnaient rendez-vous, sous l'appellation des Amis de la Syrie, dans des réunions en série, tout cela, pour accorder leur appui tous azimuts aux takfiristes, les takfiristes qui font aujourd'hui en Irak ce qu'ils fabriquaient alors dans les banlieues d'Alep et de Damas !...
Nous aurions eu la mémoire courte, pour oublier comment la Turquie s'était transformée alors en l'itinéraire du transfert d'armes à destination des groupes takfiristes, ou comment le Qatar et sa chaîne Al-Jazeera jouaient la carte des opposants armés ou encore, comment le Ministre saoudien des Affaires étrangères, entouré de journalistes, demandait aux Occidentaux de fournir les armes mortelles aux rebelles syriens.
Maintenant, il faut attendre et voir quel plan envisagent les dirigeants de l'Otan pour l'Irak, sous couvert de la lutte contre Daesh ! Iront-ils transformer l'Irak en ruine à l'instar de la Libye ? Ou les forces coalisées seront-elles envoyés sur le terrain? Quoi qu'il en soit, la RII jouera son rôle, en fonction de ses intérêts nationaux et régionaux.
A cause de son statut de voisinage avec l'Irak où le groupe Daesh a pris le contrôle de vastes régions, l'Iran est exposé aujourd'hui à de nouvelles menaces à ses frontières. On a affaire à un danger sécuritaire enclin à dépasser les frontières de l'Irak. Le bon sens l'exige : il ne faut pas rester un simple spectateur...
L'aspect ironique de cette histoire rappelle aussi le cas du 11 septembre. A en croire les médias, plus d'une moitié des pirates de l'air impliqués dans l'attaque contre les tours jumelles étaient d'origine saoudienne. En plus, les cadres d'Al-Qaïda étaient proches et en contact avec les familles royales en Arabie saoudite ou dans d'autres pays arabes du golfe Persique. Après avoir appelé au secours de Téhéran, dans la lutte contre les Talibans afghans que seulement les E.A.U et l'Arabie saoudite avaient reconnus, le Président américain de l'époque George W. Bush qualifia l'Iran de l'Axe du mal !!!

Merci pour le grand soutien de la famille aimante du Prophète de l’Islam, Hazrat Mohammad (la paix soit sur lui et sa famille), cet environnement dynamique est encore plus sensible dans la ville sainte de Machhad, la capitale de la province iranienne du Khorasan Razavi (nord-est), où le mausolée de cette personnalité sacré.

En outre, le ciel tombe " Shah Cheragh " (Roi de la Lumière), qui abrite les tombeaux des fils de l'Imam Musa al-Kazim (paix soit sur lui) et de l'Imam Ali ibn Musa al-frères Reza (P) situé à Chiraz, sud de l’Iran, a été rempli de lumière et de couleur pour commémorer la naissance de l'Imam Reza (P).

Une cérémonie similaire a eu lieu au mausolée de Hazrat Masume (la paix soit sur elle), sœur de l'Imam Reza (P) dans la ville sainte de Qom, au sud de la capitale, Téhéran.

Imam Reza (P) est né le 11 Du al-Qa'da (onzième mois du calendrier musulman) de l'année lunaire 148 AH (765 AD) dans la ville de Médine, situé dans la péninsule arabique.

À cet égard, l'équipe du site d'ABNA félicite l'ensemble de la communauté musulmane de cet anniversaire sacré.

Une éventuelle ouverture du Front du Nord inquiète,énormément, les responsables du régime sioniste, à tel point que cela a suscité des débats houleux entre eux. Selon la chaîne de télévision Al-Mayadine, les responsables politiques et les commandants de l'armée israélienne ont basculé dans des polémiques et des débats houleux, sur le déclenchement d'une éventuelle guerre, au Nord, entrre Israël et le Hezbollah libanais. Dans le même temps, citant les hauts responsables israéliens, le quotidien "Yediot Aharonot" a fait état des inquiétudes, au sujet de cette éventuelle guerre, du fait des indispositions et des indisponibilités de l'armée israélienne. Les hauts responsables de la sécurité du régime israélien croient que le budget de la future guerre, si elle se déclenche, est difficile à évaluer, car la bande de Gaza représente, en comparaison d'autres menaces, une menace insignifiante. Toujours, selon "Yediot Aharonot", le Hezbollah libanais a développé, d'une manière considérable, ses moyens militaires. Et ce quotidien de préciser : «Ceux qui connaissent les dangers existants, sur les frontières libanaises, et sont informés, également, du niveau de disponibilité de l'armée israélienne, savent qu'ils devront être très inquiets, d'autant plus que les formations des unités militaires ont diminué, de même que les exercices des forces réservistes ont été annulés. A cela s'ajoute le fait que l'armée dispose de, suffisamment, d'armements et d'équipements militaires». Tout en soulignant la nécessité de moderniser les véhicules blindés de l'armée israélienne, ce quotidien précise que les vieux véhicules blindés se transforment en tombes des militaires israéliens, face aux missiles anti-blindés du Hezbollah. L'armée dispose d'un petit nombre de systèmes de défense antichar «Coupe-vent». Un grand nombre de blindés sont dépourvus de ce système de défense. Israël ne se trouve pas, non plus, dans une situation meilleure, dans le domaine de la défense anti-aérienne, car l'armée ne dispose que de 9 systèmes de "Dôme de Fer", ce qui ne n'a pas compatible au désastre qui sera engendré avec la chute de milliers de missiles sur Israël. Le système de défense «Baguette magique» aura besoin de 100 ans, pour être opérationnel. Le problème, c'est que le fait d'abattre un missile coûtera un million de dollars à Israël». Et ce quotidien de préciser encore : «Contrairement à Israël, l'équipement et la capacité militaire du Hezbollah sont en train d'être optimisés. Les officiers de l'armée israélienne, en Galilée, (Al-Jalil), et les experts des questions relatives au Hezbollah, dans les services d'espionnage israéliens, disent que le Hezbollah dispose de 100.000 missiles de divers types. Il a la capacité de tirer 1.000 missiles, par jour, et Israël sera incapable d'y riposter.

L'armée israélienne se prépare à lancer une guerre très violente contre le Hezbollah libanais,a rapporté "The Times of Israel". Dix jours, seulement, après la fin du conflit entre Israël et le Hamas, l'armée israélienne procède à des «préparations et entraînements», en vue d'«une guerre très violente » contre le Hezbollah, au Sud-Liban, indique, vendredi soir, un reportage de la télévision israélienne, sans toutefois préciser l'échéance. Le rapport de la Deuxième chaîne, pour lequel l'armée a autorisé l'accès à plusieurs de ses positions, le long de la frontière avec le Liban, présente un commandant de brigade de l'armée avertissant qu'un tel conflit «sera une toute autre histoire», comparé à la guerre Israël-Hamas. «Il nous faudra utiliser une force considérable», pour vaincre, rapidement, le Hezbollah, soutenu par l'Iran, et «agir, de façon plus décisive, et plus radicale», déclare le colonel Dan Goldfus, commandant de la 769e brigade d'infanterie, Hiram. Selon le reportage, le Hezbollah détient, environ, 100 000 roquettes – 10 fois plus que l'arsenal du Hamas – et ses 5.000 missiles longue portée, situés à Beyrouth et dans d'autres zones, à l'intérieur du Liban, peuvent transporter de larges ogives, (pesant jusqu'à plus d'une tonne), dotées de systèmes de guidage de précision et pouvant atteindre l'ensemble d'Israël. Le système de défense israélien, "Dôme de fer" ne pourrait relever ce genre de défi; par conséquent, l'armée israélienne doit «manœuvrer rapidement» et agir, avec force, pour l'emporter, de manière décisive, dans le conflit, selon Goldfus.

Le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Guennadi Gatilov, a fait savoir que  son pays avait mis en garde, durant la crise, en Syrie, contre la gravité de l'appui apporté par les pays occidentaux aux extrémistes. Dans une interview avec l'agence «Ria Novosti», Gatilov a fait noter que les pays européens ont constaté, aujourd'hui, les menaces du soi-disant «EIIL», sur toute la région, et que les Etats-Unis ont proposé au Conseil de sécurité l'adoption d'un projet de résolution sur les «combattants» étrangers. En ce qui concerne le dialogue entre les parties syriennes, Gatilov a affirmé que son pays prévoit que Staffan De Mistura, émissaire spécial de l'ONU, pour la Syrie, présente un nouveau plan, pour le lancement du dialogue entre les parties syriennes. Il a souligné, à cet effet, que De Mistura est en train de préparer son agenda. «De Mistura a besoin de mener des entretiens avec le gouvernement syrien et "l'opposition", avant de présenter sa vision, sur le règlement de la crise en Syrie», a-t-il dit. Gatilov a, enfin, affirmé le soutien de son pays à l'émissaire onusien, pour la Syrie, se disant disposé à développer sa coopération avec lui.

L’Hodjat-ol-islam Hossein Alawi Mehr, directeur du centre de recherches coraniques de l’école islamique de Qom, a déclaré qu’une des particularités du commentaire de l’Ayatollah Taleghani, Partovee Az Quran (Une lumière du Saint Coran) était son approche sociologique.

Dans un entretien avec l’Agence iranienne de presse coranique, il a souligné: « Ce commentaire contemporain de l’Ayatollah Taleghani, décédé en 1982, a été rédigé en persan en six volumes, et commente les premières sourates jusqu’à la sourate « Nessa » et la dernière partie du Coran.”
“Ce commentaire, a-t-il ajouté, a une approche scientifique et sociale. L’Ayatollah Taleghani a été incarcéré pendant plusieurs années dans les prisons du Shah et devint le premier Imam de la prière du vendredi de Téhéran après la révolution. C’est en prison qu’il rédigea ce commentaire qui est une invitation à la lutte pour la réforme de la société.”
“ La vision scientifique dont nous parlons est celle du positivisme, des sciences expérimentales et des nouvelles découvertes spécialement en Europe dans le domaine de la médecine, de l’astronomie et des autres sciences.”, a-t-il indiqué.
Le directeur du centre de recherches coraniques de l’école islamique de Qom a ajouté : “L’Ayatollah Taleghani avait des relations et des discussions avec de nombreux scientifiques qu’il a intégrées à son commentaire.”
“Le commentaire de l’Ayatollah Taleghani, a-t-il ajouté, s’inspire de trois autres commentaires, le commentaire Al Javaher de Tantawi, le commentaire Madjma ol Bayan et le commentaire Al Manar du cheikh Mohamad Abdeh, spécialement dans la démonstration de la Wilayat et de la vérité du chiisme.”
L’Hodjat-ol-islam Hossein Alawi Mehr a précisé : “L’objectif de la rédaction de ce commentaire était d’apporter une solution aux problèmes contemporains, notamment la question des droits des femmes et le rôle de la religion dans la vie.”
“Le commentaire de l’Ayatollah Taleghani avait aussi pour objectif de répondre aux questions. Cette même approche existe dans les commentaires Al Mizan et Nemoune, et d’autres commentaires sunnites. Bien entendu, son commentaire a des faiblesses notamment le fait de s’être laissé influencer dans une petite mesure, par certains courants et certaines personnalités scientifiques comme Bazergan auteur de livres de sciences naturelles, ou le docteur Sanjabi qui avait rédigé un livre sur la création de l’être humain et le darwinisme. », a-t-il souligné.
Ce commentaire a une place importante parmi les autres commentaires et peut être utilisé par tous les groupes de la société mais peut-être pas par les commentateurs eux-mêmes », a-t-il dit.

Le ministre allemand des Affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier, a appelé samedi à Kaboul les deux candidats à la présidentielle afghane à trouver un compromis pour mettre un terme à la crise politique autour de la désignation du futur chef de l'Etat.
J'ai clairement fait passer le message que la communauté internationale (...) attend, et c'est également notre attente, qu'ici on soit prêt au compromis et qu'on parvienne à ce dont a besoin le pays: un gouvernement d'unité nationale, a dit le chef de la diplomatie dans la capitale afghane, selon des déclarations fournies par son service de presse à Berlin.

Je sens qu'il y a encore beaucoup d'obstacles avant la formation d'un gouvernement d'unité nationale, a ajouté M. Steinmeier, arrivé samedi matin en Afghanistan. De mon point de vue (ce ne sont) pas des obstacles insurmontables mais cela exige que les deux parties soient prêtes à un compromis.

Le chef de la diplomatie allemande a notamment mené des discussions poussées mais difficiles avec les deux candidats: Abdullah Abdullah, soutenu par les Tadjiks, et son rival Ashraf Ghani, soutenu, lui, par les Pachtounes.

Il a invité les deux (candidats) à travailler rapidement à un accord car il n'y a plus beaucoup de temps, avaient auparavant indiqué des sources au sein de la délégation allemande à Kaboul, insistant sur la nécessité d'un gouvernement capable d'agir et de décisions rapides.

Ces entretiens interviennent dans une phase particulièrement critique, peu après la fin d'un audit (supervisé par l'ONU, sur les 8,1 millions de votes exprimés lors de ce scrutin) mais avant la publication de ses résultats, ont relevé ces sources.

Les négociations entre les deux parties sur la formation éventuelle d'un gouvernement d'unité nationale ont fait certains progrès mais il reste encore des questions politiques difficiles qui ne sont pas réglées, ont indiqué les deux rivaux au ministre allemand.

 

L'armée libanaise a indiqué samedi qu'elle avait reçu une livraison d'armes et de munitions dans le cadre du programme d'aide militaire aux Forces armées libanaises.
"La brigade logistique de l'armée libanaise a reçu à l'aéroport international Rafik Hariri une quantité de différentes armes en la présence d'officiers militaires et de membres du bureau américain de coopération pour la Défense au Liban," a rapporté l'agence de presse National News Agency, ajoutant que la nouvelle livraison faisait partie d'un programme d'aide dans le cadre d'engagements et d'accords signés entre les deux parties.

Une livraison similaire avait eu lieu le 29 août dans le cadre d'une aide militaire américaine visant à soutenir l'armée dans sa lutte contre le terrorisme.

Le 2 août, des rebelles syriens avaient infiltré la ville frontalière d'Arsal, suite à l'arrestation d'Imad Jomaa, un officiel du "front al-Nosra", affilié à al-Qaïda.

L'armée libanaise s'était engagée dans des combats féroces contre les rebelles venus de la Syrie, qui avaient fait au moins 18 morts et 86 blessés parmi les soldats, tandis que les rebelles armés se retiraient après avoir enlevé 33 soldats membres des Forces de sécurité intérieure.

samedi, 06 septembre 2014 02:00

Ukraine : la trêve est appliquée

Kiev et les indépendantistes ont annoncé la signature d'un cessez-le-feu entrée en vigueur vendredi à 18 heures, heure locale au cours d'une rencontre à Minsk destinée à mettre fin à cinq mois de combats meurtriers dans l'est de l'Ukraine.

"Je confirme que nous sommes prêts à respecter le protocole d'accord signé et arrêter le feu à 18 heures, heure de Kiev", vendredi, a déclaré à la presse le "Premier ministre" de la République populaire autoproclamée de Lougansk, Igor Plotnitsky. Le président ukrainien Petro Porochenko a donné l'ordre à ses troupes de cesser le feu après 18 heures, après avoir annoncé sur son compte Twitter la signature d'"un protocole préliminaire pour un cessez-le-feu". Le Kremlin a réagi aussitôt en espérant que l'accord sur le cessez-le-feu sera "respecté point par point". D'après une représentante de l'OSCE, Heidi Tagliavini, les deux camps sont parvenus à un accord sur le retrait des troupes et un échange de prisonniers. Barack Obama s'est dit plein d'espoir mais sceptique au sujet du cessez-le-feu conclu par les autorités ukrainiennes et les indépendantistes.