
تقي زاده
Guide suprême : l'éveil islamique n'a pas été bien géré en Egypte
Le Guide suprême de la Révolution islamique, l'ayatollah Seyed Ali Khamenei a déclaré dimanche que l'éveil islamique est un phénomène important qui ne disparaîtra pas avec l'antithèse lancé par les puissances hégémoniques.
L'ayatollah Khamenei a fait ces remarques lors d'une rencontre avec un groupe d'étudiants et de représentants des milieux scientifiques, politiques, culturels et de l'union des universités du pays persans.
Se référant aux récents avatars de certains pays de la région, le guide suprême a déclaré que ces événements montrent la profondeur de l'éveil islamique dans ces pays, cependant, a continué, parce que les questions n'ont pas été suffisamment prises en compte et commis bévues, actuellement La situation en Egypte est devenu douloureux.
De même, le Guide suprême a souligné l'importance de la poursuite des débats en profondeur universitaire sur des sujets tels que l'éveil islamique, les obstacles qui comporte des voies d'arrogance mondiale dans ce phénomène, les erreurs commises dans le pays de la région et des comparaisons entre ces nouveaux avatars avec le processus de la mise en place et la continuité de la République islamique d'Iran.
L'objectif, des déclarations claires du fondateur de la République islamique, l'imam Khomeiny (qu'il repose en paix) sur les noyaux révolutionnaire à l'extérieur du pays, était la profondeur stratégique qu'aujourd'hui, les puissances hégémoniques essaient de se battre, sans aucune en résulter.
En ce qui concerne les efforts déployés par les ennemis de l'Islam pour semer la discorde entre sunnites et chiites, l'ayatollah Khamenei a déclaré que les chiites attaquent parce qu'ils pensent qu'ils sont le fondement de la République islamique, alors que dans plusieurs pays Sunnites défendre plus fermement le système islamique.
"La réalisation d'une société juste, développée et est le principal système islamique idéal spirituel," L'Ayatollah Khamenei a souligné ensuite ajouté à réaliser une société juste exige un comportement juste et les autorités villageoises.
Le Guide suprême a dit que vous pouvez réaliser une société juste et a déclaré que cette communauté va devenir un modèle pour les pays musulmans et non-musulmans .
L'économie de la résistance, les progrès de l'industrie, l'agriculture, la science et le commerce, et l'influence culturelle et politique dans le monde parmi d'autres idéaux qui vise le système islamique.
' Américain poursuit une politique dualiste de l'Iran'
Le comportement hostile et les doubles standards des États-Unis contre la nation iranienne sont les principaux obstacles à prendre des mesures efficaces en vue de la création de la confiance mutuelle entre les deux pays, a-t-il ajouté le porte-parole de la Commission sur la sécurité nationale et de l'Assemblée consultative de la politique étrangère Iran islamique, Seyed Hussein Naqavi.
Bien parlementaire persan a décrit comme d'envoi après la législation du Congrès "positive" annuelle à la Maison Blanche concernant les sanctions prévues contre l'Iran et la lettre du Congrès au président américain Barack Obama au sujet la reprise des négociations avec le pays perse, a souligné l'inadéquation de ces passages: "Si les Etats-Unis est de prendre ces mesures pour gagner la confiance de l'Iran doit prendre beaucoup plus de mesures dans ce sens ".
Le député iranien a nommé quelques-uns des nombreux exemples de l'attitude hostile des Etats-Unis contre le système islamique de l'Iran, «Le soutien de la famille Pahlavi, le soutien à des groupes terroristes à frapper la Révolution islamique d'Iran, en facilitant armes et d'argent à Saddam Hussein dans la guerre en Irak imposées sur l'Iran (1980 - 1988), l'attentat contre l'avion de ligne iranien dans les eaux du golfe Persique, le assassiner des innocents, mettant le pays sous la pression et les sanctions sont des exemples de l'attitude hostile des Etats-Unis à l'Iran ".
Naqavi a souligné que la mentalité de la nation iranienne aux Etats-Unis ne changera pas avec quelques gestes par les pays d'Amérique du Nord. "US poursuit deux poids deux mesures d'une part les autorités américaines ont exprimé leur intention de dialoguer avec l'Iran et de l'autre sont une attitude et une politique hostile contre la nation perse ", a-t-il souligné.
Le MP a été rapporté à la Commission sur la sécurité nationale et la politique étrangère de l'Assemblée consultative islamique d'Iran d'étudier attentivement les dernières attitudes des membres du Congrès américain
"Nous allons discuter de cette question avec soin en dépit de la grande distance entre les Etats-Unis et le peuple perse," a-t-il conclu.
"Problème du monde musulman est la mauvaise compréhension de l'islam "
Le vice-président de l'Assemblée consultative islamique d'Iran, Mohamad Hasan Abutorabi Fard, estime que la méconnaissance de l'Islam est le plus grand problème du monde islamique.
Abutorabi Fard, dans un discours prononcé dimanche à la séance d'ouverture des Mayles, a déclaré: «Aujourd'hui, le principal problème dans le monde musulman est un malentendu à propos de la religion. Nous devons être prudents parce que les ennemis de l'Islam et des musulmans profitent de cette situation pour créer la division parmi les fidèles islamique de présenter l'humanité avec un côté sombre de l'Islam ».
Il a ajouté que la seule façon d'éviter ces menaces de l'ennemi est de connaître le véritable Islam à travers les paroles de l'Imam Ali (AS), le premier imam des chiites, et de renforcer nos liens avec la famille le Prophète de l'Islam, Hazrat Mohammad (PSLF).
Le vice-président de l'organe législatif de la République islamique d'Iran a déclaré que, aujourd'hui, le monde musulman doit recevoir la connaissance religieuse, et a exprimé que l'utilisation de la raison et la religion dans la société islamique correctement, nous ne verrions pas de nombreuses violations des droits des Palestiniens par le régime israélien.
Le fait nouveau dans le conflit syrien
Le fait nouveau dans le conflit syrien ce sont les affrontements de plus en plus fréquents et de violence intense qui opposent les opposants au régime de Bachar El-Assad. Des combats ont lieu en effet depuis quelque temps entre combattants de l'Armée libre syrienne, bras armé de la coalisation de l'opposition au régime qui bénéficie de l'appui des puissances étrangères regroupées dans le club des « amis de la Syrie », et les groupes jihadistes composés de mercenaires étrangers venus se battre à leur côté.
Dans un premier temps, la coalisation et l'ALS ont accueilli à bras ouverts ces jihadistes dotés d'un armement sophistiqué et supérieurement aguerris. Ils ont ignoré les mises en garde qui leur ont été adressées sur cette alliance contre nature qu'ils ont nouée avec ces groupes qui ne scellaient pas leur appartenance à la nébuleuse salafo-terroristes d'El-Qaïda et la nature du projet politique pour lequel ils sont venus se battre en Syrie. Sur le terrain, leur alliance a laissé place à une lutte pour le leadership de l'opposition armée au régime qui a commencé à tourner à l'avantage des jihadistes qui ont dès lors jeté le masque en imposant dans les zones tombées sous leur contrôle un ordre et des préceptes qui augurent du régime rétrograde et autocrate qu'ils veulent voir s'instaurer après la chute de Bachar El-Assad.
Cette tournure des événements sur le terrain a accentué la crainte parmi les alliés occidentaux de la coalition de l'opposition syrienne de voir celle-ci débordée et surclassée. D'où leur hésitation à fournir à celle-ci l'armement qu'ils lui ont promis, car confrontés au risque de le voir tomber aux mains des jihadistes dont les organisations auxquelles ils appartiennent sont classées par eux sur la liste des groupes terroristes menaçant leurs sécurités nationales respectives.
C'est pour donner un gage à ses alliés occidentaux que l'ALS a décidé d'engager la confrontation avec les jihadistes. Elle a été d'autant contrainte de les combattre qu'elle s'est rendu compte que leurs agissements à l'encontre de la population font que celle-ci est en train de perdre ses illusions sur l'ensemble de l'opposition armée au régime. Ce qui est tout bénéfice pour ce régime qui voit ses ennemis occupés à se combattre, lui facilitant ainsi la tâche de reconquérir les régions et localités tombées sous leur coupe quand l'entente régnait dans leurs rangs.
Tout en maintenant leur soutien à la coalition de l'opposition syrienne, les Occidentaux inquiets par la tournure des événements qui sont au désavantage de leurs protégés n'excluent plus aussi fermement la possibilité d'une solution politique incluant Bachar El-Assad et son régime. Ils ont pris conscience que continuer à vouloir une solution militaire au conflit, revient à renforcer l'emprise des groupes jihadistes sur la rébellion anti-régime ce qui sonnerait le glas de la perspective de voir leurs protégés s'engager en position de force dans l'après-Bachar El-Assad.
Les «amis la Syrie» dont la responsabilité dans la militarisation à outrance du conflit syrien a été patente, ont néanmoins réussi l'objectif secret qu'ils ont poursuivi en s'y impliquant. Celui d'avoir signé l'arrêt de mort d'une Syrie unie dans laquelle les communautés ethniques et religieuses la composant vivaient en harmonie et dans la tolérance pour leurs différences et particularités respectives. Le schéma irakien se renouvelle en Syrie et n'a pas fini de s'étendre aux autres pays de la région. Le plan du grand Moyen-Orient est toujours d'actualité pour ce qui est sa visée fondamentale: engendrer le «chaos» d'où sortira une configuration qui effacera les Etats nations du monde arabe tels qu'ils ont été enfantés par les fameux accords «Sykes-Picot» de sinistre mémoire.
La grande responsabilité du poète soulignée par l’Imam Khamenei
Le Guide Suprême de la Révolution Islamique a affirmé lors d’une audience accordée aux gens de la culture et de l’art : « La poésie est l’un des plus éminents arts et les poètes ont une grande responsabilité vis-à-vis des principaux problèmes du pays et de l’immense mouvement historique et inspirateur de la révolution islamique et les poètes doivent mettre cet art prestigieux et toujours neuf au service de ces grandes responsabilités. »
Selon le site d’information du bureau du Guide Suprême de la Révolution Islamique, l’Imam Khamenei a reçu mardi soir, un groupe d’hommes de lettres et d’artistes iraniens ainsi que des poètes persanophones venus de l’Afghanistan, du Tadjikistan et des Indes.
L’honorable Imam Khamenei, Guide Suprême de la Révolution Islamique a fait allusion au cours de cette rencontre au mouvement continu et aux importants progrès du pays dans le domaine de la poésie, soulignant: «La poésie est l’un des plus importants arts et les poètes ont une grande responsabilité vis-à-vis des principaux problèmes du pays et de l’immense mouvement historique et inspirateur de la révolution islamique et les poètes doivent mettre cet art prestigieux et toujours neuf au service de ces grandes responsabilités. »
Présentant les « sentiments humains », « les angoisses » et « la pensée et la sagesse » comme les trois principaux thèmes de la poésie, l’Imam Khamenei a ajouté : « L’expression des sentiments poétiques et amoureux et l’expression des angoisses par rapport à la vie courante sont les deux parties reconnues de la poésie, mais il ne faut pas les mettre en relief en ignorant la sagesse et la pensée dans la poésie. »
Evoquant les poèmes des grands poètes persans y compris Saadi, Hafez et Saeb, le Guide Suprême de la Révolution Islamique a souligné : « Dans les poèmes de ces grands poètes on trouve les sentiments et les désarrois, cependant ils abondent également en la sagesse et la pensée. En fait la sagesse atteint dans leurs poèmes le sommet. »
« Les connaissances islamiques, le mode de vie islamique, la sagesse et les points nécessaires à être enseignés aux hommes ne doivent pas être négligés en poésie », a-t-il ajouté.
Le Guide Suprême de la Révolution Islamique a estimé que le poète avait une responsabilité vis-à-vis des problèmes de sa société, ajoutant: « Aujourd’hui, l’immense mouvement historique du peuple iranien sert d’exemple pour les grandes nations et la révolution islamique iranienne et la résistance face au système de domination international et à l’arrogance mondial doivent apparaître dans les poèmes. »
Il a également présenté la défense sacrée, le djihad pour l’édification d’une société islamique, le djihad pour réformer le mode de vie, le djihad pour renforcer la construction du pouvoir national, ainsi que l’éveil islamique et la question palestinienne comme des thèmes qui doivent entrer dans la poésie.
L’Imam Khamenei a également demandé aux poètes d’attacher un intérêt spécial à la poésie pour enfant et adolescent.
Au début de cette rencontre, les poètes ont donné lecture de leurs poèmes devant le Guide Suprême de la Révolution Islamique, poèmes comportant des thèmes moraux, religieux, cultuels, politiques, révolutionnaires et sociaux.
Les Américains se préparent à bombarder la Syrie?
Martin Dempsey, président du Comité des chefs d'état-major des forces armées américaines, a déclaré que les Etats-Unis ont préparé un plan de bombardements de sites stratégiques en Syrie, écrit le quotidien Rossiïskaïa gazeta du 23 juillet 2013.Parmi les cibles potentielles figureraient les forces de la défense antiaérienne, de l'armée de l'air, de l'armée de terre, les missiles, la flotte, ainsi que les sites militaires logistiques et les postes de commandement. "Les bombardements et les raids pourraient permettre d'éliminer des centaines d'objectifs", déclare la lettre de Dempsey adressée au président de la commission des forces armées du sénat américain Carl Levin.Cette action viserait à affaiblir significativement le régime syrien et contribuerait à la désertion des soldats. Le régime pourrait pourtant répliquer à ces frappes limitées en dispersant ses forces.Dempsey avait déjà déclaré que les USA avaient préparé un plan d'ingérence dans le conflit syrien mais sans annoncer de détails. Selon lui, le projet est actuellement examiné par le gouvernement. Le général a averti que ces frappes nécessiteraient des "centaines d'avions basés sur terre et embarqués, du renseignement, des moyens de guerre électronique, des unités de logistique et de transmissions. Les dépenses sont estimées à 500 millions de dollars au départ et 1 milliard de dollars par mois en moyenne pendant un an", conclut Dempsey.D'après le général, ces frappes permettraient de priver presque entièrement le régime de sa possibilité d'attaquer les bastions de l'opposition et d'approvisionner ses troupes par les airs.Cependant, cette opération s'accompagnerait de risques pour les USA : la perte d'un avion nécessiterait l'intervention des forces de sauvetage. De plus, une telle série d'attaques aériennes ne permettra pas forcément de mettre un terme à la violence et de renverser la situation, selon le général, car le régime compte principalement sur ses forces terrestres – les mortiers, l'artillerie et les missiles.A terme, il est prévu d'établir une zone d'exclusion aérienne en Syrie qui, selon les experts, coûterait aux USA en moyenne 1 milliard de dollars par mois. Cette démarche est exigée par certains sénateurs qui y voient le moyen de faire cesser les frappes aériennes des troupes gouvernementales contre les partisans armés de l'opposition syrienne.
Hezbollah "terroriste" : le décodage....
Sous l'impulsion des Etats Unis et d'Israël , l'Europe des 28 a vendu son âme, a trahi ses propres principes et a inclu le nom du Hezbollah sur sa liste noire. le geste n'a qu'une seule signification, l'Europe considère la résistance libanaise comme étant une milice terroriste au même titre qu'Al Nosra ou Al Qaida!! les accusations que l'Europe reproche au Hezbollah sont non prouvées. Aucun tribunal digne de ce nom n'a statué sur cette fameuse affaire de Burgas , soit cet attentat contre un bus israélien ayant coûté la vie à des touristes qui ressemble beacoups aux mise en scène dont seul le Mossad a le secret . les analystes sont nombreux de voir dans ce geste une riposte à la victoire de l'armée syrienne et du Hezbollah à Qusseir en Syrie car dans le contexte qui est celui de la région, aucun évenement touchant la résistance ne peut survenir sans qu'il soit d'une manière ou d'une autre lié à la Syrie. mais quellessont les conséquences de cette décisions? Que l'Europe considère la branche armée du Hezbollah, un des piliers de la société libanaise comme une organisation terroriste, cela va-t-il changer quelque chose au cours des événements? En termes financiers , la décision de l'UE n'a aucun effet militaire ou financier . car le Hezbollah ne possède ni compte bancaire ni équipements militaire en Europe. d'ailelurs de nombreux commandants du mouvement sont inconnus de grand public y compris des européens. mais cette décision a un impact particulièrement dévastateur sur la situation au Liban, et au delà au Moyen Orient. le moment choisi par les dirigeants européens pour prendre une telle décision est bien calculé et va dans le sens des plans prémédités par US/Israël :
1 Au Liban , le gouvernement peine depuis des mois déjà à voir le jour. le 14 mazrs pro occidental subordonne la formation du nouveau gouvernement à l'absence totale des reprsentants du Hezbollah au sein du nouveau cabinet. et le 14 mars va exactement du même argument que l'UE . pour lui , la guerre du hezbollah contre les hordes salafos wahhabite , armés et soutenus par Riyad relève du terrorisme et donc Qusseir est une preuve de culpabilité du Hezbollah
2 la réaction du PM Mikati a été aussi suprenante . il a annoncé sa totale convergence avec l'Europe et ce alors que les ministres du Hezbollah sont toujours présents dans son cabinet . cette déclaration constitue, selon les analystes, un feu vert à l'adresse du nouveau premier ministre pour qu'il boycotte le Hezbollah dans son gouvernement. l'UE vient d'offrir sur un plateay d'or le prétexte nécessaire pour écarter la Résistance du gouvernement , ce qui revient en effet à interrompre tout lien entre le hezbollah et la communauté internationale
3L'UE vient ainsi de bloquer la voie à tout compromis et dialogue, ainsi que l'a souhaité Nasrallah dans sa récente intervention. cette mesure va tendre à l'extrême la situation au Liban au détriment de l'unité nationale et on se demande ce que veut faire l'Europe de cette unité , si elle est définitivement brisée et si elle , ainsi que l'Europe le prétendait, lui tient tellement à coeur. l'Europe met donc de l'huile sur le feu et à dessin
4 C'est aux dépens des forces de maintein de la paix de la Finul que l'UE qualifie désormais le Hezbollah d'organisation terroriste. ces forces se trouvent positionnées au coeur même des régions du Hezbollah qui n'a jamais commis aucun "acte terroriste" à leur encontre !! ce sont principalement des français, des italiens, des espagnols qui pârticipent à cette force
5 La coincidence entre la décision de l'UE et le message sonore du terroriste Al Golani , chef d'Al Nosra en Syrie est bizarre ...
6 Tout comme la joie d'Israël après l'annonce de cetet décision. C'est Peres en personne qui a envoyé un message de remerciement et de sympathie à l'adresse de l'UE . et c'est sa haine anti iranienne et anti hezbollah qui s'est emanée de cette lettre
7 en Iran justement, cette décision ne peut constituer un bon signal dans la mesure où les liens entre l'Iran et le Hezbollah sont viscéraux et ceci est loin d'être un bon signe alors que Rohani s'apprête à prendre les rêne de l'exécutif et qu"'il a affiché sa volonté d'ouverture envers l'Occident. L'UE n'a donc pas l'intention de se montrer flexible , de tempérer ses positions hostilles et anti iraniennes aussi bien en Syrie qu'au Moyen Orient , ce qui ne va pas sans nuire au dialogue euro iranienn
8 on ne peut ne pas voir les traces de la Turquie et de l'Arabei saoudite dans cette décision. en effet les succès du hezbollah à éloigner les takfiris des frontières libanaises a porté un coup irréparable à la statégie de guerre occidentale, arabe et turque . mais qu'a fait le Hezbollah? a -t-il dérfendu Assad ou le Liban? les TAkfiris qui se sont vus évincés de Qusseir allaient tot ou tard gagner le Liban et présenter une vértiable menace à sa sécurité. ...
Quelle sera la réaction du Hezbollah ? les prochains jours nous le diront...
L'empire de l'homme de fer du Kremlin: Fin d'un rêve ?
la crise économique plane sur le rêve de l'empire de l'homme de fer du Kremlin, Vladimir Poutine. Tous les communiqués, émis par les parties officielles témoignent de la baisse de la croissance économique du pays et ce à telle enseigne que les prévoient, dans le meilleur cas, une croissance de 2.4% d'ici la fin de l'année en cours. Le taux de la croissance industrielle se chiffrera à 1.4% et le taux d'investissements baissera, considérablement. Ce, alors que la croissance économique de la Russie était de l'ordre d'environ 7%, en 2007, dernière année du deuxième mandat de Vladimir Poutine. Ce chiffre est tombé, en raison des effets de la crise économique mondiale, à 3.4, en 2012. De nombreux experts russes estiment que l'économie russe risque d'entrer dans une étape de récession économique dite « la récession dure à l'inflation », période qui sera marquée par la baisse considérable de la croissance économique et la hausse vertigineuse de l'inflation. De même, selon les prévisions, cela affectera, considérablement, les revenus pétroliers et gaziers, principale source du budget du pays, revenus qui sont passés, de 30% à 50%, dans les années allant de 2004 à 2013. Donc, si cette tendance se confirme, le Président russe, Vladimir Poutine risque de ne pas pouvoir tenir ses promesses en matière de croissance économique et de programmes sociaux. Autrement dit, on pourrait aller vers la fin de l'exemple du « pays de rêve », en Russie.
C'est dans la foulée de cette évolution économique, qui était, semble-t-il prévisible pour Poutine, que Tsar de l'époque contemporain de la Russie a brigué le troisième mandat afin de sauver le pays de la crise économique qui l'attendait. C'est pour cette raison qu'il a désigné, fin juin 2013, Alexeï Oulioukaev, en tant que nouveau ministre de l'économie. Il a succédé à Andreï Beloussov. Ce dernier a été désigné comme conseiller économique du Président. Beloussov était partisan de l'intervention de l'état dans l'économie. Il a assuré cette fonction, pendant un peu plus d'un an, tandis que le nouveau ministre de l'économie est favorable au marché libre et ne croit pas tellement en l'intervention de l'état dans les activités économiques. Il compte, également, au premier rang des figures de l'équipe des libéraux de la nouvelle Russie. Sous la présidence, Eltsine, il était conseiller économique du gouvernement et il a jouté un rôle important dans l'orientation des nouvelles politiques du pays en matière d'économie, dans les années 90, qui ont laissé des impacts très négatifs sur l'économie et la société russes. Dans sa première déclaration en qualité de nouveau ministre de l'économe ; Alexeï Oulioukaev a déclaré que sa priorité consistait à créer un climat convenable pour attirer les investissements dans le secteur privé avec pour objectif d'endiguer la baisse de la croissance économique. De nombreux experts voient en retour d' Alexeï Oulioukaev, le retour de l'équipe des libéraux au pouvoir et sur la scène de l'économie traditionnelle. A rappeler qu'avant la décision de Poutine de changer son ministre de l'économie, il y avait un débat houleux, au Kremlin, sur la politique à suivre pour freiner la baisse de la croissance économique, en Russie. A ce propos, Andreï Beloussov insistait sur la nécessité de gros investissements du gouvernement dans les grands chantiers d'infrastructures, thèse, rejetée, catégoriquement, par l'équipe des libéraux de l'actuel gouvernement, conduit par Dimitri Medvedev. Il avait proposé, également, la libéralisation du taux de la monnaie nationale (Rouble), étant un handicap à la baisse de la croissance économique, idée qui a suscité de nombreuses oppositions. En janvier dernier, Vladimir Poutine a reconnu que la baisse de la croissance économique était très coûteuse pour le gouvernement. Sont nombreux les analystes qui n'écartent pas la possibilité de voir la nouvelle équipe économique du pays, répéter l'expérience des années 90, d'autant plus que la nouvelle équipe croit, essentiellement, au marché de libre-échange et à l'augmentation de la quantité de la liquidité en proportion aux besoins sociaux. Ce, alors que la Chambre des représentants russes (la Douma), a adopté, début juillet 2013, la loi d'amnistie pour les délits économiques et financiers voulue par le président Vladimir Poutine pour améliorer le climat des affaires dans le pays. Le texte, qui pourrait concerner des milliers de personnes, a été approuvé en troisième lecture avec 298 voix pour et une abstention. Il doit être validé par la chambre haute puis promulgué par Vladimir Poutine. Le chef de l'État russe avait demandé fin juin au Parlement de voter une telle loi, dans le cadre d'une série de mesures destinées à favoriser les investissements à un moment où la croissance économique du pays a fortement ralenti. L'amnistie ne concernera en outre que les personnes condamnées pour la première fois, ce qui devrait exclure l'ex-patron du pétrolier Ioukos emprisonné depuis 2003, Mikhaïl Khodorkovski, condamné à deux reprises. Le PC a évoqué une trop grande "subjectivité" dans l'application de l'amnistie, alors que le LDPR de Vladimir Jirinovski, adepte des provocations verbales, a proposé que les bénéficiaires remis en liberté soient contraints de s'installer en Extrême-Orient. Ce serait la seule manière, selon lui, d'assurer "l'augmentation de la population dans ces régions". L'un des aspects les plus débattus de la loi concerne l'obligation de payer des dommages aux victimes.
Certains députés ont estimé qu'il s'agissait d'un privilège accordé aux plus riches pour échapper à la prison. On peut aussi y voir une sorte de double peine, lorsque les condamnés sont des entrepreneurs honnêtes victimes d'une expropriation, avec la complicité de tribunaux poreux à la corruption. "Si une personne a effectivement volé, elle devra payer les dommages. C'est une bonne chose, dit Lioudmila Alexeïeva, célèbre militante à la tête du Groupe Helsinki de Moscou. Mais beaucoup de businessmen sont emprisonnés non pas parce qu'ils ont volé, mais parce qu'on leur a arraché leur entreprise. Devront-ils en plus payer pour être relâchés ?"
Par ailleurs, la Russie a annoncé, pour la première fois, le niveau de ses réserves en pétrole et en gaz avec pour objectif d'attirer les investissements étrangers dans le secteur de l'énergie, la chose qui était considérée, dans le passé, comme étant confidentielle, sur quoi, personne ne disposait des informations précises. Selon les chiffres, récemment, fournis par le gouvernement russe, le volume de ses réserves en pétrole et en gaz. Selon ces chiffres, les réserves en pétrole du pays s'estiment à 17.8 milliards, chiffre auquel il faut additionner 10.9 milliards de réserves pétrolières éventuelles. De même, les réserves prouvées et éventuelles du gaz naturel sont estimées, respectivement, à 48.8 et 19.6 milliards de dollars. Cependant, ce chiffre pourrait, indiquent de nombreux analystes, ne pas être attrayant pour pouvoir attirer les sociétés mondiales actives dans le secteur de l'énergie, car la définition de Moscou en matière d'évaluation de ses réserves en pétrole et e, gaz est différente des définitions internationales. Le gouvernement russe procède à l'évaluation du volume de ses réserves en pétrole et en gaz sans prendre en compte les profits et les préjudices d'extraction, tandis que le critère international tient compte des frais d'extraction dans l'évaluation des réserves d'énergie. C'est pourquoi le chiffre fourni par la Russie est supérieur à celui des instances internationales. Selon les estimations internationaux, les réserves pétrolières de la Russie sont de l'ordre de 11.9 milliards de tonnes et non pas 17.8 milliards de tonnes.
La tentative de Vladimir Poutine de sauver l'économie du pays et d'éviter l'entrée dans l'étape du marasme économique, l'a poussé à opter pour une politique, lui permettant de tenir ses promesses, faites, lors de son retour au Kremlin, en 2012. Il avait dit vouloir doper les revenus sociaux. Mais, le recours à la politique en matière économique risque d'être en porte-à-faux avec les promesses qu'il avait faites aux citoyens russes, une qui question qui pourrait servir d'un prétexte aux opposants politiques de monter la société civile contre lui.
Hezbollah "terroriste" : l'Iran réagit
Le porte-parole de la diplomatie iranienne, en condamnant l’intégration de la branche armée du Hezbollah, dans la liste des groupes armés terroristes, par l’Union Européenne, a demandé la révision de cette décision.Seyyed Abbas Araghtchi, qui parlait, ce mardi, devant un parterre de journalistes iraniens et étrangers, à Téhéran, a qualifié cette démarche de l’Union Européenne d’acte dirigé contre le peuple et le gouvernement libanais, car le Hezbollah est accepté et respecté par tous les Libanais, le monde de l’Islam et nombre de pays de la région. Araghtchi a précisé que la résistance légitime du Hezbollah, face au régime sioniste, est respectée par les peuples de la région et du monde de l’Islam, et l’inscription de son nom, sur la liste des groupes terroristes, est un acte totalement irréfléchi et disproportionné. Araghtchi, qui est, également, vice-ministre iranien des Affaires étrangères, a souligné que cette démarche de l’Union Européenne s’inscrivait dans le cadre de la défense des intérêts du régime sioniste et n’aboutirait à aucun changement, dans la nature des positions du Hezbollah et la tendance des peuples de la région, rendant, seulement, encore plus complexe la crise au Moyen-Orient. Araghtchi a, également, démenti les rumeurs concernant les nouvelles inspections des sites nucléaires iraniens, avant d’ajouter qu’aucun nouvel accord n’avait eu lieu avec l’AIEA, à ce propos, et que les négociations débutées entre les deux parties, dans le cadre de nouvelles coopérations, n’avaient pas encore pris fin. Le porte-parole de la diplomatie iranienne a martelé que la RII était toujours prête à coopérer avec l’AIEA, dans le cadre du TNP, et qu’elle n’irait pas au-delà de ses engagements. Au sujet de la récente démarche du Congrès américain consistant à ne pas envoyer le projet de loi de nouvelles sanctions contre l’Iran, simultanément à la lettre du Congrès aux autorités américaines, pour une meilleure interaction avec la RII, Araghtchi a indiqué que c’est une marche vers la rationalité, dans la politique américaine, car les contribuables américains ont payé très cher et à plusieurs reprises, les attitudes extrémistes et destructrices des hommes d’Etat américains, et ils souhaitent, manifestement, un changement, dans la politique de leurs gouvernants. Araghtchi a ajouté, pourtant, que les belles paroles ne sont pas suffisantes, et qu’il faut qu’elles soient suivies d’actes concrets, pour réparer leurs politiques erronées du passé. En tout état de cause, s’ils corrigent leur fausse approche, cela pourra réduire les tensions et créer un nouveau climat. Au sujet de l’Egypte, le vice-ministre iranien des Affaires étrangères a réitéré que la RII mettait l’accent sur l’unité nationale de ce pays, via le dialogue entre tous les groupes politiques. Araghtchi a évoqué les entretiens téléphoniques du chef de la diplomatie iranienne avec son homologue égyptien, lundi, avant d’ajouter que les deux parties ont mis l’accent sur la cohésion nationale de l’Egypte, ainsi que sur la poursuite des consultations de Téhéran et du Caire, au sujet des évolutions, en Palestine et en Syrie. Araghtchi a déclaré, également, que les cérémonies de prestation de serment du Président iranien, Hassan Rohani, se tiendront, le dimanche 4 août, au parlement, et pour la première fois, après la victoire de la Révolution islamique, il a été décidé d’inviter des autorités étrangères à y participer. Araghtchi a ajouté que de telles cérémonies sont habituelles et que l’Iran a envoyé des invitations à tous les pays, à l’exception des Etats-Unis et du régime sioniste qu’il ne reconnaît pas.
Iran et l'Egypte plaident pour une amitié durable
Iranien des Affaires étrangères Ali Akbar Salehi Ministre et Ministre des Affaires étrangères d'Égypte, Nabil Fahmy, ont tenu une conversation téléphonique mardi sur diverses questions d'intérêt mutuel.
Pendant la conversation, en fonction de leur connaissance de la diligence et l'intelligence politique du peuple égyptien, M. Salehi est optimiste quant à l'avenir de l'Egypte, qui connaît actuellement une crise politique.
Le ministre iranien des Affaires étrangères a également souligné la nécessité pour les élites politiques et toutes les parties prenantes travaillent ensemble pour renforcer la solidarité et l'unité nationale en Egypte ", qui occupe une place importante dans la région."
Il a exprimé son espoir que Téhéran et au Caire pour discuter dès que les problèmes latents possibles dans la région, y compris la question palestinienne et syrienne.
Pendant ce temps, Nabil Fahmy, après avoir exprimé la satisfaction conversation téléphonique avec la chancelière persane, a exprimé son espoir d'échanger dès que possible et adéquate occasion sur des questions d'intérêt commun et des changements majeurs dans la région.