تقي زاده

تقي زاده

Un haut responsable militaire iranien a répondu samedi au président Barack Obama, avertissant les Etats-Unis que Téhéran avait "aussi toutes les options sur la table" dans la crise du nucléaire iranien.

"M. Obama, ne vous trompez pas, nous avons aussi toutes les options sur la table. Rentrez chez vous avant de vous enfoncer encore plus dans le bourbier de la région", a lancé le commandant en chef-adjoint des forces armées, le général Massoud Jazayeri, cité par sepahnews.com, le site internet des Gardiens de la révolution iraniens.

"Nos chefs nous ont autorisés à répondre à tout geste hostile de la part de l'ennemi", a-t-il ajouté, sans autre précision.

Les forces armées iraniennes sont placées sous l'autorité du guide suprême de la République islamique, l'ayatollah Sayed Ali Khamenei.

Dans un entretien à la télévision israélienne, Barack Obama avait répété jeudi qu'il espérait une solution diplomatique à la crise avec Téhéran mais qu'il conservait "toutes les options sur la table", y compris militaire.

Obama, qui se rend en Israël du 20 au 22 mars, avait également estimé que l'Iran arriverait à développer une arme nucléaire dans "un peu plus d'un an ou à peu près" mais que les Etats-Unis ne voulaient "pas attendre le dernier moment" pour l'en empêcher.

Les Occidentaux et « Israël » accusent l'Iran de vouloir se doter de la bombe atomique sous couvert d'un programme nucléaire civil, ce que Téhéran dément.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu avait demandé fin février à la communauté internationale de mettre en garde l'Iran contre une action militaire s'il poursuivait son programme nucléaire.

Les responsables militaires iraniens ont pour leur part averti qu'une attaque israélienne serait considérée comme ayant eu l'approbation des Etats-Unis et qu'ils répliqueraient en s'attaquant à des bases américaines dans la région.

Selon Al-Watan, 15.000 mercenaires entraînés par les marine's US, massés, au Nord du Liban, sont prêts à franchir les frontières avec la Syrie et à entrer, dans ce pays. Les instructeurs américains sont aidés par leurs collègues français et anglais. Des centaines de personnes ont, déjà, franchi les frontières, en provenance de la Jordanie, de la Turquie et du Liban, et les armes sont fournies par l'Arabie saoudite. Des misisles anti-chars, des missiles anti-aériens, des véhicules blindés dotés de Doushka, se trouvent en abondance, dans les cargaisons trafiquées, depuis la Croatie. La Syrie a appelé le Liban à agir, sinon elle "n'aurait pas d'autres choix que de riposter".

La cheffe de la diplomatie de l'UE a demandé aux 5+1 d'agir, de manière constructive, lors des négociations avec l'Iran.

Catherine Ashton, responsable de la politique étrangère de l'UE et coordinatrice des 5+1 aux négociations avec l'Iran, a appelé, hier, samedi, dans des propos, les 5+1, à agir, de manière constructive, et à s'employer à établir une relation efficace avec l'Iran, en instaurant un climat de confiance avec ce pays, a indiqué Press TV. Le dernier tour des négociations entre l'Iran et les 5+1 a eu lieu, les 26 et 27 février, à Almaty, le prochain tour aura lieu, d'ici 3 semaines, les 5 et 6 avril, au même endroit. Mais avant ces négociations, il y aura, demain, lundi, à Istanbul, d’autres négociations, au niveau des experts, pour examiner les détails des propositions techniques et juridiques des deux parties. Une délégation iranienne d'experts a quitté, aujourd'hui, dimanche, dans l'après-midi, Téhéran, pour Istanbul. Toute pronostic sur ces négociations est difficile, mais les observateurs sont d'avis que, si les négociations se poursuivent, de la part des 5+1, avec bonne volonté, elles pourraient enregistrer des progrès notables. Les négociations d'Almaty, pour la première fois, depuis de multiples tours, ont été positives. Mais pour que les lueurs d'espoir se transforment en un processus durable de coopérations constantes, il faudra que les décisions que prendront les parties négociatrices, lors des négociations des prochaines semaines, soient rationnelles. Certains observateurs sont d'avis que, pour instaurer la confiance, un accord, même minime, mais important, doit avoir lieu, pour dissiper les principales inquiétudes des deux parties, tandis que les questions secondaires devront être reportées aux négociations ultérieures. Les 5+1 ont perdu, jusqu'à présent, de multiples occasions d'interaction avec l'Iran. Or, si l'Occident souhaite, vraiment, interagir, elle doit franchir des pas, pour gagner la confiance de l'Iran, ce qui nécessite la dissipation de certaines sanctions illégales. Il n'y a aucune preuve établissant une dérive militaire, dans le programme nucléaire iranien. Le chef de la CIA, JamesKlapper avait déclaré, en mars 2011, qu'il était sûr que l'Iran n’en avait pas pris la décision. "L'Iran n'a jamais violé le Traité de Non-prolifération des armes nucléaires (TNP) et il n'y aucune preuve établissant que l'Iran est en train de se doter d'une bombe atomique", a déclaré l'ancien inspecteur de l'Agence internationale de l'Energie atomique, (AIEA), Hans Blix. Mais certaines parties des négociations, en fermant les yeux sur les réalités et en faisant fi des droits légitimes de l'Iran au nucléaire, avancent des exigences qui pourraient faire sortir les négociations de la bonne voie. Certains pays membres des 5+1 insistent pour que l'Iran adopte, volontairement, le protocole annexe, qui permet à l'Agence d’effectuer des inspections plus inopinées. Auparavant, l'Iran avait donné son accord à de telles demandes, et même, à un moment, avait suspendu, de manière volontaire, l'enrichissement de l'uranium. En 2005, il avait autorisé la visite de Partchin, qui est un site militaire, bien que cela ne soit pas défini, dans les engagements de l'Iran et de l'AIEA. Mais, en revanche, l'Agence n'a pas tenu ses engagements et la fuite d’informations confidentielles et sécuritaires de l'Iran, via l'AIEA, a conduit à des attaques cybernétiques et à l'assassinat des savants atomistes iraniens. L'Occident a, aussi, intensifié les sanctions contre l'économie et les autorités iraniennes, sans aucune raison valable et rationnelle.

 

Un an après la tentative de la sénatrice Françoise Laborde (Rassemblement démocratique et social européen) de faire adopter une loi islamophobe visant à interdire le port du hijab aux assistantes maternelles, le député Roger-Gérard Schwartzenberg appartenant au groupe Radical, Républicain, Démocrate et Progressiste a déposé un projet de loi similaire.

Le texte vise « à étendre l’obligation de neutralité à certaines personnes ou structures privées accueillant des mineurs et à assurer le respect du principe de laïcité » . En outre, il impose – sauf stipulation contraire inscrite dans le contrat – aux assistants maternel le principe de neutralité en matière religieuse dans le cours de leur activité d’accueil d’enfants. En d’autres termes, il serait interdit aux femmes voilées de porter le hijab dans le cadre de l’exercice de leur profession et ce même chez eux. Le projet de loi vise aussi à interdire le port du hijab aux employées de crèches, de jardins d’enfants et nourrices, des structures accueillants des enfants de moins de six ans.

Le CCIF appelle les citoyens à une nouvelle mobilisation pour faire barrage à cette loi d’exclusion. Une mobilisation qui doit être d’autant plus forte que l’Assemblée Nationale et le Sénat sont aujourd’hui passés à gauche et chacun sait qu’en matière de laïcité islamophobe la gauche n’a aujourd’hui rien à envier à l’UMP ou Front National.

Une proposition de loi qui aurait pour conséquence d’exclure des milliers de femmes musulmanes dont le professionnalisme est reconnu. En décembre ۲۰۱۲, Isabelle Catiau, française musulmane et voilée a remporté le concours national de la meilleure nounou et a été élue meilleure Nounou de France par l’académie des gouvernantes.

Des unités de l'armée arabe syrienne ont exécuté des opérations contre des repaires des terroristes à al-Zabadani, à al-Nabek et à al-Hajar al-Aswad dans la banlieue de Damas, faisant des tués parmi eux et détruisant leurs véhicules et leurs outils criminels.

Une source responsable a affirmé que les membres d'un groupe terroriste à al Hajar al-Aswad ont été tués ou blessés, parmi eux un certain Mohammad Ka'kah.

La source a ajouté qu'une unité de l'armée avait exécuté une opération dans les montagnes ouest d'al-Zabadani, en liquidant trois parmi eux dont Ahmad al-Raqchah, alors qu'une autre unité avait détruit une voiture portait des terroristes sur la route reliant Yabroud à al Nabek.

Des unités des forces armées ont tué et blessé nombre de terroristes qui perpétraient des actes de meurtre et de sabotage dans le quartier de Jobar, à Maadamyeh, à Daraya et dans les fermes d'al-Rihane à Douma.

Une source responsable a fait savoir qu'une unité des forces armées avait liquidé à proximité du rond-point d'al-Barlamane dans le quartier de Jobar nombre de terroristes dont Abdel Rahman Amine et Ahmad Charchar.

La source a ajouté que deux repaires de terroristes ont été détruits dans les fermes de Rihane à Douma, tuant et blessant nombre de terroristes dont Bachir Tafour.

Dans la ville de Daraya, une unité des forces armées a détruit ۴ véhicules avec les terroristes à bord dans le quartier d'al-Jam'yat à l'ouest de la ville. Parmi les terroristes tués figurait : Amer Hussein.

Une unité des forces armées s'est accrochée avec un groupe terroriste armé qui terrifiait les citoyens à proximité de l'école d'al-Nazihine à al-Maadamyeh, infligeant aux terroristes de lourdes pertes.

Poursuite des opérations spécifiques contre les groupes terroristes dans la banlieue d'Idleb

A Idleb, des unités des forces armées ont poursuivi leurs opérations contre les groupes terroristes armés dans nombre de zones dans le gouvernorat d'Idleb.

Une source au gouvernorat a indiqué qu'une unité des forces armées avait abattu nombre de terroristes qui avaient tenté d'attaquer les points de contrôle de l'armée dans la ville de Jisr al-Chghour, soulignant qu'une autre unité avait détruit des groupements de terroristes dans la banlieue de Jisr al-Chghour à Qastal al-Borj, à Dweir al-Akrad et à al-Sermanyeh.

A Maarret al-No'mane et sa banlieue, une unité des forces armées a visé des repaires de terroristes à Kafroumeh, à Has et dans la ville d'al-Maarret, liquidant nombre de terroristes qui avaient tenté d'attaquer les points de contrôle de l'armée à Hich, à al-Hamidyeh et à Wadi al-Deif.

La source a ajouté qu'une unité des forces armées avait exécuté aujourd'hui nombre d'opérations spécifiques à Tal Salmo dans la banlieue d'Abou al-Zhour, infligeant aux terroristes de lourdes pertes.

Une unité des forces armées a traqué les groupes terroristes armés dans les fermes situées sur la route Bennech-Sermine, détruisant des repaires des terroristes dans la ville de Maartemesrine et le carrefour de Deir al-Waghb, leur infligeant de lourdes pertes.

Des terroristes abattus à Homs et sa banlieue

A Homs, une unité des forces armées a liquidé dans une opération spécifique nombre de terroristes dans la zone de Tal al-Chour dans la banlieue du gouvernorat.

Une source au gouvernorat a indiqué que parmi les tués figuraient des terroristes de nationalités étrangères dont des snipers et un chef d'un groupe terroriste dénommé "Abdo al-Saqa".

Des unités des forces armées ont continué la traque des groupes terroristes armés dans nombre de quartiers dans la vielle ville de Homs, dans la banlieue de Qseir, à al-Houla et à Tadmor (Palmyre), abattant nombre de leurs éléments.

Une source militaire a indiqué qu'une unité des forces armées avait détruit à Houla nombre de repaires des groupes terroristes avec dedans : armes et munitions.

La source a ajouté que trois véhicules ont été détruits avec les terroristes à bord dans le village d'al-Mas'oudyeh dans la banlieue de Qseir.

La source a fait noter qu'unité unité des forces armées s'était accrochée avec un groupe terroriste armé qui avait tenté de s'infiltrer à l'hôpital de Dedeman à Tadmor, tuant et blessant tous ses éléments.

Des unités des forces armées ont traqué des terroristes dans les quartiers d'al-Khalidyeh, de Bab Houd, de Qarabis et de Jourret al-Chyah dans la vieille ville de Homs, détruisant nombre de leurs repaires et véhicules.

Dans la banlieue de Homs, une unité des forces armées a exécuté aujourd'hui une opération spécifique contre les rassemblements et les repaires des terroristes dans la zone d'al-Houla.

Une source militaire a indiqué que des véhicules dotés de mitrailleuses lourdes et de mortiers ont été détruits.

Toujours à al-Houla, banlieue de Homs, une unité des forces armées a détruit deux repaires des groupes terroristes dans les deux régions de Kaferlaha et de Taldo.

Une source du gouvernorat a affirmé qu'un entrepôt a été détruit avec dedans: armes et munitions, et nombre de terroristes ont été tués, parmi lesquels: Mohammad Ahmad al-Zoebi, chef du soi-disant /Liwaa al-Tawhid/, Abdel-Rahman al-Ramihi, responsable de l'entraînement des terroristes, et Ibrahim al-Bakour.

Sur un autre plan, une unité des forces armées a avorté ce soir nombre de tentatives des groupes terroristes de s'infiltrer depuis les territoires libanais vers la banlieue de Talkalakh à Homs.

Une source du gouvernorat a affirmé au correspondant de Sana que des groupes terroristes avaient tenté de s'infiltrer à partir des sites de Hakerjnin, à Qachlaq et à Tallet Fredes dans le côté libanais en direction à al-Mathoumeh et à Azir dans la banlieue de Talkhalakh ( côté syrien).

La source a fait noter que les forces armées avaient affronté les groupes terroristes, tuant ou blessant nombre de leurs éléments dont Zouheir Mustafa et un autre de nationalité libanaise.

De même, des unités des forces armées ont détruit dans des opérations spécifiques nombre de repaires des terroristes dans la banlieue de Homs.

Une source du gouvernorat a affirmé que des unités des forces armées avaient visé des groupes terroristes et détruit leur matériels à al-Boueyda al-Charqieh dans la banlieue d'al-Qusseir, à al-Ghanto et à al-Saan al-Aswad dans la banlieue de Homs.

A Homs, des forces armées ont poursuivi la traque des terroristes à Bab Houd, tuant et blessant nombre d'eux. Elles ont aussi désamorcé six engins explosifs plantés par des terroristes dans les foyers des citoyens pour cibler les civils et les forces du maintien de l'ordre.

De même, un terroriste a été abattu et deux autres blessés du fait de l'explosion d'une charge explosive alors qu'ils la préparaient dans un des entrepôts de munitions dans le quartier d'al-Midan à Homs.

Des terroristes visent par des obus de mortier le quartier d'al-Souleymanieh à Alep

Des terroristes ont tiré des obus de mortier sur les maisons des citoyens et les lieux de culte dans le quartier d'al-Souleymanyeh dans la ville d'Alep, faisant nombre de victimes parmi les citoyens et causant de dégâts matériels.

Une source responsable a indiqué qu'un obus de mortier était tombé à proximité de l'église des Syriaques Orthodoxes et avait causé de dégâts matériels à l'alentour de l'église sans faire de victimes.

Une source responsable à Alep a ajouté qu'un autre obus avait chuté sur l'école d'al-Maarri à al-Souleymanyeh, causant des dégâts matériaux dans l'école.

Sur un autre plan, les forces armées ont exécuté des opérations spécifiques contre les rassemblements des terroristes à Alep et sa banlieue.

Citant une source responsable a affirmé que des unités des forces armées avaient détruit des rassemblements des terroristes à Ming, à Khan Toman, à al-Qarasi, à Bianon, à Hreibel, à al-Mansoura et à Hreitan, tuant ou blessant nombre de terroristes.

A Alep, des unités de l'armée ont liquidé nombre de terroristes à al-Cheikh Saïd, à Masaken Hanano, à Ein al-Assafir, au rond-point d'Aghiour et à Boustan al-Qasr.

La majorité des éléments d'un groupe terroriste ont été abattus lors d'un accrochage avec une unité de l'armée dans la région d'al-Achrafieh.

La source a souligné que la traque des terroristes se poursuivait dans la vieille ville d'Alep.

Par ailleurs, et commentant une nouvelle circulée par des chaînes d'effusion du sang syrien sur l'envahissement par les groupes terroristes d'un bataillon de missile à al-Rachidine, une source responsable a affirmé qu'aucun bataillon de missile ne se trouvait dans la région d'al-Rachidine,.

A Khan Tomane dans la banlieue d'Alep, une unité de l'armée s'est accrochée avec des terroristes appartenant au front d'al-Nosra et saisi leurs armes et leurs munitions.

Une source responsable a affirmé que l'accrochage a fait des tués et des blessés dans les rangs des terroristes et que parmi les armes saisies ۴ fusils automatiques, des obus /RPG/ et des balles de mitrailleuse.

Une autre unité, ajoute la source, ont saisi cet après midi des quantités d'armes et de munitions dans une voiture à l'entrée de Khan Toumane, et abattu le terroriste qui la conduisait.

Sur un autre plan, et se disputant sur le partage du butin de leurs vols, nombre de terroristes de deux groupes ont été tués et d'autres ont été blessés à Kafar Hamra dans la banlieue d'Alep.

Une source responsable a indiqué que des confrontations de plusieurs heures avaient éclatés entre les éléments des deux groupes dont les chefs respectifs étaient les dénommés Ahmad Afach, et Khaled al-Hayyani. Parmi les terroristes tués, ajoute la source, Mahmoud Afach, frère du chef du premier groupe.

Saisi d'armes et de munitions à al-Hassakké

Des unités des forces armées ont visé un groupement de terroristes dans le village d'Om al-Kheir à proximité de Raas al-Ain à Hassaké, liquidant nombre de terroristes et saisissant une mitrailleuse ۲۳ mm, ۴ mitrailleuses Dushka et ۲ fusils à précision.

Des unités des forces armées se sont accrochées avec des groupes terroristes armés appartenant au Front Nosra dans la localité de Tal Brak, saisissant des mitrailleuses, des lance-roquettes RPG et des fusils à précision et rétablissant la sécurité et la stabilité dans la localité.

Les services compétents arrêtent un gang qui vendait les drogues à Deir Ezzor

Au quartier d'al-Joura à Deir Ezzor, les services compétents ont arrêté un gang qui vendait et commercialisait les drogues et saisis sur eux des quantités de drogues et environ ۱.۷۵۰ millions de L.S., d'après une source responsable qui a affirmé aussi à la correspondante de Sana que le gang vendait les drogues dans le quartier qui était récemment la scène de beaucoup d'actes de vol, de sabotage et de pillage visant les propriétés et les biens des citoyens.

La source a indiqué que les membres du gang sont: Ghassan Dalou al-Hammadi, Safwan Mohammad Haj Hussein, Bachar Mohammad Zaker Khalifa, Ibrahim et Mohammad Mustapha al-Oqlah.

De même, une unité de l'armée syrienne s'était accrochée avec un groupe terroriste armé, du front d'al-Nosra, qui perpétrait des actes de vol et de pillage dans le quartier d'al-Joubaylah, lui infligeant de lourdes pertes.

Une source responsable a indiqué que la plupart des éléments du groupe ont été tués, dont son chef, Samer Antar al-Mouhaysen.

Des centaines d'Egyptiens ont manifesté vendredi au Caire leur soutien à un retour de l'armée au pouvoir dans un pays qui n'est toujours pas sorti d'une transition politique chaotique émaillée de violences, deux ans après la chute de Hosni Moubarak.

La manifestation a eu lieu dans l'est du Caire à l'appel d'un collectif de militaires à la retraite et de groupes opposés au Frères musulmans, dont est issu le président Mohamed Morsi, selon un photographe de l'AFP.

Les manifestants ont notamment scandé des slogans appelant l'armée à "ne pas les abandonner", brandissant des portraits du ministre de la Défense, le général Abdel Fattah al-Sissi. D'autres criaient "l'armée doit revenir" (au pouvoir) ou "A bas le pouvoir du guide", en référence à Mohammed Badie, guide suprême des Frères musulmans.

Des manifestations de soutien à l'armée ont également été organisées à Damiette, dans le nord du pays, selon le site internet du journal Al-Ahram.

L'armée est un acteur capital dans le jeu politique en Egypte depuis 60 ans.

La chute de Hosni Moubarak en février 2011 avait amené les militaires au pouvoire, à la tête, le maréchal Hussein Tantaoui, ont pris les rênes du pays jusqu'à l'investiture de M. Morsi fin juin 2012.

Ahmad Bakhshayesh, membre de la Commission de la sécurité nationale et de la politique étrangère du parlement iranien, a la réponse :

"Ce que cherchent les avions et les drones de reconaissance US, en Iran, c'est de mettre à l'épreuve la capacité et la performance des systèmes -radar iraniens". Le député est revenu sur les tentatives d'infiltration des drones américains, dans le ciel iranien, dont la dernière remonte à il ya quelques jours et en a précisé la raison, en ces termes : "Ces actes de provocation se multiplient, de la part des Américains, et ce, en dépit de l'interception des drones US, par les unités de défense anti-aérienne iraniennes , ce qui est le signe de l'extrême vigilance iranienne". "L'ennemi ne renoncera jamais à ses activrtés anti-iraniennes et il teste les capacités d'interception de nos radars". "Toujours est-il que ces actes sont dangereux et pourront déboucher sur une catastrophe".

En annonçant son intention de fournir des armes aux rebelles syriens,...

le président François Hollande ouvre les portes du Levant à Al-Qaïda, qui, après s'être implantée en Syrie, commence à se structurer au Liban.

La décision du chef de l'Etat français ne fait pas l'unanimité en France et en Europe, est dénoncée par la Russie et critiquée par les Nations unies. Pour le vice-président du Front national (FN), Florian Philippot, il s'agit d'une "folie". Pour sa part, le président d'honneur du FN, Jean-Marie Le Pen, y voit la main d'"Israël". L'UMP prône la prudence, alors que la gauche française garde un silence complice.

Les Français, eux, se sont surtout exprimés sur la Toile, en commentant la décision de leur président sur les sites des journaux, les forums sociaux et les blogs. La plupart des réactions son défavorables, la jugeant "incompréhensible", "irrationnelle", voire "dangereuse". Les internautes relèvent la politique des deux poids deux mesures de Paris, qui prétend combattre les extrémistes au Mali alors qu'il les soutient en Syrie.

François Hollande a tenté de rassurer les Français en leur annonçant qu'il avait reçu des "assurances" que les armes "arriveront entre de bonnes mains". Des propos d'une frappante naïveté, car personne n'est en mesure de fournir de telles garanties, surtout que le Front quaïdiste al-Nosra est le mieux organisé et le plus structuré sur le terrain, il évolue indépendamment de l'"Armée syrienne libre" (ASL), et contrôle de vastes régions dans l'Est et le Nord de la Syrie. A Deir Ezzor et Raqa, par exemple, cette organisation extrémiste a instauré un Conseil chérié pour gérer la vie quotidienne et créé une "police des mœurs", au grand dam de la population qui manifeste régulièrement contre ses exactions, comme cela s'est passé cette semaine pendant quatre jours d'affilée à Mayadine (Deir Ezzor) et se produit souvent à Alep.

En Arabie saoudite, en fin de semaine dernière, le secrétaire américain à la Justice, Eric Holder, a déclaré qu'Al-Qaïda contrôlait une grande partie de l'"Armée syrienne libre". De son côté, le coordinateur européen de la lutte contre le terrorisme, Gilles de Kerchove, a exprimé les inquiétudes de l’UE concernant les "jihadistes européens" qui combattent en Syrie et pourraient "représenter une menace" lorsqu’ils rentreront dans leur pays.

Al Qaïda au Liban

En envoyant des armes aux rebelles syriens, la France contribue donc d'une manière certaine au renforcement des capacités d'Al-Qaïda, qui n'a aucune difficulté à s'emparer des arsenaux des autres groupes armés, lorsque ceux-ci ne les lui vendent pas directement. D'ailleurs, le Front al-Nosra se sent tellement à l'aise sur les plans des effectifs et de l'armement qu'il a commencé à envoyer depuis plusieurs mois des cadres expérimentés au Liban pour y monter une structure au Liban-Nord, dans la Békaa et dans le camp palestinien d'Aïn el-Heloué. La montée en puissance de la mouvance takfiriste a fait l'objet de nombreux rapports envoyés par des diplomates occidentaux à leurs capitales. L'une de ces notes diplomatiques souligne que "l'influence des groupes islamistes extrémistes a nettement augmenté au Liban depuis le début des incidents en Syrie et l'afflux des réfugiés syriens". Le rapport indique que les "takfiristes s'infiltrent au Liban dans le flot des réfugiés, notamment au Liban-Nord, dans la Békaa, dans certains quartiers de Beyrouth, à Saïda et dans des villages de la région de Arkoub, au Liban-Sud."

La revue américaine Frontpage Magazine avait annoncé, début mars, que "des centaines de membres d'Al-Qaïda affluent au Liban, en provenance de Syrie, pour y exporter la guerre et combattre le Hezbollah". "Aux yeux des membres d'al-Nosra, le Liban fait partie intégrante des plans qu'il faut mettre en application en Syrie", écrit la revue. "Al-Nosra cherche en ce moment à obtenir une fusion pure et nette de toutes les milices syriennes et libanaises", rapporte Frontpage Magazine avant d'ajouter: "La milice libanaise Dargham coopère très étroitement avec al-Nosra, et c'est de cette coopération qu'est née la branche libanaise de l'organisation".

Des sources de sécurité libanaises révèlent que les affrontements qui ont opposé en début de semaine des membres du Fateh et un groupe extrémiste salafiste à Aïn el-Heloué, à l'Est de Saïda, sont directement liés aux tentatives du Front al-Nosra de s'implanter dans ce camp. Selon ces sources, al-Nosra s'efforce d'unir sous sa bannière des membres de Fateh al-islam, Osbat al-Ansar, les Brigades Abdallah Azzam, al-Haraka al-islamiya al-Moujahida et Jund el-Cham. Fateh el-islam et Jund al-Cham s'étaient illustrés en combattant l’Armée libanaise dans le quartier de Taamir, en bordure de Aïn el-Heloué, en 2007, et à Nahr el-Bared au Liban-Nord la même année. Ce conflit avait fait 170 morts dans les rangs de l'armée et des centaines d'autres parmi les extrémistes et les civils.

La tâche de créer al-Nosra-Liban serait confiée, selon des sources bien informées, à l'extrémiste saoudien Majed Majed, plus connu sous le nom d’Abou Qutada. Il serait en relation étroite avec Abou Salim Taha, l'ancien porte-parole de Fateh al-Islam emprisonné à Roumié. Le bloc B de cette prison, où sont détenus les islamistes, aurait été transformé en véritable émirat en contact permanent avec des mouvances extrémistes à Saïda, Tripoli et Ersal, dans la Békaa.

samedi, 16 mars 2013 19:53

L'Iran démontre, demain, sa puissance

Le destroyer avancé de "Jamaran II" sera mise à l'eau demain (dimanche) dans la mer Caspienne en présence du président, le chef d'état major des forces armées et le ministre iranien de la Défense.

Le destroyer "Jamaran II" qui a été construit par les ingénieurs de l'Organisation des industries navales du ministère iranien de la Défense, contient les plus nouveaux équipements de navigation et des systèmes sophistiqués de défense locale.

Le président, Mahmoud Ahmadinejad, le chef d'état major des forces armées, le général Hassan Firouzabadi et le ministre iranien de la Défense, le général Ahmad Vahidi, participeront à la cérémonie de la mise à l'eau de ce destroyer avancé.

Ce destroyer démontre la capacité et la puissance des industries navales du ministère de la Défense et est porteur du message de la paix et de l'amitié dans la mer Caspienne.

Après avoir passé les tests finals, ce destroyer rejoindra, dans les six mois prochains, la flotte des forces de la Marine de l'armée iranienne.

Les complots des ennemis pour attiser les tensions et empêcher la présence populaire aux futures élections présidentielles sont voués à l’échec.

C’est ce qu’a affirmé le prédicateur de la prière de ce vendredi à Téhéran, l’Ayatollah Ahmad Jannati, soulignant que les puissances mondiales, à l’aide de leurs éléments intérieurs, et par leur campagne d’intoxication, visent à provoquer de la tension et à mettre au défi la scène des rivalités électorales. « Or, le peuple iranien, déjouera, comme toujours, les plans des ennemis, par une fervente participation aux élections présidentielles, prévues en juin 2013», a-t-il réitéré.

L’Ayatollah Jannati a fait ensuite allusion aux campagnes malveillantes des ennemis de la RII qui prétendent que les élections, en Iran, sont sélectives et pas libres, pour dire que s’il n’y avait pas d’élection libre en Iran, le pays n’offrait pas le meilleur modèle de démocratie religieuse à d’autres nations.

L’orateur de la prière du vendredi de Téhéran a fait également rappeler que c’est dans le cadre de la loi qu’est confirmée l’éligibilité des candidats aux élections. « Le peuple souhaite que le calme et la sécurité dominent le climat des futures élections, ils souhaitent pouvoir voter pour son candidat favori, dans une ambiance sereine et loin de tension », a aussi affirmé l’Ayatollah Jannati.

Il a ensuite évoqué l’aveu des responsables américains ayant reconnu les progrès obtenus par l’Iran dans les domaines scientifiques et technologiques, et cela, surtout en pleine période de pressions et de sanctions. « Des industries militaires et pétrolières à cent pour cent iraniennes sur le fond de la croissance des exportations ont été une lourde défaite pour tous ceux qui croyaient que l’intensification du boycott mettrait à genoux le peuple iranien, a fait remarquer l’Ayatollah Jannati, qui a conseillé aux dirigeants des pays occidentaux de reviser leurs politiques et de reconnaitre les droits nucléaires de l’Iran, au lieu de durcir les pressions et les restrictions contre la RII, ce qui, d’ailleurs, ne leur apportera aucun résultat. Il a aussi tenu à condamner le massacre des chiites au Pakistan, y voyant les traces des Etats-Unis. « Par le massacre des chiites, l’Arrogance mondiale vise à semer la discorde entre chiites et sunnites au Pakistan, dans l’espoir de pouvoir réaliser ses objectifs hégémoniques, en abusant des agitations, dans ce pays et dans toute la région », a conclu l’orateur de la prière de ce vendredi à Téhéran.