تقي زاده

تقي زاده

Certains médias israéliens disent que Tel-Aviv pourrait demander l’approbation des États-Unis pour attaquer l’Iran. Les responsables militaires iraniens ont déclaré à plusieurs reprises que le moindre méfait d’Israël conduirait à la réponse la plus lourde de Téhéran. Compte tenu de la capacité défensive de l’Iran, en particulier de la capacité de défense aérienne hautement avancée du pays, si les Israéliens voulaient mettre leur menace à exécution, un tel scénario serait-il possible ? En fait, les progrès de l’Iran dans la conception et la fabrication de divers types de systèmes de défense aérienne en Iran s’acheminent à grande vitesse vers l’autosuffisance, l’Iran prend de nouvelles mesures et va créer bientôt un chapitre sans précédent dans le domaine des systèmes de défense aérienne.

Ces dernières années, l’existence de diverses menaces a amené les responsables de la défense de l’Iran à porter plus d’attention sur la conception et la fabrication de radars. 

La grande variété de drones et leurs technologies sophistiquées ont toujours constitué un danger sérieux pour tous les pays. Par conséquent, la conception et la fabrication de divers drones ainsi que des radars d’alerte anticipée ont occupé une place particulière dans la doctrine défensive iranienne.

L’ancien ambassadeur d’Israël aux Nations unies a reconnu que les troupes américaines quitteraient Bahreïn suite à leur retrait de l’Afghanistan.

Dore Gold, ancien ambassadeur du régime sioniste auprès de l’ONU, a déclaré que Bahreïn revêtait une importance particulière pour Israël.

Il a affirmé : « Certains peuvent se demander les raisons pour lesquelles Bahreïn est si important pour l’Occident. Comme les Émirats arabes unis, Bahreïn a signé un accord de normalisation avec le régime sioniste, mais ce pays possède des caractéristiques qui, d’un point de vue stratégique, en ont fait l’un des pays arabes les plus importants du golfe Persique. »

Il a prétendu que la politique étrangère de Bahreïn et du régime sioniste avait connu des convergences pour faire face à la menace présumée de l’Iran et que Téhéran était une menace pour Manama et Tel-Aviv.

Les autorités israéliennes tentent de rallier Joe Biden à leur plan d’attaque contre les installations nucléaires iraniennes.

Tel-Aviv espère pouvoir convaincre le président américain qu’étant donné l’échec des négociations de Vienne, le temps est à une agression militaire israélo-américaine contre les installations nucléaires de l’Iran et cela avant le déplacement aux États-Unis du Premier ministre israélien Naftali Bennett, prévu ce jeudi, a-t-on appris d’Israel Hayom

Citant des sources sécuritaires de haut rang à Tel-Aviv, un analyste militaire israélien a déclaré que la récente agression de l’armée de l’air d’Israël contre des cibles en Syrie était un message de plus destiné à l’Iran pour lui faire comprendre que les capacités d’Israël ne se limitaient pas seulement au domaine maritime.

 

Le président américain Joe Biden a nommé l’ancien haut responsable du département d’État, Nicholas Burns, pour servir d’ambassadeur en Chine, ce qui laisse conclure que la politique chinoise des États-Unis de Biden sera dans une certaine mesure irano-centriste. Le pacte de 25 ans sino-iranien semble avoir changé pas mal de choses au niveau des orientations politiques aux États-Unis. 

La Maison-Blanche a officiellement annoncé vendredi les nominations très attendues.
En désignant Nicholas Burns à ce poste, Joe Biden fait appel à un officier du service extérieur chevronné pour servir d’envoyé à la mission diplomatique la plus difficile sans doute. 

Nicholas Burns assumait le poste du représentant du département d’État américain pour les affaires de l’Iran sous le mandat de George W. Bush. 

Cet aéroport de Kaboul où va-t-il ? Des milliers de soldats s'y sont massés tout en prenant de facto en otage des milliers de civils qu'ils refusent d'évacuer quitte à les même prendre pour cible le cas échéant. 

Plus d'un analystes estiment que les Yankees et toutes ces forces spéciales otaniennes qui s'y trouvent travaillent parallèlement à deux plans : se servir de civils afghans à titre de chaire à canon et préserver de la sorte leurs vols militaires des missiles anti-avion afghans. Puis laisser infiltrer des Daechistes à l'intérieur de l'aéroport en vue des violences extrémistes à venir. Car les Talibans sont trop malins pour tomber dans le piège de la guerre civile et que sans la guerre civile il n'y aura ni infiltrations terroristes contre Iran-Chine-Russie ni prétexte nécessaire à prolonger la présence US en Afghanistan. 

Les quatre objectifs préfixés que les Talibans devraient  assurer selon les USA : 

 Premièrement, les « talibans sunnites » victorieux peuvent se transformer en un outil américain pour resserrer l’étau autour de l'Iran, et peut-être en une rampe de lancement pour des opérations de sabotage au plus profond de l'Iran, et des conflits sectaires en ciblant la minorité chiite Hazara à Herat et Mazar-Sharif en Afghanistan.

Deuxièmement, l'utilisation par les États-Unis du mouvement pour s'engager dans une guerre « djihadiste » contre la Chine sous le titre de soutien à la minorité islamique persécutée, c'est-à-dire Turkestans, en vue de Transformer la zone frontalière accidentée entre l'Afghanistan et la Chine c'est-à-dire les Ouïghours, au Turkestan oriental, et en vue de transformer la zone frontalière accidentée entre l'Afghanistan et la Chine Point de libération du « Turkestan oriental » du « mouvement du Turkestan chinois », recrutant des moudjahidines musulmans pour vaincre les Soviétiques il y a cinquante ans avec le soutien financier et politique de l’Arabie Saoudite.

Troisièmement, la déstabilisation des républiques islamiques soviétiques du nord, qui constituent toujours le mur de résistance russe le plus puissant contre l'islam djihadiste et les groupes islamiques extrémistes pour les minorités musulmanes russes. L'armée a mené des exercices militaires avec l'armée tadjike il y a quelques semaines en prévision de mauvaises surprises afghanes pour son empire.

dimanche, 22 août 2021 19:08

Un haut officier israélien ciblé

Israël ne semble pas avoir tiré de leçon des coups sévères de la Résistance palestinienne pendant la guerre des Onze Jours : il a repris ses exactions contre les Palestiniens qui ont massivement manifesté contre la colonisation israélienne.

Un haut commandant de l'armée israélienne a survécu à une tentative d'assassinat lors de l’affrontement entre les Palestiniens et le régime sioniste, a affirmé le journal Yedioth Ahronoth.
Il rapporte qu’un haut commandant de l'armée israélienne a survécu à une tentative d'assassinat en Cisjordanie lors de la dernière série d'affrontements du mois de mai connue sous le nom d’ « Épée de Qods ». 
L’attaque est survenue alors que le commandant, ainsi qu'un certain nombre d'autres soldats à l'époque, surveillaient les manifestations de milliers de Palestiniens près de la ville de Bethléem, au nord de la Cisjordanie.
Yedioth Ahronoth a ajouté que des dizaines de balles ont été tirées sur les soldats israéliens. Les enquêtes militaires stipulent que des Palestiniens armés ont tiré plus de 100 balles. Pendant ce temps, deux soldats israéliens ont été blessé et le commandant en question a échappé à une mort certaine.
C'est dans ce contexte que des militants sionistes continuent de saccager et de piller des maisons palestiniennes en Cisjordanie. 
Les forces israéliennes ont réprimé hier vendredi une manifestation palestinienne à Qalqilya et à Hébron en Cisjordanie. Elles ont arrêté au moins sept Palestiniens de la province d'Hébron.
Un autre Palestinien a été blessé par balle dans la province de Naplouse, 12 autres Palestiniens ont été touchés par des balles en plastique et  91 Palestiniens souffrent des séquelles de l'inhalation de gaz lacrymogène.
Dans le village de Beit Dejan, les soldats israéliens ont attaqué des Palestiniens lors de la manifestation contre la colonisation israélienne avec des gaz lacrymogènes et des balles en plastique, blessant des dizaines de personnes.
Dans la province de Qalqilya même scénario : la répression menée par les forces sionistes a fait des dizaines de blessés dans le village de Kafr Qaddum. 
Les Palestiniens organisent des manifestations hebdomadaires dans le village à l'est de Qalqilya, protestant contre la colonisation israélienne et appelant à  la réouverture de l'entrée du village qui est fermé depuis plus de 17 ans.
Des soldats israéliens ont également arrêté trois Palestiniens et ressortissants étrangers dans la province d'Hébron.
À al-Khalil (Hebron), les forces d'occupation israéliennes ont réprimé à coup de gaz lacrymogène les manifestations palestiniennes contre la colonisation israélienne et les agressions sionistes répétées dans le sud d'Hébron.
 Les tirs de gaz lacrymogène ont causé des incendies sur des parcelles de terres agricoles palestiniennes.
A l'anniversaire de l'incendie de la mosquée Al-Aqsa en 1969 par les sionistes, divers groupes palestiniens ont déclaré que ce lieu honorable est une ligne rouge et que tout empiétement de Qods et de la mosquée Al-Aqsa ne resterait pas sans réponse. 
 

Qui aurait cru que le Sultan, grand gagnant de la vrai fausse guerre libyenne de 2020, guerre qui lui a permis d'établir via la Tunisie et pour les beaux yeux de l'axe US/OTAN un corridor maritime d'Idlib vers la Libye, puis transformer ce même corridor en un corridor aérien, une fois l'aéroport d'Al Watiya tombé, se voit si soudainement être mis en rade en Tunisie? Décidément, ce nettoyage anti OTAN que le président tunisien a entamé en totale synergie avec l'Algérie à qui l'axe Israël/Maroc/USA a déclaré très clairement la guerre d'abord au Sahara occidentale puis en Kabylie, n'en est pas à son dernier stade et il continue. La Tunisie souhaite revoir son accord de libre-échange avec la Turquie. D’aucuns ne voient pas cette décision comme étant sans rapport avec les politiques interventionnistes d'Erdogan dans ce pays maghrébin.

Les économistes tunisiens essaient de donner des éclaircissements sur les raisons du retrait par le pays de l'accord commercial avec la Turquie. Ils considèrent les efforts pour réduire le déficit commercial comme l'une des raisons de la suspension de l’accord mutuel. Les experts économiques ont déclaré que le remplissage des marchés locaux tunisiens avec des produits turcs et l'existence d'une concurrence inégale étaient la source d’un important déficit commercial en faveur de la Turquie. Mais à vrai dire c'est une porte d'infiltration de l'axe US/OTAN qui vient d'être fermée par cette décision. Depuis le fameux Printemps arabe qui n'a été qu'un coup destiné à faire basculer la Tunisie du côté de l'OTAN les accords avec les membres du camp otaniste n'ont été qu'un motif d'endettement extérieur pour le pays au point d'en faire de cet état clès du Maghreb le pays le plus endetté du monde. Pourquoi continuer à aller dans ce sens? 

En plus des effets positifs pour le Liban, la mesure prise par le Hezbollah, pour résoudre la crise du carburant au Liban à l’aide de l’Iran, a confronté les alliés des États-Unis, en particulier le régime sioniste, à un problème majeur.

L’importation du carburant en provenance de la République islamique n’est ni un défi ni une compétition interne, mais un approvisionnement en oxygène à l’heure où le Liban étouffe ; ce dernier dispose de nombreuses options d’urgence auxquelles il peut recourir pour ralentir l’effondrement du pays, a écrit le journal libanais Al-Akhbar.

Dans ces circonstances où Washington et ses alliés planifient un nouveau complot contre les intérêts du Liban, la logique dit que le gouvernement libanais doit s’aligner sur la décision de la Résistance d’importer du carburant d’Iran et faire confiance à ce dernier pour résoudre la crise qui a anéanti les moyens de subsistance des milliers de Libanais à travers le pays.

Alors que la décision de Riyad Salameh, gouverneur de la Banque centrale du Liban, d’éliminer les subventions aux carburants a fait exploser la colère du peuple libanais et provoqué une indignation générale dans le pays, la mesure cruciale prise par le Hezbollah réduira considérablement les conséquences de la crise au Liban.

Les remarques du secrétaire général du Hezbollah Hassan Nasrallah sur le début des importations de carburant d’Iran vers le Liban ont marqué un tournant suite auquel l’ambassadrice américaine à Beyrouth, Dorothy Shea, et les alliés de Washington au Liban, dont l’ancien Premier ministre Saad Hariri et Samir Samir Geagea, chef du parti des Forces libanaises, se sont lancés dans une campagne de propagande contre le Hezbollah en affirmant que le début des importations de carburant en provenance d’Iran signifierait « l’approbation du projet de famine et d’humiliation des Libanais, et la destruction des secteurs productifs et économiques ». Mais les allégations surviennent alors qu’il est connu de tout le monde quel camp a conduit le Liban à la famine et à l’effondrement au fil des ans.

Dans son discours du jeudi 19 août, Seyyed Hassan Nasrallah a également tracé la ligne rouge du Hezbollah sur les navires iraniens, avertissant les États-Unis et Israël contre toute attaque sur les navires qui selon lui, font partie de l’intégrité territoriale du Liban dès leur départ.

L’Iran a révélé la semaine dernière la découverte d’un énorme nouveau gisement de gaz situé dans le sud de la mer Caspienne. Le champ gazier de « Chalous » a une capacité de production estimée à 11 phases de South Pars, plus grand champ gazier du monde que l’Iran partage avec le Qatar. Si les estimations sont exactes et que l’opération d’exploration du Chalous s’avère réussie, le volume de gaz récupérable de cette seule structure serait 1,5 fois le gaz récupérable total en Azerbaïdjan et l’équivalent de 30 % du gaz récupérable total en mer Caspienne. Cette structure peut également avoir d’importantes réserves de pétrole. Aussi, Chalous peut être comparé aux gisements géants de pétrole et de gaz du sud de l’Iran en termes de gisements d’hydrocarbures en place et récupérables. C’est d’autant plus important que l’Iran est propriétaire de technologies en eaux profondes et partant dépositaire d’un accès facile à la haute mer, puisque situé sur la principale route de transit de la région.

En effet, 675 km des côtes de la mer Caspienne se trouvent en territoire iranien, mer qui est une zone énergétique clé, après le Moyen-Orient et la Sibérie.

« En plus des caractéristiques uniques de l’Iran pour livrer l’énergie des voisins au reste du monde, Chalous est apte à fournir 20 % des besoins énergétiques de l’Europe, ce qui signifie attirer d’importants investissements étrangers et ce d’autant plus que l’Iran a la route la plus sûre pour les exportations de pétrole et de gaz avec des installations telles que des installations pétrolières et gazières, des installations portuaires, des raffineries et des réseaux de pipelines de pétrole et de gaz, est l’option la plus appropriée pour les exportations de gaz vers l’Est et l’Ouest.