تقي زاده

تقي زاده

L’Ayatollah Khamenei, Guide suprême de la révolution islamique d’Iran, a déclaré que la raison de la chute morale en Occident et aux États-Unis, était l’oppression faite aux femmes et les discriminations.

«Les pays occidentaux considèrent les femmes comme des objets de distraction pour les hommes », a-t-il déclaré.

Mélanie franklin, connue sous le nom de Marzieh Hashemi, journaliste à Press TV, nous a donné quelques détails sur la fausse image de la femme dans les médias occidentaux.
« Je me suis convertie à l’islam grâce à la Révolution islamique et suite à mes recherches sur l’imam Khomeiny et l’Iran. Il n’y a pas de différence entre l’imam Khomeiny et l’imam Khamenei qui a un grand poids sur les épaules et qui inshallah, remettra les affaires à l’Imam du Temps (as). Quand je suis devenue musulmane, j’ai abandonné mon travail de présentatrice et ensuite, aucune chaine n’a accepté de m’engager à cause de mon hijab bien qu’on ne me le disait pas directement. Après le 11 septembre, beaucoup de musulmanes ont abandonné leur hijab car elles pensaient qu’elles ne trouveraient jamais de travail. Actuellement à cause de Daesh, la situation des musulmans s’est détériorée. Les femmes occidentales sont aussi conscientes de l’oppression qu’elles subissent. Les médias en Occident sont capables de tout faire croire aux gens, les femmes sont présentées comme libres et heureuses, alors que ce n’est pas du tout le cas. Les femmes occidentales qui se marient ne peuvent pas dire qu’elles veulent rester à la maison, tous les deux doivent travailler en dehors des six semaines de congé de maternité prévus pour les femmes. Les femmes au travail sont toujours inquiètes pour leurs enfants et aimeraient comme les musulmanes, rester la maison et s’occuper de leur famille. En Occident, le mode de vie des femmes a beaucoup changé en 100 ou 150 ans. C’est aussi la faute du sionisme qui cherchent à profiter des femmes pour atteindre ses objectifs. Le travail de la femme au foyer est méprisé. La liberté en Occident est un slogan pour tirer profit des femmes, et les droits de l’homme ne sont qu’un jeu. Il y a beaucoup de femmes qui vivent seules et travaillent pour élever leurs enfants dont le père est parfois inconnu. Les médias et Hollywood cherchent à faire croire que les Occidentales sont parvenues au bonheur. Dans le film «Américain sniper », nous voyons qu’un tueur abandonne ce métier pour sa femme, alors que le comportement des hommes dans la famille, n’est pas celui qui est présenté. Dans les films et les séries, les femmes occupent des postes importants alors que les femmes en général, sont des salariées de bas niveau. Les femmes blanches touchent moins que les hommes et la situation est encore pire pour les femmes de couleur. L’image que nous donnons des femmes en Iran, n’est pas bonne non plus, à mon avis, les endroits où les femmes et les hommes sont séparés pour le travail, sont plus tranquillisants mais il est impossible de le dire en Occident. Le fait de montrer des disputes continuelles est très négatif, la publicité aussi pose beaucoup de problèmes. Les intérieurs qui sont montrés, semblent dire que tous possèdent une cuisine d’au moins 15m2. Il faut à mon avis, prêter plus d’attention au modèle de femme musulmane, mettre en application les directives de l’imam Khamenei et engager des gens soucieux des objectifs religieux et de la révolution. Il faut repérer l’origine des problèmes pour pouvoir ensuite agir en conséquence », a-t-elle déclaré.

Dans des déclarations faites par le chef du Conseil Provincial d'Al-Anbar, Sabah Karhut, a déclaré à l'Agence de presse koweïtienne KUNA, a expliqué que terroristes Daesh ont ouvert le feu sur les membres d'une tribu aux yeux des habitants de la ville irakienne susmentionnée.

Ce nouvel acte de violence extrême mettant en vedette Daesh semble être en représailles pour les progrès réalisés par les forces irakiennes. Le jour même où a eu lieu cet acte odieux, l'armée irakienne a réussi à reprendre le contrôle de sept villages situés à l'est de la ville de Ramadi, la capitale d'Al-Anbar.

L'Iran et Turquie sont d'accord pour encourager une solution politique, a déclaré mardi le président iranien Hassan Rohani après un entretien avec son homologue turc Recep Tayyip Erdogan en visite à Téhéran.
Nous avons parlé de l'Irak, de la Syrie, de la Palestine (...). Nous avons eu une plus longue discussion à propos du Yémen. Nous pensons tous deux qu'on doit voir le plus rapidement possible la fin de la guerre, qu'un cessez-le-feu complet soit instauré et que les attaques cessent contre le Yémen, a dit M. Rohani, dans une déclaration commune diffusée par la télévision d'Etat.

L'Iran a condamné les frappes de la coalition arabe menées par l'Arabie saoudite. La Turquie ne participe pas militairement à l'opération mais a envoyé une mission de formation militaire et a évoqué un partage des renseignements avec la coalition saoudienne.

Un peu plus tard, en recevant M. Erdogan, le numéro un iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, a également déclaré que la solution pour régler la crise au Yémen est l'arrêt des frappes et les ingérences étrangères (pour que, ndlr) les Yéménites décident eux-même du sort de leur pays, a rapporté l'agence Irna.

Mais le président Erdogan a évité d'évoquer le sujet lors de ces rencontres.

Le Premier ministre russe l'a annoncé : le Vietnam et la Russie s'apprêtent à supprimer le dollar de leurs échanges commerciaux. Le rouble et le dong vont, ainsi, remplacer le dollar américain. "Ce projet va entrer en vigueur, à partir du mois de mai. Il est temps que les deux parties utilisent leur monnaie nationale, dans leur commerce. C'est la méthode que nous avons adoptée, dans nos relations commerciales avec d'autres pays asiatiques. "Il y a dix ans, une banque russo-vietnamienne a été fondée et les deux parties sont décidées à la réactiver.

mercredi, 08 avril 2015 08:56

Syrie: Explosions dans une ville du nord

Une double explosion, dans le nord de la Syrie, a fait quinze morts. Deux voitures piégées ont explosé et des affrontements violents ont éclaté mardi soir à Marea, une ville stratégique du nord de la Syrie, a indiqué une ONG.
Selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), le groupe terroriste de Daech a attaqué la ville de Marea, située sur une voie clé pour l'approvisionnement des terroristes dans la province d'Alep qui touche au nord la frontière turque. "Il y a eu deux voitures piégées dans et près de Marea, qui est sous contrôle de terroristes de Daech et du Front al-Nosra", affilié à Al-Qaïda, a déclaré Rami Abdel Rahman, à la tête de l'ONG basée en Grande-Bretagne.
Sept personnes ont été tuées dans la première explosion dans Marea, et huit autres ont perdu la vie dans l'explosion de la seconde voiture piégée près de la ville, a-t-il ajouté. Les terroristes de Daech ont alors affronté des groupes extrémistes et des miliciens rivaux du Front al-Nosra à Marea, dans le but d'"étendre leur emprise" et de se rapprocher d'Alep, la capitale de la province. Plusieurs terroristes, membres de divers groupes impliqués dans ces affrontements, ont été tués. Bien que le groupe terroriste de Daech n'ait pas revendiqué les explosions de voitures piégées, il est suspecté d'en être à l'origine, a-t-il déclaré. Marea se trouve à 40 kilomètres au nord d'Alep, un ancien centre du commerce syrien désormais en ruine.

Quatre soldats tunisiens ont été tués mardi et huit autres blessés dans une embuscade dans la région de Kasserine, une zone d'activité d'extrémistes dans le centre-ouest du pays, a annoncé le ministère de la Défense.
Quatre soldats sont morts en martyrs et huit autres blessés dans une embuscade contre une patrouille militaire à Sbeïtla, selon le porte-parole du ministère de la Défense. Ce bilan a été annoncé dans un premier temps par la télévision nationale.

Le porte-parole de la Défense, Belhassen Oueslati, a précisé à l'AFP que quatre militaires souffraient de blessures par balles et que les quatre autres n'étaient que très légèrement touchés.

Il a cependant jugé prématuré de donner des indications sur les circonstances de l'embuscade.

Selon une source militaire interrogée par l'AFP dans la région de Kasserine, l'attaque a eu lieu non loin de la ville de Sbeïtla et près du Mont Mghilla alors que les militaires visés étaient en route pour relever une patrouille dans la région.

D'après cette source et plusieurs médias tunisiens, les soldats ont été visés par un tir de RPG.

Rae’in Akbar Khanzadeh, calligraphe iranien, dans un entretien avec l’Agence iranienne de presse coranique, a déclaré que le Coran en or et en pierres précieuses de l’Iran avait attiré l’attention à l’exposition des Corans organisée au Koweït, en marge des sixièmes compétitions coraniques internationales.

M. Khanzadeh a expliqué : « Les Corans exposés étaient très spéciaux, il s’agissait d’anciens manuscrits, et d’œuvres de calligraphes ou de graveurs. Le Coran que j’ai exposé est un coran constitué de feuilles d’or de 12 sur 16 cm, d’un poids d’un kilo, orné de pierres précieuses avec une couverture en argent. »
« Cet ouvrage, a-t-il ajouté, a été très apprécié par les visiteurs et notamment par plusieurs personnalités politiques koweitiennes. Les éditions coraniques « Malik Fahad » de Médine, le ministère des affaires islamiques du Qatar, le centre de recherches historiques et islamiques de Turquie (IRCICA), le centre irakien des dons islamiques, le centre des manuscrits d’Égypte, le centre des affaires islamiques de Dubaï, l’université de Florence et le musée Taregh Rajab du Koweït participaient à cette exposition à côté de nombreux calligraphes de différents pays. Deux calligraphes iraniens, Seyed Mahdi Jazaeri et Aref Gilani, ont exposé leurs tableaux », a-t-il dit.

À l’âge de 14 ans, il écrivit une pièce en cinq actes nommée «Sahar» qui fut présentée dans plusieurs villages du sud du Liban. Un membre de sa famille nommé Mansour Jordak, qui était un grand mathématicien, voulut l’envoyer en Europe pour poursuivre des études de sciences et de mathématiques mais à cause de son attachement à sa région et ses beautés, et son intérêt pour la littérature et la poésie, Georges Jordak refusa et alla poursuivre des études de littérature arabe à Beyrouth dans un collège religieux.
Il écrivit son premier livre intitulé «Wagner et la femme» au sujet duquel le cheikh Abdoullãh Alaili a déclaré qu’il n’avait aucun égal dans la littérature contemporaine. Après ses études au collège religieux de Beyrouth, il commença à écrire de façon régulière pour des journaux libanais et arabes, et à enseigner la littérature arabe, la philosophie et surtout les œuvres littéraires de l’Imam ‘Ali (AS) dans plusieurs lycées de Beyrouth.

Pour enrichir ses cours, il fut obligé de se référer à de nouvelles œuvres sur cette personnalité littéraire, ses idées et son rôle social, et commença à lire des livres sur l’Imam ‘Ali (AS) se rendant compte que la majorité des livres faisaient référence à des questions secondaires et restreintes, en relation avec une époque et un lieu précis, importantes pour la plupart des gens d’un point de vue historique, mais insuffisantes pour les autres époques car elles se limitaient au droit de succession de l’Imam ‘Ali (AS) après le prophète (AS) que les auteurs défendaient plus ou moins sans aucune allusion aux idées de l’Imam ‘Ali (AS) sur la vie, l’être humain et les besoins de la société humaine.

Le président américain Barack Obama a estimé lundi 6 avril que demander à l'Iran de reconnaître Israël dans le cadre de l'accord global naissant sur son programme nucléaire serait une "erreur de jugement fondamentale".
« Subordonner l’accord nucléaire à une reconnaissance par Téhéran d’Israël, cela revient à dire que nous ne signerons aucun accord, à moins que la nature de l'ordre iranien ne change complètement. Et c'est, je pense, une erreur de jugement fondamentale. »
Le Premier ministre du régime sioniste, Benyamin Netanyahu ne cesse de s'employer pour torpiller un éventuel accord nucléaire global entre l’Iran et les 5+1.

La plupart des chefs de Daech sont des officiers de l’armée dissolue baathiste de l’Irak.
Cela a été révélé par le "Washington Post" se penchant sur la nationalité du principal chef de Daech, Abou-Bakr Al-Baghdadi.
Citant Abou Hamza, l’un des chefs terroristes, qui s’est enfui en Turquie, après les divergences de vue apparues avec la ligne de conduite de Daech, le "Washington Post" a dévoilé que les officiers baathistes sont dans les postes de commandement de Daech d’autant plus qu’ils décident les tactiques militaires et des plans de guerre. Pour le rappel, avec la chute du régime de Saddam en 2003 et la dissolution du parti baathiste, ce parti a continué ses activités destructives, grâce au soutien des partisans intérieurs et extérieurs. L’Irak a vécu, de très difficiles jours, sous la dictature de Saddam qui avait fait recours, durant les 24 années de son règne, à la répression, au massacre et à l’exode forcé de certaines confessions et ethnies. Le paroxysme des crimes du parti baathiste c’est, certainement, le massacre des Kurdes irakiens, dans l’opération Anfal entre 1988 et 1989. Selon les chiffres publiés, 182.000 Kurdes ont été tués ou portés disparus à la suite de cette opération. Les complots de ce parti se sont poursuivis, en collaboration avec Daech, après l’époque du Premier ministre Nouri al-Maliki lors des consultations qui se faisaient pour la désignation du nouveau Premier ministre, Haïdar al-Abadi. Ainsi la ville de Mossoul a été investie en juin 2014, avec la collaboration flagrante du parti dissolu baathiste et ses supporters dont les Etats-Unis, l’Arabie et Israël. La collaboration de Daech avec ce parti dissolu est très profonde. Les officiers baathistes qui sont expérimentés dans la répression, et qui massacraient facilement le peuple irakien, procèdent aujourd’hui, à des actes répugnants, de la décapitation des otages aux comportements ignobles envers les femmes Yézidis, sans compter d’innombrables d’autres crimes que ces terroristes n’hésitent de commettre avec un grand sang-froid.