تقي زاده

تقي زاده

Selon le ministre iranien de la Défense, Ahmad Vahidi a fait part du dévoilement prochain d'une nouvelle version de missiles de croisière iraniens d'une plus grande portée que les précédents modèles . Il est baptisé "Zafar" et est montable sur les vedettes de la marine iraniennes . Ce sont les vedettes appareillant dans la zone maritime 3 qui seront équipés de ces missiles de croisière. Zafar est un missile de courte portée, opérationnel à partir des radars et qui est capables d'atteindre des ciblesde petite taille et de taille moyenne ; l'engin est de haute précision et d'une puissance de frappe etde destruction redoutable. ce système de missile de conception parfaitement locale , une fois tiré, descend et baisse son altitude et se dissimule des caméras de l'ennemi avant d'atteindre la cible. la batterie de missiles tire tous les trois seconde un ou plusierurs missiles . l'altitude par rapport à la surface peut être fixée . le missile iranien peut prendre plus de distance que ses précedentes version par rapport à la terre . c'est le moteur jet qui a été utilisé pour provoquer la force motrice. l'Iran est le second pays apres les Etats Unis d'avoir réussi à concevoir cet engin et selon les experts les missiles de croisière iraniens sont trois fois plus puissants que des croisières américains .

Le sous-marin iranien "Fateh" va être dévoilé, d'ici quelques jours, et viendra compléter la série des submersibles légers, semi-lourds et lourds.

Les unités navales iraniennes, dans le Sud du pays, comptent, à l'heure qu'il est, des navires, des destroyers et des vedettes, ainsi que des submersibles, de même que le sous-marin lourd "Taregh". «Fateh» traverse les dernières étapes de sa conception et il intègrera, bientôt, la flotte iranienne. C’est un bâtiment de tonnage élevé qui fait de l'Iran l'un des rares constructeurs de ce type de sous-marin. Mais quelles sont les caractéristiques de ce submersible? Il dispose d'une grande capacité de déplacement, une vitesse raisonnable en profondeur, il est capable, entre autres, de transporter des torpilles et de planter des mines. Il jauge 527 tonneaux et appartient à la catégorie semi-lourde. Le sous-marin est, également, muni d'émetteurs sonores, de systèmes de reconnaissance et de systèmes de défense balistique. Il peut descendre jusqu'à une profondeur de 250 mètres et il peut rester 35 jours, en immersion.

Selon Iouri Ouchakov, conseiller diplomatique de Vladimir Poutine, le président russe a l’intention de mener des rencontres avec le nouveau président iranien Hassan Rohani le 13 septembre au sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai à Bichkek.

Selon lui, cette proposition vient des partenaires iraniens de la Russie. « Nous étions reconnaissants de cette initiative, que nous saluons et nous acceptons leur proposition », a-t-il ajouté.

 

dimanche, 11 août 2013 19:32

Le Mali choisit son nouveau président

Près de 6,9 millions de Maliens élisent dimanche leur nouveau président. Ils doivent choisir entre Ibrahim Boubacar Keïta et Soumaïla Cissé pour sortir leur pays de dix-huit mois d'une grave crise politico-militaire.

Le second tour de la présidentielle, deux semaines après un premier tour réussi le 28 juillet en dépit de craintes d'attentats , doit rétablir l'ordre constitutionnel. Celui-ci avait été interrompu par un coup d'Etat militaire le 22 mars 2012, qui a précipité la chute du nord du pays aux mains de groupes armés liés à Al-Qaïda.

Ce scrutin sera surveillé par plusieurs centaines d'observateurs nationaux et internationaux et sa sécurité sera assurée par l'armée malienne, les Casques bleus de la Minusma et l'armée française.

Les deux candidats en lice, arrivés en tête du premier tour, sont des vétérans de la vie politique malienne: Ibrahim Boubacar Keïta dit IBK, 68 ans, est un ex-Premier ministre, et Soumaïla Cissé surnommé "Soumi", 63 ans, un ex-ministre des Finances et un ancien responsable de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (Uémoa).

Keïta largement favori

M. Keïta, fort de son avance de 20 points (39,79% des voix au premier tour, contre 19,70% pour M. Cissé), semble largement favori, d'autant qu'il a reçu le soutien de 22 des 25 candidats éliminés au premier tour dont la majorité a obtenu moins de 1% des suffrages.

Mais M. Cissé table sur une mobilisation plus forte encore qu'au premier tour - 48,98%, un taux historique au Mali - et sur une partie de près de 400'000 bulletins déclarés nuls le 28 juillet.

Se réclamant de la gauche, charismatique, charmeur et bon vivant, M. Keïta apparaît aux yeux de ses partisans comme un "homme d'Etat fort", seul capable de redresser le Mali. Ceux de M. Cissé, économiste chevronné et courtois, mettent en avant ses compétences de gestionnaire.

La Force intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL) a confirmé vendredi que la Turquie voulait retirer son contingent après que deux pilotes turcs furent enlevés à Beyrouth.

Murat Akpinar et Murat Agca ont été enlevés vendredi sur la route de l'aéroport international de Beyrouth vers un hôtel de la capitale libanaise, a affirmé une source de sécurité.

Le porte-parole de la FINUL, Andrea Tenenti, a indiqué que la force onusienne avait été informé par Ankara de sa décision de " retirer son contingent des forces de maintien de la paix (...) dès la première semaine de septembre 2013".

Selon Tenenti, la Turquie devrait retirer seulement son unité d'ingénierie et de construction mais maintenir sa présence dans la force navale de la FINUL.

Vendredi, le Premier ministre libanais par intérim Najib Mikati a déclaré que tous les efforts sont en cours pour faire libérer les deux Turcs, affirmant que "toutes les agences de sécurité libanaises sont en état d'alerte et chercher les kidnappés".

Un groupe jusqu'à là inconnu, appelé "Zuwar Al Rida" a revendiqué l'enlèvement des deux pilotes turcs, a dit une source de sécurité libanaise sous couvert d'anonymat.

Pendant qu’il joue au golf, le président Obama est tenu constamment informé : l’énième alarme terrorisme a sonné. D’un instant à l’autre la fantomatique Al-Qaïda peut attaquer des objectifs reliés aux intérêts étasuniens, en particulier au Proche-Orient et en Afrique du Nord. L’état d’alerte se déclenche pour les citoyens étasuniens en voyage à l’étranger. De nombreuses ambassades USA sont temporairement fermées, tandis que les Marines sont prêts à intervenir depuis Sigonella pour protéger celles qui sont en Europe méridionale.

Le mérite de cette opportune alarme revient à la Communauté du Renseignement. Elle est formée de 17 organisations fédérales. En plus de la CIA on y trouve la DIA (Agence de renseignement de la défense), mais chaque secteur des forces armées –armée de terre, de l’air, marine, infanterie de marine- a son propre service secret. Comme l’ont aussi le département d’État et celui de la Sécurité de la patrie.

Parmi ces services, en dure compétition entre eux pour s’accaparer appuis politiques et fonds fédéraux, il y a l’Agence pour la sécurité nationale. Celle-ci est spécialisée dans les interceptions téléphoniques et informatiques (celles qui auraient permis de découvrir le dernier complot terroriste), à travers lesquelles sont espionnés non seulement les ennemis mais aussi les amis des États-Unis, comme le confirme le « datagate » suscité par les révélations de l’ex-contractuel Edward Snowden. En dix années l’Agence a accru d’un tiers son personnel civil et militaire en le portant à 33 000 personnes, elle a doublé son budget et plus que triplé ses compagnies privées sous-traitantes, en les augmentant de 150 à 500. Son quartier général à Fort Meade (Maryland), déjà plus grand que le Pentagone, est sur le point d’être amplifié de 50 %. Sont en même temps développés ses autres centres, chacun ayant son propre domaine d’intervention. Le centre qui est au Texas espionne l’Amérique centrale et méridionale ; celui de Georgie, le Proche-Orient ; celui des Iles Hawaï, les pays de la façade pacifique, y compris la Russie et la Chine ; celui en Australie, toute l’Asie. Le centre en Angleterre (dont le personnel va être augmenté d’un tiers, à 2 500 personnes) espionne l’Europe, le Proche-Orient et l’Afrique du Nord. Et dans l’Utah on vient à peine de construire un nouveau centre pour la cyber guerre, c’est-à-dire pour les attaques contre les réseaux informatiques d’autres pays.

Mais la guerre dans laquelle est spécialisée l’Agence n’est pas qu’informatique. L’agence indique au Commandement des opérations spéciales, qui opère dans plus de 70 pays avec environ 70 000 spécialistes, et à d’autres unités spécialisées pour des opérations secrètes, quelles sont les personnes considérées comme dangereuses pour les États-Unis, à éliminer par des attaques de drones et des actions de commandos. À travers un réseau informatique crypté spécial, le Real Time Regional Gateway, l’Agence fournit aux chefs des forces armées et des services secrets la liste des « objectifs » et toutes les informations permettant de les trouver et de les abattre avec des drones ou des commandos.

Elle dispose dans ce but des technologies les plus avancées, parmi lesquelles celle qui permet de localiser quelqu’un par son téléphone portable même quand il est éteint. Ces « actions létales ciblées » -souligne le président Obama (23 mai)- sont « légales » puisqu’elles « font partie d’une guerre juste, menée par autodéfense ». En font aussi partie les opérations psychologiques, renommées « Military Information Support Operations », conduites par des unités spéciales pour « influencer l’opinion publique internationale pour qu’elle soutienne les intérêts et les plans militaires étasuniens ».

Comme l’alarme terrorisme actuelle (à laquelle pourrait succéder quelque attentat signé Al-Qaïda), pour montrer que les USA sont sous attaque et ont ainsi le droit à l’ « autodéfense ».

De l’avis de certains observateurs politiques, le début du mandat du Président Hassan Rohani offre l’opportunité d’une nouvelle interaction entre les gouvernements occidentaux et l’Iran. L’une des raisons de cette attente est le passé du président, sur les scènes des interactions politiques avec les pays européens, et son ancienne responsabilité au poste de secrétaire du Conseil suprême de la sécurité nationale, aux négociations globales avec l’Union européenne, notamment, nucléaires. A présent, la question de l’interaction avec l’Iran, dans l’optique de l’Occident, tourne autour de la levée d’une partie des sanctions, en contrepartie de l’arrêt de ses activités nucléaires, sinon l’Occident intensifiera ses pressions politiques et les sanctions économiques. Mais cette approche peut-elle aider à créer une ambiance de confiance et l’interaction ? Le nouveau président iranien a présenté, de manière sans équivoque, ses points de vue, à propos de la question nucléaire de l’Iran, dont le plus important est la transparence et non pas le renoncement aux droits nucléaires du peuple iranien. Et ce, alors que le récent communiqué de la Maison Blanche conditionne le dialogue avec l’Iran au respect, par ce dernier, des engagements internationaux. Cela signifie que le regard de l’Occident envers le dialogue avec l’Iran et la création de la confiance est une route à sens unique que, seul, l’Iran doit parcourir, pour que les exigences de l’Occident soient réalisées. Un autre point, dans l’évaluation des attitudes contradictoires des Etats-Unis, sont les approbations de loi de ces jours-ci, par la Chambre des représentants américains, dont le contenu est l’intensification des sanctions et des menaces. Michael Mann, le Porte-parole de Catherine Ashton, la Cheffe de la diplomatie européenne et la coordinatrice des négociations des 5+ 1 avec l’Iran, a accueilli, favorablement, les propos du Président Rohani, lors des cérémonies de son investiture, mais a déclaré que la balle est dans le camp de l’Iran et que les Iraniens devaient franchir le premier pas, car selon les allégations de l’Occident, l’Iran a violé ses engagements internationaux. Le porte-parole de Catherine Ashton a évoqué les négociations nucléaires précédentes avec l’Iran, soulignant que, depuis plusieurs mois, il n’y avait eu aucune avancée, dans les négociations. Pourtant, Michael Mann n’a pas dit pourquoi les 5+1 n’ont pas répondu aux propositions de l’Iran, laissant sans résultats les négociations. Le Président Hassan Rohani, dans sa première conférence de presse, a déclaré que l’Iran souhaitait la poursuite des coopérations avec l’AIEA, dans l’objectif de finaliser le dossier nucléaire de l’Iran. Le président iranien a souligné que l’Iran est décidé à prouver au monde qu’il ne recherchait que l’utilisation pacifique de l’énergie nucléaire. Le Président Rohani a déclaré, lors des cérémonies de son investiture, que la confiance est une voie à deux sens. Il a, explicitement, mis l’accent sur le fait que les Occidentaux ne pouvaient pas faire se soumettre le peuple iranien ou le menacer de guerre, et que la seule voie, pour interagir avec l’Iran, étaient des négociations d’égal à égal, la confiance mutuelle et la réduction des hostilités.

Albert Gerard Koenders, représentant du secrétaire général des Nations Unies pour le Mali et chef de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la Stabilisation au Mali (MINUSMA), a été reçu lundi à Nouakchott par le chef de l'Etat mauritanien.

"J'ai passé en revue avec le président de la République la situation au Mali et demandé son appui au processus politique dans ce pays, en perspective de l'organisation du deuxième tour du scrutin dans quelques jours (11 août)", a révélé l'émissaire onusien à l'issue de l'audience.

"J'ai hautement apprécié les conditions dans lesquelles s'est déroulé le premier tour de l'élection présidentielle" qui a été marqué "par la participation de toutes les parties dans un climat démocratique et apaisé", a-t-il ajouté.

Partageant plus de 2 000 kilomètres de frontière avec le Mali, la Mauritanie a accueilli des milliers de refugiés maliens sur son territoire et doit participer à la force de paix de la MINUSMA avec un effectif de 3000 hommes.

Le mois de ramadan se termine par la fête de la rupture du jeûne, Aïd el-Fitr, dite communément la «Petite fête» (Aïd es-Seghir) au Maghreb, et la «Fête du sucre», (Seker Bayrami) en Turquie. Focus sur ce moment sacré.

L’Aïd el fitr, fête de la rupture du jeûne pour tous les musulmans du monde entier, marque la fin du mois sacré du ramadan. Elle a lieu le premier jour du mois de Chawal, soit vingt-neuf ou trente jours après le début du jeûne. En Turquie, elle est appelée Ramazan Bayrami , la "Fête de Ramadan", ou Seker Bayrami, la "Fête du sucre", en référence aux aliments sucrés consommés durant toute la journée. Il est donc interdit de jeûner ce jour-là. Elle est la "Petite fête", Aïd es-Seghir par opposition à l’Aïd el-Kebir, la grande, celle du sacrifice. Chaque musulman doit verser une zakât avant la prière de l’Aïd, nommée zakât el-fitr. Cette aumône spécifique permet d’une part de se purifier de tous les manquements commis durant le ramadan et, d’autre part, d’épargner aux pauvres, en ce jour de fête, la dure nécessité de mendier. Elle est fixée à 5 euros par personne. Certains préfèrent la donner tôt dans la matinée de sorte que les nécessiteux participent à la célébration de l’Aïd. D’autres croyants s’en acquittent en envoyant de l’argent dans leurs pays d’origine ou auprès d’associations caritatives.

Faire table rase du passé

Le matin, la prière de l’Aïd, Salât el-Aïd doit être effectuée en groupe, bien qu’elle ne soit pas annoncée par un appel à la prière. Elle a lieu avant le prêche de l’imam. La tradition musulmane ou sunna veut que le musulman prenne son petit déjeuner, préférablement composé de dattes, avant de se rendre à la prière. «Après al fajr, je prends un petit-déjeuner à base de gâteaux. Puis, je me rends à la mosquée avec mon fils pour la prière», explique à Zaman Mohammed, un habite du Val-de-Marne. La veille de la fête sacrée et le matin même du jour de l’Aïd, il est de la Sunna de proclamer la grandeur d’Allah, c’est-à-dire faire le takbir : «Allahou akbar !». Il faut faire beaucoup de dhikr, d'invocations du nom de Dieu, jusqu’à ce que l’imam commence la prière. En sortant du lieu de prière, l’accolade permet à tous les fidèles de se congratuler, mais aussi de se réconcilier et de se pardonner le cas échéant, avec la formule «Aïdek mabrouk». C’est le jour du pardon, on fait table rase du passé si on a été en froid avec telle ou telle personne de son entourage.

Une journée placée sous le signe du partage et de la fraternité

Une fois la prière de l’Aïd effectuée, les fidèles rendent visite à leur famille, aux personnes âgées et aux malades afin de présenter leurs vœux et appellent leur famille de l’étranger. L’Aïd el Fitr est un grand jour de fête : on décore sa maison afin de recevoir sa famille et ses amis. Les hommes et les femmes doivent vêtir leurs plus beaux habits, généralement neufs, à cette occasion. Parmi les traditions festives de l’Aïd el-Fitr, la distribution de cadeaux, de monnaie et de vêtements neufs aux enfants tient également une place importante. La préparation des plateaux de pâtisseries accompagneront tout au long de la journée le thé et le café. Beaucoup de familles musulmanes offrent à leurs voisins des gâteaux et de la nourriture, sadaqât. «Quelques jours avant l’Aïd, nous préparons avec mes proches des gâteaux, achetons des cadeaux à offrir aux enfants et aux membres de la famille», indique Farida, mère de quatre enfants, dans les Hauts-de-Seine. Les fêtes musulmanes n’étant pas nombreuses, l’Aïd el-fitr est une grande occasion festive pour la communauté musulmane. Elle est célébrée traditionnellement pendant au moins trois jours. Dans les pays musulmans, les mosquées et minarets s’illuminent la nuit et les psalmodies du Coran retentissent souvent dans la journée.

Et en Turquie

En Turquie, les quatre coins du pays sont en effervescence durant plusieurs jours. Comme ailleurs, on s’habille de vêtements neufs, on se parfume, les marchés et magasins qui vendent des sucreries, chocolats et d’autres douceurs sont pris d’assaut quelques jours avant. A l’aube du premier jour de la fête, les hommes vont à la mosquée, pendant que les femmes sont aux fourneaux à préparer notamment les baklavas. Toute la famille se réunit autour du parent le plus âgé pour partager le repas. Dans les rues, on échange des vœux, on offre des sucreries, des loukoums, et on se souhaite longue vie.

Le Premier ministre syrien Wael al-Halqi, a livré le message écrit mardi le président syrien Bachar al-Assad au Guide suprême de la Révolution islamique, l'ayatollah Seyed Ali Khamenei.

Lors d'une réunion tenue à Téhéran, capitale de l'Iran, le conseiller du guide suprême pour les affaires internationales, Ali Akbar Velayati, le premier ministre syrien a présenté la lettre de Al-Assad au Guide suprême, et a souligné l'engagement du peuple syrien et le gouvernement de défendre son intégrité territoriale et la souveraineté nationale, et de préserver l'indépendance de leur pays.

Velayati, quant à lui, a déclaré que les relations "fraternelles et stratégique" entre les deux peuples, depuis la victoire de la Révolution islamique (1979), et a souligné l'importance de la Syrie au Guide suprême, c'est le pays de l' front line résistance islamique contre le sionisme.

Soutenir le peuple syrien et le gouvernement est l'une des priorités de la politique étrangère de la République islamique, a marqué Velayati, puis ajouter que la solidarité et la coopération multilatérale entre les deux Etats, a donné lieu à des fruits précieux.

A la fin de son allocution, le membre du Conseil de discernement de l'Iran a souhaité plein succès et la dignité de la nation et le gouvernement syrien.