
تقي زاده
L'Iran se dit prêt à prendre en charge les blessés yéménites
"Au terme de plus d'une année et demie d'agression militaire mortelle d'Arabie saoudite contre le Yémen et des actes de violence à l'encontre du peuple opprimé de ce pays, le monde a été choqué une nouvelle fois par les raids aériens saoudiens sur un hall funéraire dans la capitale Sanaa, qui a fait des centaines de morts et blessés parmi les civils sans défense", a poursuivi le président du Parlement iranien.
A cette occasion, il a reproché à la communauté internationale "son silence et son indifférence" face à la situation au Yémen.
Les frappes meurtrières présumées lors d'une cérémonie funéraire à Sanaa samedi ont suscité un tollé parmi les dirigeants iraniens.
Selon des sources médicales, les raids aériens ont coûté la vie à plus de 160 personnes dont des responsables militaires et du gouvernement alliés des révolutionnaires houthis.
Septième jour de deuil de l’imam Hussein (as) à Karbala+photos























Une nouvelle méthode de mémorisation et de lecture coraniques pour les sourds muets et les aveugles
Turquie : au moins 18 morts dans l'explosion d'une voiture piégée
Le nombre de civils tués ou blessés s'explique par le fait que l'explosion a eu lieu non loin d'un endroit où plusieurs personnes attendaient un minibus, a ajouté Anadolu.
La province de Hakkari est située près des frontières avec l'Irak et avec l'Iran.
La responsabilité de la rébellion kurde du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) est pointée du doigt dans cet attentat, d'après plusieurs médias turcs.
L'attaque a été perpétrée par un kamikaze qui a fait exploser une camionnette au moyen de 5 tonnes d'explosifs, a dit M. Yildirim lors d'une conférence de presse.
La déflagration a été telle qu'un cratère de 10 à 15 mètres de large, et 6 à 7 mètres de profondeur, s'est formé sur les lieux de l'attaque, selon Anadolu.
Compte tenu de la violence des images, le Conseil supérieur de l'audiovisuel turc (RTÜK) a interdit aux médias de diffuser les images des lieux de l'attaque, des blessés et des morts.
Le vice-Premier ministre Numan Kurtulmus a dénoncé sur Twitter une attaque haineuse commise par les terroristes contre les soldats turcs. La Turquie ne capitulera jamais devant les organisations terroristes, a-t-il ajouté dans un second message.
En riposte à cette nouvelle attaque, l'armée turque a entamé une opération sur la zone pour retrouver les assaillants, a précisé Anadolu.
Le PKK, considéré comme une organisation terroriste par Ankara, Washington et l'Union européenne, est engagé depuis 1984 dans une guerre contre l'Etat turc qui a fait plus de 40.000 morts. Après une fragile trêve de deux ans, les combats entre les insurgés et l'armée turque dans le sud-est de la Turquie à majorité kurde ont repris en 2015.
Une nouvelle page est ouverte pour développer les relations irano-thaïlandaises
Le Président iranien a énuméré des secteurs de coopération de prédilection, le pétrole, le gaz, la pêche, les pièces de rechange automobiles, l’agriculture. Il a insisté aussi sur la nécessité de coopérer avec la Thaïlande, comme avec tous les autres pays du monde, dans le domaine de l'antiterrorisme.
Au cours de cette réunion, le Premier ministre thaïlandais, Prayut Chan-o-cha, a affirmé qu’une nouvelle page s’ouvrait dans les relations irano-thaïlandaises. Il a également rappelé des relations diplomatiques depuis 70 ans entre Téhéran et Bangkok avant de remercier le président Rohani et la délégation iranienne de s’être rendus en ThaÏlande.
Prayut Chan-o-cha a ensuite affirmé: «Il est nécessaire d’accroître nos coopérations aussi vite que possible. Nous sommes prêts à cela et nous soutenons les projets des entreprises iraniennes en Thaïlande et ceux des sociétés thaïlandaises en Iran.»
Enfin, le Premier ministre thaïlandais a conclut: «L'Iran peut être un pont pour relier la Thaïlande à l'Asie centrale, à l’Asie de l'Ouest et à l'Europe. Par ailleurs, la Thaïlande pourra jouer le même rôle pour l'Iran en l'Asie de l'Est. »
Le génat pétrolier anglo-hollandais est de retour officiel de Shell en Iran
Le vice-ministre iranien du Pétrole, chargé des affaires internationale et du commerce, Amir Hossein Zamininia, a déclaré au cours de cette rencontre: « Avec la perspective que présente notre industrie pétrochimique, les projets de cette entreprise avanceront sans doute plus vite que les projets pétroliers et gaziers. »
Les Afghans continuent de fuir Kunduz selon l'Onu
Ces chiffres sont susceptibles d'évoluer alors que de nouvelles familles sont toujours en mouvement, précise OCHA qui a alerté dès jeudi sur les pénuries de services de base en ville, eau, électricité et vivres.
Les insurgés ont attaqué Kunduz lundi 3 octobre avant l'aube et, contrairement aux affirmations des autorités assurant le soir même en avoir repris le contrôle, la ville et les environs sont encore en proie aux combats malgré l'intervention des forces spéciales.
Pour le président afghan Ashraf Ghani, cette dernière offensive après un été meurtrier visait à perturber la conférence des donateurs à Bruxelles qui s'est ouverte simultanément mardi dans la capitale belge, a-t-il indiqué dimanche soir à la télévision.
Des renforts ont été envoyés à Kunduz, l'ennemi sera puni. Tous les ennemis sur tous les fronts ont été défaits ou le seront bientôt, a-t-il assuré.
Les civils qui fuient accusent les talibans de se servir des maisons pour établir leurs positions d'où ils tirent des roquettes sur l'armée, ont rapporté à l'AFP ceux arrivés à Kaboul depuis jeudi.
Ce qu'a également indiqué à l'AFP Mohammad Radmanesh, porte-parole adjoint du ministère de la Défense: L'ennemi a pris position dans les maisons et utilise les civils comme boucliers humains ce qui complique nos opérations. Nous devons agir prudemment pour éviter de faire des victimes, a-t-il déclaré.
La députée de Kunduz Fatema Aziz a continué de dénoncer dimanche l'échec du gouvernement: Kunduz est une tragédie parce que le gouvernement n'a pas réussi à empêcher les talibans de prendre la ville, a-t-elle accusé en direct sur la chaîne Tolo News.
Pays-Bas : lectures coraniques dans les cérémonies de deuil de l’imam Hussein (as)
En Iran, une mosquée décorée de millions d'éclats de miroir


Les militaires russes de retour en Egypte?!
Selon le journal "Izvestia", la base militaire que possédait l'Union soviétique en Egypte pourrait ouvrir ses portes.
" Ce lundi des négociations ont lieu entre égyptiens et russes qui envisagent de renouveler le contrat de bail pour une base militaire qu'ils possédaient dans la ville de Sidi il y a 45 ans", écrit le journal qui cite deux sources anonymes pour étayer l'information.
" Les négociations pour que Moscou se réapproprie cette ancienne base militaire soviétique sur les cotes méditerranéennes avancent à bon train et Le Caire est aussi prêt à re-louer le site aux russes dans la perspective d'une meilleur coopération stratégique à l'échelle de la région"
Et le journal, citant les responsables proches des négociations, d'ajouter :" la réouverture de cette base militaire marquera une nouvelle étape dans les coopérations géopolitiques de part et d'autre surtout au Moyen-Orient et dans le Nord de l'Afrique. L'aboutissement des négociations en cours équivaudra à l'ouverture de la base militaire en question dès 2019 et le retour des militaires russes en Egypte"
La base militaire située dans la ville de Sidi a cessé ses activités en 1972. Cette information tombe quelques jours après l'annonce par le vice-ministre russe de la Défense de la possibilité d'une réouverture des bases militaires russes à Cuba et au Vietnam.
Les experts en géopolitique font remarquer un retour en force de la Russie en Méditerranée.