تقي زاده

تقي زاده

Le président du Parlement iranien Ali Larijani a dénoncé dimanche les frappes aériennes présumées dirigées par l'Arabie saoudite contre la capitale yéménite, Sanaa, et a déclaré que l'Iran était prêt à soigner les personnes blessées, a rapporté Press TV."La République islamique d'Iran est prête à agir rapidement en ce qui concerne le transfert des blessés (yéménites) et leurs soins (en Iran) dans le cadre de la coordination avec le Comité international de la Croix-Rouge (CICR)" , a indiqué M. Larijani.

"Au terme de plus d'une année et demie d'agression militaire mortelle d'Arabie saoudite contre le Yémen et des actes de violence à l'encontre du peuple opprimé de ce pays, le monde a été choqué une nouvelle fois par les raids aériens saoudiens sur un hall funéraire dans la capitale Sanaa, qui a fait des centaines de morts et blessés parmi les civils sans défense", a poursuivi le président du Parlement iranien.

A cette occasion, il a reproché à la communauté internationale "son silence et son indifférence" face à la situation au Yémen.

Les frappes meurtrières présumées lors d'une cérémonie funéraire à Sanaa samedi ont suscité un tollé parmi les dirigeants iraniens.

Selon des sources médicales, les raids aériens ont coûté la vie à plus de 160 personnes dont des responsables militaires et du gouvernement alliés des révolutionnaires houthis.
 
La sainte ville de Karaba en Irak était la scène, au septième jour de mouharram, de la présence des processions de deuil et des représentations théâtrales sur l’événement de l’Ashoura.
Septième jour de deuil de l’imam Hussein (as) à Karbala+photos
Selon l’agence de presse nooun, les saints sanctuaires de l’imam Hussein (as) et de l’honorable Abbas (as) et les itinéraires y menant étaient dimanche témoins de la présence des processions de deuil et des cérémonies traditionnelles ainsi que des représentations de Ta’zieh, pour commémorer le martyre de l’imam Hussein (as) et de ses compagnons.
Septième jour de deuil de l’imam Hussein (as) à Karbala+photos
 
Septième jour de deuil de l’imam Hussein (as) à Karbala+photos
 
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Septième jour de deuil de l’imam Hussein (as) à Karbala+photos
 
L’Association coranique «خیرکم» de Djeddah a élaboré une application pour portables, de mémorisation et de lecture coraniques destinée aux aveugles et aux sourds muets.
Cette application en anglais et en arabe, utilise pour les sourds muets le langage des signes et devrait avoir un succès international. 
Abdoul Aziz Hanafi, directeur de cette association, a déclaré que cette application permettait aux handicapés de recevoir un enseignement coranique accessible au niveau financier, et leur évitait des allers et venues inutiles. 
« Ces personnes ont accès à des conseillers qui les aident dans leur apprentissage. Cette application est accessible sur Apple et Android et est très facile à utiliser », a-t-il dit. 
L’Organisation mondiale de la santé a déclaré que les aveugles représentaient 12% du monde arabe qui comptait aussi 10 millions de sourds muets.
Au moins 18 personnes (10 militaires et 8 civils) ont été tuées dimanche dans l'explosion d'une voiture piégée devant un poste de police dans la province de Hakkari, dans le sud-est de la Turquie à majorité kurde, a annoncé le Premier ministre turc Binali Yildirim.
 
 Au moins 26 personnes - 10 militaires et 16 civils - ont été blessées dans cette attaque survenue à 09H45 (06H15 GMT) au point de contrôle qui se trouvait à proximité d'un commissariat, a précisé l'agence de presse progouvernementale Anadolu.

Le nombre de civils tués ou blessés s'explique par le fait que l'explosion a eu lieu non loin d'un endroit où plusieurs personnes attendaient un minibus, a ajouté Anadolu.

La province de Hakkari est située près des frontières avec l'Irak et avec l'Iran.

La responsabilité de la rébellion kurde du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) est pointée du doigt dans cet attentat, d'après plusieurs médias turcs.

L'attaque a été perpétrée par un kamikaze qui a fait exploser une camionnette au moyen de 5 tonnes d'explosifs, a dit M. Yildirim lors d'une conférence de presse.

La déflagration a été telle qu'un cratère de 10 à 15 mètres de large, et 6 à 7 mètres de profondeur, s'est formé sur les lieux de l'attaque, selon Anadolu.

Compte tenu de la violence des images, le Conseil supérieur de l'audiovisuel turc (RTÜK) a interdit aux médias de diffuser les images des lieux de l'attaque, des blessés et des morts.

Le vice-Premier ministre Numan Kurtulmus a dénoncé sur Twitter une attaque haineuse commise par les terroristes contre les soldats turcs. La Turquie ne capitulera jamais devant les organisations terroristes, a-t-il ajouté dans un second message.

En riposte à cette nouvelle attaque, l'armée turque a entamé une opération sur la zone pour retrouver les assaillants, a précisé Anadolu.

Le PKK, considéré comme une organisation terroriste par Ankara, Washington et l'Union européenne, est engagé depuis 1984 dans une guerre contre l'Etat turc qui a fait plus de 40.000 morts. Après une fragile trêve de deux ans, les combats entre les insurgés et l'armée turque dans le sud-est de la Turquie à majorité kurde ont repris en 2015.
Dans une réunion commune avec des hauts responsables politiques thaïlandais ce dimanche à Bangkok, le président Hassan Rohani a annoncé: «Aujourd’hui, nos deux pays ont une volonté ferme de développer les relations bilatérales dans les domaines économique, politique, culturel et scientifique.»Le président iranien a ajouté: «La Thaïlande peut être un pont économique pour l’Iran dans l’Asie de l'Est. Par ailleurs, avec les infrastructures solides dont nous disposons, avec nos ports, nos corridors de transit, notre sécurité et notre stabilité, nous pouvons être pour la Thaïlande une porte sur l’Asie mineure, le Caucase et l’Europe. Bientôt, avec la mise en application de nos projets communs, nous pourrons doubler les échanges commerciaux entre Téhéran et Bangkok.»

Le Président iranien a énuméré des secteurs de coopération de prédilection, le pétrole, le gaz, la pêche, les pièces de rechange automobiles, l’agriculture. Il a insisté aussi sur la nécessité de coopérer avec la Thaïlande, comme avec tous les autres pays du monde, dans le domaine de l'antiterrorisme.

Au cours de cette réunion, le Premier ministre thaïlandais, Prayut Chan-o-cha, a affirmé qu’une nouvelle page s’ouvrait dans les relations irano-thaïlandaises. Il a également rappelé des relations diplomatiques depuis 70 ans entre Téhéran et Bangkok avant de remercier le président Rohani et la délégation iranienne de s’être rendus en ThaÏlande.

Prayut Chan-o-cha a ensuite affirmé: «Il est nécessaire d’accroître nos coopérations aussi vite que possible. Nous sommes prêts à cela et nous soutenons les projets des entreprises iraniennes en Thaïlande et ceux des sociétés thaïlandaises en Iran.»

Enfin, le Premier ministre thaïlandais a conclut: «L'Iran peut être un pont pour relier la Thaïlande à l'Asie centrale, à l’Asie de l'Ouest et à l'Europe. Par ailleurs, la Thaïlande pourra jouer le même rôle pour l'Iran en l'Asie de l'Est. »
 
La société nationale des produits pétrochimiques de l’Iran et le géant anglo-hollandais Shell viennent de signer un protocole d’accord pour reprendre leur coopération.
 
Selon l’agence de presse iranienne ISNA, citant des déclarations du ministère iranien du Pétrole, la Directrice générale de la société nationale des produits pétrochimiques, Mme Marziyeh Shahdaï, et le vice-président du Bureau de Shell en Iran, ont eu ce dimanche une rencontre en présence également du vice-ministre iranien du Pétrole, Amir Hossein Zamaninia, de l’ambassadrice de la Hollande à Téhéran, Susana Terstal, et du Premier conseiller de l’ambassadeur britannique à Téhéran.

Le vice-ministre iranien du Pétrole, chargé des affaires internationale et du commerce, Amir Hossein Zamininia, a déclaré au cours de cette rencontre: « Avec la perspective que présente notre industrie pétrochimique, les projets de cette entreprise avanceront sans doute plus vite que les projets pétroliers et gaziers. »
Les civils continuent dimanche de fuir Kunduz (nord) et une crise humanitaire se développe au septième jour de l'offensive talibane sur la ville, déjà tombée entre leurs mains en septembre 2015.
 
Selon les dernières estimations publiées par le bureau des affaires humanitaires de l'Onu (OCHA), environ 24.000 déplacés de Kunduz ont rejoint les capitales des provinces voisines, Taloqan (Takhar), Mazar-è-Charif (Balkh) et Pul-e-Khumri (Baghlan) ainsi que Kaboul.

Ces chiffres sont susceptibles d'évoluer alors que de nouvelles familles sont toujours en mouvement, précise OCHA qui a alerté dès jeudi sur les pénuries de services de base en ville, eau, électricité et vivres.

Les insurgés ont attaqué Kunduz lundi 3 octobre avant l'aube et, contrairement aux affirmations des autorités assurant le soir même en avoir repris le contrôle, la ville et les environs sont encore en proie aux combats malgré l'intervention des forces spéciales.

Pour le président afghan Ashraf Ghani, cette dernière offensive après un été meurtrier visait à perturber la conférence des donateurs à Bruxelles qui s'est ouverte simultanément mardi dans la capitale belge, a-t-il indiqué dimanche soir à la télévision.

Des renforts ont été envoyés à Kunduz, l'ennemi sera puni. Tous les ennemis sur tous les fronts ont été défaits ou le seront bientôt, a-t-il assuré.

Les civils qui fuient accusent les talibans de se servir des maisons pour établir leurs positions d'où ils tirent des roquettes sur l'armée, ont rapporté à l'AFP ceux arrivés à Kaboul depuis jeudi.

Ce qu'a également indiqué à l'AFP Mohammad Radmanesh, porte-parole adjoint du ministère de la Défense: L'ennemi a pris position dans les maisons et utilise les civils comme boucliers humains ce qui complique nos opérations. Nous devons agir prudemment pour éviter de faire des victimes, a-t-il déclaré.

La députée de Kunduz Fatema Aziz a continué de dénoncer dimanche l'échec du gouvernement: Kunduz est une tragédie parce que le gouvernement n'a pas réussi à empêcher les talibans de prendre la ville, a-t-elle accusé en direct sur la chaîne Tolo News.
Les cérémonies de deuil de l’imam Hussein (as) ont commencé dès le 6 mouharram, avec la participation des chiites à La Haye aux Pays-Bas, alors que les lectures coraniques forment le principal axe de ces cérémonies.
Selon l’agence de presse Qaf, le Dar ul Quran dépendant de l’Institut Culturel Al Kowthar, à La Haye, organise des réunions de lecture du Saint Coran, avec la participation des grands lecteurs, au siège de cet institut durant les nuits de mouharram. 
Selon ce rapport, ces réunions se tiennent avec la participation des grands récitants des Pays-Bas et de l’Europe, dont Sayed Reza Hosseini, Hadj Jaafar al Badri, Masih Naïmi et Hadj Ali al Tarihi. 
Ce programme coranique spécial commence après la prière du Maghreb et isha et se poursuivra jusqu’au 10 moharram.
Avec un patrimoine riche de 3000 ans, l’Iran a mille et une choses à montrer, à commencer par sa splendide mosquée, Shah Cheragh, à Shiraz.
En persan, Shah Cheragh signifie « Roi de la Lumière. » Et on comprend pourquoi cette mosquée a été affublée de ce nom. L'extérieur du monument est déjà loin de nous laisser indifférent. Mais c'est surtout une fois à l'intérieur que la magie opère.
Des millions de minuscules éclats de miroir recouvrent murs et plafond. La lumière réverbérée scintille, vacille partout dans la mosquée. Les lustres somptueux et les minarets couleur d'or participent à cette symphonie de couleurs. Tout y est éblouissant.
Construite au XIVème siècle, Shah Cheragh est la première d'une série de trois mosquées (les autres s'appelant Nasir-ol-Molk et Valik), toutes les unes à côté des autres, à Shiraz. Elle est également le premier lieu de pèlerinage de la ville pour les musulmans chiites. La mosquée doit la brillante idée de la mosaïque de miroirs à la reine Tash Khatun, au XIVème siècle, qui souhaitait une mosquée qui intensifierait mille fois la lumière.
Pour la petite histoire, on raconte qu'autour de 900 après J.-C., un voyageur, attiré par une forte lumière, voulu savoir d'où elle provenait. Il découvrit sur une tombe étincelante, d'où son nom, Shah Cheragh. Dans cette tombe, un musulman en armure portait une bague sur laquelle on pouvait lire « la fierté appartient à Dieu. Ahmad, fils de Musa. » Le voyageur venait de découvrir la tombe des fils de Musa. Aujourd'hui, le tombeau est abrité par un magnifique dôme.
 
En Iran, une mosquée décorée de millions d'éclats de miroir
 
En Iran, une mosquée décorée de millions d'éclats de miroir
 

Selon le journal "Izvestia", la base militaire que possédait l'Union soviétique en Egypte pourrait ouvrir ses portes.

" Ce lundi des négociations ont lieu entre égyptiens et russes qui envisagent de renouveler le contrat de bail pour une base militaire qu'ils possédaient dans la ville de Sidi il y a 45 ans", écrit le journal qui cite deux sources anonymes pour étayer l'information.  

" Les négociations pour que Moscou se réapproprie cette ancienne base militaire soviétique sur les cotes méditerranéennes avancent à bon train et Le Caire est aussi prêt à re-louer le site aux russes dans la perspective d'une meilleur coopération stratégique à l'échelle de la région"

Et le journal, citant les responsables proches des négociations, d'ajouter :" la réouverture de cette base militaire marquera une nouvelle étape dans les coopérations géopolitiques de part et d'autre surtout au Moyen-Orient et dans le Nord de l'Afrique. L'aboutissement des négociations en cours équivaudra à l'ouverture de la base militaire en question dès 2019 et le retour des militaires russes en Egypte" 

La base militaire située dans la ville de Sidi a cessé ses activités en 1972. Cette information tombe quelques jours après l'annonce par le vice-ministre russe de la Défense de la possibilité d'une réouverture des bases militaires russes à Cuba et au Vietnam. 

Les experts en géopolitique font remarquer un retour en force de la Russie en Méditerranée.