
تقي زاده
Présidents de l'Iran et la Russie ont condamné l'utilisation des armes chimiques
Le président iranien Hassan Rohani et son homologue russe, Vladimir Poutine, a décrit comme une utilisation «inacceptable» des armes chimiques et ont souligné la nécessité d'une solution diplomatique à la crise en Syrie.
Tel que rapporté par le Kremlin, les deux dirigeants ont eu une conversation téléphonique mercredi dans laquelle ils condamnaient l'utilisation d'armes chimiques et ont convenu de rejeter une intervention militaire en Syrie.
En outre, compte tenu de l'appel d’États-Unis et ses alliés pour attaquer le pays arabe, ont souligné "la nécessité de trouver un moyen de parvenir à une résolution par des moyens politiques et diplomatiques seuls. "
Le 21 Août, a rapporté une prétendue attaque chimique terroriste autour de la capitale syrienne, Damas, où au moins 1300 personnes ont été tuées.
Après l'incident, plusieurs pays occidentaux , menés par les Etats-Unis et le Royaume-Uni , a blâmé le gouvernement du président Bachar al -Assad , attaque, pour ensuite avoir une excuse pour lancer une intervention militaire contre ce pays.
La puissance balistique syrienne, un "énigme" pour l'Occident!
Ce qui rend les choses infiniment plus commpliquées pour le camp de la guerre !
selon les experts militaires consultés par Al Alam, " les Etats Unis et leurs alliés s'apprêtent à lancer des frappes contre la Syrie alors qu'ils ignorent totalement quel genre de missiles possède "le régime syrien" et quelle est la puissance de l'aviation syrienne à faire face aux ennemis. " les Etats Unis et leurs alliés avancent aveuglément sans savoir à quoi s'attendre . Ils ne savent pas si Damas est capable ou pas à surveiller les avions ennemis à l'extérieur de la Syrie ou bien s'il possède ou pas des aéroports "occultes" qu'il compte utiliser si nécessaire" affirment les experts militaires consultés par al Alam. pour ces experts , la réaction de Damas au premier raid est éminemment important car si la Syrie est capable de repousser la première frappe, elle sera à même de frapper des cibles en Israël, en Turquie et ailleurs" "Le système de défense anti-missile de la Syrie est resté intacte en plus de deux ans de guerre. les services du renseignement étrangers ont été incapables de le localiser . ces services ne savent pas où se trouvent les stocks de missiles syriens ce qui rend le régime Assad invulnérable". les analystes en question soulignent également la capacité d'Assad à s'imposer sur le champ des combats à pousser ses adversaires à changer de plan et de projet , " cette capacité donne aussi du grain à moudre aux ennemis du régime syrien" ces analystes relèvent aussi les liens militaires qui unissent la Syrie et l'Iran : " personne ne sait quels sont les missiles iraniens déployés en Syrie , où ils se trouvent et quelle est leur portée. les missiles de conception iranienne pourront très bien atteindre le territoire israélien depuis l'Iran, alors , depuis la Syrie , Israël est infiniment plus exposé"
Comment préparer le terrain pour l’Imam Mahdi ?
La préparation du terrain pour la Révolution de l’Imam Mahdi (a.s) est certes une entreprise ardue.
Les Artisans de son Apparition auront à affronter les impérialistes et les tyrans qui, en dépit de leurs divergences, vont se constituer un front unique et puissant pour faire avorter tout projet islamique.
Pour précipiter l’Apparition de l’Imam (a.s), les croyants devront alors agir sur deux plans :
- Sur le plan spirituel
Pour mener à bien leur projet, les Artisans de l’Apparition devront se doter d’une formation spirituelle solide susceptible de les rendre prêts à se sacrifier pour de nobles causes.
- Sur le plan matériel
Les croyants qui prépareront le terrain pour l’Apparition de l’Imam Mahdi (a.s) affronteront une coalition internationale qui aura une suprématie dans tous les domaines. Même s’ils ne pourront pas atteindre le niveau de leurs ennemis, les Artisans de l’Apparition devront disposer de moyens suffisants pour pouvoir se défendre. Ils devront donc s’appuyer sur un État indépendant, qui n’est autre que celui annoncé dans les hadiths.
Le piège syrien se ferme sur Obama!
Une guerre civil éternisée en Syrie !
C’est là où réside l’intérêt des Etats-Unis, c’est du moins l’avis du New York Times. Le quotidien newyorkais souligne, dans un rapport à propos de la crise syrienne et la réaction de la Maison Blanche à cette crise, que la meilleure option pour les Etats-Unis est la pérennité de la guerre civile en Syrie, et que la Maison Blanche devrait résister devant la tentation d’une intervention directe dans cette crise. L’offensive chimique d’envergure dans la banlieue de Damas, qui, selon les militants des droits de l’homme, avait fait des centaines de victimes parmi les civils, a une nouvelle fois fait retourner la guerre civile syrienne sur les radars de la Maison Blanche, quoique la crise égyptienne s’aggrave de plus en plus. Or, le gouvernement Obama devra résister devant la tentation d’une intervention dans la guerre civile syrienne, puisque la victoire de chacune des parties en lices, quelle qu’elle soit sera au détriment des Etats-Unis ; dans les circonstances actuelles, l’unique résultat qui ne portera pas préjudice aux intérêts de Washington, ce sera une impasse sans fin.
La victoire du gouvernement de Bachar Assad, obtenue une fois la rébellion réprimée et la reprise du contrôle de tout le territoire, serait une catastrophe pour les Etats-Unis, puisque cela renforcera l’axe de la résistance donc une menace sérieuse contre Israël, selon le New York Times.
La victoire de l’opposition s’avèrera également très dangereuse pour les Etats-Unis et leurs alliés en Europe et au Moyen-Orient, puisque les groupes extrémistes, notamment Al-Qaïda se transformeront en les forces combattantes les plus performantes en Syrie. Si ces groupes de l’opposition gagnent la guerre, ils formeront indubitablement un gouvernement qui sera l’ennemi des Etats-Unis ; en outre, si ce sont les salafistes et les takfiris qui le remporteront, Israël ne devrait plus s’attendre à la paix sur les frontières septentrionales de la Palestine occupée.
Deux ans plus tôt, ajoute le New York Times, lorsque les troubles ont débuté en Syrie, les conditions n’étaient pas si floues ni si sombres. A l’époque il semblait que la société syrienne revendiquait des réformes et que l’on ne s’attendait pas que les conflits se pérennisent ; ce qui était logique puisque la Turquie, une voisine avec une armée puissante et de longues frontières avec la Syrie, aurait pu se servir de sa force pour trancher. Vers la mi-2011 lorsque les violences ont éclaté en Syrie, le premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan a haussé le ton et il a demandé la fin des violences. Or, le porte-parole d’Assad a rejeté de tels propos tandis que la Turquie aussi n’en a pas donné suite, car elle a une minorité qui n’a pas confiance en le gouvernement turc d’autant plus que le gouvernement turc n’a pas une totale confiance en l’armée. Par conséquent, la Turquie au lieu de se renforcer dans de telles conditions, s’est transformée en un élément passif et depuis Erdogan ne suit qu’en observateur impuissant, la guerre civile qui se poursuit à deux doigts des frontières turques.
La guerre qui sévit aujourd’hui en Syrie est alimentée par des forces peu influentes et des extrémistes dangereux : il s’agit des fanatiques salafistes qui agissent dans le style taliban et même ils n’épargnent pas les sunnites qui refusent de suivre leurs méthodes étranges ; il s’agit également des extrémistes sunnites qui tuent les alaouites et les chrétiens innocents dont leur unique faute est leur religion ; et enfin il y a aussi les takfiris qui depuis l’Irak et d’autres points du monde ont annoncé que leurs objectifs est de transformer la Syrie en leur centre.
Tenant compte de telles conditions, le résultat définitif pour les deux parties, ne sera pas admis par Washington ; la restauration du gouvernement Assad ne fera que renforcer l’axe de la résistance partout au Moyen-Orient tandis que la victoire de l’opposition extrémiste signifie une autre vague du terrorisme d’Al-Qaïda.
Un seul résultat sera en faveur des Etats-Unis : une impasse sans fin !
Au terme de son rapport, le New York Times écrit : l’objectif des Etats-Unis consistera à préserver à tout prix cette impasse. Pour réaliser cet objectif, il faudrait équiper et armer l’opposition lorsqu’il semblerait que l’armée syrienne gagne du terrain et arrêter l’envoie d’armement lorsqu’il semblerait que l’opposition est en train de gagner.
Cette stratégie est proche de la politique que le gouvernement Obama suit pour l’heure ; ceux qui dénoncent la retenue et l’attitude réservée du président américain devront être sincères à propos de l’inique option substituant : l’action militaire américaine en Syrie, d’où l’occupation de ce pays par les Etats-Unis ; seront donc rares les Américains qui aujourd’hui soutiendront un autre aventurisme militaire au prix faramineux au Moyen-Orient. Une action catégorique mettra en danger les Etats-Unis. A cette étape l’impasse serait pratiquement la meilleure option politique.
Imam Khamenei : Les salafistes se retourneront contre leurs alliés
Le groupe des takfiris qui s’oppose à tous les autres musulmans était apparu avec le soutien de certains pays de la région et que leurs amis devaient savoir que les salafistes se retourneront un jour contre eux.
Le site de l’imam Khamenei, Guide suprême de la Révolution islamique, a annoncé que l’imam Khamenei avait rencontré dans la matinée du 26 aout 2013, Qabus ibn Saïd, sultan d’Oman, et la délégation qui l’accompagne.
Lors de cette visite, l’imam Khamenei a déclaré que malheureusement, le groupe des takfiris qui s’oppose à tous les autres musulmans était apparu avec le soutien de certains pays de la région et que leurs amis devaient savoir que les salafistes se retourneront un jour contre eux.
Faisant allusion aux relations amicales entre l’Iran et Oman, et au respect qu’éprouve le peuple iranien pour le gouvernement d’Oman, il a déclaré que le terrain était propice pour un développement des relations entre les deux pays dans différents domaines.
« Oman est un bon voisin pour la République islamique et la région qui se trouve dans une situation sensible et dangereuse, a besoin d’une meilleure coordination entre les deux pays. Cette situation dans la région, est le résultat des ingérences extérieures.
Il est très dangereux de faire intervenir la religion dans ces affaires. Les menaces continuelles du régime sioniste soutenu par les États-Unis, sont aussi une autre préoccupation régionale notamment à cause de l’arsenal d’armes à destruction massive que possède ce régime illégal et corrompu.
La région a besoin de calme et de sécurité, cela ne peut être réalisé qu’en interdisant ces armes », a-t-il déclaré.
Qabus ibn Saïd a déclaré qu’il était très heureux de rencontrer le Guide suprême et que les relations qui sont des relations culturelles et historiques, entre les deux pays étaient très bonnes.
« Dans mes discussions avec le Président iranien qui participe à cette rencontre, nous avons étudié les possibilités de relations plus développées dans les domaines économiques et de transport et spécialement dans le domaine gazier.
Comme vous l’avez souligné, la solution aux problèmes de la région est de tenir compte des intérêts de ses peuples et que les pays de la région coopèrent dans ce domaine », a-t-il dit.
L'armée syrienne a découvert un entrepôt de matières premières pour fabrication d'armes chimiques
Le commandement général de l'armée et des forces armées a indiqué dans un communiqué que dans le cadre des opérations réussies exécutées par l'armée syrienne, un entrepôt contenant des matières premières pour la fabrication de l'arme chimique, des masques anti-gaz et de grandes quantités de médicaments utilisés pour traiter l'effet de l'inhalation des matières chimiques toxiques, a été saisi.
Le communiqué affirme que la possession par les terroristes armés de telles substances chimiques est une preuve définitive sur le recours de ces gangs à l'arme chimique contre les fils de la patrie et les forces armées et confirme l'implication des parties extérieures dans la fourniture aux terroristes de tous les impératifs de l'usage de l'arme chimique.
Le communiqué ajoute que le recours des gangs terroristes armés à cette méthode sordide dans l'usage de l'arme chimique contre le peuple syrien et son armée dévoile la faillite de ces gangs devant les frappes qu'ils font l'objet par l'armée syrienne et met à nu leurs vraies images criminelles dans la violation de toutes les lois et les normes internationales, morales et humanitaires.
Le communiqué fait savoir que le commandement général de l'armée et des forces armées qui est soucieux de clarifier ce qui se passe vraiment sur le terrain des actes et des violations perpétrés par les gangs takfiristes et wahhabites de meurtre, affirme qu'il ne tolère pas dans la frappe avec main de fer du terrorisme partout en Syrie en se basant sur sa croyance absolue en son devoir national d'éradiquer le terrorisme, de le liquider et de rétablir la sécurité et la stabilité dans la patrie.
Source responsable : Des cas d'asphyxies parmi nombre de soldats syriens lors de leur entrée à Jobar
Une source responsable a déclaré qu'un nombre de soldats ont été atteints après l'inhalation de gaz lors de leur entrée à Jobar dans la banlieue de Damas.
La source a déclaré à l'Agence Sana que les soldats atteints des cas d'asphyxies ont été hospitalisés, dont certains sont dans un état critique.
Le correspondant de Sana a indiqué que des unités de l'armée ont saisi dans cette zone un entrepôt contenant des barils sur lesquels figure l'expression : "Fabriqué en Arabie Saoudite", un grand nombre de masques de protection et des médicaments utilisés en cas de l'inhalation de matières chimiques dans l'un des repaires des terroristes, fabriquée par la compagnie qatarie- allemande pour les industries pharmaceutiques.
Le correspondant de l'Agence Sana à Jobar a déclaré que les forces armées réalisent un progrès dans la traque des terroristes dans ledit quartier.
Un commandant sur le terrain à Jobar a évoqué la découverte dans l'entrepôt des charges explosives dont certaines pèsent 300 kg, des substances utilisées dans la fabrication des explosifs, des bombes, des lance-roquettes RPG, des obus de mortier et des bombonnes de gaz.
Le commandant a indiqué que le recours des terroristes aux armes chimiques reflète l'état de déception dont souffrent les groupes terroristes devant les victoires réalisées par l'armée arabe syrienne.
Il a affirmé que les forces armées réalisent des progressions dans la traque des groupes terroristes armés qui avaient perpétré des actes de meurtre et de sabotage dans le quartier de Jobar.
De son côté, une source médicale militaire a fait savoir que les symptômes qui avaient apparu chez les soldats atteints démontrent l'inhalation des substances chimiques, notamment le gaz sarin.
Attaques terroristes: les funérailles des 28 victimes à Bagdad
Des habitants de Bagdad ont organisé samedi des funérailles pour les 28 personnes tuées la veille dans un attentat suicide, alors que les forces de sécurité mènent des opérations massives pour tenter de mettre fin aux violences en Irak.
Vendredi, vers 21H00 locales, un kamikaze a fait détoner sa ceinture d'explosifs dans un petit parc du quartier multiethnique de Qahira, dans le nord de Bagdad, où des familles étaient réunies en cette soirée de repos hebdomadaire, les weekend étant les vendredi et samedi en Irak.
Cette attaque, la plus meurtrière de la journée, a fait 28 morts et 58 blessés, selon des sources sécuritaires et médicales.
Ce matin, il y a eu des funérailles. Beaucoup, beaucoup d'autres personnes ont été blessées, a déploré Sharif Mohammed, l'un des participants de la cérémonie.
D'autres attaques dans la capitale, à Doujail, Hilla et Mossoul avaient fait neuf morts plus tôt dans la journée, portant à 37 le bilan des victimes vendredi.
Samedi, huit personnes, dont deux policiers, ont été tuées dans de nouvelles attaques.
Les violences en Irak depuis le début de l'année sont les plus meurtrières depuis 2008, avec plus de 3.600 personnes tuées en 2013, selon un bilan établi par l'AFP à partir de sources médicales et de sécurité.
Les autorités ont réagi en entreprenant une vaste campagne des forces de sécurité.
Vendredi, le centre de commandement militaire nord a affirmé qu'un homme autoproclamé ministre des Finances de l'Etat islamique de l'Irak et du Levant (EIIL), organisation affiliée à Al-Qaïda, et six autres membres du réseau avaient été arrêtés alors qu'ils tentaient de traverser la frontière depuis la Syrie.
Hosni Moubarak libéré, le guide suprême des Frères musulmans devant le tribunal
Le procès de Mohamed Badie, guide suprême des Frères musulmans, et de ses deux principaux adjoints, doit débuter dimanche dans la journée en Egypte. Il s'ouvre alors que la confrérie peine désormais à mobiliser ses partisans face à la répression mise en oeuvre par les autorités.
Les trois responsables sont accusés d'avoir incité à des violences meurtrières lors des troubles qui ont précédé l'éviction par l'armée du président Mohamed Morsi, issu des Frères musulmans, le 3 juillet.
Ces accusations concernent particulièrement une manifestation contre la confrérie, le 30 juillet devant son siège au Caire, et au cours de laquelle neuf personnes ont été tuées et 91 blessées.
L'arrestation de Mohamed Badie, il y a une semaine, a conclu une semaine pendant laquelle les forces de sécurité ont lancé une offensive sanglante contre les Frères musulmans. Selon le bilan du gouvernement, au moins 900 personnes, ont perdu la vie dans les violences.
L'Alliance anti-coup d'Etat, qui regroupe des mouvements hostiles à l'éviction de Mohamed Morsi, a fait état de 1400 tués parmi les partisans du chef d'Etat destitué et des Frères musulmans.
En début de semaine, la confrérie avait appelé à une nouvelle journée de manifestations vendredi, mais les rassemblements sont restés peu importants.
Les Frères musulmans, une organisation fondée en 1928 qui a survécu à des décennies de clandestinité, étaient jadis capables de mobiliser d'immenses foules.
Le Premier ministre, Hazem el Beblaoui, a publiquement envisagé la semaine dernière la dissolution de la confrérie.
Moubarak dans un hôpital
Le procès de Mohamed Badie et de ses deux adjoints s'ouvre trois jours après la libération de prison de l'ancien président Hosni Moubarak, chassé du pouvoir par la révolution de janvier-février 2011, et qui a été blanchi d'accusations de corruption.
Le gouvernement de transition, constitué sous l'égide du général Abdel Fattah al Sissi, chef d'état-major de l'armée, a cependant usé de ses pouvoirs pour assigner à résidence Hosni Moubarak. Il se trouve actuellement dans un hôpital militaire près du Caire.
Le saint Coran offensé au berceau de la civilisation islamique
Les sources d’information en Arabie Saoudite ont fait état d’un cas d’offense envers le Saint Coran à l’ancien immeuble de la faculté des filles à Yanba à l’Ouest de l’Arabie.
Selon le site de la chaîne d’information Al Alam, des exemplaires du Saint Coran ont été délaissés dans les poubelles à la faculté des filles de l’université Tayiba en Arabie Saoudite.
Le rapport indique qu’une entreprise chargée du nettoyage de l’immeuble a délaissé ces exemplaires du saint Coran parmi les objets usés dans les poubelles.
Un habitant de la ville de Yanba a informé le centre pour l’interdiction du mal et le commandement du bien de l’affaire.
Les images de cet acte offensant sont publiées sur les sites Internet saoudiens.
Roi de l'Oman en Iran
Le président iranien Hassan Rohani, a reçu dimanche le roi d’Oman, le sultan Qaboos bin Said, la première autorité étrangère que cette visite de haut niveau à l'Iran après que le nouveau président a pris ses fonctions.
Lors de la réunion, qui s'est tenue à Téhéran, capitale de l’Iran, les parties ont demandé une prolongation de la collaboration mutuelle dans divers domaines.
Après avoir évoqué la place des équations régionales Oman, le leader perse a déclaré que ‘’la République islamique d’Iran vise à renforcer ses relations avec Oman ami et pays voisin dans différents secteurs, notamment économique et commerciale “.
Selon Rohani, Téhéran et Mascate partenariats contribuent positivement à la restauration de la paix et de la stabilité dans la région et la République islamique vont poursuivre une telle politique, grâce aux efforts d'autres Etats de la région.
Lors de la réunion, à laquelle ont participé de hauts fonctionnaires des deux Etats, le roi d'Oman a remercié l'accueil chaleureux du gouvernement et la nation iranienne a qualifié active et le niveau de leurs relations entre Téhéran et Mascate, demandant l'expansion de la coopération économique et commerciale entre les deux pays.
Le Sultan Qaboos bin Said, a également exprimé la volonté d'Oman pour activer, encore une fois, le Corridor de commerce Nord-Sud est réalisée à l'aide de l’Iran, le Turkménistan, l'Ouzbékistan et l'Afghanistan.
Roi de l’Oman est venu ce dimanche à Téhéran capitale perse, et a été reçu par le ministre des Affaires étrangères iranien, Mohammad Javad Zarif à l'aéroport de Mehrabad. Ministres du Pétrole, l'Intérieur et l’accompagnement Oman Sultan Qaboos bin Said au cours de cette visite de trois jours.