تقي زاده

تقي زاده

Malgré toute la pression en provenance des États-Unis, l’Inde est déterminée à acheter des systèmes de défense antiaérienne et antimissile S-400 à la Russie.

Des sources au sein gouvernement indien ont affirmé que l'Inde annoncerait, lors du premier dialogue ministériel avec Washington prévu pour le 6 septembre, son intention d’acheter des systèmes de défense aérienne russes S-400.

Le ministre israélien des Affaires militaires, Avigdor Lieberman, a déclaré lundi 3 septembre: « Nous nous occuperons de toute menace iranienne, d’où qu’elle vienne. »

Avigdor Lieberman semblait vouloir insinuer qu'Israël pourrait frapper des cibles iraniennes en Irak.

Cette déclaration intervient quelques jours après que l'agence de presse Reuters a rapporté que Téhéran fournissait des missiles balistiques et des formations aux forces loyalistes en Irak.

Un véhicule blindé appartenant au Hezbollah soutenu par l'Iran patrouille à l'est de Ramadi, en Irak, le 27 mai 2015. (AP)

« En ce qui concerne la menace iranienne, nous ne nous limitons pas à la Syrie. Cela devrait être clair », a-t-il déclaré lors d'une conférence organisée par Hadashot TV news.

Interrogé spécifiquement sur la question de savoir si cela incluait l’Irak, le ministre israélien des Affaires militaires a répondu: « Je dis que nous nous occuperons de toute menace iranienne, d’où qu’elle vienne. Nous nous réservons le droit de passer à l’action… Et nous serons amenés à gérer les menaces ou quoi que ce soit d’autre qui se présenterait. »

 

L’ambassadrice de France en Palestine occupée a affirmé que son pays partageait l’opinion du régime israélien et des États-Unis au sujet du programme balistique iranien.

Lors d’une conférence organisée par l’Institut d’études sur la sécurité intérieure (INSS) affilié à l’Université de Tel-Aviv, l’ambassadrice de France en Israël, Hélène Le Gal, a prétendu que Paris était d’accord avec Tel-Aviv et Washington, en ce qui concerne la nécessité de résoudre la question des missiles iraniens. « Nous sommes pourtant divisés sur la façon de le faire », a déclaré l’ambassadrice française en Palestine occupée.

"Nous avons déjà perdu notre pays, maintenant ils menacent nos moyens de subsistance", soupire Zeinab al-Ardaba, dans le camp de réfugiés palestiniens de Baqaa, en Jordanie, sous le choc après la fin des aides américaines à une agence de l'ONU aidant ces exilés. 
 
Mme al-Ardaba est l'une des 119.000 réfugiés résidant dans cet immense camp - le plus grand de Jordanie - aux allées sinueuses jonchées de déchets et parcourues d'eaux usées.
 

Cette grand-mère de 78 ans, au visage ridé entouré d'un voile bleu, vit dans le camp depuis sa construction en 1967, après la guerre dite des "Six-jours" durant laquelle Israël s'est emparé de la Cisjordanie et de la bande de Gaza.

Si la plupart des résidents du camp sont arrivés à la même période, certains ont fui leur terre d'origine dès 1948, lors de la guerre ayant éclaté après la création d'Israël.

"Où devrions-nous aller? Maintenant qu'ils s'en prennent même à nos moyens de subsistance... Comment pouvons-nous être censés payer pour l'école si nous n'arrivons déjà pas à joindre les deux bouts?", se demande-t-elle.

"Comment Trump fera-t-il face à Dieu au Jour du jugement dernier?"
 
Les Etats-Unis, qui étaient les plus grands contributeurs au budget de l'Agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (Unrwa), ont annoncé vendredi qu'ils cessaient leur financement à cette organisation, l'accusant de mener des activités "irrémédiablement biaisées".

La fin des contributions américaines met en péril les activités de cette agence de l'ONU.

Créée en 1949, l'Unrwa aide plus de trois millions de Palestiniens sur les cinq millions enregistrés comme réfugiés, notamment à travers un réseau de plus de 700 écoles et de centres de santé, dans les territoires palestiniens mais aussi au Liban, en Jordanie et en Syrie.

Le directeur de l'Unrwa, Pierre Krähenbühl, a rappelé jeudi que l'agence est vitale pour la survie de millions de personnes jusqu'à ce que soit trouvée une solution définitive au conflit israélo-palestinien.

"Seul Dieu connait les conditions difficiles auxquelles nous sommes confrontés dans les camps. Il est compliqué de trouver du travail et beaucoup sont au chômage, sans argent... La vie est difficile, très difficile", témoigne Mme Al-Ardaba.


Selon l'ONU, la Jordanie accueille près de 2,2 millions de réfugiés palestiniens, soit près de la moitié de sa population.

La décision américaine "injuste et irresponsable aura de grandes conséquences sur la vie des Palestiniens", affirme Hussein Abou Shanaan qui vit au camp de Baqaa avec ses quatre enfants et une vingtaine de petits-enfants.

"Mais qu'importe ce qu'ils nous font, nous les Palestiniens, nous survivrons", assure cet homme frêle.

Considéré comme provisoire après la guerre de 1967, le camp de Baqaa, ses 16 écoles et ses deux centres médicaux ressemble aujourd'hui à une vraie ville.
 
Soutenu par Washington, Israël accuse l'organisation de "perpétuer le conflit" israélo-palestinien en entretenant l'idée - à laquelle il s'oppose - que de nombreux Palestiniens sont des réfugiés dotés du droit au retour sur les terres qu'ils ont fuies ou dont ils ont été chassés lors de la création d'Israël.

Mais pour les Palestiniens, le droit au retour est essentiel.

"Si les Américains ne veulent pas nous aider, ils peuvent nous rendre notre pays, nos terres et nos propriétés", dit Najiya Faraj.

"Nos familles possédaient autrefois de grandes maisons, des fermes, des animaux. Aujourd'hui, nous supplions pour recevoir de l'aide", soupire Mme Faraj, qui vit dans le camp avec ses 13 enfants avec seulement 130 euros par mois.

"Plus d'un demi siècle après nous avoir expulsés de nos maisons, ils s'attaquent à nos vies et à nos moyens d'exister. Que veulent-ils de nous?"

Hani al-Jabarat, père de deux enfants, affiche son anxiété alors qu'il sort d'une épicerie du camp où il a acheté du pain.

"Que Dieu vienne en aide à ces gens. Ils peuvent à peine trouver du pain pour nourrir leurs enfants... Que va-t-il leur arriver ?", s'interroge-t-il.
En abaissant leurs aides de 365 millions à 65 millions de dollars en 2018, les États-Unis veulent faire reculer les Palestiniens qui exigent le droit au retour dans les territoires occupés en 1948.L’administration américaine qui pour assurer son contrôle sur les activités d’éducation, de santé et de ravitaillement en nourriture des Palestiniens, assurait 65% du budget de l’Agence, ont versé 60 millions de dollars à l'Unrwa puis annoncé l'annulation de plus de 300 M USD d'aide aux Palestiniens. L’Angleterre qui assure entre 11 et 15% de ce budget a assuré qu’elle continuerait à verser cette aide à l’Agence. 

L'Autorité palestinienne a rompu tout contact avec Washington depuis la reconnaissance par Donald Trump de Jérusalem comme capitale d'Israël, début décembre, et Trump a annoncé en janvier, qu'il conditionnait le versement de l'aide aux Palestiniens à leur retour à la table des négociations.

قطع کمک به آنروا؛ ترفندی برای عقب‌نشینی فلسطینیان از مطالبات
 Benyamin Netanyahou dans un message, a soutenu cette décision et déclaré que l'Agence des Nations Unies pour les réfugiés palestiniens ne cherchait pas à résoudre les problèmes des Palestiniens, demandant aux Usa de donner leur aide au Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés. 

Mattias Schmale, le directeur de l'UNRWA à Gaza, a annoncé que le budget tiendrait jusqu’au mois de juillet et que l’agence sera obligée de réduire ses activités dans la Bande de Gaza.

کاهش بودجه آنروا و فرصتی برای اتحاد جهانیان در برابر استکبار

Mattias Schmale, le directeur de l'UNRWA à Gaza

Sept anciens ambassadeurs américains à l’Onu, ont déclaré que cette décision était dangereuse et que des millions de personnes en souffriraient, ce qui serait dangereux pour les alliés des Usa dans la région, notamment le régime sioniste et la Jordanie. 

Cette décision qui a provoqué de vives réactions de la part de personnalités politiques internationales et de l’Europe, a montré que Trump voulait faire plier les Palestiniens qui, depuis le 30 mars 2018, manifestent pour leur droit au retour. Ces manifestations ayant fait 100 martyrs et plus de 1000 blessés sont devenues un véritable problème pour l’entité sioniste. 

António Guterres, Secrétaire général de l'ONU, a demandé aux autres pays de combler ce déficit budgétaire et déclaré que cette décision de Trump pourrait avoir de graves conséquences sur la stabilité de la région. 

L’Allemagne a déclaré qu’elle augmenterait ses aides aux instances internationales et que la suppression de l’aide à l'Unrwa pourrait avoir de mauvaises conséquences. 

قطع کمک به آنروا؛ ترفندی برای عقب‌نشینی فلسطینیان از مطالبات

Chris Gunness, porte parole officiel de l'Unrwa, a déclaré que l’Agence avait été surprise par cette décision après l’accord signé en 2017 avec Washington, pour la poursuite de l’aide américaine, et a déclaré que l'Unrwa poursuivra son aide à 5400000 réfugiés palestiniens en Cisjordanie, à Gaza, en Jordanie, en Syrie et au Liban. 

Les pays arabes ont regretté cette décision que la Jordanie a qualifiée de « grande erreur » et Aymane Safadi a déclaré que la Jordanie rassemblera les aides pour que l'Unrwa puisse poursuivre ses activités et pour que les réfugiés puissent revenir dans leurs terres comme l’exigent les conventions internationales. 

Les partis palestiniens ont condamné la décision américaine qu’ils ont considérée comme une déclaration de guerre aux Palestiniens et une violation de leurs droits. 

Yussof Hosanieh, membre du Hamas, a déclaré que cette décision américaine était un vol politique et le signe d’un déclin moral, et que Washington cherchait par là, à transformer la question politique des réfugiés en une question humanitaire. 

Riaz Maleki, ministre des affaires étrangères de l’autorité palestinienne, a annoncé que les leaders palestiniens devaient soutenir l’Agence tant que le problème des réfugiés ne sera pas résolu. 

Le porte-parole de la présidence palestinienne, Nabil Abou Radineh, a déclaré que cette organisation allait porter cette question auprès de l’Assemblée des nations Unies et du Conseil de sécurité. 

Cette affaire permet aux pays de montrer leur solidarité envers les réfugiés palestiniens, et de déjouer les complots américains dont le rôle dans la région est terminé et qui doivent changer de politique s’ils veulent garder leur puissance et rester présents sur la scène politique.  

Le 55e rassemblement des musulmans de l’Amérique du Nord a lancé ses travaux samedi à Houston.
Ce rassemblement de quatre jours a à son programme, des réunions de discussion, des prières en commun, des ateliers et la présentation d’œuvres artistiques.  

Les associations islamiques d’Amérique du nord (ISNA) se sont rassemblées à Houston, le 1 septembre 2018, pour le 55ème rassemblement national annuel des musulmans américains, dans un contexte de manifestations organisées par les opposants à l’islam en dehors du centre George Brown où est organisé ce rassemblement. 

Duck Green, un des opposants à ce rassemblement qui avait rassemblé 24 membres des groupes nationalistes et anti islamiques, a déclaré que son groupe n’était pas un groupe nazi ou raciste, mais qu’ils voulaient que tout musulman qui vient aux États-Unis devienne un Américain opposé à la charia. 

Cristal Mohammad, membre des New Black Panther, a déclaré que les opposants à ce rassemblement étaient faibles et sans consistance, et des gens opposés aux libertés élémentaires de chaque être humain. 

Seyed Rezvan, venu de San Antonio, a déclaré que les opposants étaient très peu nombreux et qu’il avait toujours existé des gens qui n’aimaient pas les musulmans. 

Un livre en ourdou intitulé «Rooh-e-Quran» (Esprit du Coran), compilé, interprété et publié par Moulana Gayas Ahmed Rashadi a été dévoilé dimanche par Moulana Shah Jamal Ul Rahman au Madina Education Center de Nampally, en Inde.
Dans ce programme, organisé par Safa Baitul Maal, plusieurs savants islamiques de différentes écoles de pensée étaient présents.

Selon l’auteur, il a compilé et interprété la « sagesse » à travers le Coran. Par exemple, si quelqu'un veut lire et prendre en compte le Coran sur l'éthique ou la morale, il est facile d'accéder à la liste complète des versets mentionnés.

Le livre interprète les versets du Coran, ce qui aide non seulement à atteindre l'élévation spirituelle grâce à des versets faciles d'accès avec un index judicieux, mais aide également à maintenir un style de vie, des affaires et une éthique appropriés, à développer des attributs sociaux et à résoudre les conflits à la lumière du Coran, selon le site web Hans India.

Le livre a également été compilé dans le but d'aider les chercheurs à prononcer les sermons du vendredi, s'ils souhaitent se concentrer sur un sujet particulier.

Il contient une interprétation de différents versets du Coran, aidant le grand public à comprendre l’essence avec beaucoup de facilité. L'une des caractéristiques importantes du livre est l'index qui aide le lecteur à trouver le verset particulier.

«Ce livre de 1360 pages a été compilé et interprété après plus de 4 ans de recherches sur les versets coraniques. Rooh-e-Quran est disponible dans les librairies avec 500 roupies », a déclaré Gayas Ahmed.

Au cours d’une audience accordée aux commandants de la base Khatam ol-Anbiya, le Leader de la Révolution islamique, l’Ayatollah Khamenei, leur a demandé de conserver « une vigilance accrue », tout en les appelant à promouvoir les systèmes de défense antiaérienne iraniens. 
 
D’après le Leader de la Révolution islamique, cette base d’artillerie antiaérienne a une place extrêmement importante dans la lutte contre les ennemis de l’Iran.

Lors d’une rencontre, ce dimanche 2 septembre, avec les responsables et commandants de la base Khatam ol-Anbiya, le Leader de la Révolution islamique, l’Ayatollah Seyyed Ali Khamenei, a affirmé que cette base était une composante primordiale et névralgique des forces armées iraniennes dans la lutte contre les ennemis du pays.

L’Ayatollah Ali Khamenei a également insisté sur le renforcement des capacités et de la disponibilité de la DCA de l’armée et de tout son personnel.

Lors de cette rencontre qui a eu lieu à l’occasion de la Journée de l’artillerie aérienne, le Leader de la Révolution islamique a affirmé que les spéculations sur la donne politique du jour semblaient toutefois exclure toute éventualité de confrontation militaire.

« Pourtant, les forces armées doivent, avec vigilance et grâce à une gestion habile et performante, renforcer et améliorer chaque jour la puissance de leurs effectifs et de leurs équipements militaires », a affirmé l’Ayatollah Khamenei. Et d’ajouter que tout effort dans ce sens serait considéré comme étant un acte objectivement bon auprès de Dieu le Très-Haut.

Il y a quelques jours, le Leader de la Révolution islamique avait reçu des milliers d’Iraniens de différentes couches sociales. Au cours de l’audience, l’Ayatollah Khamenei avait affirmé qu’il n’y aurait ni guerre ni dialogue avec les États-Unis.


Lors de la rencontre de ce dimanche avec le Leader de la Révolution islamique, le commandant de la base Khatam ol-Anbiya, le général Ali-Reza Sabahifard, a pour sa part remis un rapport détaillé sur les mesures prises et les plans envisagés par ce QG d’artillerie antiaérienne.
L'autorité palestinienne a "rejeté" et "condamné" la décision des Etats-Unis vendredi de ne plus financer l'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (UNRWA), sur fond de crise de plus en plus profonde avec Washington.
  
 
L'administration de Donald Trump "a décidé que les Etats-Unis ne feraient pas de contribution supplémentaire à l'UNRWA", a indiqué la porte-parole du département d'Etat Heather Nauert dans un communiqué.
 

"Nous rejetons et condamnons cette décision américaine dans son intégralité", a réagi, dans un communiqué, le négociateur en chef palestinien et secrétaire général de l'Organisation de Libération de la Palestine (OLP) Saëb Erakat.

Et M. Erakat d'appeler les pays du monde "à rejeter cette décision et à fournir tout l’appui possible" à l’UNRWA.

Dans un communiqué, le porte-parole du secrétaire général de l'ONU, Stéphane Dujarric, a indiqué "regretter" la nouvelle décision américaine concernant l'UNRWA qui "fournit des services essentiels aux réfugiés palestiniens et contribue à la stabilité de la région".

"L'UNRWA bénéficie de la pleine confiance du secrétaire général", a-t-il ajouté, en saluant les efforts d'adaptation de l'organisation après la réduction au début de l'année des financements américains. Antonio Guterres "appelle les autres pays à aider à combler le déficit financier" de l'UNRWA afin qu'elle "puisse continuer à fournir son assistance vitale" aux Palestiniens, a précisé Stéphane Dujarric.

L'UNRWA, via son porte-parole, Chris Gunness, a également fait part de "profonds regrets" et de "déception". "Nous rejetons dans les termes les plus forts possibles la critique (estimant) que les écoles de l'UNRWA, les centres de santé et les programmes d'assistance d'urgence sont +irrémédiablement imparfaits+", a-t-il tweeté.

La décision de Donald Trump de reconnaître unilatéralement Al-Qods (Jérusalem) comme capitale d'Israël, fin 2017, a marqué une rupture dans les relations avec les Palestiniens. Ses dirigeants ont immédiatement coupé tout contact avec Washington, lui déniant désormais tout rôle de médiateur dans le processus de paix avec Israël, malgré les ambitions affichées par le président des Etats-Unis.
Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a exhorté samedi "toutes les parties à immédiatement cesser les hostilités" en Libye et à se conformer aux accords de cessez-le-feu conclus dans le passé sous l'égide des Nations unies.
 
 
Antonio Guterres "condamne la poursuite des violences dans et autour de la capitale de la Libye, et notamment les bombardements à l'aveugle auxquels ont recours des groupes armés, qui tuent et blessent des civils, dont des enfants", précise un communiqué de ses services.

Une quarantaine de personnes ont été tuées et une centaine blessées, pour la plupart des civils, en cinq jours d'affrontements entre milices rivales dans les quartiers sud de Tripoli, selon un bilan officiel vendredi soir.

Depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi en 2011 par les milices soutenues par l'Otan et certains pays arabes, Tripoli est au coeur d'une lutte d'influence entre milices en quête d'argent et de pouvoir.