
تقي زاده
Rohani : la stratégie militaire de l'Iran ne cherche pas de domaine de pays
" La stratégie militaire de l’Iran, est une stratégie défensive et dissuasive, donc la République islamique ne cherche pas la domination des pays, " a-t-il déclaré dimanche Rohani lors d'une réunion avec un groupe d'oulémas et les élites de la province iranienne occidentale Kurdistan, où il est en visite.
Se référant aux allégations sans fondement des autorités occidentales sur les négociations nucléaires, dans lequel ils insistent pour dire qu'ils ont réussi à retarder l'accès de l'Iran à l'arme nucléaire, le chef de Perse a dit que les allégations « sont rien de plus que des allusions ».
Selon Rohani, aujourd'hui, la communauté internationale est consciente que l'Iran ne cherche pas d'armes nucléaires. " Si quelqu'un veut fabriquer des armes nucléaires, la stricte supervision de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) va bloquer, " a-t-il rappelé.
À son avis, la levée des sanctions injustes antiranis et la reconnaissance officielle des droits nucléaires du peuple iranien sont les objectifs les plus importants que le pays perse a obtenus grâce à l'achèvement des négociations sur le nucléaire.
Ailleurs dans ses remarques, Rohani a évoqué les efforts de l'ennemi pour inciter la divergence et de désaccord entre les différents groupes ethniques, les chiites et les sunnites dans le pays perse.
Dans ce contexte, il a expliqué que la séparation entre chiisme et sunnisme certitude est inacceptable parce que, comme il a insisté, tout le peuple perse suivent le même objectif : le développement matériel et spirituel de l’Iran.
Se référant à la sécurité et à la stabilité actuelle de l'Iran dans la situation tendue dans les pays voisins, Rohani a fait valoir que cette sécurité est due à l'unité du peuple sous la bannière de l’Islam, la présence du chef de la révolution islamique, l'ayatollah Seyed Ali Khamenei et l'existence d'une constitution unique.
Enfin, le président de Perse a fait valoir que, après la conclusion des négociations sur le nucléaire est essentiel de rester plus unie et solidaire pour accélérer l’essor économique et le développement multilatéral de l’Iran, en fait, a insisté, à cette fin, il est nécessaire d'augmenter la production et le volume des exportations non pétrolières dans le pays perse.
Campagne internationale de soutien à la mosquée Al Aqsa
L’Agence internationale de presse islamique a annoncé qu’une campagne internationale de soutien à la mosquée Al Aqsa avait été lancée pour dénoncer les attaques du régime des occupants sionistes contre cette mosquée.
L’Agence IINA a diffusé un message le 26 juillet 2015, pour demander à toutes les stations de radio et de télévision des pays membres de l’OCI et des autres pays, de participer à cette action de soutien au peuple de Palestine.
Cette agence a demandé aux médias des pays islamiques de présenter tous ensemble, le lundi 28 juillet de 10 à 12 heures, les crimes du régime sioniste et ses attaques terroristes contre la mosquée Al Aqsa.
Cette agence a aussi demandé aux journaux et aux télévisions en ligne, de consacrer une semaine au siège d’Al Aqsa, et aux réseaux sociaux de dénoncer les complots du régime sioniste pour la judaïsation de la ville de Qods et l’interdiction des entrées de la mosquée aux musulmans.
Des hashtag #Masjid_al-Aqsa #المسجدـالأقصى et #al-aqsa_Mosque ont été créés pour faciliter l’accès a ces informations.
Cette campagne a été lancée suite aux récentes attaques des colons et des forces sionistes contre la mosquée Al Aqsa.
L’OCI dans un message le 26 juillet 2015, a demandé au Conseil de sécurité de l’ONU de prendre les mesures nécessaires pour arrêter ces attaques continuelles contre les sites islamiques de Palestine et la mosquée Al Aqsa.
Le jour où on priera à AlAqsa s’approche plus que jamais
« Le jour où on priera dans la mosquée d’AlAqsa s’approche plus que jamais, et ce, en dépit de tous les malheurs dont souffre la nation », c’est ce qu’a assuré ce mardi le secrétaire général du Hezbollah, Sayed Hassan Nasrallah, lors de la « Conférence Internationale des Oulémas de la Résistance » organisée à Beyrouth.
Le numéro un du Hezbollah a insisté sur la nécessité d'idéologiser la cause palestinienne, pour qu'elle reprenne le dessus loin de toute considération confessionnelle, religieuse, et autres…
Sayed Nasrallah a mis en garde la nation contre les tentatives d’ « Israël » de se porter garant et protecteur de la nation face aux crimes des takfiristes. Il a dans ce contexte mis en garde contre une alliance entre Israël et les minorités de la région contre les takfiristes.
« Israël est une monstre qui menace tous les pays voisins », a-t-il lancé, appelant à la réactivation du boycott et de la normalisation des relations avec « Israël », qui a profité gratuitement des conflits frappant notre région.
Sous le thème « Unis sous la bannière de la Palestine- Israël est voué à la disparition », des centaines d’oulémas musulmans de différents pays arabes et islamiques ont participé à cette conférence. Des hommes de religion chrétiens y ont également fait part.
La conférence de l'Assemblée mondiale des oulémas de résistance débute ses travaux à Beyrouth
La première conférence générale de l'Assemblée mondiale des oulémas de la Résistance a commencé ses travaux en présence des 150 oulémas et penseurs de différentes écoles islamiques issus de 43 pays.
Dans la cérémonie d'ouverture, Sayed Hassan Nasrallah, secrétaire général du Hezbollah libanaise; l'ayatollah Araki, secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques et cheikh Maher Hamoud, un des grands oulémas libanais prennent leur discours.
Une délégation iranienne constituée d'oulémas chiites et sunnites dont l'ayatollah Araki en tête participent à cette conférence.
Turquie : arrestation de 1 050 suspects dans le cadre des opérations anti-terroristes
Les forces de sécurité turques ont arrêté 1 050 suspects dans 34 provinces depuis que les ''opérations anti-terroristes'' ont débuté à travers le pays, selon un communiqué du cabinet du Premier ministre turc publié lundi sur son site Web.
La plupart des suspects pourraient appartenir au Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) et au Front révolutionnaire de libération du peuple (DHKP-C), d'extrême gauche, selon le communiqué.
Le communiqué ajoute également que les ambassadeurs de l'ensemble des 28 alliés de l'OTAN se réuniront mardi à Bruxelles suite à la demande d'Ankara relative aux opérations de la Turquie contre les organisations hors la loi.
Le document confirme par ailleurs que des avions de chasse turcs ont frappé des militants du PKK dans le nord de l'Irak dimanche, et qu'ils ont ciblé des abris, des caches et des entrepôts utilisés par les terroristes.
La Turquie continuera à lutter contre les menaces terroristes à la fois sur son territoire et à l'étranger, affirme le communiqué.
Les forces de sécurité turques ont déclaré qu'au moins 256 suspects avaient été arrêtés dans le cadre des opérations menées à travers le pays lundi, a rapporté l'agence Anadolu.
Les opérations menées dans l'ensemble du pays sont les dernières d'une vague d'arrestations qui ont permis de capturer des centaines de personnes soupçonnées de soutenir le PKK et le DHKP-C.
Ankara a récemment mené des frappes aériennes contre le PKK en Syrie et en Irak. Des avions de chasse turcs ont bombardé des camps du PKK dans le nord de l'Irak vendredi et samedi pour la première fois depuis deux ans et demi.
Le premier ministre irakien remercie le soutien de l'Iran dans la lutte contre Daech
Dans son rencontre avec le ministre iranien des Affaires étrangères Mohammad Javad Zarif, le premier ministre irakien Haydar al-Abadi a félicité l'accord signé entre l'Iran et les puissances mondiales et remercié le soutien de son voisin dans la lutte contre le groupe Daech.
Lors de cette rencontre, les deux responsables ont vérifié les questions politiques de l'Irak et de la région. Le renforcement des relations entre les deux pays a fait également partie de la discussion des deux hommes politiques.
Les sanctions contre l'Iran sont des crimes. Nous sommes également subis les conséquences des sanctions, a déclaré le premier ministre irakien.
Bagdad a des relations privilégiées avec Téhéran. L'Iran est un pays qui nous aide de plus dans la lutte contre le groupe terroriste Daech. La communauté internationale est plus consciente du danger de ce groupe terroriste, a-t-il ajouté.
L’Iran est devenu le centre de la calligraphie coranique
Ahmad Masjedjame’i, membre du Conseil municipal de Téhéran et ancien ministre iranien de la culture, le 24 juillet 2015, lors de la cérémonie de clôture de la 6ème exposition coranique de Gheshm, a déclaré que l’Iran était devenu le centre de la calligraphie coranique et qu’il fallait profiter des capacités de l’Iran dans le dialogue avec le monde, pour produire des revenus dans ce domaine culturel.
Masjedjame'i a souligné : « Si nous arrivons à 1% des revenus culturels mondiaux, ces revenus en devises seront supérieurs à nos ventes de pétrole. L’Iran a de grandes capacités dans le domaine coranique et artistique, dont nous devons profiter. Nous pouvons organiser à Gheshm de grandes expositions internationales comme cela se fait dans les autres pays du Golfe persique, et attirer les touristes étrangers.»
« Le Coran est considéré par certains comme un livre de morale mais il est aussi une source artistique dans différents domaines calligraphiques et musicaux. Nous devons profiter de l’occasion qui nous a été donnée de discuter avec le monde, pour présenter l’art islamique iranien dans le cinéma, les lectures et les tableaux coraniques, dans nos relations culturelles, sociales et même économique avec les autres pays», a-t-il dit.
Lieberman : Netanyahu est un chien qui aboie mais ne mord pas
" Si vous voulez tirer, tirer, ne parle pas. Il (Netanyahu) est un chien qui aboie mais ne mord pas '', a déclaré Lieberman a déclaré au journal Yedioth Aharonot sur les déclarations du Premier ministre concernant le Plan intégral de l'action commune (JCPOA, pour son sigle en anglais) est produite par les négociateurs nucléaires de l'Iran et du groupe 5+1.
" Netanyahu est incapable de faire face à la question nucléaire iranienne est un problème trop grand pour lui “, a dit le responsable israélien.
" Il a également veillé à ce que, lorsque nous commençons à parler de l'affaire du nucléaire iranien, la communauté internationale se moque de nous. Il est nécessaire d'établir une commission d’enquête, il est nécessaire de remplacer le Premier ministre ".
Après arrimage écarts que Netanyahu a eus avec le président américain Barack Obama, a déclaré que s’il était en place et aurait ralenti la question nucléaire du pays perse.
" Sur la question iranienne, je suis le plus compétent et avoir un plan détaillé pour l'arrêter. Je n’ai pas l'intention d'en parler en public. Je viens dans les instances appropriées ", a déclaré Lieberman.
Immédiatement après l'annonce de la conclusion des négociations nucléaires entre l'Iran et le groupe 5+1 (Etats-Unis, la Grande-Bretagne, la Russie, la Chine et la France, plus l’Allemagne), le 14 Juillet, une colère Netanyahu a comparu devant les caméras de marque et le fait " une erreur historique pour le monde."
Le régime de Tel-Aviv a toujours essayé de se propager iranophobie durant les négociations nucléaires, affirmant que le programme iranien a des dimensions militaires pour faire pression sur l'ordre de l’Ouest, avec l'ordre de l'Ouest CNO de bloquer un éventuel accord final, qu'il considère comme une «erreur stratégique» et une menace pour la survie.
Un accord sur le nucléaire est un échec diplomatique pour toutes les campagnes lancées par Netanyahu contre les dialogues; chef de l'opposition israélienne, Yaïr Lapid, a averti que Netanyahu devrait démissionner si l'Iran et la Sextet parvenir à un accord nucléaire près définitive.
Refus d'Israël consensus Iran-G5+1 a lieu alors que leurs arsenaux cachés dans plus de 200 ogives nucléaires et refuse d'adhérer au Traité de non-prolifération (TNP) ne permet pas d'inspections de ses installations nucléaires, en dépit des appels à partir de l'Organisation des Nations Unies.
Des droits humains
Pour ceux qui ont une petite connaissance de l’Islam et de son Histoire, il est clair que la question des droits de l’homme selon l’Islam, n’est pas une question de comparaison ni ne nécessite une attitude passive.
Nous n’avons pas abordé cette question pour faire un parallèle entre la pensée juridique et politique occidentale et celle de l’islam, ou pour nous innocenter des accusations de conservatisme, par une simple comparaison.
Les principes de dignité humaine, de liberté, d’égalité, de sécurité, de légitime défense, d’assurance sociale, d’enseignement et d’éducation, le rejet de l’oppression, la défense des droits des femmes, des enfants et des déshérités, le respect de la propriété et d’autres concepts et droits naturels ou consensuels, sont des concepts juridiques et politiques qui étaient connus et débattus dans la jurisprudence islamique et l’Histoire de l’Islam.
De quelques contradictions françaises en Syrie !
IRIB-Pour les cérémonies du 14 juillet 2008, Bachar Al-Assad, convié à un étrange « sommet » à quatre réunissant à Paris, autour de la France, le Qatar le Liban et la Syrie, est l’un des invités d’honneur de Nicolas Sarkozy. C’est l’émir du Qatar, sorte de « frère » pour Bachar, qui a convaincu le président français de l’importance de restaurer les relations entre Paris et Damas, relations rompues après l’assassinat de Rafic Hariri, le meilleur ami de Chirac. Et la greffe prend. Claude Guéant, Secrétaire général de l’Elysée multiplie les voyages au pays des Omeyades. Cette idylle est brutalement interrompue au fil de l’année 2010. Pourquoi ?La Syrie, d’un côté, se déclare prête à acheter 23 Airbus et de l’autre à signer avec le groupe TOTAL un important contrat. Les experts sont au travail quand une injonction tombe : le marché des Airbus doit se faire par l’entremise du Qatar et c’est Doha qui doit prendre le pas sur TOTAL pour le contrat énergétique. La décision de mettre l’émir au cœur des transactions franco-syriennes émane de Nicolas Sarkozy, et son ordre est transmis à Bachar qui refuse cette étrange solution. Ce sera la guerre et le choix, aussi bien français que qatari de soutenir l’opposition au régime de Damas. En réalité on verra très vite que ces rebelles, aidés par la France, l’Arabie Saoudite, le Qatar et la Turquie brandissent la bannière d’Al-Qaïda, avant que ne flotte le drapeau noir de Dae’ch. C’est dès 2011 que Paris soutient les mouvements jihadistes impliqués en Syrie. Le choix de la France, les fous de Dieu plutôt que le maintien d’un président rescapé des décombres du Baath, est marqué dès 2012 par la fermeture de notre ambassade à Damas par Alain Juppé, ici fidèle à la doctrine Sarkozy comme il le sera plus tard en Libye.L’arrivée de François Hollande et de Laurent Fabius ne change rien à la « doctrine » du Quai d’Orsay. Un point diffère pourtant, Hollande noue des relations avec Netanyahou qui vont faire de la France l’indéfectible allié de la politique israélienne menée par les conservateurs au pouvoir. Au point de faire apparaitre la diplomatie américaine comme emprunte de faiblesse. Le premier voyage à l’étranger de Hollande est à Riyad où se trouvent les champions du sunnisme acharnés à la perte de Bachar, donc au succès d’Al-Qaïda puis de Da’ech, leurs agents sur le terrain. Après avoir exigé de bombarder Damas, puis s’être empêtré dans une affaire de gaz sarin montée par les services du Premier ministre, en décembre 2012 Laurent Fabius voyagant au Maroc, déclare : « Les p’tits gars de Nosra font du bon boulot »… Nosra, la filiale « syrienne » d’Al-Qaïda.Pour appuyer les choix de la diplomatie française par des actes, le service Action de la DGSE livre des fusils d’assaut Famas et des missiles Milan aux « rebelles » en barbes. L’appui en renseignements, matériels et en conseil techniques de la France va se poursuivre tout au cours d’une guerre en Syrie qui n’a de « civile » que le nom, puisque les combattants viennent de pays étrangers et que la guerre est également financée du dehors. Appui organisé depuis le Liban, la Jordanie et surtout la Turquie. On notera que, pendant tous ces mois, la volonté politique de stopper les candidats français au « jihad » ne se manifeste que dans les déclarations et jamais sur le terrain ce qui va engendrer un conflit entre la mission de la DGSI, chasseuse de jihadistes, et celle de la DGSE chargée de les « soutenir ».En avril 2013, une note issue des services diplomatiques marocains rapporte comment la France manœuvre à l’ONU pour ne pas apparaitre comme condamnant Nosra en tant qu’organisation « terroriste ». Ce document résume l’option politique de Paris, peu importe que les Salafistes prennent le pouvoir à Damas, il nous faut la peau de Bachar. On retrouve là une priorité partagée par l’Arabie Saoudite, le Qatar, la Turquie et Israël. Et, dans un entretien avec Le Monde, le ministre des Affaires étrangères de Doha finira par déclarer « Al-Nosra est notre allié, il faut travailler avec ce groupe ». En France, d’étranges « rebelles » syriens qui ne sont rien d’autre que des membres d’Al-Qaïda font de discrets séjours histoire de faire le point sur leur « guerre de libération ».Mais la montée en puissance de Da’ech vient brouiller les cartes, une redéfinition de la politique par rapport aux groupes « rebelles » s’impose. La France ne peut rien faire d’autre que condamner la « barbarie » de « l’Etat Islamique ». Mieux elle s’engage dans la coalition qui bombarde les « barbares ». Bombardements surprenants qui ne ciblent que des bâtiments, souvent vides ou sans usage militaire. Bombardement qui, par exemple, ne frappe pas les colonnes de Da’ech en marche vers Palmyre alors qu’elles sont une cibles idéales. En réponse à ce comportement inattendu, les diplomates français et américains répondent que combattre l’avancée de Da’ech exige la mise en œuvre « d’hélicoptères de combat forcément associés à des unités au sol qui devraient compter 10 000 hommes ». Passé au crible de l’expertise militaire, l’affirmation ne tient pas vraiment puisque l’exemple libyen a démontré, pour qui le veut vraiment, l’efficacité des attaques aériennes contre les convois.Faute d’agir efficacement, la France s’est lancée dans des moulinets diplomatiques. Ainsi le 2 juin 2015 s’est tenu à Paris un sommet anti-jihadistes qui n’a fait trembler personne, au grand bonheur des palaces de la capitale. Au terme de ce conseil de guerre, quatre « ateliers » ont été formés. Pour l’humour qui, dans ce drame, doit être aussi la politesse du désespoir, indiquons que l’étude de la migration des jihadistes a été confiée à la Turquie, pays qui alimente et soutien ce flux. Quant à l’analyse des finances du jihad, on a donné les clés du dossier à l’Arabie Saoudite, pays ami et allié de la France qui finance lui-même les jihadistes. Paris a donné son onction à ces choix qui ont l’avantage de ne pas retarder l’avance des « rebelles » vers Damas. Encore bravo !Jacques-Marie Bourget