
تقي زاده
"Le Hezbollah prêt à combattre Israël malgré son implication, en Syrie" ("Yediot Aharonot")
Selon un journal israélien, l’implication du Hezbollah libanais, dans la guerre, en Syrie, n’a pas eu le moindre impact sur ses capacités défensives, face à Israël.
«Ceux qui pensent que l’implication du secrétaire général du Hezbollah libanais, dans la guerre, en Syrie, l’empêcherait de réagir à une guerre totale, se trompent, complètement, et doivent réviser leurs évaluations», a écrit le journal israélien, "Yediot Aharonot".
«Le Hezbollah libanais apporte un soutien indéfectible au gouvernement Assad, et il a acheminé, en Syrie, quelque 7.000 combattants, bien formés et expérimentés, qui ont remporté de grandes victoires, durant les dernières semaines. Cependant, les forces anti-israéliennes, qui existent, au Liban, n’ont, nullement, changé, et ne se sont pas affaiblies, et les forces du Hezbollah continuent de tirer des roquettes vers Israël», continue "Yediot Aharonot".
Ban Ki-moon condamne la poursuite de la colonisation israélienne en Cisjordanie
Le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a condamné mercredi l'annonce faite plus tôt dans la journée par Israël de la construction de 300 logements dans la colonie de Beit El, en Cisjordanie, et des projets de construction de près de 500 logements dans plusieurs colonies de peuplement à Jérusalem-Est.
Le chef de l'ONU "rappelle que les colonies sont illégales en vertu du droit international, un obstacle à la paix, et ne peuvent pas aller de pair avec l'intention déclarée du gouvernement d'Israël de poursuivre une solution à deux Etats", a déclaré le porte-parole du Secrétaire général dans un communiqué de presse.
"Le Secrétaire général exhorte le gouvernement d'Israël d'arrêter et de revenir sur ces décisions dans l'intérêt de la paix et d'un accord juste sur le statut final", a-t-il ajouté.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a ordonné mercredi la construction "immédiate" de 300 logements à Beit El, qui se trouve près de Ramallah.
En outre, Ban Ki-moon s'est dit toujours préoccupé "par la menace imminente de démolitions dans le village palestinien de Susiya, dans la zone C de la Cisjordanie".
"La destruction de propriétés privées palestiniens dans les territoires occupés est interdite par le droit international humanitaire, et les responsables de tels actes devraient rendre des comptes", a indiqué son porte-parole.
Iran : Fabius a-t-il réussi à convaincre les sceptiques?
C'est la chaîne Al-Mayadeen, qui tente de répondre à cette question, quelques heures après la fin de l'escale du ministre français des A.E, en Iran. "Se basant sur leurs expériences passées, les Iraniens n'ont aucune raison de faire confiance aux Français. Certes, le Président Rohani a souligné, en présence de son hôte français, Laurent Fabius, les terrains de coopération, que l'accord du 14 juillet pourrait lancer entre les deux pays, et entre l'Iran et l'Union européenne. Et ce, à la lumière de l'accord nucléaire. En effet, Fabius s'est rendu, en Iran, mettant un terme au gel des relations avec Téhéran, qui dure depuis des années. Fabius a demandé une coopération irano-française, pour combattre le terrorisme et l'extrémisme. En se référant à l'accord nucléaire, l'Iran demande à ce qu'un dialogue élargi soit établi entre lui et les pays de la région, afin de résoudre les questions litigieuses. Côté nucléaire, Fabius a tenté de justifier l'intransigeance de Paris, tout au long des pourparlers, en mettant cette intransigeance, sur le compte des soucis non proliférants de la France. Zarif, son homologue iranien, a évoqué, de son côté, les possibilités qui existent, pour davantage de coopérations entre Paris et Téhéran, en termes d'énergie fissile à usage pacifique. Est-ce pour autant un quitus au retour de la France, en Iran? Les analystes en doutent très fort. La voie ne semble pas ouverte, en effet, à un retour de la France, dans la mesure où les Iraniens ont la mémoire longue et que l'antécédent français, en Iran, est loin d'être positif. L'ex ambassadeur iranien, en France, l'a d'ailleurs souligné, lors d'un entretien accordé à Al-Mayadeen : "La Grande Bretagne, les Etats Unis, Israël, cherchent, en effet, à compromettre les relations entre Téhéran et Paris. Ceci dit, les deux parties disposent de nombreuses potentialités, qui pourraient être explorées, surtout, dans le dossier libanais, syrien et irakien". Certes, les firmes françaises tenteront de retourner, en Iran, mais le fait de reconquérir la place qu'elles ont perdues, ne sera pas facile, surtout, aux côtés des sociétés allemandes et italiennes, et ce, d'autant plus que les Iraniens ont, déjà, fait l'expérience des promesses non tenues des Français. Il faut trop de volonté et trop d'efforts à la France, pour que les pages noires des relations franco-iraniennes soient effacées de la mémoire des Iraniens ... La tâche est assez ardue, pour la France ....
Le comportement de l’Imam ‘Ali (AS) en temps de guerre (2)
Après la guerre de Jamal et la fuite des gens de Bassora, l’Imam ‘Ali (AS) déclara une amnistie générale alors que les vainqueurs en général, considéraient les biens et les femmes des vaincus comme leur propriété.
L’Imam ‘Ali (AS) a pardonné aux gens de Bassora leur violence et leurs délits, les avertissant bien sûr dans une lettre, du danger que représenterait pour eux, la moindre entorse aux règlements.
«Vous savez ce que vous avez fait avec moi, quel serment vous avez violé et de quelle hostilité vous avez fait preuve à mon égard mais je vous ai pardonnés, mon sabre a épargné les fuyards, j’ai accepté ceux qui s’étaient repentis et j’ai fermé les yeux sur vos fautes. Si vous refaites des erreurs, fomentez les mêmes projets d’opposition et d’hostilité, mon armée est prête, les généraux sont en selle et si vous nous y obligez, je vous attaquerai de telle sorte que la guerre de Jamal vous semblera minime bien que je connaisse la valeur de vos généraux et ce que vous disent les conseilleurs. Je n’autoriserai jamais l’oppression des bienfaisants ni ne briserai le serment fait avec les gens sincères».
Nahjol Balãghe, lettre 29
Quand le calme revint à Bassora, l’Imam ‘Ali (AS) désigna Abdoullah ben Abbas comme gouverneur et retourna à Koufa. On l’avertit qu’Abbas ne se comportait pas bien envers les gens de Bassora, l’Imam ‘Ali (AS) envoya sur le champ, une lettre qui est la 18ème lettre du Nahjol Balãghe disant:
«Sache que Bassora est aujourd’hui, le siège du diable et un terrain propice à la fitna, cependant conduits-toi bien avec les gens et fait disparaitre la terreur de leur cœur. On m’a rapporté ton mauvais comportement et ta violence envers la tribu de Bani Tamim. Les hommes de Bani Tamim sont des gens forts dont le courage n’a jamais cessé de se manifester dans les combats, que ce soit avant et après l’Islam, personne n’a pu les devancer. Fais donc preuve de patience»
Où va Erdogan?
Le gouvernement turc a obtenu au cours de la réunion extraordinaire de l'Otan convoquée à Bruxelles le soutien politique officiel de l'alliance à sa soi disant guerre contre D'achat en Irak et e Syrie.mais Erdoğan veut plus.:le soutien militaire de l'Otan . Car il dit que so pays à été pris pour cible et que par conséquent il a le droit de se défendre. Erdoğan sait probablement que la Turquie est en danger. On ne sait de quelle attaque Erdoğan parle: celle du PKk ou celle de Daech contre les kurdes de Suruc laquelle a fait 32 morts. L'implication de Daech dans l'attentat de Suruc est entouré d'un hallo d'incertitude.au contraire à son habitude, Daech s' est refusé à le revendiquer. Seul Le PM turc confirme le rôle de Daech dans cette attaque.et c'est bizarre! Depuis 4 ans en effet, les terroristes ta firms ne tarissent pas d'éloge à l'endroit d'Ankara. La Turquie a trafiqué des milliers de jihadistes vers la Turquie.des milliards de dollars ont été transférés via les banques turques et cette générosité turque a profité pareillement aux rebelles modérés et extrémiste. La plus grosse erreur d'Erdogan aura été en effet sa fausse évaluation de vraies capacités de ses ennemis à savoir le régime syrien et de ses alliés bien que Daech, al Nora et Ah rare al Charm aient pu occuper quelques localités syriennes à l'aide du triangle Turquie/Qatar/Arabie.le cas us belle lancé par Ankara à Daech sous prétexte que ce dernier est une menace pour l'Europe, les États Unis suscite ainsi de nombreuses questions sur les vraies intentions d'Ankara. Erdoğan vient de s' engager de force dans la guerre contre Daech non pas pour combattre le terrorisme mais dans l'espoir de s' approprier le soutien us/otan dans sa guerre contre le PKK. Une organisation que la Turquie a placée depuis 40 ans en tête des organisations terroristes .Ankara veut aussi que les États Unis et l'Otan combattent les kurdes syriens qui se battent en ce moment contre Daech à Kobani .Après 15 ans de quiétude, de sécurité et de paix la Turquie glisse vers deux guerres qui la placent contre des sunnites très dures: des kurdes qui totalisent une population de 18 millions de personnes et des ta firms de Daech dont la brutalité ne connaît aucune limite. La victoire dans ces deux guerre ou dans l'une des deux reviendrait trop chère en termes financiers et humains et demanderait du temps. Et ce alors que le taux de croissance en Turquie vient de tomber de 7% à 3% et que la crise de gouvernance se complique de jour en jour avec une coalition au pouvoir des plus fragiles. Par ailleurs on entend de plus en plus les américains dire qu'en l'absence de Assai, Daech arriverait au pouvoir en Syrie. Comme ce qui s' est produit en Libye et en Irak et si ces rumeurs selon lesquelles les États Unis seraient entrés en contact avec les Russes pour leur faire part de leur souhait de voir Assad rester au pouvoir s' avèrent vraies, il faudrait dire que la Turquie est le grand perdant dans toute cette affaire. Car Erdoğan a mis tous ses oeufs dans le seul panier syrien.il a tout misé sur la chute d'Assad. et puis ces rumeurs pourraient effectivement vraies en ce qui concerne le quitus US à Assad car il y a peu Poutine a mis en avant un plan de sortie de crise impliquant la Turquie; l'Arabie saoudite, la Syrie et la Jordanie. nous ne voulons effectivement pas jouer le rôle de mauvaise augure mais la réalité est que le plan du démembrement de la région s'approche peu à peu de la Turquie , une Turquie qui se croyait le bastion imprenable, impénétrable à toutes les menaces. une Turquie qui a tout fait pour démembrer l'Irak et la Syrie à l'aide des groupes armés . le virus frappe la Turquie et il se peut qu'il contamine aussi l'Arabie saoudite ...Erdogan se trouve dans un réel imbroglio .. il se noie peu à peu dans les sables syriennes alors qu'il faudrait qu'il se batte à la fois contre les kurdes et Daech...
Le comportement de l’Imam ‘Ali (AS) en temps de guerre (1)
L’Imam ‘Ali (AS) au début de la guerre s’est adressé ainsi à ses soldats: «Ne commencez jamais le combat avant eux (les ennemis) car grâce à Dieu, vous êtes dans le droit et le fait que vous n’ayez pas commencé le combat avant eux, sera une autre preuve de votre bon droit. Si avec l’autorisation de Dieu, ils sont vaincus et s’enfuient, ne tuez pas ceux qui ont tourné le dos et ne blessez pas celui qui ne peut se défendre. Ne tuez pas les blessés et ne vous attaquez jamais aux femmes».
Nahjol Balãghe, lettre 14 et Histoire de Tabari, vol 3
Le respect des droits des femmes du camp ennemi
A l’époque de l’Imam ‘Ali (AS), beaucoup de généraux emmenaient leurs femmes avec eux et en cas de défaite, ces femmes étaient faites prisonnières. L’Imam ‘Ali (AS) veillait à ce que les droits de ces femmes soient respectés
Syrie : Israël bombarde Quneitara!!
les chasseurs bombardiers israéliens ont bombardé une localité dans la banlieue de Quneitara. selon la chaine Al Mayadeen, le raid aurait provoqué la mort de trois membres des comités populaires dans cette localité où des combats opposent régulièrement les terroristes takfiris souteus par Israêl à l'armée syrienne et aux forces de la Résistance libanaise.
Pakistan: le chef d'un groupe extrémiste armé tué dans une opération de police
Les autorités pakistanaises ont annoncé mercredi avoir tué le chef du plus violent groupe armé islamiste anti-chiites du Pakistan, auteur de nombreux attentats meurtriers dans le pays ces dernières années, et 13 de ses partisans lors d'une fusillade.
Malik Ishaq, leader du Lashkar-e-Jhangvi (LeJ), proche d'AL-Qaïda, est mort avec 13 autres membres de son groupe, dont deux de ses fils, dans un affrontement avec la police, a annoncé à l'AFP le ministre de l'Intérieur de la province du Pendjab (est), Shuja Khanzada.
Malik Ishaq, récemment arrêté par la police, a selon les autorités locales péri dans les faubourgs de la ville de Muzaffargarh alors que ses partisans ont tenté d'intervenir pour le libérer.
"Les membres de son groupes ont ouvert le feu, et la police a répliqué. Malik Ishaq, ses deux fils et onze autres de ses partisans ont été tués, et six policiers blessés" dans la fusillade, a expliqué sous couvert d'anonymat à l'AFP un responsable de la police impliqué dans l'opération.
Le chef du LeJ et ses deux fils avait été arrêté par la police le 25 juillet, a-t-il ajouté.
Mushtaq Rasoor, le médecin chef de l'hôpital public du district de Muzaffargarh, a confirmé à l'AFP avoir reçu 14 dépouilles à la suite de cet incident.
Le LeJ est l'un des groupes armés islamistes réputé les plus violents du Pakistan, "spécialisé" dans les attaques contre les minorité, notamment les chiites, qu'il accusé d'être des traîtres à l'islam radical qu'il prône.
Il a revendiqué plusieurs attentats sanglants contre les chiites ces dernières années, notamment contre la communauté ethnique hazara du Baloutchistan, un province du sud-ouest.
La mort de M. Ishaq intervient alors que le Pakistan a annoncé en fin d'année dernière, à la suite du massacre dans une école de Peshawar (nord-ouest) par un commando rebelles taliban, qu'il n'aurait plus aucune tolérance envers les groupes extrémistes armés.
Frappes turques contre la Syrie: Le Caire réagit..
Le ministère égyptien des AE a émis un communiqué où il dit suivre de près et avec inquiétude des évolutions dans le nord de la Syrie. les informations rapportées par les médias font état de la colère du Caire à la suite de l'intervention militaire de la Turquie contre le nord syrien. cette colère est aussi liée aux informations selon lesquelles la Turquie chercherait à créer une zone tampon dans le nord de la Syrie. selon le site Bawaba al Fajr, le communiqué du mardi de la diplomatie égyptienne est une réaction très claire contre l'offensive militaire turque en Syrie. le communiqué du ministère égyptien des AE ajoute : " la lutte contre les terroristes takfiris en Syrie devra respecter l'intégrité territoriale et la souveraineté syrienne. selon cette source, les Egyptiens seraient surtout en colère contre les Etats Unis qui ont annoncé soutenir les frappes anti syriennes de la Turquie alors que l'Egypte entretient des relations très orageuses avec la Turquie. l'Egypte se considère comme l'allié privilégié de Washington et s'attend à ce que ce dernier en tient compte plus sérieusement.
Syrie/Zabadani : les terroristes d’Al-Nosra décimés
Frustrés et vaincus, les terroristes du Front Al-Nosra sont priés, par leurs commandants, de quitter la ville syrienne de Zabadani.
Le centre du commandement du groupe terroriste Al-Nosra a ordonné à ses éléments armés de fuir Zabadani où ils ont subi des dégâts et des pertes considérables. A Zabadani, les terroristes d’Al-Nosra se sentent très frustrés et leurs rangs se sont effondrés. Un grand nombre d’éléments terroristes qui voulaient quitte cette ville syrienne, ont été arrêtés par l’armée. Par ailleurs, un certain nombre de membres du Front Al-Nosra, pour la plupart de nationalité syrienne, se sont mis à la table du dialogue avec l’armée syrienne en vue de se rendre ou de déposer leurs armes au contraire des ordres du commandant du Front Al-Nosra à Zabadani. Une vingtaine d’éléments terroristes ont été tués et blessés lors d’un assaut des militaires de l’armée syrienne contre Zabadani et celui des combattants de la Résistance contre les localités entourant les jardins de Baqine et de Madhaya, dans le sud de Zabadani.