تقي زاده

تقي زاده

Le Conseil des gardiens de la Constitution iranienne, un organe de surveillance des élections composé de 12 membres, a validé le résultat du second tour de l’élection présidentielle du 5 juillet, qui a conduit à la victoire de Massoud Pezeshkian.

« La validité du second tour de la 14e élection présidentielle a été confirmée par le Conseil des gardiens de la Constitution iranienne », a déclaré dimanche 7 juillet le porte-parole du conseil, Hadi Tahan Nazif.

Il a ajouté que le ministère iranien de l’Intérieur, chargé d’organiser les élections, a été officiellement informé de la validation.

Il a noté qu’aucun des deux candidats n’avait déposé de plainte ni signalé d’irrégularités au Conseil constitutionnel iranien. « Aucun rapport important n’a été transmis au Conseil des gardiens de la Constitution de la part des citoyens, pouvant potentiellement influencer le dénouement du scrutin », a-t-il expliqué.

Le chef d’état-major des forces armées iraniennes a exprimé la volonté des forces armées de coopérer avec le gouvernement du président élu Massoud Pezeshkian après sa victoire à la présidentielle.

Le général de division Mohammad Bagheri a adressé un message de félicitation ce dimanche 7 juillet à Massoud Pezeshkian, parlementaire chevronné et chirurgien à l’occasion de sa victoire au second tour de l’élection présidentielle, le 5 juillet.

Massoud Pezeshkian a recueilli plus de 16 millions de votes contre plus de 13 millions obtenus par son adversaire, Saïd Jalili, un ancien négociateur nucléaire, sur un total de plus de 30 millions de bulletins, avec un taux de participation de près de 50 %.

Le régime israélien poursuit ses attaques aériennes et d’artillerie sur la bande de Gaza assiégée alors que la guerre génocidaire menée par le régime sioniste contre le peuple palestinien entre dans son dixième mois.

Les forces du régime sioniste ont perpétré plusieurs massacres à travers la bande assiégée au cours des dernières 24 heures.

Selon le ministère de la Santé de Gaza, au moins 55 Palestiniens ont été tués et plus de 125 autres blessés dans des frappes au centre et au sud de Gaza.

Les affrontements et les attaques aériennes dans la bande de Gaza assiégée ont persisté avec une intensité dimanche 7 juillet, les médecins et les services d’urgence signalant encore plus de morts lors des frappes.

Dès 20h, heure locale, les médias français ont commencé à publier des estimations sur les résultats du second tour des élections législatives.

Entre autres, Le Figaro se réfère aux estimations de l’institut de sondage Ifop pour dire que le Nouveau Front populaire (NFP, coalition des principaux partis politiques de gauche) arrive en tête du second tour des élections législatives (180 à 215 sièges), devant Ensemble, mouvement pour une alternative de gauche, écologiste et solidaire (150 à 180) et le Rassemblement national (RN, extrême droite) (120 à 150), selon les estimations de l’Ifop. Les Républicains (LR) arrivent en quatrième position (60 à 65).

Le taux de participation au second tour des législatives atteignait 59,71% dimanche à 17 heures, du jamais vu depuis 1981, preuve de la mobilisation des Français pour ce scrutin historique dont on disait que le Rassemblement national pourrait sortir vainqueur, avec une grande incertitude sur sa capacité à obtenir la majorité absolue à l'Assemblée.

Toujours selon Le Figaro, la participation finale pourrait atteindre 67,5%, selon les estimations de l’institut de sondage Ifop, ce qui serait le taux le plus élevé depuis les dernières législatives anticipées en 1997.

Seyyed Abdelmalik Badr al-Din al-Houthi, le leader spirituel de la Révolution yéménite et du mouvement Ansarallah, a souligné ce dimanche 7 juillet dans son discours prononcé à l’occasion du début de la nouvelle année de l’Hégire lunaire que les opérations navales du Yémen sont devenues une source de surprise et de terreur pour les ennemis et a déclaré : « Avant les opérations de soutien à Gaza, les États-Unis pensaient à tort pouvoir les arrêter avec d’importantes quantités d’armement. »

Al-Houthi a déclaré : « Les équipes d’espionnage qui travaillent au profit des États-Unis au Yémen font partie du plan visant à promouvoir la corruption au Yémen. »

Le Hezbollah libanais a publié deux déclarations distinctes pour annoncer la frappe sur deux bases militaires du régime sioniste dans le nord de la Palestine occupée.

La Résistance libanaise a tiré plusieurs missiles en direction de la base aérienne de Meron dans le nord de la Palestine occupée.

Les missiles tirés par le Hezbollah libanais ont attaqué, ce dimanche 7 juillet dans l’après-midi, la base israélienne de Meron. Après l’attaque du Hezbollah, une épaisse fumée s’est élevée dans le ciel.

Les communiqués du Hezbollah précisent : « En soutien au peuple palestinien et à la Résistance dans la bande de Gaza et en réponse aux agressions et surtout à l'assassinat commis par l’ennemi sioniste dans la région de la Bekaa, les combattants de la Résistance islamique ont tiré des dizaines de roquettes de type Katioucha sur le quartier général de l’unité de surveillance des opérations aériennes directement sur la base de Meron dans la région de Jabal al-Maraq. »

Dans son premier discours public, le président élu s'est engagé à tenir les promesses données au cours de sa campagne électorale.

Le président élu iranien, Massoud Pezeshkian, a prononcé son premier discours public depuis sa victoire au second tour des présidentielles, s'engageant à tenir ses promesses électorales.

Il a fait ces remarques en s'adressant samedi 6 juillet aux membres de sa campagne électorale et au grand public au mausolée du défunt fondateur de la République islamique d’Iran, l'imam Khomeini (Que sa demeure soit au paradis) à Téhéran.

« Je n’ai fait aucune fausse promesse lors de la récente élection. Je n’ai rien dit que je ne puisse accomplir plus tard et qui devienne au final un mensonge», a déclaré Pezeshkian.

Pezeshkian a été déclaré vainqueur du second tour du scrutin présidentiel plus tôt dans la journée, face à son rival Saïd Jalili, l'ancien négociateur du nucléaire iranien.

Les Français sont appelés ce dimanche 7 juillet aux urnes pour des élections législatives historiques dont l'issue, incertaine, changera durablement le paysage politique de ce pays d’Europe.

Après les Français de l'étranger et de l'Outre-mer, les électeurs métropolitains sont appelés aux urnes, ce dimanche 7 juillet 2024, pour le second tour des élections législatives anticipées, dont le résultat final aura un impact inaliénable sur l’avenir politique de l’Hexagone. La composition de la future Assemblée nationale et la constitution d'un nouveau gouvernement s'annoncent ainsi incertaines.

1 094 candidats sont en lice pour le second tour des élections législatives en France, dans 501 des 577 circonscriptions, après 76 élections au premier tour.  

Après le succès sans précédent du parti « Rassemblement National (RN) » au premier tour des élections législatives, 224 désistements, dont 134 provenant de la gauche et 82 du camp présidentiel et du centre, visent à bloquer l'extrême droite au second tour des élections. 

Les services de renseignement iraniens ont arrêté un groupe de terroristes qui étaient impliqués dans une attaque contre un véhicule transportant des urnes pour l'élection présidentielle dans la province du Sistan-et-Baloutchistan, dans le sud-est du pays ; l’attaque ayant tué deux soldats.

La direction générale du renseignement provincial a annoncé ce dimanche 7 juillet dans un communiqué que l'attaque visait le véhicule alors qu'il transportait les urnes hors d'un bureau de vote dans le district rural de Jakigur, dans le comté de Rask, le 29 juin.

Selon le communiqué, les forces du renseignement iranien ont lancé peu de temps après une opération tous azimuts pour identifier les terroristes à l'intérieur et à l'extérieur du pays.

Les forces du renseignement ont pu localiser des cachettes dans différentes parties de la province du Sistan-et-Baloutchistan à la suite de plusieurs opérations complexes menées sur différents fronts.

La dernière opération a été menée vers 4 heures du matin, heure locale (00h30 GMT), le 5 juillet, à la suite de laquelle les huit éléments à l'origine de l'attaque terroriste du 29 juin ont été capturés.

Le mouvement de la Résistance islamique de la Palestine, Hamas, a condamné l'attaque meurtrière israélienne contre une école affiliée à l'UNRWA dans le centre de Gaza, qualifiant de « purs mensonges et tromperies » les allégations d'Israël qui prétend que des combattants de la Résistance étaient présents dans le bâtiment.

Samedi dans un communiqué, le Hamas a parlé d’« horrible massacre » en évoquant la frappe aérienne israélienne sur l'école al-Jaouni : une école gérée par l'ONU qui abritait 7 000 personnes déplacées dans le camp de réfugiés de Nuseirat. Bilan : 16 Palestiniens ont été tués et de nombreux autres blessés.

Le communiqué du Hamas intervient après que les forces israéliennes ont prétendu que l'école gérée par l'UNRWA était utilisée par les combattants du Hamas comme un centre de commandement.