
تقي زاده
Hezbollah enterre les F-16 d'Israël!
Ce n’était guère de simples « Grad 122mm » comme aime à le répéter à satiété depuis 24 heures une presse sioniste en écho à un état-major israélien sous le choc que le Hezbollah a tirés en plein jour de vendredi 6 août, sous l’œil impuissant des centaines de satellites, de radar et de drones de surveillance truffant le « front Nord » et qui,
comme des « taupes » ainsi que cela a été prouvé au monde entier au mois de mai quand la DCA israélienne a été mise KO par les missiles et roquettes de Gaza, ne voient jamais rien venir à moins que l’engin frôle presque leur radars et encore !
Cette salve composée de « dizaines de roquettes » que la Résistance a voulu être « précis » mais « non létale » puisque la « riposte-éclair » à la vraie fausse démonstration de force « aérienne » de Bennett, la veille jeudi quand il a lancé ses avions frapper les terrains vagues et les broussailles du sud du Liban n’en demandait pas autant, a demandé, mine de rien, un appui militaire direct des USA. C’est dire que les roquettes du Hezbollah que ses deux unités balistiques baptisées du nom de deux de ses combattants libanais tués dans des raids israéliens contre la Syrie, à savoir Kamal Mohsen et Mohammed Tahan, opèrent désormais à l’échelle de tout le Moyen-Orient, non plus seulement contre Israël mais aussi contre les USA même quand elles ne frappent que les fermes occupées de Chebaa.
DEBKAfile, site du renseignement de l’armée sioniste, reconnaît d’ailleurs que pour contrer les « 20 roquettes » tirées d’al-Aqroub, zone bombardée le 5 août par des F-16 israéliens, (chapeau à l’exactitude du Hezbollah à appliquer sa règle d’engagement « œil pour œil » « dent pour dent », NDLR), les Patriot ont aussi été de la partie. Le site écrit : « Le Hezbollah... a lancé 19 roquettes depuis le Liban contre des centres de Haute Galilée et des postes de Tsahal sur le mont. Hermon, attirant des frappes aériennes de représailles de Tsahal contre « les sources de lancement des roquettes ». Les batteries de défense Iron Dôme et Patriot ont abattu 10 des roquettes entrantes, 6 ont explosé en terrain découvert et trois ont atterri court du côté libanais de la frontière… ».
En se fiant à DEBKA qui pour autant, ne fait que falsifier les facts pour déguiser les revers, Dôme de fer et Patriot réunies, soit le nec plus ultra de la DCA anti Résistance n’ont pu intercepter que 50 des engins tirés et encore l’armée israélienne, appuyée directement par le CentCom dont le siège se trouve depuis peu à la base militaire israélienne de Palmachim, près de Tel Aviv ont été en état d’alerte maximal. Aussi quand ce même DEBKA évoque que « les 6 roquettes ont explosé en terrain découvert et trois ont atterri court du côté libanais de la frontière.
Aucun dégât ni victime n'a été signalé dans l'immédiat. Il convient de ne pas trop le prendre à la lettre car les roquettes hezbollahi du type visiblement Arash-4, les mêmes qui sont sur le point de chasser l’US Army d’Ain al-Asad, de Harir voire même de Victory a Bagdad, auraient pu s’abattre directement sur « Handuf », cette base en haute Galilée que les engins ont frôlés sans vouloir pour autant la toucher et là un taux de 50% d’erreur d’interception et de destruction, signifie au moins des dizaines de soldats morts. D’ailleurs les militaires sionistes basés à « Handuf » l’ont bien senti et pressenti, à l’image de ces GI’s de Ain al-Assad visé en 2020, eux qui sur les images vidéo publiées depuis quelques heures, courent dans tous les sens se mettre à l’abri, en actionnant la batterie de Dôme de fer en qui ils n’ont aucune confiance.
Mais le méga ratage de l’armée US-Israël que représente le Gantz-McKenzie, n’en est pas resté là ce vendredi : car voyez vous, ce « Handuf » se trouve à 26 kilomètres de Haïfa, soit à un vol d’oiseaux de ces réservoirs d’ammoniac bêtement érigées aux côtés des complexes pétroliers et pétrochimiques que Nasrallah avait qualifiés en son temps de « bombes nucléaires » de la Résistance et que ce vendredi, suivant ce modus operandi qui a merveilleusement fonctionné en mai à Gaza et qui a consisté à se servir de « roquette » pour « sauter les radars de la DCA » puis tirer des « missiles tactiques en direction des cibles sensibles » et Dieu sait que Gaza a eu ainsi la peau de pipelines, de réservoirs, de bases aériennes, de ports et d’aéroports israéliens, Handuf aurait pu ne pas être que la « cible annexe », la vraie cible des missiles tactiques du Hezbollah ayant été Haïfa.
Haïfa voire même le fameux Léviathan quand on sait qu’en mai, en ce fatidique mai dont les leçons ne semblent pas avoir été bien tirées par le camp des perdants de plus de 4 décennies de lutte anti sioniste de la Résistance, le site offshore « Tamer », avec ses prolongations à Ashkelon ont été visés non seulement par des « missiles anti navire » mais encore par cet espace d’arme fatale qu’Israël a découverte à sa grande surprise et qui est un drone sous-marin ou un véhicule sous-marin autonome transportant 50 kg d’explosifs et qu’à tout ceci, le Hezbollah avait porté sa contribution.
Or cette contribution s’est aussi manifestée ce vendredi du côté de la Syrie car DEBKA ne le reconnaît qu’à demi-mot mais à vrai dire, l’offensive du 6 août aurait inclut deux attaques parfaitement synchrones qui sont partie du sud du Liban et du sud de la Syrie d’où ces sirènes d’alarme déclenchés en même temps en Galilée et dans le Golan occupé. Le site sioniste n’ose pas le reconnaître mais il se pourrait bien que les roquettes Arash-4 du Hezbollah, de 45 à 67 kg avec une portée de 18 à 40 kilomètres et qui tout compte fait, n’ont de roquette que le nom puisque doté d’ailes pliables, de dispositif de correction de tir et dans certaines de leurs versions, de « dispositif optique, thermique et contrôle du feu », ait pu avoir bénéficié de l’appui des systèmes de brouillage de l’armée syrienne comme il en été ainsi à Gaza.
Ainsi le « Grad 122 mm » que la presse sioniste désigne comme étant « l’arme » qui a mis en l’espèce de quelques minutes sens dessus dessous Ie front Nord israélien, au point de pousser le bluffeur Gantz à appeler le chef du Pentagone Austin au secours et à lui demander de s’entremettre entre Israël et le Hezbollah (!) pour éviter une « escalade » mortelle que le couple « CentCom/Tsahal » ne saurait contrer, vu son « caractère parfaitement transrégionale, porte la signature de tout axe de la Résistance, Syrie, le Liban, Gaza compris, avec en amont une nouvelle défaite, après celle du mois de mai, de la composante aérienne US-Israël-OTAN qui pour toute réponse à la frappe de vendredi 6 août, n’a procédé que timidement et peureusement, à quelques tirs d’obus de mortier insignifiants contre le sud Liban.
Depuis que l’axe de la Résistance a décidé de donner une dimension « aéronavale » à chaque frappe d’Israël contre la Syrie, et de traquer et de punir « l’armée de l’air sioniste », dans les eaux de la région, chaque « preuve de force » de cette « composante aérienne » est devenue un auto-déni. Aussi, au triple tir de roquette du mercredi des Palestiniens du Liban qui n’aura été qu’un royal piège tendu par le Hezbollah à Israël, l’entité et les Yankee n’auraient jamais dû répondre par des frappes aériennes. La retenue leur aurait au moins d’avoir à prouver, malgré eux, que des milliards de dollars investis dans des F-16, des F-15, des F-35 et des F-22, Patriot, Arrow… ne valent même une salve de 20 roquettes d’Arash-4 !
Mais à Tel-Aviv comme à Washington, l’illusion de « suprématie aérienne », de « superpuissance des cieux », a la vie dure, ou dit autrement, le camp US-Israël n’a rien d’autre que ces « dindes volantes » à brandir contre les roquettes, les missiles, les drones aériens et navals de la Résistance. Et dire que ce vendredi, le Hezbollah s’est bien gardé d’aller plus loin jusqu’à Haïfa ou activer ses capacités navales. Il s’est dit sans doute que le golfe Persique, la mer d’Oman et l’océan Indien seraient un meilleur endroit pour une démonstration de force anti Israël dans la mesure où le ciel de la Syrie y a été lié et que celui du sud Liban voire même de Gaza pourraient l’être aussi…Attendons et voire la suite puisque le Hezbollah a tenu cette fois à revendiquer le coup et qu’il semble qu’il envoie là un nouveau signal…
La Résistance irakienne met en garde Israël
le mouvement al-Nujaba a déclaré que le groupe de Résistance irakien était prêt à faire partie de « l’équation de dissuasion » annoncée par le secrétaire général du Hezbollah.
« La riposte bien calculée du Hezbollah promet la fin imminente de l’approche de l’occupation et de la violation », a annoncé al-Nujaba irakien dans un communiqué.
« Nous, à al-Nujaba, nous sommes prêts à rejoindre cette "équations de dissuasion" dont a parlé Seyyed Hassan Nasrallah », ajoute-t-il.
Dans la foulée, le quotidien israélien Haaretz a qualifié d’« exceptionnelle » l’attaque à la roquette de vendredi matin de la Résistance contre les territoires occupés. « Ni les Israéliens ni Tel-Aviv ne cherchent la guerre », indique le journal.
Les médias israéliens avaient auparavant rapporté que les estimations de l’armée laissaient prévoir que le Hezbollah ne riposterait pas aux frappes aériennes d’Israël.
Les mêmes médias ont reconnu après que ces estimations étaient « fausses » et que cette attaque constituait une « évolution dangereuse » pour Israël.
Dans ce droit fil, le ministre israélien des Affaires militaires, Benny Gantz, a demandé au chef du Pentagone d’exhorter le gouvernement libanais à mettre fin aux tirs de roquettes depuis le sud du Liban.
Lors d’une conversation téléphonique, Benny Gantz a déclaré qu’Israël attendait une intervention américaine concernant le cessez-le-feu au Liban.
« Nous continuons d’agir contre le Hezbollah pour protéger les Israéliens », a-t-il souligné.
Benny Gantz a également demandé à Lloyd Austin de multiplier les démarches anti-iraniennes et de contrecarrer les agissements de la République islamique d’Iran en Asie de l’Ouest.
Il est à rappeler que le Hezbollah a lancé vendredi 6 août des attaques à la roquette contre les positions israéliennes. Il a ensuite publié un communiqué faisant part du tir de dizaines de roquettes vers les zones à proximité d’une base militaire du régime sioniste dans les fermes de Chebaa.
Le communiqué, publié par la chaîne Al-Manar, indique qu'« en riposte aux frappes aériennes israéliennes menées dans la nuit de jeudi à vendredi contre des zones ouvertes dans les régions d'al-Jormaq et d'al-Shawakir, les groupes Ali Kamel Mohsen et Mohammed Qassem Tahhan, affiliés à la Résistance, ont bombardé vendredi 6 août à 11h15 (heure locale) des zones près des positions de l’armée de l’occupation israélienne dans les hameaux de Chebaa avec des dizaines de roquettes 122 mm ».
Liban: fin de l'impunité israélienne
Une base militaire israélienne, située au niveau des territoires occupés des fermes de Chebaa, a été frappée par un essaim de roquettes.
Dans un communiqué, publié par le site web d’al-Ahed, le Hezbollah a écrit : « En riposte aux frappes aériennes israéliennes menées dans la nuit de jeudi à vendredi contre des zones ouvertes dans les régions d'al-Jormaq et d'al-Shawakir, les groupes Ali Kamel Mohsen et Mohammed Qassem Tahhan, affiliés à la Résistance, ont bombardé vendredi 6 août à 11H15 (heure locale) des zones près des positions de l’armée de l’occupation israélienne. »Comment évaluez-vous cette redoutable riposte de la Résistance libanaise ?
Ghada Houbballah, géopoliticienne à l'Université islamique du Liban nous répond.
Israël : « Hezbollah nous a choqué »
Selon Al-Manar, le média israélien, Israel Hayom a rapporté : « Une fois de plus, les services de sécurité israéliens se sont trompés dans leurs estimations ; en effet, ils avaient estimé mardi que le Hezbollah ne réagirait pas à l'attaque israélienne contre le Liban. Comme ils avaient prédit que le Hamas ne réagirait pas aux événements de la mosquée Al-Aqsa. »
L'analyste israélien Tal Ram a déclaré que la réponse du Hezbollah a été une énorme surprise pour les services de sécurité israéliens qui ne s’attendaient pas à une réponse de la part du Hezbollah à la frappe aérienne israélienne contre le Liban.
Les médias sionistes ont également rapporté que la réponse du Hezbollah était en grande partie surprenante pour les établissements de la sécurité israélienne.
« Le succès du Hezbollah à tirer des roquettes sur le nord d'Israël sans que les autorités du régime obtiennent la moindre information est un échec majeur qui devrait faire l'objet d'une enquête », a déclaré le correspondant de Haaretz.
Les médias israéliens ont fait part de la crainte du Premier ministre israélien, Naftali Bennett d'entrer dans une confrontation directe avec le Hezbollah et du renversement de son cabinet.
Selon Al-Mayadeen, l'armée sioniste a déclaré : « Ce n'est pas dans notre intérêt d'affronter et de faire la guerre, et nous essaierons de ne pas faire du Liban une ligne de conflit. »
D’autre part, les médias israéliens citant un responsable de la sécurité du régime sioniste ont annoncé que l'armée de ce régime menait depuis quelques jours, des attaques au Liban, ce qui ne s'était pas produit depuis plusieurs années.
Le responsable sioniste a déclaré que les établissements de sécurité du régime recherchaient des options de réponse supplémentaires en fonction de l'évolution de la situation sécuritaire et que la poursuite de l'opération dépendait des besoins d’Israël.
Il est à rappeler que le Hezbollah libanais a lancé aujourd'hui des attaques à la roquette contre Israël. La Résistance libanaise a publié un communiqué annonçant qu'à 11h15 (heure locale) aujourd'hui (vendredi), des dizaines de roquettes avaient été tirées contre les zones à proximité des bases du régime sioniste dans les fermes de Chebaa.
Selon la chaîne Al-Manar, le communiqué indique : « En riposte aux frappes aériennes israéliennes menées dans la nuit de jeudi à vendredi contre des zones ouvertes dans les régions d'al-Jormaq et d'al-Shawakir, les groupes Ali Kamel Mohsen et Mohammed Qassem Tahhan, affiliés à la Résistance, ont bombardé vendredi 6 août à 11H15 (heure locale) des zones près des positions de l’armée de l’occupation israélienne dans les hameaux de Chebaa par des dizaines de roquettes 122mm. »
Méga pari "iranien" de Pékin
La Chine félicite le nouveau président iranien Ebrahim Raïssi, a déclaré vendredi une porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.
La porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Hua Chunying, a déclaré que « la Chine est convaincue que l'Iran réalisera de plus grands progrès dans l'édification de la nation et le développement socio-économique sous la direction du président Ebrahim Raïssi ».
Notant que la Chine et l'Iran sont des partenaires stratégiques globaux, Hua a déclaré que la Chine attachait une grande importance au développement des relations bilatérales et se tenait prête à travailler avec l'Iran pour saisir l'occasion du 50e anniversaire de l'établissement des relations diplomatiques cette année pour élever les relations bilatérales à un nouveau niveau, a déclaré Hua.
Cela intervient alors que le Wall Street Journal a souligné que « la Chine constitue l’obstacle majeur au plan de Trump visant à réduire les exportations de pétrole de l'Iran ».
Selon le Wall Street Journal, l'achat du surplus de pétrole iranien a en effet compensé l'impact économique des sanctions américaines et rapproché Téhéran de Pékin, qui est actuellement en guerre commerciale avec les États-Unis.
En mai 2018, l’ex-président américain Donald Trump a retiré son pays du Plan global d’action conjoint (PGAC) et a annoncé qu'il rétablirait les sanctions contre l'Iran.
La Chine a donné un rôle central à l’Iran dans la conception de son initiative « Une ceinture, une route » et investit massivement dans ses infrastructures, telles que les chemins de fer et les routes.
La Chine est également depuis longtemps le plus grand partenaire commercial de l'Iran. Le premier voyage à l'étranger du ministre iranien des Affaires étrangères M. Zarif a eu lieu en Chine après que Trump a annoncé qu'il imposerait à nouveau des sanctions à l'Iran.
Fujaïrah: vraie attaque ou false flag d'Israël?
Une opération fausse bannière signée Israël pour déclencher la « grande guerre » dans le golfe Persique ? Le porte-parole de la Diplomatie iranienne a lancé une sérieuse mise en garde contre les « accidents sécuritaires consécutifs » en mer d'Oman et avertit contre toute « campagne de désinformation tout autour ».
Un ou quatre navires, selon deux versions différentes diffusées par les médias occidentaux, auraient été visés au large des Émirats à Fujaïrah et non loin d'Oman en mer d'Oman.
Il s'agit d'informations parfaitement douteuses faisant état d'incidents sécuritaires en cascade, ayant visé les navires dans le golfe Persique et en mer d'Oman. Que les parties prennent garde et évitent surtout tout instrumentalisation à des fins politiques.
Mission des terroristes de Deraa ? Empecher le commerce Syrie-Jordanie
Un cessez-le-feu qui ne cesse d’être violé par les terroristes a finalement poussé Damas à lancer une opération d’envergure pour sécuriser les quatre coins de la province de Deraa, dans le sud du pays, ce qui coupera à jamais les mains aux Israéliens.
Fin 2018, l’armée syrienne et les combattants de la Résistance ont nettoyé 90 % de la superficie des provinces de Deraa et de Quneitra de la présence des terroristes qui ont été obligés de rendre leurs armes.
Dans le cadre d’un accord de cessez-le-feu, qui a été conclu grâce à une médiation active de la Russie, un grand nombre de groupes terroristes a évacué la ville de Deraa et ses banlieues pour aller s’installer à Idlib.
Exercice de DCA conjoint: les USA se moquent de MBS
Les multiples raids aériens de l’armée yéménite et du mouvement Ansarallah contre les bases et les aéroports militaires aux profondeurs du territoire saoudien auraient conduit le royaume à préparer un exercice conjoint avec les États-Unis en impliquant sa défense antiaérienne. Un geste probablement pour faire oublier le scandale d’inefficacité des batteries de Patriot face aux missiles et drones yéménites. Or, que ce soit à l’intérieur de l’Arabie saoudite ou sur les champs de bataille au Yémen, les aéronefs de la coalition ne sont pas à l’abri, le cas le plus récent en date étant un drone saoudien frappé à Hudaydah. De plus grandes surprises se font attendre d’après le ministre yéménite de la Défense.
Les États-Unis et l’Arabie Saoudite prévoient de lancer un exercice conjoint de défense antimissile, dont « l’objectif est de le maintien de la sécurité et la stabilité dans la région ».
Selon l’agence de presse de l’Arabie saoudite (SPA), la conférence de planification d’exercices conjoints de défense aérienne et antimissile a commencé jeudi dernier au centre des opérations de l’armée de l’air à la base aérienne King Salman à Riyad par l’armée de l’air, les forces de défense aérienne de l’Arabie saoudite et l’US Air Force.
«Mais laissons tomber cette histoire ; les morts ne sont pas israéliens»
Cinq jours après l’attaque contre le pétrolier Mercer Street dans les eaux de la mer d’Oman qui aurait pu prendre l’ampleur d’une véritable confrontation Israël-Résistance, les premiers signes de reculade de Tel-Aviv se manifestent. Le journal Maariv appelle à freiner la « frénésie médiatique » autour de cette frappe, en indiquant qu’un « propriétaire israélien » ne fait pas de Mercer Street un « navire israélien » ; tandis que le Premier ministre Bennett reproche à son prédécesseur Netanyahu de lui avoir laissé un héritage empoisonné, avec un recours excessif à la politique de provocation envers les pays dont et surtout l’Iran qui, d’ailleurs, a su continuer ses progrès militaires. L’on ne peut ne pas y voir un aveu d’échec et une allusion à la guerre des Onze jours de Gaza, au cours de laquelle l’incapacité de l’armée israélienne de gérer une guerre « multi-front » a été prouvée de la manière la plus concrète.
Le Premier ministre israélien réaffirme que les politiques de Benjamin Netanyahu avaient laissé la Résistance stocker des roquettes capables d’atteindre n’importe quelle partie des territoires occupés par Israël.
Base US à al-Omar à nouveau frappée; la 1ère semaine d'août ressemblera à la première semaine de juillet?
À Deraa, les USA tentent en effet d'éviter le naufrage : depuis que le dernier raid israélo-américain depuis le ciel d'al-Tanf le 26 juillet où se trouve plus un milliers de forces spéciale US à guider, Patriot, radars, autres munitions à l'appui, les pas tâtonnant d'une entité sioniste dont les capacités aériennes, les seules qui soient encore représentables, a tourné au fiasco, l'Amérique fait tout pour que cet épouvantail désormais en totale phase de dégonflage ne perde pas au moins le tout de son vrai faux superbe. Car tout effondrement signifie a peu près la fin de l'emprise US sur le Moyen-Orient. Déjà que les USA ont les mains ligotées en Irak et que la Syrie devient un Irak bis pour leurs troupes US! Au fait, si le duo Biden-Austin a décidé de retirer ses forces d'Afghanistan, de fermer ses méga bases au Qatar, de mettre les verrou sur quelques unes de leurs petites bases au Koweït, où la Résistance irakienne a déjà mené plusieurs opérations anti US avec en toile de fond la mort des soldats américains un peu comme au Qatar où l'un des hauts commandants de l'US Air force a trouvé la mort assez récemment dans un hôtel de Doha, c'est qu'il y a quelque chose de très mauvais qui s'est produit de façon irréversible en Asie de l'ouest et qui a épuisé non seulement la toute puissance militaire US mais encore celle de son rejeton sioniste.