تقي زاده

تقي زاده

La place particulière qu'al-Husayn occupait dans le cœur du Prophète(psl)  et des Musulmans, le sacrifice inégalable qu'il a consenti pour défendre la cause sublime à laquelle il s'est identifié, les pratiques odieuses et la répression sanguinaire des autorités illégitimes qu'il a combattues, tous ces facteurs ont fait du soulèvement du petit-fils du Messager de Dieu, le symbole de la résistance à tous les pouvoirs tyranniques et déviationnistes, et l'inspirateur de maintes révoltes.
 
l'imam Hussein (as) avait trois objectifs principaux pour son soulèvement :
1-Réformer les affaires des musulmans, 2-ordonner le bien et interdire le mal, et 3-revitaliser la tradition de son grand-père, l'envoyé de Dieu (pslf), et de son père, l'imam Ali (as).
On peut en conclure que l'objectif principal de l'imam Hussein (as) a été la réforme des affaires de la communauté islamique qui avait oublié la tradition du prophète Muhammad (pslf) et qui faisait fausse route dans les différents domaines culturel, social, éthique, politique, et économique.
L’imam Hussein (as) voulait faire ce travail important en ordonnant le bien et interdisant le mal.
En conséquence, on peut dire que le mouvement de l'imam Hussein (as) était une sorte de protestation et de réforme, qui a été faite en forme de l’ordonnance du bien et l’interdiction du mal dans divers niveaux et étapes, en fonction du temps et du lieu et selon les exigences du devoir.

Au moins deux avions de combat F-16 de l’armée de l’air turque et un avion de transport turc CN235 sont présents à l’aéroport de Ganja en Azerbaïdjan, mettant largement en cause la véracité des allégations d’Ankara qui rejette les accusations d’ingérence dans les conflits entre l’Azerbaïdjan et l’Arménie.

Avec l’amélioration des conditions météorologiques, la fin du ciel nuageux et pluvieux de la nuit dernière, les drones de reconnaissance turcs et leurs modèles kamikazes au service de l’armée de la République d’Azerbaïdjan ont repris leurs opérations au-dessus des zones de conflit, a rapporté ce jeudi Mashregh News.

Grâce au soutien aérien des drones turcs, les forces terrestres de la République d’Azerbaïdjan ont aujourd’hui réussi à avancer sur le front sud du Haut-Karabakh, tandis que l’armée arménienne a vécu son jour le plus meurtrier depuis le début du conflit. 

Après une absence de 48 heures due aux mauvaises conditions météorologiques, les drones armés azerbaïdjanais se sont remis à la chasse au matériel militaire de l’armée arménienne, trois chars T72, un obusier Akatsiya 2S3 et 33 camions militaires de différents types ayant été détruits ou saisis lors des frappes aériennes, a détaillé le rapport de Mashregh News.

La nouvelle intervient alors que les autorités turques avaient auparavant fermement nié la présence des avions de combat turcs sur le territoire azerbaïdjanais, mais aussi toute ingérence d’Ankara dans le champ de bataille opposant les deux pays.

Une députée arménienne a annulé son adhésion au Groupe d’amitié Arménie-Israël, signe de contestation contre la vente d’armes par Tel-Aviv à la République d’Azerbaïdjan.

Ayant annulé son adhésion au Groupe d’amitié Arménie-Israël, Christine Bogossian, députée au Parlement arménien, a jugé inacceptables les politiques de Tel-Aviv.

Ce jeudi 8 octobre, le navire de guerre « Doha » de fabrication turque a été livré au Qatar en présence du ministre qatari de la Défense, Khaled al- Attiyah, et de son homologue turc, Hulusi Akar, au port d’Istanbul.

« Ce navire est destiné aux entraînements, aux patrouilles et aux opérations logistiques. Il est l’un des deux navires dont le contrat a été signé en 2018 entre le Qatar et la Turquie », a annoncé Attiyah.

Ce navire est long de 189 mètres. La Turquie n’a pas donné plus de détails sur ce navire. Le deuxième navire devrait être livré en 2021.

La marine qatarie avait commandé à l’entreprise turque Anadolu Shipyard la construction de deux navires d’entraînement. « Tous ces deux navires ont une plate-forme d’atterrissage d’hélicoptère de moyenne envergure qui seront utilisés pour des patrouilles maritimes », a annoncé la compagnie.

Le Pentagone s’apprête à faire face à toute éventuelle agitation civile après les résultats de la présidentielle américaine du novembre 2020.

À la suite de violentes manifestations à travers les États-Unis cet été, la Garde nationale américaine a mis des unités de police militaire en état d’alerte dans deux États. Et ce, pour faire face à toute éventuelle agitation civile qui suivrait la présidentielle américaine du novembre 2020, ont confirmé mercredi 7 octobre, des responsables du Pentagone.

Les deux unités totalisent 600 soldats, répartis entre l’Alabama et l’Arizona. Un porte-parole du Bureau de la Garde nationale a déclaré que les unités « seront prêtes à être déployées en 24 heures si le gouverneur d’un autre État le demande ».

« Les forces de l’Alabama réagiraient aux agitations dans la moitié est du pays, et celles de l’Arizona répondraient à celles produites dans l’ouest », a déclaré le porte-parole.

De plus, la Garde nationale a fait l’acquisition de nouveaux équipements de protection au prix de 200 000 dollars et « a intensifié la formation des troupes sur les procédures appropriées pour faire face aux manifestations », a déclaré le porte-parole de Garde nationale.

« Notre objectif est de protéger les personnes et les biens dans les communautés où nous vivons et servons. Ce groupe de travail nous permettra de le faire avec plus de rapidité et d’efficacité », a déclaré le général Daniel Hokanson, chef de l’armée du Bureau de la Garde nationale, dans un communiqué.

À noter que l’Associated Press a été le premier à avoir révélé le déploiement des deux unités par la Garde nationale américaine.

 

Washington s’inquiète d’un probable test des missiles balistiques lancés par sous-marins (SLBM) en Corée du Nord. Ce test pourrait certes marquer la fin de négociations sur la dénucléarisation de la péninsule de Corée, une carte quasi perdue du candidat Trump, mais il y a plus. Les Nord-Coréens ont exprimé il y a peu leurs intérêts pour le projet Jask-2 iranien, un missile de croisière tiré en immersion à partir du sous-marin furtif iranien Ghadir. Quant aux Iraniens, ils travailleraient toujours selon les USA, sur un projet d’ICBM dont le satellite militaire Nour-1 serait le signe. Et si Pyongyang finissait par conjuguer ses efforts aux efforts iraniens et que cette conjugaison naissait un ICBM sous-marin iranien ? 

L’acquisition par la Corée du Nord de capacités de missiles balistiques lancés par sous-marins (SLBM) compliquera de plus en plus les efforts internationaux pour dénucléariser la Corée du Nord. C’est ce qu’a prétendu un ancien responsable de la Défense américaine. Il a souligné la nécessité d’aborder la question dans les futures négociations visant à dénucléariser de ce pays de la Péninsule de Corée.

L’ancien secrétaire adjoint à l’assistance à la défense pour les affaires Asie et Pacifique, Peter Brookes, affirme que le sous-marin de missiles balistiques (SSB) de la Corée du Nord pourrait également être bientôt construit.

 

Mercredi, 9 octobre le Parlement irakien a appelé la Diplomatie du pays à expliquer le plus tôt possible le sort de l’accord bilatéral Bagdad-Pékin. On s’interroge pourquoi un an après la signature de l’accord avec la Chine, la question revient au devant de la scène alors même que les USA se trouvent dans une situation peu enviable, déchiré entre l’envie folle de rester et une hostilité farouche d’une majorité d’Irakiens qui veulent voir le régime terroriste US et ses troupes quitter la Mésopotamie comme étant la principale source d’instabilité. La demande du Parlement d’un retour sur près de 2 milliards de dollars de contrats signés avec l’ex-gouvernement irakien, qui prévoient des investissements dans les secteurs stratégiques de l’énergie et du pétrole, du transport entre autres peut-il avoir partie liée avec l’accord stratégique que l’Iran veut pékinsigner avec ? Possible.  

Un membre de la commission des Affaires étrangères du Parlement irakien a déclaré que la commission avait demandé au ministre irakien des Affaires étrangères d’expliquer le sort des accords Pékin-Bagdad signés en 2018 lors d’un séjour de 5 jours de l’ex PM à Pékin. « Il y a quelques jours, la commission des affaires étrangères du Parlement irakien a accueilli le ministre des Affaires étrangères pour l’interroger sur le sort de ces accords », a déclaré Mokhtar al-Moussaoui, membre de la commission des Affaires étrangères du Parlement irakien, au site d’information Al Maaloumah. Et à Al-Moussaoui de continuer : « En réponse, le chef de la Diplomatie a appelé le Parlement à soulever la question par écrit pour qu’il puisse y répondre, en se rendant compte de toutes les dimensions possibles du sujet. Mais un certain temps a passé et le ministre des Affaires étrangères n’a envoyé aucune explication au comité sur l’accord précité ».

Le Parlementaire irakien a sommé par la suite Foad Hossein à expliquer l’avenir de l’accord bilatéral Irak-Chine, sinon, le parlement prendra une autre décision.

Le conflit du Haut-Karabagh trouve certes son origine dans la dissolution de l’URSS, mais il a été relancé par la volonté du président turc. Il est peu probable que celui-ci ait pris cette initiative sans en référer préalablement à Washington. C’est aussi ce qu’avait fait le président Saddam Hussein avant d’envahir le Koweït, tombant par ambition dans le piège qui lui était tendu et provoqua sa chute.

 
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Sur son compte Twitter le président Erdoğan a écrit le jour du début des hostilités : « - Au cours des appels téléphoniques que nous avons eu aujourd’hui, une position judicieuse et résolue, l’approche "une nation, deux États", témoigne une fois de plus, comme je l’ai mentionné à Ilham Aliyev, le président de l’Azerbaïdjan, que la Turquie continuera à renforcer sa coopération avec ses frères azerbaïdjanais. - Alors que nous invitons le peuple arménien à défendre son avenir contre sa domination et ceux qui l’utilisent comme une marionnette, nous appelons le monde entier à soutenir l’Azerbaïdjan dans sa lutte contre l’occupation et l’oppression. - La communauté internationale, qui n’a pas pu apporter une réponse nécessaire et suffisante à l’agression provocatrice de l’Arménie, montre une fois de plus son double jeu. Le trio de Minsk, qui a maintenu son attitude négligente pendant une trentaine d’années, est malheureusement très loin d’être orienté vers la solution. - En ajoutant une nouvelle attaque aux précédentes contre l’Azerbaïdjan, l’Arménie a une fois de plus montré qu’elle était la plus grande menace à la paix et à la tranquillité dans la région. La Nation turque soutient ses frères azerbaïdjanais avec tous ses moyens, comme toujours. »

Un conflit très ancien, gelé depuis 30 ans

Le peuple turc se définit comme issu des « enfants du loup des steppes », c’est-à-dire comme descendant des hordes de Gengis Khan. Il compose à la fois « un peuple et deux États » : la Turquie et l’Azerbaïdjan. La renaissance politique de la première engendre donc automatiquement l’arrivée de la seconde sur la scène internationale.

Bien sûr cette renaissance politique ne signifie pas une résurgence de la violence des hordes barbares, mais ce passé n’en a pas moins forgé les mentalités, malgré les efforts de nombreux politiciens qui, depuis un siècle, tentent de normaliser le peuple turc.

Dans les dernières années de l’époque ottomane, le sultan Habdulhamid II voulut unir le pays autour de sa conception de la foi musulmane. Il ordonna donc l’élimination physique de centaines de milliers de non-musulmans. Celle-ci fut encadrée par des officiers allemands qui acquirent lors de ce génocide une expérience qu’ils mirent ultérieurement au service de l’idéologie raciale nazie. La politique ottomane d’épuration fut poursuivie à plus grande échelle par les Jeunes Turcs au début de la République, particulièrement contre les orthodoxes arméniens [1].

Le meurtre étant une addiction, il ressurgit sporadiquement dans le comportement des armées turques. Ainsi, en mars 2014, celles-ci escortèrent des centaines de jihadistes du Front al-Nosra (Al-Qaïda) et de l’Armée de l’islam (pro-Saoudiens) jusqu’à la ville de Kessab (Syrie) pour y massacrer la population arménienne. Les jihadistes ayant participé à cette opération ont été aujourd’hui envoyés tuer d’autres Arméniens au Karabagh.

Ces massacres cessèrent en Azerbaïdjan durant la brève République démocratique (1918-20) et la période soviétique (1920-90), mais ils reprirent, en 1988, à la faveur de l’effondrement du pouvoir moscovite.

Précisément durant la période soviétique, conformément à la politique des nationalités de Joseph Staline, une région arménienne fut jointe à l’Azerbaïdjan pour former une République socialiste. Aussi lorsque l’URSS fut dissoute, la communauté internationale reconnut le Karabagh, non pas comme arménien, mais comme azéri. La même erreur a été commise dans la précipitation en Moldavie avec la Transnistrie, en Ukraine avec la Crimée, en Géorgie avec l’Ossétie du Sud et l’Abkhazie. Il s’ensuivit immédiatement une série de guerres dont celle du Haut-Karabagh. Il s’agit là de cas où le Droit international s’est développé à partir d’une erreur d’appréciation au début des conflits, comme en Palestine, qui n’a pas été rectifiée à temps, aboutissant à des situations inextricables.

Les Occidentaux s’interposèrent pour prévenir un embrasement général. Cependant l’exemple de la Transnistrie atteste que ce fut reculer pour mieux sauter : ainsi les États-Unis recoururent-ils à l’armée roumaine pour tenter d’anéantir la Pridnestrovie naissante [2].

L’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE, à l’époque CSCE) créa le « Groupe de Minsk », coprésidé par les États-Unis, la France et la Russie, pour trouver une solution, ce qu’il ne fit jamais : la Russie ne voulait pas choisir entre ses anciens associés, la France voulait jouer à l’importante et les États-Unis voulaient maintenir une zone de conflit à la frontière russe. Les autres conflits, créés lors de la dissolution de l’URSS, ont d’ailleurs été délibérément attisés par Washington et Londres avec l’agression de l’Ossétie-du-Sud par la Géorgie en 2008 ou le coup d’État de l’EuroMaïdan visant entre autres à expulser les Russes de Crimée, en 2014.

L’attaque de la République d’Artsakh (Karabagh) par l’Azerbaïdjan et la Turquie avait été justifiée par le discours du président azéri, Ilham Aliyev, lors de l’assemblée générale de l’Onu, le 24 septembre [3]. Son idée principale était que le Groupe de Minsk avait qualifié le statu quo d’inacceptable, mais que « Les déclarations ne sont pas assez. Nous avons besoin d’actions ». Il ne pouvait être plus clair.

Conformément à l’idéologie de sa famille, il chargeait au maximum ses adversaires, attribuant par exemple le massacre de Khojaly (1992, plus de 600 victimes) aux « terroristes arméniens » alors qu’il s’agissait d’une opération noire durant une tentative de coup d’État dans son pays ; en tous cas cela lui permit de présenter de manière biaisée les actions de l’ASALA (Armée secrète arménienne de libération de l’Arménie) dans les années 70-80. Il soulignait que 4 résolutions du Conseil de sécurité ordonnent le retrait des troupes arméniennes, jouant sur l’homonymie entre la population arménienne du Karabagh et l’État voisin de l’Arménie ; une manière comme une autre de passer sous silence que le Conseil enjoignait aussi l’Azerbaïjan d’organiser un référendum d’auto-détermination au Karabagh. Il accusait, non sans raisons, le nouveau Premier ministre arménien, Nikol Pashinyan, d’être un des hommes du spéculateur Gorge Soros, comme si cela effaçait ce qui avait précédé.

Le conflit ne pourra cesser qu’après un référendum d’auto-détermination dont l’issue fait peu de surprise. Pour le moment, il profite à ceux qui, comme Israël, vendent des armes à l’agresseur.

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Les armées turques, azéries et pakistanaises affichent leur unité face aux Arméniens

Pour Erdoğan, la guerre de trop ?

Ceci étant posé, analysons le conflit actuel sous un autre angle, celui des équilibres internationaux en conservant à l’esprit que l’armée turque est déjà illégalement présente à Chypre, en Iraq et en Syrie ; qu’elle viole l’embargo militaire en Libye et désormais le cessez-le-feu en Azerbaïdjan.

Bakou s’organise pour repousser encore l’inévitable échéance. L’Azerbaïdjan a déjà obtenu le soutien du Qatar qui supervise aussi sur ce terrain d’opération le financement des jihadistes. Selon nos informations, ils seraient au moins 580 à avoir été acheminés depuis Idleb (Syrie) par la Turquie. Cette guerre coûte cher et KKR, la puissante société de l’États-uno-Israélien Henry Kravis, semble impliquée comme elle l’est toujours en Iraq, en Syrie et en Libye. Comme lors de la déstabilisation de l’Afghanistan communiste, les armes israéliennes pourraient être acheminées via le Pakistan. En tous cas, en Turquie des affiches fleurissent plaçant côte à côte les drapeaux des trois pays.

Plus étonnant encore, le président Aliyev a reçu le soutien de son homologue biélorusse, Alexandre Loukachenko. Il est probable que celui-ci agit en accord avec le Kremlin, ce qui pourrait annoncer un soutien plus visible de la Russie à l’Arménie orthodoxe (la Russie, la Biélorussie et l’Arménie sont toutes trois membres de l’Union économique eurasiatique et de l’Organisation du traité de sécurité collective).

Étrangement, l’Iran chiite n’a pas pris position. Pourtant, bien qu’ethniquement turcs, les Azerbaïdjans sont le seul autre peuple chiite au monde car ils ont appartenu à l’empire Safavide. Le président Hassan Rohani l’avait inclus dans son projet de Fédération chiite présenté lors de sa seconde campagne électorale. Ce retrait donne l’impression que Téhéran ne souhaite pas entrer en conflit avec Moscou, officiellement neutre. D’autant que l’Arménie joue un rôle non-négligeable dans le contournement de l’embargo US face à l’Iran.

Côté arménien, la diaspora aux États-Unis procède à un intense lobbying au Congrès afin de rendre le président Erdoğan —dont le pays est pourtant membre de l’Otan— responsable du conflit devant un Tribunal international.

Dans le cas d’un accord tacite entre Moscou et Washington, cette guerre pourrait se retourner diplomatiquement contre président Erdoğan, désormais insupportable aux Deux Grands. Comme jadis le président iraquien Saddam Hussein qui passa brutalement du statut de valet du Pentagone à celui d’ennemi public n°1 lorsqu’il crut avoir l’autorisation d’envahir le Koweït, le président turc a peut-être été encouragé à la faute.

 

[1] « La Turquie d’aujourd’hui poursuit le génocide arménien », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 26 avril 2015.

[2] « En 1992, les États-Unis tentèrent d’écraser militairement la Transnistrie », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 17 juillet 2007.

[3] “Intervention by Ilham Aliyev the 75th meeting of the United Nations General Assembly”, by Ilham Aliyev, Voltaire Network, 24 September 2020.