تقي زاده

تقي زاده

Plusieurs pays dont l'Iran, la Russie, la Chine, la Syrie et la Palestine ont réagi au coup d’État manqué contre le Venezuela.

Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Bahram Qassemi a réagi à une tentative manquée de coup d'État au Venezuela au travers de laquelle ont été aperçues les mains de l'administration américaine. La diplomatie iranienne a par la voix de son porte-parole apporté son soutien aux gouvernants et à la nation vénézuéliens.

Qassemi a déclaré à cet égard :

« Lorsqu’il est question d’une ingérence étrangère dans les affaires intérieures du Venezuela ou d’un acte illégitime tel qu'une tentative ratée de putsch ou des actes hostiles visant le peuple d’un pays, l’Iran prend parti indubitablement pour le gouvernement et la nation de ce pays. »

Selon un journal israélien des drones ont survolé une base secrète de l'armée de l'air israélienne et ils en ont pris des images.

«De petits drones téléguidés ont récemment tourné des images d’une base de l'armée de l'air israélienne », a-t-on appris du journal Israel Hayom qui a ensuite poursuivi : « Il n’est pas toujours clair pour l'armée israélienne qui est responsable de ces survols et quels étaient ses objectifs ».

D’après l’expert iranien, Massoud Assadollahi, « la nouvelle tactique d’Israël consisterait à mener des attaques successives et intenses contre les bases et les unités de l’armée syrienne pour véhiculer un message à Damas : l’armée syrienne devra payer cher le maintien des conseillers militaires iraniens en Syrie. Mais est-ce le seul motif ? L'expert s'en explique.  

Massoud Assadollahi, expert iranien des questions politiques de l’Asie de l’Ouest et professeur d’université, a écrit dans une note que les récentes frappes aériennes de l’armée du régime sioniste contre la Syrie prenaient pour cibles des bases radar, des sites balistiques, la DCA et des dépôts d’armements de l’armée syrienne. Selon M. Assadollahi, toutes les victimes de ces agressions israéliennes étaient membres des forces armées syriennes. Et pourtant les autorités israéliennes prétendent qu’elles ont visé des sites ou des membres iraniens du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI). Comment expliquer ce paradoxe?, s’interroge l’expert.

Depuis deux ans, l’armée israélienne a mené de nombreuses attaques contre le territoire syrien, en prétendant systématiquement d’avoir visé des « cibles iraniennes ». Pendant ce temps, Damas a toujours annoncé que les conseillers militaires iraniens sont présents en Syrie à la demande du gouvernement légal syrien et qu’ils y resteront tant que Damas le souhaiterait.

Au terme de quatre heures d’intenses combats, les forces de l'armée syrienne ont réussi à repousser jeudi 24 janvier des attaques terroristes contre la périphérie de l’aéroport d’Abu al-Duhur et la cité éponyme.

Environ 400 terroristes d’origines différentes affiliés au groupe terroriste de Hayat Tahrir al-Cham (ex-Front al-Nosra) et des alliés étrangers placés sous leur commandement, notamment le groupe Haras-al-Din, ont attaqué, jeudi 24 janvier, dans la matinée, les positions de l'armée syrienne dans l’est de la province d'Idlib.

Sous peine de perdre le contrôle de la situation au moment où il n’y a aucune probabilité de retrait des Gilets jaunes face au gouvernement français, le ministère de l'Intérieur aurait pris l'initiative de repérer les « leaders » des Gilets jaunes. Il aurait dans ce cas chargé un service secret lié au SCRT de fournir un fichier informatique contenant l’identité des personnes recherchées, ses antécédents judiciaires, son implication associative. 

Dans son édition du 23 janvier, l’hebdomadaire satirique Le Canard Enchaîné a révélé que le ministère de l'Intérieur aurait demandé aux policiers du Service central du renseignement territorial (SCRT) de repérer ceux qui exercent «une réelle influence sur le mouvement» des Gilets jaunes et qui ont «un potentiel pour être les interlocuteurs des pouvoirs publics».

Après les avoir repéré, les policiers doivent ficher les meneurs de la mobilisation populaire contre la vie chère qui est née en octobre 2018. Les fichiers doivent contenir l’état civil complet et pseudonymes, l’adresse, le téléphone, le véhicule et son immatriculation, etc…

La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova a déclaré : « Les frappes arbitraires d’Israël sur le territoire d’un État souverain, en l’occurrence la Syrie, doivent être arrêtées », a-t-elle déclaré devant les journalistes.

En faisant allusion aux frappes aériennes successives d’Israël contre la Syrie sous prétexte de vouloir attaquer des cibles iraniennes dans ce pays, la porte-parole de la diplomatie russe a ajouté : « Nous ne devrions jamais permettre que la Syrie, qui a subi pendant des années un conflit armé, soit transformée en un terrain de règlement de comptes géopolitiques ».

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déclaré la semaine dernière qu’Israël avait mené « des centaines » de frappes aériennes contre des cibles iraniennes en Syrie depuis le début de la guerre civile dans ce pays.

Une source au sein des gardes-frontières irakiens a annoncé à la chaîne de télévision Russia Today que les avions de combat de l’armée irakienne continuaient de bombarder les positions de Daech sur le sol syrien.
« L’artillerie irakienne pilonne depuis 3 jours les repaires de Daech dans la localité d’Abou Kamal en Syrie », a ajouté cette source.

« Simultanément aux attaques menées par l’armée irakienne contre les positions de Daech, les combattants des Hachd al-Chaabi mènent de leur part des opérations pour sécuriser les frontières », a-t-il poursuivi.

Les forces de sécurité et les Hachd al-Chaabi sont déployés depuis quelque temps à la frontière irako-syrienne en vue d'empêcher les daechistes de s’infiltrer sur le sol irakien.
 
Le Leader de la Révolution islamique a reçu en audience, ce mercredi 9 janvier, des milliers d’habitants de la ville sainte de Qom, à l’occasion du jour anniversaire du soulèvement historique du peuple contre le régime Pahlavi. 
« En janvier 1978, le président américain de l'époque Jimmy Carter s'est rendu à Téhéran où il a fait l'éloge du Chah d’Iran qui avait fait selon lui, de l’Iran « un  havre de stabilité » ; Les Américains se moquaient du régime pion du Shah.  À peine dix jours après cette visite, les habitants de Qom se soulevèrent contre le régime monarchique stipendié.  Et leur mouvement s'est étendu ensuite à Tabriz où le peuple se révolta contre le régime et leur révolte s'est répandu à travers tout le pays. Les manifestations populaires se succédèrent alors et se poursuivirent jusqu’à l’anéantissement du régime pro-américain du Shah. C’est ainsi que les Américains se sont trompés dans leur calcule et que la réalité a démenti toutes les prévisions aux États-Unis; En effet les Américains se trompent presque toujours », a souligné le Leader de la Révolution lors de sa rencontre avec les habitants de la ville de Qom, dans le centre de l’Iran.    
Le gouvernement américain a libéré Marzieh Hachemi, présentatrice de la chaîne Press TV, après 10 jours de détention illégale, a annoncé sa famille.
Selon Presstv, la journaliste a comparu devant un grand jury mercredi matin à Washington DC, alors que son témoignage était attendu. Selon l'Associated Press, des personnes proches de son dossier auraient été relâchées après la fin de son témoignage mercredi après-midi.
 
Hashemi, une musulmane convertie née aux États-Unis et âgée de 59 ans vivant en Iran depuis des années, a été arrêtée à l'aéroport international St. Louis Lambert du Missouri le 13 janvier alors qu'elle se rendait aux États-Unis pour rendre visite à son frère malade et à d'autres membres de sa famille.
 
Elle a été transférée dans un centre de détention à Washington DC, où elle a d'abord été forcée de retirer son hijab et était privé de nourriture halal.
 
Le FBI a refusé de commenter son arrestation, mais le gouvernement américain a confirmé qu'elle avait été arrêtée en tant que «témoin important».
 
Après sa libération, Marzieh Hachemi a appelé le monde entier à continuer de protester contre le système juridique américain.
 
"Le monde est conscient du harcèlement de la communauté noire par la police américaine et doit commencer à parler du harcèlement de la communauté musulmane par le FBI", a déclaré sa famille dans un communiqué publié mercredi après sa libération sans inculpation. à Washington, DC.
 
"Marzieh Hashemi restera à Washington DC pour la manifestation de vendredi et appelle toutes les villes du monde à tenir leur manifestation", indique le communiqué.
 
Il ne s'agit pas seulement de Marzieh Hashemi, ajoute le communiqué, mais du fait que quiconque, "musulman ou non-musulman, peut être emprisonné sans inculpation aux États-Unis".

Réponse : Ce choix avait plusieurs raisons :

1- Créer une concordance avec les couches pauvres de la société.

L’Imam Ali (as) à ce sujet, a dit : « Un dirigeant, une fois entré en fonction, doit vivre comme les plus pauvres de la société » (Mustadrak Al-wasa'il de Mirza Husain Noori Tabarsi vol 1 p 79)

La vie simple des dirigeants a deux messages, et le contraire deux grands dangers. La vie simple des dirigeants permet aux pauvres de mieux supporter les difficultés, évite qu’ils

ressentent l’existence de discriminations et cela, jusqu’à ce que les problèmes soient résolus. Elle empêche aussi l’oppression des riches alors que dans le cas contraire où les responsables vivent dans le luxe, les pauvres manquent de patience et les riches abusent de leur pouvoir.

2- Faire attention aux problèmes des gens.

Mohamar ben Khala a rapporté du Huitième Imam (as) qu’il a dit : « Je jure par Dieu que si j’arrive au pouvoir, je mangerai les repas les plus simples si je mangeais avant des repas meilleurs, je porterai les habits les plus rudes bien qu’avant cela, je pouvais porter de meilleurs vêtements, et je travaillerai dur bien qu’avant cela j’avais l’occasion de me reposer ».

(Bihar al Anwar, vol 79 p 314 revayat 25)

3- Lutter contre l’amour de ce monde qui déplait à Dieu.

L’amour de ce qui déplait à Dieu et au prophète (as), sans aucun doute revient à s’opposer à Dieu et au Prophète (as). L’Emir des Croyants, l’Imam Ali (as), a dit à ce sujet : « L’amour de ce que détestent Dieu et le prophète (as) et l’importance donnée à des choses que méprisent Dieu et le Prophète (as) suffisent pour prouver notre opposition et notre désobéissance à Dieu et au Prophète (as). (Nahjol Balagha discours 160).

Le prophète (as) a déclaré : « Qu’avons à faire de ce monde ? Ma relation avec le monde est comme celle d’un cavalier et d’un arbre sous

lequel il s’est reposé quelques instants à son ombre par une chaude journée, et s’en est allé » (Kafi vol 2 p 134)

 

4- Le rejet de l’orgueil et de la fierté.

Zeid ben Wahab a déclaré : « Des gens de Bassora sont venus voir l’Imam. Un des leaders des Khawarij nommé Jo’deh ben Na’jeh, était parmi eux, qui demanda à l’Imam (as) pourquoi il ne portait pas d’habits convenables. L’Imam (as) répondit que cet habit le préservait de l’orgueil et de la vanité, et convenait mieux à celui que doivent suivre les musulmans. (Manaqib Ibn Shahr Ashoub vol 2 p 96)

 

5- Etre sur un pied d’égalité avec les gens dans la société.

« Il est honteux pour toi de dormir le ventre plein alors que dans ton voisinage, des gens ont faim » est une phrase du commentaire d’Abi ibn al Hadid.

Est-ce qu’il est acceptable que des dirigeants justes ne partagent pas les peines des gens ? (Nahjol Balagha, lettre 45) Pourquoi l’être humain a-t-il été créé ?

Est-ce pour répondre comme les animaux à ses besoins alimentaires ?

L’être humain ne peut donc pas vivre comme il le veut sans prêter attention à ses responsabilités vis-à-vis des autres et de la société.

Comme le dit le Coran au verset 9 de la sourate al Ashr :

 

« ceux qui, avant eux, se sont installés dans le pays et dans la foi, qui aiment ceux qui émigrent vers eux, et ne ressentent dans leurs cœurs aucune envie pour ce que [ces immigrés] ont reçu, et qui [les] préfèrent à eux-mêmes, même s'il y a pénurie chez eux »

Le prophète a aussi déclaré : « Celui qui répond aux besoins d’un croyant est comme celui qui aura adoré Dieu toute sa vie » (Bihar al Anwar vol 74 p 302)