تقي زاده

تقي زاده

HRW demande aux autorités nigérianes que justice soit rendue trois ans après le meurtre d'au moins 347 musulmans chiites à Zaria (nord-ouest).

"Les autorités doivent mettre un terme à l'impunité pour les attaques violentes disproportionnées de Zaria, mener une enquête rapide et indépendante sur la répression exercée lors des manifestations qui ont suivi et arrêter toute personne responsable d'un usage illégal de la force", at-il déclaré mercredi. L’organisation de défense des droits de l'homme Human Rights Watch (HRW) par le biais d'une déclaration.

Une commission d'enquête judiciaire de l'État de Kaduna, dans le nord du pays, a recommandé en septembre 2016 que les soldats impliqués dans le prétendu "massacre de Zaria" soient jugés, une manifestation au cours de laquelle des sympathisants du Mouvement islamique du Nigéria (IMN) Anglais) ont été tués lorsqu’ils participaient à une procession religieuse.

Les procureurs, qui ont ignoré cette recommandation, ont porté plainte contre 177 chiites le jour de leur mort pour la mort d'un soldat au cours des violents épisodes.

Comme HRW l’a indiqué, les accusés ayant passé plus de deux ans en prison, le tribunal en a acquitté 87 d’entre eux en juillet pour ne pas avoir de preuves, le procès des 90 autres étant toujours en cours.
 
Par ailleurs, le 27 octobre, plusieurs soldats ont tiré sur une marche pacifique de religieux chiites qui s'est déroulée autour de Zuba (nord-ouest d'Abuja, capitale du Nigéria), un incident qui a fait au moins six morts.

L'IMN, dont le chef est Shaykh Ibrahim al-Zakzaky, en prison depuis 2015, a condamné à plusieurs reprises les attaques et les politiques anti-islamiques de l'exécutif nigérian.
 
Au cours des derniers mois, les autorités nigérianes ont appliqué des politiques violentes à l'encontre des musulmans, qui constituent 69% de la population de ce pays africain.

La communauté chiite du monde entier célèbre ce samedi l'anniversaire de la naissance de son onzième imam, l'imam Hasan al-Askari (paix et bénédictions de Dieu).

Agence de Nouvelles d'Ahlul Bait (ABNA) : L'imam Hasan al-Askari (P) est né le 8 de Rabi al-Sani (quatrième mois du calendrier islamique) de l'année 844 de notre ère en Irak.

Pour célébrer cet anniversaire, les Iraniens se rendent dans des lieux sacrés tels que le mausolée du huitième imam des Chiites, l’imam Reza (P), situé dans la ville de Machhad (nord-est) ou le mausolée de Hazrat Fatima Masume dans la ville sainte de Qom (centre).
 
Après le martyre de son père, l'imam Hadi (P), aux mains du califat d'Al-Mu'tazz al-Abbasid en l'an 254 de l'hégire lunaire, l'imam Hasan al-Askari (P) fut chargé de diriger la communauté islamique au milieu de la grande répression de ce califat.

L’onzième Imam du chiites(P) a assumé la responsabilité de diriger la communauté musulmane à l’âge de 22 ans et a été consacré à protéger et à conserver les préceptes de l’Islam, En plus de sectes combats durs qui a faussé les principes de cette religion Sainte.

Cela n’a pas plu aux dirigeants abbassides, de sorte que, comme leurs honorables ancêtres, ils ne sont pas morts de mort naturelle. Il a été empoisonné le 8 du mois de Rabi 'al-Awwal de l'année 260 du calendrier lunaire (1er janvier 874) dans une prison du calife abbasside.

Son fils unique, l'Imam Hujjat ibn Hasan (que Dieu accélère son apparition), appelé Imam Mahdi (Le Guidé), Sahib al-Zaman (le Seigneur de l'âge) ou le Sauveur attendu, est l'actuel imam des Chiites.
 
Selon la croyance chiite, l’imam Mahdi, par le travail de Dieu, réapparaîtra un jour en tant que sauveur, en compagnie de Jésus de Nazareth, et établira un gouvernement de justice et de paix dans le monde entier.

La mort d'une fillette guatémaltèque de 7 ans, quelques heures après son arrestation par des garde-frontières américains, a suscité une onde de choc vendredi aux Etats-Unis, où des milliers d'enfants migrants sont actuellement détenus dans des structures surpeuplées.
L'émotion n'a pas empêché la Maison Blanche et l'opposition démocrate de croiser à nouveau le fer sur la politique migratoire du Donald Trump, et plus particulièrement sur le mur que le président veut ériger à la frontière mexicaine.

La petite fille décédée s'appelait Jackeline Caal et voyageait avec son père Nery Caal, 29 ans. Ils venaient d'une communauté maya du nord du Guatemala, a déclaré à l'AFP une source au sein du gouvernement de ce petit pays pauvre d'Amérique centrale gangrené par la violence.

Le 6 décembre, à l'issue d'un long périple, le père et sa fille avaient traversé la frontière sud des Etats-Unis au niveau du désert du Nouveau-Mexique. Ils se trouvaient dans un groupe de 163 migrants, comptant de nombreux mineurs, qui s'étaient rendus volontairement aux garde-frontières américains.

Un examen préliminaire de la fillette "n'avait pas révélé de problèmes de santé", selon le ministère américain de la Sécurité intérieure.

Mais dans le bus qui la transportait vers le centre de détention à 150 km de là, elle avait commencé à vomir. A son arrivée, environ une heure et demie plus tard, son père a signalé qu'elle ne respirait plus.

Transférée par hélicoptère à l'hôpital d'El Paso avec une fièvre de 41 degrés, elle était arrivée en arrêt cardiaque. Les médecins avaient réussi à la réanimer mais elle est morte d'un choc septique le 8 décembre, selon le ministère.

- A qui la faute ? -
Sa mort a été révélée jeudi soir par le quotidien Washington Post et de nombreuses voix se sont élevées pour demander pourquoi les autorités étaient restées muettes pendant une semaine.

"La politique de tolérance zéro" contre l'immigration illégale prônée par le président Trump a entraîné "une escalade dans le traitement cruel des immigrés", a rétorqué le parti démocrate dans un communiqué.

Les démocrates refusent actuellement de voter le financement du mur à la frontière avec le Mexique, promesse de campagne du magnat de l'immobilier. Le président a menacé d'aller jusqu'au "shutdown" (paralysie de certaines administrations faute d'accord sur le budget) s'ils ne cédaient pas.

- "Sponsor" -
"Quand l'administration Trump insiste pour militariser la frontière et poursuivre la construction du mur, elle pousse des gens qui fuient la violence vers les régions désertiques", a également jugé Cynthia Pompa, une des responsables de la puissante organisation des droits humains ACLU.

Plus de 2.300 mineurs avaient été séparés de leur famille entre le 5 mai et le 9 juin au nom de cette politique de "tolérance zéro". L'indignation avait été telle aux Etats-Unis et dans le monde que le président avait été obligé de revoir sa copie, en interdisant par décret la séparation systématique des familles.

Depuis, les mineurs étrangers continuent d'affluer à la frontière.

Près de 15.000 mineurs non accompagnés sont actuellement détenus, en attendant d'être remis à un "sponsor", souvent un membre de la famille déjà installé aux Etats-Unis.

Ces mineurs, aux trois quarts âgés de plus de 14 ans, très majoritairement de sexe masculin (71%), originaires du Guatemala (54%), du Salvador (12%) ou du Honduras (26%), passent en moyenne 60 jours en détention, selon des statistiques officielles.

L'organisme responsable de leur prise en charge assure faire face à ces flux grâce à "des lits d'appoint" mais les défenseurs des migrants dénoncent un système en sous-capacité.
Un adolescent palestinien de 17 an a été tué vendredi par des tirs israéliens lors de heurts en Cisjordanie occupée, a indiqué le ministère palestinien de la Santé. 
 
Mahmoud Nakhla, 17 ans, a été atteint par une balle dans le ventre lors de manifestations près du camp de réfugiés de Jalazoune, non loin de Ramallah, a dit le ministère dans un communiqué.
 
Interrogée sur les circonstances de sa mort, l'armée israélienne n'a pas fourni d'information dans l'immédiat.

La Cisjordanie, territoire palestinien occupé où 400.000 colons israéliens mènent une coexistence souvent conflictuelle avec plus de 2,5 millions de Palestiniens, a été le théâtre vendredi de manifestations pour la plupart d'intensité limitée, malgré les conjectures alarmistes suscitées par un brusque accès de tensions jeudi.
L'armée israélienne a annoncé avoir détruit la maison du meurtrier présumé d'un soldat tué en mai lors d'une opération menée de vendredi soir à samedi matin près de Ramallah, en Cisjordanie occupée.
Des centaines de soldats sont entrés vendredi dans le camp de réfugiés d'Al-Amari, dans la proche banlieue de Ramallah, siège des institutions de l'Autorité palestinienne, qu'ils n'ont quitté que samedi matin, ont rapporté des journalistes de l'AFP.
 
"Durant cette opération, des dizaines de Palestiniens ont déclenché un certain nombre de manifestations. Les manifestants ont lancé des pierres en direction des forces (israéliennes), qui ont répondu par des moyens anti-émeutes", a indiqué l'armée dans son communiqué.

Selon la même source, la maison visée était celle d'Islam Abou Hamid, arrêté en juin pour le meurtre d'un soldat israélien, touché à la tête le mois précédent par un bloc de pierre lancé depuis un bâtiment du camp d'Al-Amari, durant un précédent raid de l'armée.

Des correspondants de l'AFP ont pu voir la maison réduite à l'état de ruines après que les forces israéliennes l'ont fait exploser.

Des voisins ont indiqué que des centaines de résidents du camp, dont des enfants, avaient reçu l'ordre de quitter leur maison puis avaient été regroupés sur un terrain de sport durant toute la durée de l'opération, dans le froid nocturne.
Le mouvement des "gilets jaunes" représente "une véritable catastrophe" pour les petits commerces, a estimé samedi sur France Inter le président de la Confédération des commerçants de France.
"C'est une véritable catastrophe et c'est une véritable catastrophe également psychologique, je pense, j'espère que ce samedi c'est le dernier des derniers pour la manifestation", a déclaré Francis Palombi, président de cette confédération.
 
La mobilisation s'annonçait plus faible pour le cinquième samedi de manifestations contre les taxes et la vie chère.

M. Palombi a ajouté que les chiffres de ventes "sont très mauvais", précisant que la baisse du chiffre d'affaires était comprise entre "40% et 70% selon les corporations", qui plus est en pleine saison des achats de Noël, cruciale pour le commerce.

La Confédération des commerçants représente 20 fédérations professionnelles indépendantes, avec des entreprises de moins de 11 salariés ou ne comptant pas de salarié, donc les petites entreprises du commerce et de l'artisanat commercial, a expliqué son président.
L’Iran envoie ses représentants aux concours internationaux du Coran au Koweït et en Jordanie.
Selon l'Hojat-al-Islam Ali Moqanni, député du Centre des affaires coraniques de l’organisation iranienne d'Awqaf et de la Charité, l'Iran a été invité à participer au concours.

Par conséquent, Hamid Reza Moqaddasi représentera la République islamique à l’événement international coranique organisé par le Koweït.

Selon l'Hojat-ol-Islam Moqanni, Moqaddasi, qui a terminé deuxième au concours national du Coran en Iran représentera l’Iran dans la catégorie de récitation.

Il a ajouté que Reza Golshahi serait le représentant de l’Iran dans la section masculine du concours international du Coran organisé par la Jordanie.

Dans la section des femmes, la mémorisateure Fatemeh Shirazi représentera la république islamique d’Iran, a-t-il poursuivi.
 
lundi, 17 décembre 2018 08:30

Les miracles du Prophète (sawas)

Concernant les animaux sont tous aussi impressionnants les uns que les autres. Des animaux qui le saluent, qui lui parlent, qui se plaignent auprès de lui au sujet de leur maître… Bref, que de beaux récits bouleversants !

Nous en évoquerons une, par le biais de l’ouvrage « Les miracles du Prophète » écrit par l’éminent savant Ibn Kathir.

 

 

 
   

Un autre chameau, quant à lui, s’est plaint à l’Envoyé d’Allah (sawa) du mauvais traitement de son maître. Ce miracle est tout aussi impressionnant car le chameau a reconnu le Prophète (sawa), il s’est approché de lui afin de se plaindre et il en espérait un réconfort, car le Messager d’Allah (sawa) était reconnu pour son comportement exemplaire et donc sa douceur, sa compréhension et son grand cœur.

C’est ainsi que  Ahmed ibn Hambal rapporte que ‘Abd Allah ibn Ja’far a dit :

« Un jour, l’Envoyé d’Allah (sawa) me fit monter en croupe et me tient des

propos que je ne devais divulguer à personne. Quand l’Envoyé d’Allah (sawa)

 allait faire ses besoins, il se dissimulait derrière un monticule ou dans une

palmeraie. Un jour, il entra dans une palmeraie appartenant à un Auxiliaire

Médinois quand soudain un chameau vint à lui en blatérant et en pleurant.

L’Envoyé d’Allah (saw) lui flatta la bosse et l’encolure et le chameau se calma.

 « Qui est le propriétaire de ce chameau ? » demanda le Prophète (saw).

 Un

jeune

Médinois dit : « Ce chameau m’appartient, ô Envoyé d’Allah ! – Ne crains-tu pas Allah dans ton comportement avec cet animal qu’Allah a mis en ta possession ? » lui demanda l’Envoyé d’Allah. « Il s’est plaint à moi en me disant que tu l’affamais et que tu l’épuisais. » Ce miracle met en évidence le fait que ce chameau savait que l’Envoyé d’Allah (sawas) pouvait arranger sa situation. De plus, ce récit met en lumière la grande compassion et la douceur du Prophète (sawas), tant avec les hommes qu’avec les animaux.

 

Les batteries de S-300 russes déployées à l'aéroport de Damas ont-elles été visées à nouveau dans la nuit de dimanche à lundi 10 décembre? 

Une information diffusée par Reuters qui citait SANA a fait état de l'interception d'objectifs par l'armée syrienne près de l'aéroport de Damas. Or une attaque aérienne contre l'aéroport international de la capitale, ayant déclenché une riposte de la DCA syrienne, vient d'être démentie. 

Israël a bombardé le 29 novembre pour la première fois depuis la livraison des batteries de missiles S-300 à l'armée syrienne l'une des bases de l'armée syrienne dans le secteur d'al-Kiswah, au sud de la capitale syrienne. 

Un raid effectué à coup de missiles LORA qui a déclenché une ferme riposte de la DCA syrienne. Certaines sources avaient évoqué une tentative israélienne de brouillage des radars des S-300 ayant suscité une réponse rapide et disproportionnée de la DCA syrienne. Violant systématiquement le ciel libanais, Israël a mené des centaines de frappes en Syrie depuis 2011, affirmant à chaque fois avoir visé des "cibles iraniennes".

Les forces aériennes indiennes et russes entameront, ce lundi 10 décembre, un exercice commun dans la ville indienne de Jodhpour.

Les forces aériennes indiennes et russes vont entamer, ce lundi, à Jodhpour une manœuvre militaire de 12 jours visant à améliorer leur coordination.

L’exercice militaire « Aviaindra » sera unique en son genre dans la mesure où l’armée de l’air russe n’apportera pas ses dispositifs et participera à l’exercice en utilisant les équipements indiens, a déclaré un responsable de l’armée de l’air indienne.

La Russie est un partenaire majeur de l’Inde dans le secteur de la défense et cette coopération ne cesse de se renforcer. En octobre dernier, l’Inde et la Russie ont organisé pour la première fois, une manœuvre militaire de très grande ampleur impliquant l’armée de terre, la marine et les forces aériennes, afin de renforcer la coopération militaire. L’exercice « Indra », qui s’est déroulé en Russie, avait pour but d’assurer la coordination militaire entre les deux pays dans le cadre d’un scénario de commandement intégré aux trois services.