
تقي زاده
Musulmans espagnols réclament des mesures contre l'islamophobie
"Il se avère un peu ennuyeux que les musulmans, quand quelque chose se passe dans le monde, même si nous ne avons rien à faire directement, nous devrions sortir et exprimer notre totale à toute forme de violence ou de rejet du terrorisme, " a-t-il déclaré à l'agence de nouvelles Président Efe de la Commission islamique d’Espagne (CIE), Munir Benjelloun.
Benjelloun a souligné que depuis le bombardement de Paris, il y a eu 37 attaques contre les musulmans et a noté que l'objectif des forces de sécurité est de " défendre tout le monde et combattre le terrorisme et la xénophobie, mais parfois nous sentir un peu impuissants et persécutés. "
Compte tenu de cette vulnérabilité, le président de la CIE exigeait une action, et la réflexion sur « comment lutter contre elle, où le terrorisme est et pourquoi il se développe, " et a souligné la nécessité de « politique d'intégration » contre « l'échec » La politique européenne de l’immigration.
" Qu'est-il arrivé à Paris au nom de l'Islam est totalement étranger à la religion musulmane et l'islam nous représentons les deux millions de citoyens musulmans Espagnols, dit Benjelloun.
En plus de la CIE, d'organiser une campagne de sensibilisation Plateforme civique contre l'islamophobie et le Mouvement contre l’intolérance. Les trois entités ont déclaré leur opposition à «toutes les formes de fanatisme » et « fanatisme xénophobe et anti- islamique» dans une lettre ouverte adressée au gouvernement, les institutions et la société espagnole.
Dans la présentation de la campagne, deux cents personnes se sont rassemblées avec des bannières en faveur de l'islam et de la coexistence pacifique et harmonieuse.
Obama réarme, par Thierry Meyssan
Le Président Obama vient de rendre publique sa Doctrine de sécurité nationale, (National Security Strategy), un document, qui explicite les ambitions de son pays, et dont on attendait, depuis longtemps, la publication. Tout en maniant la «langue de bois», il y définit sa vision de l’impérialisme. En voici le décryptage :
A— Les huit entraves à la domination impériale
Le premier obstacle, c’est la diminution des dépenses militaires. « La force n’est pas le premier choix des États-Unis, mais parfois leur choix nécessaire », aussi doivent-ils conserver leur écrasante supériorité en la matière [leur budget militaire est supérieur à celui de tous les autres États du monde cumulés] et doivent-ils cesser d’y faire des économies.
Le second, c’est le danger interne de révolte armée. Depuis les attentats du 11-Septembre, la peur du terrorisme a permis de développer la surveillance des citoyens. Ainsi, le Patriot Act a « protégé des individus vulnérables à des idéologies extrémistes susceptibles de les pousser à des attaques sur le sol » états-unien.
Le troisième, c’est le terrorisme transnational que les États-Unis ont créé et qu’ils doivent sans cesse maîtriser. Afin que la lutte contre cette entrave ne soit pas détournée pour régler des comptes intérieurs, elle sera toujours accomplie dans un respect scrupuleux de la loi US [pas de la loi internationale puisque l’organisation du terrorisme est un crime international].
Le quatrième, c’est le relèvement de la puissance russe et accessoirement les provocations de la République populaire démocratique de Corée, désignée sous le nom de Corée du Nord de manière à se souvenir que les États-Unis ne l’ont toujours pas vaincue et qu’ils peuvent toujours reprendre cette guerre.
Le cinquième, c’est l’éventuelle accession de nouveaux États au statut de puissance nucléaire, ce qui leur permettrait de résister à Washington. L’opinion publique internationale pense ici à l’Iran, mais le président Obama pense en réalité à la Corée. Et peu importe qu’il n’ait jamais tenu ses promesses de dénucléarisation, ni que l’Otan serve à violer les engagements signés du Traité de non-prolifération.
Le sixième, c’est l’évolution du climat qui pousse des population à migrer et donc menace le statu quo.
Le septième, c’est la remise en cause du contrôle exclusif des États-Unis sur les espaces communs.
D’abord, le cyber-espace : les États-Unis étant à la fois propriétaires de l’Internet et disposant d’un système gigantesque d’écoutes illégales, ils ne s’attendaient pas à ce que certains utilisent ce mode de communication pour ne pas payer les redevances des brevets, droits d’auteur et autres droits des marques qui constituent aujourd’hui une rente, la première source de revenus.
Ensuite, l’espace : les États-Unis soutiennent le projet européen de Code de conduite sur les activités spatiales ce qui est un moyen d’échapper au projet russo-chinois de Traité d’interdiction de placement d’armes dans l’espace.
Enfin, l’air et la mer. Depuis la Charte de l’Atlantique, les États-Unis et le Royaume-Uni se sont auto-proclamés police de l’air et des mers. Ils garantissent la libre circulation des marchandises et étendent ainsi leur thalassocratie.
Le huitième, c’est le risque d’une épidémie. Depuis un an, les États-Unis ont mis en place avec une trentaine de leurs alliés le Global Health Security Agenda qui vise à détecter et contenir les épidémies aussi bien qu’à répondre au bio-terrorisme.
B— Les objectifs économiques
En premier lieu, il s’agit de faire travailler les États-uniens, non pas pour qu’ils puissent vivre avec un meilleur niveau de vie, mais pour qu’ils assurent la puissance économique du pays.
Deuxièmement, les États-Unis rencontrent un problème de sécurité énergétique non pas parce qu’ils auraient du mal à s’approvisionner —ils sont désormais excédentaires grâce au pétrole mexicain dont ils se sont discrètement emparés— mais parce que la Russie prétend suivre leur exemple en contrôlant le marché mondial du gaz.
Troisièmement, le leadership US en matières scientifiques et technologiques ne doit plus reposer sur l’immigration des cerveaux, qui tend à se raréfier, mais sur son propre système scolaire.
Quatrièmement, le nouvel ordre économique doit faire des États-Unis la première destination des investissements dans le monde. Dès lors tous leurs encouragements à développer les investissements ici ou là sont de pure forme.
Cinquièmement, les États-Unis doivent utiliser l’extrême pauvreté dans le monde pour imposer leurs produits.
C— L’idéologie
Les États-Unis sont irréprochables en matière de « Droits de l’homme ». Cette expression doit être comprise au sens anglo-saxon de protection des individus face à l’arbitraire des États, mais surtout pas au sens des Révolutionnaires français pour qui le premier « Droit de l’homme et du citoyen », ce n’est pas d’élire des dirigeants parmi les élites, c’est d’être son propre dirigeant.
L’administration Obama a mit fin à la pratique de la torture et garantit les droits de ses prisonniers. Peu importe que les membres de la CIA ayant pratiqué des expériences sur des prisonniers ne soient pas poursuivis pour leurs crimes, ni qu’aucune enquête n’ait été conduite sur les 80 000 personnes qui furent illégalement détenues en eaux internationales sur des bateaux de la Navy durant l’ère Bush. De même, on est prié de croire que la NSA ne collecte aucun renseignement pour réprimer des opinions politiques, ni qu’elle transmette ses renseignements à l’Advocacy Center afin de favoriser les entreprises US lors des appels d’offre internationaux.
Les États-Unis défendent des principes universels : la liberté d’expression [sauf pour les télévisions serbes, irakiennes, libyennes et syriennes qu’ils ont détruites], la liberté de culte [mais pas la liberté de conscience] et de réunion, la capacité de choisir ses leaders de manière démocratique [sauf pour les Syriens qui ont élu Bachar el-Assad à 88 %], et le droit à une procédure et une justice équitable [mais uniquement en ce qui concerne le droit pénal chez les autres]. Ils défendent les communautés les plus vulnérables, telles les minorités ethniques et religieuses [mais ni les Yazidis, ni les catholiques ou orthodoxes du Proche-Orient], les handicapés, les LGTB [uniquement parce que ça ne leur coûte rien], les personnes déplacées [sauf les Mexicains qui tentent de franchir la frontière] et les travailleurs migrants.
Les États-Unis soutiennent les démocraties émergentes, particulièrement après le printemps arabe. C’est pourquoi ils ont soutenu Al-Qaïda dans sa révolution contre la Jamahiriya arabe libyenne et le soutiennent encore contre la République arabe syrienne. Ils luttent également contre la corruption, sachant qu’ils n’ont rien à se reprocher puisque les membres du Congrès ne touchent pas d’argent en cachette pour modifier leurs votes, mais le déclarent sur un registre.
Les États-Unis continueront à subventionner des associations à l’étranger en choisissant leurs interlocuteurs de manière à pouvoir camoufler leurs coups d’État en « révolutions colorées ».
Enfin, les États-Unis s’attacheront à prévenir des massacres de masse [mais pas à ne pas en pratiquer eux-mêmes comme celui des 160 000 Libyens qu’ils avaient reçu mandat de protéger et qu’ils bombardèrent]. Pour ce faire, ils soutiendront la Cour pénale internationale [à la condition qu’elle ne poursuive pas de fonctionnaires US].
D— Le Nouvel ordre régional
Extrême-Orient : Bien que la Chine soit en compétition avec les États-Unis, ils éviteront la confrontation et « chercheront à développer une relation constructive » avec Pékin. Néanmoins, comme on n’est jamais assez prudent, ils poursuivront le déplacement de leurs troupes vers l’Extrême-Orient et se préparent dès à présent à la Guerre mondiale.
Europe : Les États-Unis continueront à s’appuyer sur l’Union européenne qu’ils ont imposé aux Européens, leur principal client. Ils ne manqueront pas d’utiliser l’UE, leur « partenaire indispensable », contre la Russie.
Proche-Orient : Les États-Unis garantissent la survie de la colonie juive de Palestine. Pour ce faire, ils continueront à la doter d’une très importante avance technologique militaire. Surtout, ils poursuivront la construction d’une alliance militaire entre Israël, la Jordanie et les pays du Golfe conduits par l’Arabie saoudite, ce qui enterrera définitivement le mythe du conflit israélo-arabe.
Afrique : Les États-Unis subventionneront de « Jeunes leaders » qu’ils aideront à être démocratiquement élus.
Amérique latine : Les États-Unis lutteront pour la démocratie au Venezuela et à Cuba, qui persistent à leur résister.
E— Conclusion
Concluant son exposé, le président Obama souligne que ce programme ne pourra être accompli qu’en restaurant la coopération entre Républicains et Démocrates, ce qui est une manière de rappeler son projet d’augmentation des dépenses militaires.
Pour être comprise, la nouvelle Doctrine de sécurité nationale doit être replacée dans son contexte. En 2010, le président Obama avait abandonné la théorie de la « guerre préventive », c’est-à-dire le droit du plus fort de tuer qui bon lui semble. Cette fois-ci, il abandonne le projet de « remodelage du Moyen-Orient élargi ». Compte tenu des principes énoncés plus haut, on peut en conclure que les États-Unis vont repousser Daesh vers la Russie, qu’ils ne reconnaîtront finalement pas l’indépendance du Kurdistan irakien, et qu’ils confieront la sécurité d’Israël à la Jordanie et à l’Arabie saoudite et non pas à la Russie comme envisagé en 2012.
La Doctrine Obama restera dans l’Histoire comme le constat d’un échec et l’annonce d’une catastrophe : Washington abandonne son projet de réorganisation militaire et se lance à nouveau dans le développement de ses armées. Au cours des 70 dernières années, le budget militaire du pays a toujours été en augmentation, sauf en 1991-95 lorsqu’ils pensaient conquérir le monde par la seule voie économique, et en 2013-14 lorsqu’ils prirent conscience de leur désorganisation. En effet, depuis plusieurs années, plus ils mettent d’argent dans leurs armées, moins celles-ci fonctionnent. Cependant personne n’a réussi à réformer le système, ni Donald Rumsfeld, ni Chuck Hagel. Par conséquent, il faudra toujours nourrir plus le Moloch, à la fois d’un point de vue budgétaire et en lui offrant des guerres à livrer.
La Jordanie promet d'intensifier ses raids contre Daech
La Jordanie a promis d'intensifier encore ses raids contre le groupe Daech dans les jours à venir, annonçant dimanche avoir détruit 56 cibles en trois jours de frappes aériennes après l'exécution d'un pilote jordanien par les rebelles.
Amman participe depuis septembre à la coalition internationale antirebelles dirigée par les Etats-Unis. La Jordanie a intensifié ses raids en représailles à l'exécution du pilote militaire, brûlé vif après avoir été capturé dans le nord syrien, où son avion F-16 s'était écrasé fin décembre durant une campagne de frappes. En trois jours, "nous avons détruit 20% des capacités de combat de Daech", a affirmé selon le chef d'Etat major de l'armée de l'air, Mansour al-Jobour, précisant que "19 cibles ont été détruites jeudi, 18 vendredi et 19 samedi".
Les avions ont aussi frappé des positions en Irak
Parmi ces cibles figuraient des camps d'entrainement, des dépôts d'armes et de carburant ainsi que des centres logistiques et résidentiels, a énuméré le responsable militaire sans préciser la localisation des frappes.
Le gouvernement jordanien a toutefois annoncé pour la première fois cette semaine que ses avions, qui ciblaient jusqu'alors la Syrie, avaient cette fois aussi frappé en Irak. Le chef de l'aviation jordanienne a réitéré la détermination de son pays à "détruire" Daech, affirmant que la campagne de frappes s'intensifierait encore dans les prochains jours.
L'exécution du pilote: "Un tournant"
Le ministre de l'Intérieur Hussein Majali a estimé dans le quotidien gouvernemental Al-Raï samedi que l'exécution du pilote, annoncée le 3 février, avait constitué "un tournant" dans le combat du royaume hachémite contre les rebelles.
Dirigeant iranien réfute accord qui contredit les intérêts nationaux
" Je ne suis pas d’accord, il est préférable de réaliser une qui contredit les intérêts nationaux ", a-t-il affirmé le chef suprême lors de sa rencontre avec le personnel et les commandants de la Force aérienne Iran armée.
Dans le même temps, il a reconnu les efforts de la diplomatie iranienne pour parvenir à un pacte définitif avec le G5+1 (États-Unis, la Grande-Bretagne, France, Russie et Chine, plus l’Allemagne) sur le programme nucléaire du pays Persique.
Cependant, l'ayatollah Khamenei a souligné que si les pourparlers atteignent pas réussir, il y a différentes façons de contrer antiranis sanctions unilatérales.
De même, le chef de l'Iran a déclaré que la République islamique a agi avec la logique, tandis que l'autre partie " recherche chantage " conduire sur ambitions et ne sont pas honnêtes dans leurs actions.
Il a également exprimé son scepticisme à propos de la décision de la contrepartie de parvenir à un accord politique d'abord et ensuite parler et obtenir un accord global sur le paisible programme d'énergie nucléaire de l’Iran.
En ce sens, l'ayatollah Khamenei a souligné que les points généraux et les détails techniques de tout accord doit être convenu simultanément.
Téhéran et le Sextet ont décidé de prolonger jusqu'au 30 Juin de 2015. Leurs dialogues visant à régler le différend sur le programme nucléaire de l'Ouest Iran, qui défend son droit à utiliser l'énergie nucléaire à des fins pacifiques.
Les déclarations de leaders ont eu lieu dans le 36ème anniversaire du 19 Bahman 1357 le calendrier iranien (8 Février, 1979), les responsables de jours de l'armée de l'air iranienne ont exprimé leur loyauté envers le fondateur de la République islamique, Imam Khomeiny à l'école Alavi (résidence temporaire de l'imam Khomeiny après son retour à la maison après 14 ans d’exil).
La Syrie tolère-t-elle la Jordanie?
«La Jordanie soutient les terroristes. Elle les entraîne. Damas a fait preuve de la retenue maximale, à cet égard», a souligné le vice-ministre syrien des Affaires étrangères, Fayçal Meqdad.
«Les pays du bassin du golfe Persique continuent de tramer des complots contre la Syrie», a-t-il indiqué, tout en critiquant le rôle joué par la Jordanie. «La Syrie est bien consciente de la cellule d’opérations, conjointement, menée par des services secrets israéliens, américains, saoudiens, qataris, français et turcs. Nous les connaissons par leurs noms. Certains cherchent à y apporter un démenti. Mais, à vrai dire, ils se contredisent, eux-mêmes», a-t-il ajouté. «Ce sont, en effet, les crimes commis par Daesh, qui ont poussé les pays arabes à mener des coordinations supplémentaires, en matière de lutte contre le terrorisme», a-t-il précisé.
Tel-Aviv a-t-il peur de Téhéran?
Le général Hossein Hamadani a déclaré que le régime sioniste avait demandé à trois pays d’intervenir, pour dissuader l’Iran d’agir en représailles contre le raid sur Quneitra.
Le général Hossein Hamadani, ancien commandant de la division Mohammad Rassoul Allah du corps des Gardiens de la Révolution islamique, à Téhéran, a déclaré que les dirigeants des troubles de 2009, en Iran, ont commis des erreurs impardonnables, rappelant que, lors de ces troubles, plus de 830 personnes ont été très, grièvement, blessées et sont devenues infirmes à vie. Il a évoqué, ensuite, le raid du régime sioniste contre un convoi des commandants de la Résistance, à Quneitra, au Golan syrien, et le martyr d’un haut commandant du corps des Gardiens de la Révolution islamique, avant d’ajouter que si l’Iran avait voulu répondre à ce raid par des opérations de représailles, il aurait pu organiser, à chaque heure, une nouvelle opération contre les militaires du régime sioniste. «Tout de suite après le raid sur Quneitra, le régime sioniste a prétendu avoir ignoré la présence d’un haut commandant du corps des Gardiens de la Révolution islamique, parmi les autres commandants de la Résistance. Dans ce sens, Tel-Aviv a demandé à trois pays de jouer la médiation, pour convaincre l’Iran de ne pas recourir aux opérations de représailles. Mais nous ne marchandons pas, et Israël devra être puni, tôt ou tard. Les Israéliens peuvent imaginer la possibilité, pour eux, de commencer une guerre. Mais ils ne seront pax ceux qui pourront mener cette guerre, à son terme», a déclaré le général Hossein Hamadani.
Syrie : les combats souterrains à Douma
En Syrie, les opérations de l’armée régulière se poursuivent en banlieue de Damas notamment à Douma et le groupe terroriste « Jaysh Al-Eslam », lié à l’Arabie saoudite, a essuyé de cuisantes défaites, ce qui a poussé le chef de ce groupe à demander un cessez-le-feu.
Selon l’agence de presse Fars depuis Damas, les opérations de l’armée syrienne se poursuivent en banlieue de Damas, dans le sud de la Syrie, près de la capitale et aussi dans les localités « Tal Kordi », « Tal Al-Sawan », « Tal Al-Reyhan », les fermes d’Aliya et Dahiya Al-Assad.
Les militaires syriens, appuyés par les comités de la défense populaire, ont réussi à faire des progressions dans lesdites localités. Les victoires en série de l’armée ont rendu le terrain propice à la libération de la ville de Douma, bastion du groupe terroriste « Jaysh Al-Eslam », dirigé par le mercenaire saoudien Zahran Aloush.
Dimanche, les terroristes et les militaires ne se combattaient pas seulement sur la terre mais aussi sous la terre et dans les tunnels souterrains des alentours de Douma. Selon une source syrienne, une équipe composée de 16 personnes appartenant à la Force spéciale de l’armée et à l’Unité de « Jaysh Al-Wafa » s’est infiltrée dans l’un des tunnels creusés par les terroristes et est arrivée à en tuer neuf et en arrêter six lors des affrontements. Deux chefs du groupe terroriste « Jaysh Al-Eslam », appartenant aux familles Al-Khanshour et à Al-Qatifani, figurent parmi les personnes arrêtées. « Ces opérations souterraines ont duré six heures et ont été couronnées de succès pour les militaires syriens », ajoute la même source.
Yémen: Ansarullah est accord avec le lancement des dialogues
Les membres d'Ansarullah se sont résolus à participer lundi à un dialogue sous l'égide de l'ONU.
Les miliciens d'Ansarullah, dits Houthis, ont annoncé vendredi la dissolution du Parlement et l'installation de nouvelles instances dirigeantes.
Dimanche, le ministère de l'Intérieur a annoncé l'interdiction des manifestations anti-Houthis, à moins qu'elles soient autorisées par le ministère.
" Iran surveille complots américains dans la région ''
"USA conduit la région au chaos à travers un plan britannique-israélienne “, a souligné Hajizade ensuite ajouté que les événements en Irak et la Syrie ne se produisent pas naturellement, mais ont été planifiés par l’Occident.
Selon le commandant perse, lorsque les Etats-Unis et ses alliés ont été remplies ses objectifs en Syrie et après que l'Amérique n'a pas obtenu l’accord aspirant militaire signe avec l’Irak, exécuté le plan de la formation du groupe terroriste EIIL (Daesh, en arabe) et de son transfert à l’Irak.
Aujourd'hui, la présence américaine en Irak non seulement ne sert pas à combattre petit groupe qui a été créé par lui-même, mais est devenu une excuse pour augmenter les membres du groupe terroriste a continué.
"L'entrée des Etats-Unis pour lutter contre Daesh préparé le terrain pour le groupe terroriste recruter plus de membres, comme on le croyait précédemment que Daesh pas combattu USA et l’Occident, mais cette présence symbolique provoqué une augmentation de l'emploi de membres “, a-t-il conclu.
Ces derniers mois, à plusieurs reprises, les médias et les responsables syriens et irakiens ont révélé et condamnés le soutien des États-Unis, offrant secret pour Groupe EIIL, auteur des massacres et de la violence dans la région.
Certains analystes politiques remettent en question la gravité USA et ses alliés en matière de lutte contre le terrorisme et rappellent que des groupes extrémistes comme EIIL renforcées au cours des dernières années avec l'aide financière des pays comme les USA, la Turquie, l'Arabie saoudite et le Qatar, qui cherchait à renverser le gouvernement syrien soutien aux terroristes.
Poutine en position de force ....
La chaîne France 2 a estimé, dans un reportage, que les victoires de l'opposition dans l’Est de l’Ukraine, ont mis le président Vladimir Poutine en position de force.
La journaliste de la chaîne France 2 a rapporté que dans le cadre de la prochaine étape des efforts diplomatiques pour mettre un terme à la crise actuelle en Ukraine, une conférence téléphonique quadripartite sera organisée pour réunir le président français François Hollande, la chancelière allemande Angela Merkel, le président russe Vladimir Poutine et le président ukrainien Petro Porochenko. Le sujet principal de cette conversation sera l’examen du plan de paix proposé par la France et l’Allemagne, mais aussi les conditions préalables de Kiev et de Moscou. La veille, les conseillers des quatre dirigeants se sont longuement entretenus pour préparer cette conférence téléphonique. Lors des réunions privées, le président français François Hollande aurait dit que les récentes victoires des séparatistes de l’Est de l’Ukraine, sur le terrain, permettraient au président russe Vladimir Poutine de se mettre dans une position de force lors de cette conférence téléphonique.