تقي زاده

تقي زاده

dimanche, 31 janvier 2021 12:54

La Bataille de Khandaq, le Fossé

La Bataille de Khandaq, le Fossé.

Dans la bataille de Khandaq, 'Amr ibn 'abdu Wud défia l’armée de l’islam à la guerre.
C’était un très brave guerrier connu dans toute l’Arabie.
L’ensemble des compagnons du Messager sawaw avait peur de lui, et par trois fois il avait défié les musulmans en combat singulier, et aucun n'avait eu le courage de le combattre excepté l'Imam 'Ali a.s.

L’imam Ali a.s dit : « Ô Prophète d’Allah !
J’irai et je le combattrai. »

Le Prophète sawaw dit : « Ô 'Ali ! C’est 'Amr ibn 'abd Wud. C’est un combattant réputé. »

L’Emir des croyants a.s répondit : « S’il est 'Amr
alors moi je suis 'Ali ibn Abu Talib»

Le Messager sawaw dit : « Ô 'Ali vient près de moi. »

Lorsqu’il se rapprocha, le Prophète sawaw plaça son turban sur la tête d’Ali a.s et lui donna son épee Zulfaqar.

Puis le Messager d’Allah sawaw pria : « Ô
Allah ! Béni 'Ali  par la victoire. »

Il récita le hadith célèbre : « La foi (Iman) complète va combattre la mécréance (Kufr) entière. »

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Imam 'Ali a.s entra sur le champ de bataille. 'Amr demanda à l’Imam a.s :
« Ô jeune homme ! qui es-tu ? »

L’Imam a.s répondit : « Je suis 'Ali ibn Abu Talib, cousin et gendre du Prophète d’Allah. »

'Amr dit : « Ton père, Abu Talib était mon ami.
Par conséquent, je n’aimerai pas te tuer.
S’il te plait, vas t'en et envoi quelqu’un d’autre à ta place. »

L’Imam a.s répondit : « Mais je préférerai t’abattre. »

'Amr se mit en colère et dit : « J’ai entendu Mohammad dire : « Si un musulman est tué sur un champ de bataille, alors il ira au Paradis et s’il tue un kafir alors il sera récompensé avec le Paradis. »

Imam 'Ali a.s dit : « Oui, c’est exact, mais j’ai aussi entendu que tu as dit : « Si une personne me défie sur trois choses lors d’une bataille alors j’accepterai l’un de ces trois défis. »

'Amr répondit : « Sans aucun doute. »

Imam 'Ali a.s dit : « Dans ce cas je te propose trois choses.

La première est de réciter le Kalima (attestation de foi) et de devenir musulman. »

'Amr dit : « Je rejette cela. »

Imam 'Ali a.s dit : « Alors repart. »

'Amr dit : « Cela m’est impossible. La femme
d’Arabie ne me permettra jamais de vivre sans
m’accuser d'avoir eu peur d'un enfant. »

Imam 'Ali a.s dit : « Dans ce cas, présente-toi et attaque moi. »

'Amr dit : « Je n’imaginais pas qu’un Arabe était capable de me dire ces paroles. »

'Amr attaqua l’Imam 'Ali a.s. un nuage de poussière se forma autour d’eux, de telle sorte qu’ils ne pouvaient être vu.

Lorsque les hypocrites virent cela, ils dirent :
«'Ali a été abattu ! »

Mais lorsque la poussière se dissipa, les gens virent qu’Ali a.s tenait la tête d’Amr dans sa main et que le sang coulait de son épée.

Imam 'Ali a.s rejoignit le Messager sawaw dans cet état tout en disant :

« Je suis le fils d’Abdul Muttalib a.s et fuir d’un
champ de bataille pour un jeune homme est pire que la mort. »

Lorsque le Messager d’Allah sawaw vit Ali a.s, il l’étreignit et puis récita le célèbre Hadith :

« Un coup d’épée d’Ali a.s est plus grand que l’adoration de la création tout entière »

• Tafsir Noor al Thaqalayn ?

Le comité des prisonniers palestiniens dans la bande de Gaza a organisé une manifestation pour demander la libération immédiate de Fu'ad al-shobaki, le plus vieux prisonnier palestinien des prisons israéliennes qui a récemment été testé positif au coronavirus.
 
 
 
Ce détenu politique de 82 ans est en prison depuis 2006 et il purge une peine de 17 ans. Son état de santé s'aggrave chaque jour, d'autant plus qu'il souffre déjà de cancer, de maladies cardiaques et de problèmes oculaires.

Le comité des prisonniers palestiniens a tenu l'occupation israélienne entièrement responsable de la vie de Shobaki et a exigé que les droits de l'homme et les organismes internationaux fassent pression sur le régime israélien pour qu'il le libère, ainsi que tous les détenus malades.

Les gens ici disent que le régime israélien pratique la politique de la mort lente contre les prisonniers palestiniens. Ils demandent la libération immédiate de M. al-Shobaki et de tous les autres prisonniers palestiniens.
Le leader de la révolution islamique, l'Ayatollah Seyed Ali Khamenei, a rendu hommage au scientifique iranien Mohsen Fakhrizadeh pour son esprit de travail et son haut niveau de compétence scientifique.
 
 
Lundi, l'ayatollah Khamenei a rencontré la famille du scientifique nucléaire et de défense, Fakhrizadeh, assassiné le 27 novembre 2020.

Lors de cette rencontre, le chef de l'Etat a fait l'éloge de Fakhrizadeh pour avoir acquis une grande notoriété scientifique et technique et pour son travail acharné.

L'Ayatollah Khamenei a également noté que l'un des signes de la pureté spirituelle et de la modestie du martyr est qu'il est très révéré dans le public et que de nombreux jeunes regrettent de ne pas l'avoir connu avant son martyre.

Le mois dernier, le dirigeant a remis la "Médaille de Nasr (Victoire)" à Fakhrizadeh, qui a été assassiné lors d'une attaque sans pilote dans une petite ville à l'est de Téhéran.

Dans un message publié après l'incident, le chef de l'État a appelé tous les administrateurs concernés à "enquêter sur ce crime et à poursuivre fermement ses auteurs et ses commandants" et à "poursuivre les efforts scientifiques et technologiques du martyr dans tous les secteurs où il était actif".

Ni ces cinq F-35 Adir qui survolent "supposément" la frontière syro-libanaise depuis Tyr, et ce en vue de lancer, selon la presse golfienne, une "vaste campagne de frappes contre la Syrie", ni l'annonce ultra médiatisée du déploiement des batteries de Dôme de fer, cette DCA passoire que maudissent des colons du sud et du Nord d’Israël pour les avoir radiés au lieu de les protéger contre les missiles de Gaza, ne peuvent cacher une chose : Israël a lamentablement perdu la bataille de la "normalisation". Ce n'est d'ailleurs pas sans raison si le sioniste Pfizer a eu pour mission d'éliminer le plus grand nombre de colons sionistes via une campagne de vaccination qui cible aussi "l'armée israélienne" soit la "matrice" d'une entité factice que l'accord d'Abraham a tenté de consacrer comme étant le supplétif à l'armée US dans sa bataille contre la Résistance, mais sans grand succès.  

Ce lundi 25 janvier a eu lieu la septième réunion du Conseil d’administration du Musée de la Révolution islamique et de la Défense sacrée dans le but de passer en revue les activités et le développement du Musée au cours de l'année écoulée. Cette réunion annuelle a eu lieu en présence de responsables iraniens dont le chef d'état-major des forces armées, le général de division Mohammad Baqeri qui a mentionné les menaces incessantes de l’ex-président américain contre l’Iran ainsi que les tensions américaines en Asie de l’Ouest pour en venir aux exercices militaires menés 10 jours durant par les forces armées iraniennes. 

Un nouveau convoi américain a été pris pour cible sur l’autoroute Bassora-Nassiriya. Un convoi faisant partie des nombreuses autres qui entrent en Irak, depuis principalement la frontière syrienne et qui transportent du matériel logistique pour les troupes américaines.

Au cours des derniers mois, les attaques contre les bases et convois américains se sont multipliéesIl s'agit d'attaques à la roquette tout comme d'attaques à la bombe, déposée en général en bordure de route, qui explosent au passage des convois. Ce sont ces attaques qui ont fini par contraindre les Américains à évacuer certaines de leurs bases et à déplacer leurs troupes vers d’autres lieux.

Des groupes irakiens ont précédemment annoncé que le délai fixé au gouvernement du Premier ministre irakien, Mostafa al-Kazemi avait expiré ; ce délai lui avait été donné pour expulser toutes les troupes américaines.

De son côté et dans le cadre du renforcement des combats des forces de sécurité irakiennes et les combattants des Hachd al-Chaabi contre les terroristes interposés, l’organisation Badr a exigé au gouvernement irakien l’installation de systèmes avancés de défense aérienne afin de protéger le ciel irakien contre toute infiltration de chasseurs sionistes et américains.

Le responsable de l’organisation Badr dans la province d’al-Anbar, Qusay al-Anbari a évoqué l’insécurité qui touche les régions frontalières et a affirmé que les Américains et les sionistes cherchaient à affaiblir les forces de sécurité irakiennes et de semer la terreur dans la région.

« Les forces aériennes israélo-américaines s'imaginent que le ciel irakien leur appartient. Ces forces sont impliquées dans les bombardements contre les forces populaires et les régions frontalières et cherchent surtout à faciliter le transfert des terroristes depuis et vers l’Irak », a-t-il ajouté.

Al-Anbari a ensuite insisté sur l’importance de l’installation des systèmes avancés de défense aérienne afin de pouvoir contrer tout acte terroriste ainsi que la pénétration de tous les chasseurs qui sillonnent le ciel irakien et bombardent le territoire et le peuple irakiens.

En effet, les chasseurs israélo-américaines ont à maintes reprises bombardé les positions des Hachd al-Chaabi (Unités de mobilisation populaire) et de l’armée irakienne causant la mort de plusieurs militaires irakiens.

Toujours en Irak, un terroriste de Daech a avoué lors de ses interrogatoires qu’un groupe d’éléments suicidaires attendaient l’ordre pour accomplir leur mission. Dans le même temps, Sabah al-Akili, expert des questions sécuritaires en Irak, a révélé que les militaires américains avaient transféré quelque 4 000 terroristes de Daech sur le sol irakien par les véhicules portant le drapeau des États-Unis. 

Il a ajouté que la présence des militaires américains en Irak ne permettrait pas aux Irakiens de déraciner les terroristes de Daech. « Avec les Américains en Irak, des attaques telles que celle de samedi visant les forces de sécurité et les Hachd al-Chaabi à l’est de Salah ad-Din pourraient se reproduire », a-t-il indiqué. 

 

Ce lundi 25 janvier, les médias israéliens ont révélé que le nombre de décès dus à la Covid-19 s’était aggravé depuis le début de la vaccination.

Pour la première fois depuis le début de l’apparition de la Covid-19, le nombre de morts en territoires occupés a atteint les 57 personnes, portant le nombre de décès à 1055 pour les 24 premiers jours de l'année, a rapporté le journal israélien Yediot Aharonot.

En référence au bilan de plus de 1000 morts sur les territoires occupés rien que pour le mois de janvier, le journal Israel Hayom, a publié la note rédigée par un médecin, ce dernier admettant qu'actuellement, le seul moyen de prévenir la propagation du coronavirus est le port du masque, et que les gens ne devraient pas trop compter sur la vaccination.

Alors que Tel-Aviv fait prévaloir le rythme de vaccination, les médecins sur les territoires occupés sont nombreux à prévenir que le coronavirus s’était peut-être muté pour contourner l’immunité qu’a créée le vaccin, craignant progressivement que les vaccins Pfizer et Moderna ne soient pas une solution idéale pour lutter contre la pandémie.

Lors de sa visite à Bakou, le ministre iranien des AE a rencontré le vice-Premier ministre azerbaïdjanais et a annoncé la volonté de l’Iran de participer à la reconstruction de la zone de libre-échange de l’Azerbaïdjan notamment dans les domaines énergétique, technologique, agricole, déminage ainsi que la réparation des mosquées et des sites historiques et culturels.

C’est ce lundi 25 janvier à Bakou que M.Zarif a rencontré les autorités azerbaïdjanaises dont le vice-Premier ministre, Shahin Mustafayev qui s’occupe également de la commission mixte des coopérations économiques entre les deux pays .

Lors de cette rencontre, les deux parties ont examiné les dernières évolutions dans les relations économiques des deux pays et ont insisté sur l’importance du renforcement de ces coopérations.

Shahin Mustafayev a loué l’Iran pour sa prise de position dans l’affaire du Haut-Karabakh avant de détailler les plans du gouvernement azerbaïdjanais pour le développement des potentielles des zones de libre-échange, à savoir le développement du secteur économique ainsi que le transit et le transport dans ces zones.

Avançant sur l’axe de Najran, les forces yéménites ont pris le contrôle des montagnes stratégiques d’al-Mutabiq, Riyad œuvrant pour empêcher la nouvelle administration américaine de ne pas reconsidérer l’inscription d’Ansarallah sur la liste noire des États-Unis. 

Avançant sur l’axe de Najran, les forces de l’armée yéménite et les combattants d’Ansarallah ont pris le contrôle des montagnes stratégiques d’al-Mutabiq suite à de lourds affrontements avec les mercenaires de la coalition saoudienne, a rapporté la chaîne d’informations yéménite Al-Masirah.

L’opération a été lancée par de lourds tirs d’artillerie, les forces yéménites menant les combats à une distance proche des positions des mercenaires de la coalition saoudienne qui n’ont pas tardé à prendre la fuite.

mardi, 26 janvier 2021 08:58

La CIA va-t-elle éliminer Ben Salmane?

Si les princes saoudiens opposés à Mohammed ben Salmane ont en tête un plan d'assassinat ou de coup d'État contre lui, les autorités américaines iront au moins jusqu'à les écouter, estiment les anciens responsables de la CIA interrogés par SpyTalk sur la possibilité du soutien de l’administration Biden à l’entreprise d’une action quelconque contre le prince héritier de l’Arabie saoudite.

« Un tel scénario, disent les vétérans du renseignement, n'est pas hors de question », affirme le site web SpyTalk dans un article signé Jonathan Broder et paru le 21 janvier.

« C’est notre travail, au moins d’écouter ce qu’ils ont [les dissidents saoudiens] à l’esprit », a déclaré Douglas London, un vétéran de la CIA de 34 ans ayant servi au Moyen-Orient.

Pour Bruce Riedel, actuellement expert du Moyen-Orient à la Brookings Institution, et ancien analyste de la CIA au Moyen-Orient, Biden aborderait probablement un tel complot avec une énorme prudence, « ordonnerait probablement à la CIA d’organiser une réunion, d'écouter ce qu'ils ont à dire, mais il est peu probable qu'il agisse lui-même ».

Riedel affirme que l'élimination de MBS pourrait se faire de deux manières : Biden pourrait trouver un moyen de persuader le roi Salmane que le comportement de MBS a noirci la réputation du royaume au point que sa position dans le monde - et plus précisément, aux États-Unis - a été gravement endommagée. Or, cela est hautement improbable, explique Riedel, pour la simple raison qu'il est peu probable que le roi agisse contre son fils préféré et son successeur désigné, car il sait que Washington n'a pas d'autre choix que de coopérer avec Ben Salmane.

Riedel poursuit que « les princes dissidents pourraient bien vouloir assassiner MBS, avec ou sans le soutien des États-Unis ». Rappelant les rapports crédibles sur les trois tentatives d’attentat à la vie du prince héritier, Riedel indique qu'« une telle opération serait extrêmement difficile à réaliser, car pour commencer, le prince héritier est entouré de sa propre garde prétorienne, d’autant que ces derniers temps, il est notamment resté à Neom, la ville futuriste high-tech qu’il faisait construire près de Djeddah et où presque personne n’habite ».

Dans le même ordre d’idées, SpyTalk fait noter que « le dégoût de Biden pour Mohammed Ben Salmane est universellement connu. Biden l'a qualifié de “voyou” à la suite de la conclusion de la CIA selon laquelle le prince héritier a dirigé le meurtre brutal et le démembrement en 2018 du journaliste exilé Jamal Khashoggi, au consulat saoudien à Istanbul. Sans oublier qu'un grand nombre de princes saoudiens méprisent également MBS. Ils ont beaucoup souffert depuis que le prince de 35 ans a commencé sa prise de pouvoir en 2017 ».

« MBS a nié avoir ordonné le meurtre de Khashoggi, un alibi que Trump n'a jamais remis en question. Mais Avril Haines, la candidate de Biden au poste de directeur des renseignements nationaux, s'est engagée à déclassifier l'enquête de la CIA sur l'incident, ce qui signifie que Washington est susceptible de blâmer officiellement MBS pour la mort de Khashoggi - une décision qui aura des répercussions juridiques et diplomatiques », poursuit SpyTalk.

Donc, si les princes saoudiens dissidents proposaient une réunion pour discuter d'un coup d'État contre MBS, la Centrale Intelligence Agency (CIA) l’acceptera, estime SpyTalk citant d'anciens responsables du renseignement.

En ce qui concerne la suite, la situation reste cependant compliquée vu les considérations logistiques, politiques et diplomatiques, déclare le général à la retraite James Clapper, ancien chef de la Defense Intelligence Agency qui a également été directeur du renseignement national sous l'administration Obama.

« Cela dépendrait d'un certain nombre de facteurs », a déclaré Clapper dans un e-mail, par exemple quels princes seraient impliqués dans l'intrigue.

« Certains [les princes] sont plus influents que d'autres », a-t-il noté, ajoutant que la CIA devrait également prendre en considération des questions telles que : où rencontrer les opposants saoudiens et qui serait le meilleur émissaire américain si un complot de coup d'État venait à être mené en secret.

« Si l’intention est de changer de régime, c'est une question extrêmement délicate pour Washington, et les responsables [américains] devraient en délibérer très soigneusement et de manière réfléchie pour inclure des sorties d'urgence si les choses tournent mal », a déclaré Clapper.

Citant Riedel, SpyTalk conclut que Washington applaudirait un coup d’État réussi contre MBS, sans pourtant pouvoir y faire grand-chose.