Au mépris du cessez-le-feu du 19 janvier 2025, Israël continue de commettre un génocide dans la bande de Gaza, privant les Palestiniens des produits de première nécessité et leur imposant des conditions de vie extrêmement difficiles. Gaza reste aux prises avec une catastrophe humanitaire, alerte l’ONU dénonçant les destructions massives et une crise alimentaire aggravée.
De retour de Gaza, où il a pu constater l’ampleur des dégâts physiques et de la catastrophe humanitaire, Jorge Moreira da Silva, directeur général du Bureau des Nations Unies pour les services d’appui aux projets (UNOPS) a appelé, jeudi 13 février, à tirer parti du cessez-le-feu en cours pour passer « dès que possible » à une phase de relèvement précoce.
La bande de Gaza continue d’être le théâtre d’une catastrophe humanitaire en dépit d’un accord de cessez-le-feu qui a apporté un « répit bien nécessaire », a-t-il averti.
« En plus d’une immense souffrance humaine, j’ai également été témoin d’un degré inimaginable de destruction des infrastructures et des maisons, et d’un volume écrasant de décombres », a déclaré Jorge Moreira da Silva.