Dans un message publié lundi 17 mars sur son compte X, le vice-ministre iranien des Affaires étrangères, Kazem Gharibabadi, a déclaré que Téhéran « reste déterminé » à coopérer avec l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA).
À la suite de sa rencontre avec le directeur général de l’AIEA, Rafael Grossi, au siège de l’agence nucléaire de l’ONU, M. Gharibabadi a publié un poste, qualifiant l’entretien de « franc et constructif ».
« Tout en préservant sa sécurité nationale et ses intérêts, l’Iran reste déterminé à coopérer avec l’AIEA dans le cadre de ses obligations en matière de garanties », a-t-il écrit.
Parmi les sujets discutés lors de la rencontre entre Gharibabadi et Grossi figuraient la coopération entre l’Iran et l’AIEA, la résolution de deux questions en suspens, la sécurité des installations nucléaires, les dernières évolutions concernant la question nucléaire, ainsi que la levée des sanctions, selon le communiqué du responsable iranien.
En outre, le vice ministre iranien des Affaires étrangères a indiqué que la coopération de longue date entre l’Iran et l’AIEA facilite la résolution des dernières divergences subsistantes.
Néanmoins, M. Gharibabadi a insisté sur le fait que la résolution des problèmes en suspens nécessite l’élimination des pressions politiques extérieures sur l’AIEA et l’adoption, par l’agence, d’une approche « indépendante, technique, impartiale et professionnelle ».