تقي زاده

تقي زاده

Se trouvant probablement à Marioupol en Ukraine, le général américain, Roger Cloutier, commandant de l’Allied Land Command, aurait été capturé. La nouvelle coïncide avec le lancement de l’opération spéciale par la Biélorussie en Ukraine.

Alors que Marioupol est frappée de plein fouet par les forces russes, le lieutenant-général de l'armée américaine, Roger Cloutier, qui sert comme commandant de l’Allied Land Command (Commandement terrestre alliés), pourrait bien se trouver en Ukraine et même à Marioupol, a rapporté Avia-pro ce 7 avril.

L’officier supérieur de l'armée américaine était en Ukraine et pourrait avoir été capturé,. Cependant, le Pentagone n’a pas annoncé cette possibilité

Le ministère de la Sécurité d'État de la République populaire autoproclamée de Dontesk (RPD) a noté qu'il n'avait aucune information sur la captivité d'un général américain, bien qu'il n'ait pas exclu la présence d'instructeurs étrangers.

« Je ne connais aucun commandant militaire majeur d'États étrangers. Peut-être y a-t-il vraiment un certain nombre d'instructeurs étrangers », a déclaré, Andrey Pinchuk, ministre de la Sécurité d'État de la RPD.

Un peu plus tôt, des journalistes rapportaient que des officiers de l'OTAN étaient encerclés à Marioupol. Mais l’information relayée par le journaliste russe n'a reçu aucun commentaire officiel du ministère de la Défense de la Fédération de Russie.

 
lundi, 04 avril 2022 23:46

Alliance anti-Rothschild Iran-Russie!

Pourquoi l'axe US/OTAN visiblement en colère d'une baisse de l'intensité des combats en Ukraine, panique au point de monter de toute pièce une faire basée visiblement sur un false flage et qui a pour nom le massacre de Boutcha?

il est claire que cette opération ratée d'évacuation des terroristes des brigades d'Azov ou " Daech blanc" dans les rangs desquels se trouvaient au moment de la prise de Marioupol pas mal d'officiers de renseignement français est resté à travers la gorge des Américains et des Otanien sinon une seule riposte celle de l'attaque à coup de missile air sol contre le parce d'énergie de Belgorod où Kiev affirme n'avoir joué aucun rôle aurait suffi. Et bien si l'Occident, lui même coupable des décennies de crimes de guerre, joue depuis quelques heures aux veuves effarouchés accusant la Russie de crime de guerre et partant exigeant que de nouvelles sanctions lui soient infligées, c'est qu'il aurait dû se passer quelque chose de grave juste après les pourparlers d'Istanbul , quelque chose en rapport avec les sanctions anti russes et propres visiblement à les affaiblir puisque désormais l'Occident réclame de "nouvelles sanctions pour punir la Russie du massacre de Boutcha".

 

Qu'est-ce qu'il peut bien être ce nouveau mobile? Al Jarida, le journal koweïtien y répond : l'intégration de la Russie au réseau bancaire iranien qui ont permis à l'Iran de contourner pendant 4 décennie les sanctions sans que son économie s'effondre ou qu'il connaisse des difficultés majeurs comme celles qu'ont connu le Venezuela et Cuba, pour ne citer que deux des pays les plus sanctions au monde avec évidemment l'Iran et la Corée du Nord. Remarquons que ce réseau bancaire sur quoi était revenu Wall Street Journal  refait surface dans les relations Iran Russie après que l'Iran eut annoncé étudier son ralliement au SWIFT russe. C'est donc l'ébauche d'une coalition "bancaire" qui est sur  le point de prendre corps et qui a visiblement pour mission de vampiriser le billet vert, de l'affaiblir. C'est un plus  quand on a déclaré la guerre contre le dollar. Voici ce qu'on dit le journal koweïtien :

"Une coopération parfaitement inouïe vient d'être nouée entre Iraniens et Russes, les premiers aidant les seconds à contourner les sanctions bancaires US. La banque centrale iranienne affirme qu’elle peut aider la Russie à contourner les sanctions. Une délégation d’experts iraniens se rend en Russie ce lundi pour apprendre aux Russes comment contourner les sanctions américaines, rapporte Al-Jarida. Citant une source informée du gouvernement iranien, le journal indique qu’une délégation de 25 experts du ministère iranien de l’Industrie, des Mines et du Commerce, et des spécialistes des mécanismes de contournement des sanctions américaines, se rend ce lundi 4 avril à Moscou pour transmettre leurs expériences et leurs connaissances dans ce domaine à leurs homologues russes.

Le journal ajoute, citant la même source, que les études préliminaires effectuées par la délégation, avant son déplacement en Russie, montrent que les sanctions imposées à la Russie sont plus importantes que celles contre l'Iran, mais qu’il était pourtant plus facile de les contourner car primo, elles n’étaient pas internationales et secundo, plus de 125 pays du monde ne sont pas engagés à les respecter.

Et de poursuivre: " Parmi les sanctions prises par les Européens à l’encontre de la Russie, la décision d’exclure certaines banques russes du réseau Swift est l’une des plus commentées. Mais ce blocage n’est pas efficace, car la Russie a créé un Swift distinct avec ses partenaires commerciaux. Le commerce avec la Chine, l'Inde, l'Iran, tout en utilisant une autre devise que le dollar contribuera à discréditer les sanctions et sera le début de la fin de la domination du dollar dans le commerce mondial.

Les autorités iraniennes sont prêtes à fournir à la Russie des données sur les mécanismes permettant de contourner les sanctions étrangères. Rappelons que l’Iran a une riche expérience dans ce domaine. Malgré le fait que toutes sortes de sanctions ont été introduites contre l'Iran, jusqu’à l’embargo sur le pétrole, l’économie de ce pays non seulement ne s’est pas effondrée, mais elle affiche souvent une croissance impressionnante. Ainsi, de 2000 à 2013, le PIB iranien a augmenté de plus de 120 %. Par exemple, en 2007, la croissance a dépassé les 30 %. Des options pour contourner les sanctions russes sont proposées par le directeur adjoint de la Banque centrale d’Iran, Mohsen Karimi. Selon lui, l’Iran est basé sur une vaste expérience de travail sous sanctions. Et cette expérience lui a permis de faire fi des diktats économiques et politiques américains, ainsi que des pressions des autres pays. "

lundi, 04 avril 2022 23:43

Tel-Aviv frappée aux missiles!

"Epée de Qods 2" commence; explosions en chaîne à Tel-Aviv et Gush Dan Monday, 04 April 2022 10:13 AM [ Last Update: Monday, 04 April 2022 12:24 PM ] Cette offensive hybride que Bennett et sa bande ont fait feu ces 72 dernières heures de tout bois pour l’empêcher de se produire et que tout, absolument tout, donnait pourtant pour imminente après cette spectaculaire trilogie « Beer Sheva-Hadera-Bnei Brak » où

les commandos palestiniens d’une force et d’une dextérité inouïes, loin d’être en quête de liquidations aveugles, ont réussi à liquider en moins de sept jours, 11 officiers sionistes dont et surtout le chef de la prison d’Ashkelon, et ce, en étendant étape par étape leur action depuis le Sud vers le Nord et en faisant en sorte que les casernes israéliennes se vident, et que leur contenu nauséabond en militaires, policiers soit déversé dans les rues, et que la vigilance frontalière se réduise,  et bien cette offensive hybride est là dans toute sa splendeur : Au bout d’une folle semaine d’opération commando soldée par le tonitruant échec de l’armée sioniste à Jenine où un kidnapping a tourné en affrontements, Tel-Aviv est secouée par une série d’explosions que son état-major nie : Et pourtant toute la région du centre sioniste, ses centaines de colons effarés à l’idée d’avoir en ce ramadan 2022 à revivre ce qu’ils ont vécu en mai 2021 ont entendu ces explosions, ces colons qu’hier soir encore le chef d’état-major israélien Kochavi ameutait car il prétend vouloir lancer d’ici les heures à venir une nouvelle opération militaire contre Gaza.
 

Mais ces explosions, elles se sont produites où ? La réponse à cette question est déjà apte à nous mettre sur la piste pour savoir si oui ou non une attaque de Gaza qui a annoncé hier soir que le principe de protection de Qods est sacré et qu’après l’attaques des hordes de colons contre Al-Aqsa, il affûte déjà ses missiles a eu lieu. Plusieurs déflagrations ont été entendues à l’est de Tel-Aviv, soit dans le cœur hi-tech et huppé de Gush Dan, cette zone dont le PIM est deux fois celui d’Autriche. Se pourrait-il qu’il soit agi d’une explosion identique à celle qui a frappé en avril 2021, l’usine Tomer, où les Sionistes fabriquent des Arrow 4 et des fusées Shavit ?

L'exercice naval combiné trilatéral intitulé « Ceinture de sécurité 2022 » et mené dans le cadre d'une coopération sécuritaire et militaire pour contrer les menaces existantes démontre la stratégie maritime à l’échelle internationale de la République islamique d'Iran.

L'Iran, la Russie et la Chine ont lancé en février 2022 l’exercice militaire conjoint intitulé « Ceinture de sécurité maritime 2022 » sous le commandement du destroyer iranien Jamaran dans le nord de l'océan Indien, avec des navires des trois pays qui ont frappé des cibles prédéterminées en mer.

 

Par peur d’attaques yéménites contre ses installations pétrolières, Riyad s’st vu obligé d’accepter la trêve.

Pendant les toutes premières heures suivant l’entrée en vigueur, le 2 avril, de la trêve annoncée entre Sanaa et la coalition saoudienne, cette dernière l’a violée à plusieurs reprises dans plusieurs provinces yéménites, marquant 159 cas de violation du cessez-le-feu dans les premières 24 heures.

Selon l’agence de presse yéménite YP Agency, les observateurs estiment fort probable que la coalition, comme elle a toujours l’habitude de faire, continue à violer la trêve par l’intermédiaire des parties locales, et cette fois-ci, c’est apparemment des factions rebelles opposés à Riyad et Abou Dhabi qui prennent en charge la mission.

Selon The Guardian, l'Iran a lancé une guerre combinée contre Israël, et s'il le veut, il peut le frapper de différentes directions. Une telle guerre ne peut être contrée que s'il y a plusieurs contre- fronts, d'où la coalition Israël/pays arabes/OTAN anti-Iran. Mais est-ce la solution ? 

La décision des États-Unis de se retirer de l'accord sur le nucléaire iranien a été une immense réussite personnelle pour l'ancien Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. Dans une vidéo divulguée, il s'est vanté d'avoir personnellement convaincu Donald Trump d'abandonner l'accord de 2015 entre Téhéran et les puissances mondiales.

C’est de loin la seconde vague de manifestation post-sommet du Néguev, où le MAE Bourita a pris honteusement part et qui secoue le Maroc : alors même que la Palestine prépare une nouvelle offensive contre Israël, les Marocains descendent massivement dans la rue aux cris : « L’entité sioniste, dehors ! »

Les autorités marocaines ont interrompu un rassemblement organisé cette semaine pour dénoncer le concert d’un groupe de musique israélien, selon le groupe d’activistes qui a organisé le rassemblement.

Selon le site Web Al-Araby qui cite une publication du Front marocain de soutien à la Palestine et contre sur Facebook, une veillée dénonçant la normalisation avec Israël et la présence d’une bande de musique israélien s’est tenue tard jeudi dans la région de Casablanca-Settat, mais a été « violemment » dispersée par les forces de sécurité, a déclaré le Front marocain de soutien à la Palestine et contre la normalisation dans un post sur Facebook vendredi.

Cette première manche que l'homme fort d'Islamabad a remporté contre l'axe US/GB et qui l'a conduit jusqu'à prendre le risque de dissoudre le Parlement et de s'écarter du pouvoir, pousse n'importe quel observateur à se poser la question suivante: quelles ont été les péchés de Khan qui ont provoqué un ire aussi radical des Américains dont l'ambassade aurait même menace le PM pakistanais de mort? Voici listés les six « péchés » commis par Imran Khan lesquels ont incité l'Amérique et ses alliés à comploter pour le renverser ? Il est vrai que le Premier ministre pakistanais l'a échappé bel au complot américain même si ce lundi certaines sources affirme qu'il se pourrait que l'opposition néolibérale puisse reformer le Parlement en allant frapper à la porte de la cour suprême. C'est connu, la conspiration américaine ne s'arrête jamais là où elle est bloquée et l'Amérique pourrait quand même  tenté par un coup d'État militaire, l'armée pakistanaise ayant déjà mené quatre coups d'État depuis la fondation du Pakistan, la plupart sinon tous, avec un arrangement américain. Mais est-ce que le peuple se tiendra-t-il dans la tranchée d’Imran Khan pour le protéger ? 

Imran Khan a commis six péchés majeurs que les États-Unis ne peuvent pas pardonner et qui les ont poussés à conspirer pour le renverser : le premier péché est son refus absolu de cesser de soutenir les talibans afghans, accentuant ainsi la défaite des États-Unis en Afghanistan.

Dans un communiqué publié le 3 avril, « Ashab al-Kahf » (Compagnons de la grotte), un groupe de résistance, a exigé le retrait complet des forces américaines d'Irak, rejetant toute tentative de justifier le maintien de leur présence. Le groupe a mis en garde que sa nouvelle campagne militaire contre les forces américaines en Irak baptisée « Opérations al-Qaïm» ciblerait la chaîne d'approvisionnement aux troupes.

 « Nous appelons tous les croyants qui se soucient de l'islam et de la patrie à aider à lancer des opérations militaires contre les convois d'occupation américains », indique le communiqué.

Le groupe de résistance irakien, Ashab al-Kahf, a également appelé le personnel de la sécurité irakienne récemment déployé sur un réseau de postes le long des routes d'approvisionnement des forces américaines à ne pas être des outils entre les mains des alliés des États-Unis en Irak. 

L'opération d’al-Qaïm a commencé peu après l'annonce d'Ashab al-Kahf dont les membres ont fait exploser hier dimanche 3 avril un convoi de ravitaillement des forces américaines dans la province septentrionale de Salaheddin avec un engin explosif improvisé.

 

Le journal turc Hürriyet a affirmé avoir pu accéder à des informations selon lesquelles Ankara s’apprête à établir un dialogue avec la Syrie.

Dans le processus qui semble commencer aujourd’hui pour essayer de mettre fin au conflit en Ukraine, Hürriyet voit une nouvelle opportunité censée ouvrir un nouveau chapitre dans les relations Ankara-Damas.

« Vu le rôle qu’elle a assumé au cours de ces derniers mois, en rapport notamment avec la guerre de l’Ukraine, un dossier sur lequel la Russie semble totalement se focaliser, la Turquie se croit capable de créer une bonne opportunité pour résoudre la question syrienne. Certaines sources en Turquie estiment que la politique d’équilibriste d’Ankara est d’une grande importance pour beaucoup de pays surtout les Européens. Un règlement de la crise syrienne, avec la contribution de la Turquie, impactera sans doute beaucoup d’autres dossiers liés à la politique étrangère d’Ankara, disent certaines sources en Turquie. »