تقي زاده

تقي زاده

Un groupe de gens de la ville d’Ispahan, parmi eux Abu al Abas Ahmad fils d’al Nasr, Abu Ja’afar fils d’Alawiya. Ils ont dit : Il y avait à Ispahan un homme nommé Abderrahmane et il était shiite. Quelqu’un lui dit : Quelle est donc la raison qui t’a convaincu pour adhérer à ceux qui professent l’Imamat d’Ali an Naqiy et pas un autre que lui parmi les gens de son époque ? Il a dit : J’ai vu ce qui m’a convaincu de cela. En effet, j’étais un homme pauvre mais doué d’une langue éloquente et arrogante, ce qui a fait que Les gens d’Ispahan m’ait expulsé une année avec un groupe. Nous sommes arrivés devant la porte d’Al Mutawakil en faisant mine d’être opprimés. Un jour alors que nous étions devant la porte d’Al Mutawakil, l’ordre fut donné de captiver Ali fils de Muhamed fils de Ridha. J’ai dit à mon entourage : Qui est cet homme qu’ils vont capturer ? Il m’a été dit : C’est un homme Alawite, les Rafidhas le considèrent en tant qu’Imam. Et ils rajoutèrent : On pense qu’Al Mutawakil a donné l’ordre de le ramener pour le tuer. Je me suis dis, je ne bougerais d’ici que lorsque j’aurai vu à quoi ressemble cet homme. Il dit : un homme est arrivé sur un cheval et les gens se sont levés et se sont mis en rang à droite et à gauche sur son chemin et ils le suivirent du regard. Lorsque je l’ai aperçu, je me suis levé et je l’ai regardé et son affection a pénétré mon cœur. Je me suis mis à implorer Dieu pour lui dans mon cœur afin qu’Il le sauve du mal d’Al Mutawakal. Il continuait à chevauché entre les gens alors que son regard était posé sur le flanc de sa monture, sans regarder à gauche ni à droite. Je continuais à invoquer pour lui et lorsqu’il arriva à mon niveau, il me regarda et il me dit : Allah a agréé tes invocations, Il a rallongé ta vie, amplifié ta richesse et ta descendance. On est revenu après cette histoire à Ispahan et ainsi Allah a répandu sur moi une fortune au point que j’ai derrière ma porte l’équivalent de mille et mille dirhams hors ma fortune qui est à l’extérieur de ma maison, j’ai eu dix enfants et j’ai atteint plus de soixante dix ans. Depuis je professe l’Imamat de cet homme qui a su ce qu’il y avait dans mon for intérieur et Allah a exaucé ses invocations à mon égard.

Un groupe de gens de la ville d’Ispahan, parmi eux Abu al Abas Ahmad fils d’al Nasr, Abu Ja’afar fils d’Alawiya. Ils ont dit : Il y avait à Ispahan un homme nommé Abderrahmane et il était shiite. Quelqu’un lui dit : Quelle est donc la raison qui t’a convaincu pour adhérer à ceux qui professent l’Imamat d’Ali an Naqiy et pas un autre que lui parmi les gens de son époque ? Il a dit : J’ai vu ce qui m’a convaincu de cela. En effet, j’étais un homme pauvre mais doué d’une langue éloquente et arrogante, ce qui a fait que Les gens d’Ispahan m’ait expulsé une année avec un groupe. Nous sommes arrivés devant la porte d’Al Mutawakil en faisant mine d’être opprimés. Un jour alors que nous étions devant la porte d’Al Mutawakil, l’ordre fut donné de captiver Ali fils de Muhamed fils de Ridha. J’ai dit à mon entourage : Qui est cet homme qu’ils vont capturer ? Il m’a été dit : C’est un homme Alawite, les Rafidhas le considèrent en tant qu’Imam. Et ils rajoutèrent : On pens

 
dimanche, 25 juillet 2021 12:39

Irak: les USA frappés à Erbil...

Vendredi à Erbil, vers 1.30 du matin, heure locale, alors même que les États-Unis tentaient une énième manœuvre de diversion à l'adresse de Bagdad en cherchant à pousser sa haute délégation en visite à Washington à se livrer à des contorsions verbales et à remplacer le terme "troupes américaines" par "conseillers militaires" puis à remettre les compteurs à zéro,

à savoir maintenir en état les accords militaires signés sous Obama et sauver de la sorte la présence militaire US en Mésopotamie, quelque chose de parfaitement inattendu a eu lieu à Erbil, haut lieu d'espionnage d'Israël en Irak. Pour la quatrième fois consécutive depuis le mois d'avril, la Résistance a donc lancé ses drones sur la base ultra protégée de Harir qu'on sait être "fortifiée" à la suite des attaques précédentes ayant visé tour à tour le QG de la CIA puis un peu plus tard le centre des forces spéciales US et tout ceci sur fond de deux super raids éclair, là encore impliquant drones-missiles contre le Mossad à deux mois d'écart, le premier ayant eu lieu le 10 avril et le deuxième le 26 juin et tous deux particulièrement sanglants avec en amont des morts tous des officiers du renseignement sioniste.

Sur la nature de cette nouvelle frappe au drone que la Résistance a aussitôt revendiquée et que le porte-parole de la coalition, le colonel Wayne Marrotto, bien au contraire à son habitude, a tout de suite reconnu, peu d'informations sont disponibles si ce n'est ce communiqué, repris par Sabereen News où "Liwa al Thaerin", le quinzième groupe lié à la Résistance à avoir mené ces 12 derniers mois des frappes directes contre les bases US la revendique et affirme : « Nous revendiquons l’attaque visant la base d’al-Harir, à Erbil, au Kurdistan irakien, qui abrite les occupants américains peureux et leurs mercenaires et espions. Cette opération qui a été menée vendredi 23 juillet à 2H00 du matin, par des drones armés, a infligé des dégâts au matériel militaire des Américains », indique le communiqué. 

La référence directe au terme "espion", puis le fait que les drones de la Résistance ont frappé à Erbil et non pas à Bagdad, à Ain al-Asad ou a Balad et dans la zone verte, prouvent qie le coup, très millimétriquement calibré pour coïncider avec les premières déclarations publiques à l'issue des négociations de Washington porte un message très clair : la Résistance irakienne ne tolère pas non seulement la présence militaire US en Mésopotamie, mais vise aussi toute présence US qui serve à protéger Israël. 

Le vendredi justement, et peu après que certains médias proches des négociations ont affirmé que le Pentagone entend ne changer que de peau en Irak et préserver in fine et en dépite de la date du 31 décembre avancée comme étant celle de son supposé retrait, préserver quatre bases aériennes que sont Ain al Sada, Victory, al Towhid et aéroport de Bagdad, Qais Khazaili, l'une des figures anti US les plus coriaces de la Résistance a tweeté : " le maintien de la présence militaire des États-Unis en Irak ne profiterait qu’à l’ennemi israélien.  Les propos du ministre irakien des Affaires étrangères selon lesquels les forces de sécurité ont toujours besoin d’une aide américaine font déplorer et sont rejetés non seulement par nous, mais aussi par tous les Irakiens qui sont fiers de leurs forces sécuritaires et militaires.

Les déclarations de Fouad Hossein ne reflètent pas les vraies capacités des militaires de l’armée, des effectifs de la police fédérale, des combattants des Hachd al-Chaabi et des forces de l’Organisation antiterroriste et les expériences acquises par ces derniers durant la lutte contre Daech. Ce qu'ils laissent entendre c'est que des parties cherchent à prolonge la présence d’Israël en Irak, à proroger les incendies, l'insécurité, la destruction des infrastructures et ceci on ne le permet pas même si cela nous demanderait d'opérer au-delà des frontières irakiennes.  Il n’est plus caché à personne que la présence des Américains en Irak n’a rien à voir avec les intérêts irakiens et qu’elle ne sert que ceux du régime israélien que les Irakiens considèrent comme leur ennemi numéro un. »

La mise en garde est claire : la frappe aux drones contre Harir dont les détails et les cibles ne tarderont pas à être publiés dans les heures à venir, semble surtout être un message direct à l'adresse des USA destinés à leur faire comprendre qu’il est bien temps que Washington lâche pour de bon Tel-Aviv et surtout ce plan de bunkérisation des zones limitrophes d’Israël qui depuis que la Résistance a déclaré la guerre ouverte contre l'occupation américaine hante l'esprit des décideurs de la Maison Blanche. 

Depuis plusieurs jours déjà les agences de presse évoquent le retrait des milliers de soldats US du Qatar leur redéploiement en Jordanie, juste sur les frontières avec la Syrie et l'Irak là où Bide a commis la grave faute de bombarder la Résistance le 26 juin pour les beaux yeux d’Israël. Ces milliers de soldats US munis de chars et de blindés qui occupent désormais toute la bordure frontalière jordanienne avec l'Irak auraient de facto la mission de protéger l'entité sioniste contre missile et drone "irakiens" qui ont prouvé au mois de mai et en pleine guerre Israël/Gaza qu'ils ont largement la capacité d'atteindre avec précision le nord d’Israël. Les analystes tendent à ajouter aussi à ce tableau ce déploiement massif de F-16 US à King Khald base US non loin de Riyad qui devraient eux aussi être activés contre la Résistance irakienne évidement non pas pour protéger Ben Salmane tombé en disgrâce aux yeux de l'administration SU mais Israël. 

Mais le compte n'y est pas  : la quatrième attaque au drone de ce vendredi contre Erbil  prouve parfaitement qu'Israël ne peut plus tenir en l'état en Irak et que l’obstination US à l'y préserver, mettrait en péril la vie des soldats américains. Car cette attaque reflète non plus une tactique, mais une stratégie. Mais le jeu ne vaut-il la chandelle? A moins qu'on n'y voit à travers cette obstination US à ne quitter l'Irak des intérêts pétroliers énormes en jeu, la réponse serait  non : en effet ce pétrole syrien que les troupes US détourent à Deir ez-Zor avant de le pomper vers le Kurdistan irakien, la Tuqruie d'Erdogan le charge via le pipeline Erbil-Ceyhan puis les pétroliers Chypriotes et grecs et italiens à destination d'Ashkelon. Or ce trafic devra cesser quand la Syrie est sous sanction et en manque d'énergie et que le Liban, autre pays de la Résistance en souffre aussi. 

La fin de la présence israélienne à Erbil, les drones l'obtiendront, c'est en substance que dit Qais Khazali et les USA se trompent s'ils croient que le fait d'entreposer leurs troupes en Irak, en Jordanie, à l'effet d'éviter une contagion d'attaque de drone vers Israël, permettrait une quelconque entorse à ce plan de dés ionisation du pétrole syro-irakien. En mai, Gaza a bien prouvé à quel point le sort de l'exploitation gazière d’Israël était à la merci de sa capacité balistique. La Résistance irakienne, elle, est largement tentée, au regard des tergiversations US à lâcher prise, de prouver que le blocus énergétique visant deux pays de la Résistance, Liban et Syrie, peut à tout instant changer de camp.... A quoi rime cette mise en garde? Aux attaques aux missiles-drones anti US en Syrie orientale de la première semaine de juillet, pourrait bien répondre le ciblage de plus en plus large des intérêts sionistes, y compris pétroliers à Erbil.  A Erbil, il n'y a pas que le Mossad au Kurdistan irakien où les sociétés sionistes agissent sous fausse identité. Les prochaines verraient peut être des frappes aux drones conjuguées visant simultanément US/Israël en Syrie et en Irak. Après tout, le Mohajer-6, drone tactique irakien a tout pour faire ce genre d'opération. 

Le drone Mohajer-6, connu pour ses prouesses contre Daech made in US, est le dernier membre de la famille des avions sans pilote Mohajer, de la catégorie des drones de combat tactiques, qui peut être utilisé dans une variété de missions militaires et civiles. La portée opérationnelle de cet «oiseau télécommandé» est d'environ 2 000 km. Il a la capacité de transporter 40 kg de charge, mais dans un essaim, cela devient bien plus grand. Il peut aller jusqu'à 200 kilomètres à l'heure et est capable de transporter 2 bombes intelligentes et un point-and-shoot vertical optique-thermique sous ses ailes. Il dispose également d’une composante d’attaque et est à même de transporter des projectiles à guidage de précision. Le Mohajer-6 a une autonomie comprise entre 16 et 24 heures et est équipé d’au moins deux missiles anti-chars Sadid 345. Pour le décollage et à l'atterrissage, il utilise un système électro-ionique intelligent furtif à GPS puisque iranien. Cette prouesse puisqu'il rend l'appareil totalement indépendant des réseaux de télécommunication US-Israël dans la région profite également d’une grande flexibilité. Munie de capteurs électro-optiques et d'ogives, la bombe intelligente Qaëm rend le drone Mohajer-6 plus puissant et lui permet de localiser, d’intercepter et de frapper des cibles immobiles ou mobiles, aussi de jour que de nuit.

Envoyer deux essaims de Mohajer-6 quelque part sur la frontière syro irakienne de façon à ce que les deux essaims visent à la fois l'axe US/Israël à l'est de la Syrie et à l'ouest et au nord d'Irak est loin d'être difficile. Surtout si la Résistance irakienne est dotée d'un kit composé de Tiam 1400 et de Taha 1400, deux dispositifs  qui ont été conçus pour être déployés sur le drone Mohajer-6. De quoi il s'agit? Tiam 1400 est un système de détection et d'alerte d'ondes radar qui pèse moins de 5 kg et qui fonctionne avec une alimentation de ville directe de 12 V ou 220 V. Et après des opérations de reconnaissance et de détection, il transmet les informations relatives aux radars ennemis au système de guerre électronique Taha 1400. Quant au système Taha 1400 qui pèse environ 6 kg et, comme le système précédent, il est alimenté par des courants de 12 ou 220 V et est capable de perturber les radars ennemis. Ce super complexe Tiam-Taha-Mohajer 6 ne ratera aucune cible, aussi éloignée soit-elle. 

dimanche, 25 juillet 2021 12:38

Israël arrête un vrai-faux commando!

L'armée d'occupation israélienne a passé de nombreuses heures à retrouver deux Africains entrés du Liban depuis le nord de la Palestine occupée. Un commando du Hezbollah?!

La recherche de ces deux hommes a été si difficile pour l'armée israélienne qu'elle a nécessité une grande mobilisation militaire et un état d’alerte.

Selon les médias israéliens, l'utilisation d'hélicoptères et des fusées éclairantes, la fermeture de plusieurs routes entre la base militaire de Piranit et colonie Sasa et celles entre les ruines archéologiques de Baram et la colonie Baram font partie des mesures prises par l'armée israélienne. De plus les habitants de la région ont été invités à rester chez eux.

 Selon les medias sionistes Finalement l’armée israélienne les a arrêtés dans la matinée, indiquant qu’ils étaient très probablement des immigrés, apparemment des Soudanais qui avaient traversé la frontière avec le Liban pour entrer en Israël dans le but de trouver du travail.

Le correspondant militaire israélien du journal conservateur israélien Makor Rishon a commenté cet évènement

Selon lui, vu que l'armée israélienne a passé des heures à retrouver deux infiltrés africains depuis le Liban, combien de temps leur faudra-t-il pour trouver un commando spécial entrainé du Hezbollah?

dimanche, 25 juillet 2021 12:37

Syrie : Révolte anti-Israël de Poutine?

Le mardi 20 juillet, à peine quelques heures après le premier raid aérien de l’ère Bennett lancé contre le site militaire syrien, al-Safira, situé dans le sud d’Alep,

que d’aucuns estiment avoir été une tentative de riposte recommandée par le Pentagone après que ses bases de détournement de pétrole eurent été à cinq reprises pris pour cible à al-Omar et à Connoco de missiles et de drones de la Résistance est-syrienne, et ce, de manière parfaitement synchrone avec des opérations balistiques anti-US d’une régularité inouïe, d’une précision et d’une efficacité inouïe  pendant cette même période en Irak,  des avions de transport américains ont atterri en Israël depuis la base de Ramstein, QG de l’EUCOM, amenant à leur bord troupes et matériel de l'US Air Force.

Sur le papier, c’est le Juniper Falcon 2021 « prévu de longue date » et « reportée en raison de la pandémie » qui se prépare, et ce, pour une durée de deux semaines, mais quand on sait que cela fait des mois que l’entité israélienne a quitté l’EUCOM pour se faire réintégrer sur l’ordre du Pentagone au sein du CentCom, là où il devrait aider les acolytes golfiens de Washington à faire face à la toute-puissance balistique et « dronesque » de la Résistance et qu’aux dernières nouvelles cette l’entité traverse  son cinquième pic de Pandémie et de la pire variante à savoir Delta, on a du mal à croire que "Juniper Falcon 2021" qui mobilise dans sa foulée, tout ce que l’Amérique comptes d’affidé en Europe et en Afrique soit tenu tout bonnement pour respecter un calendrier retardataire.

Quelle urgence a poussé l’axe US/Israël à s’agiter si nerveusement ?

Car rappelons aussi un autre fait concomitant, également très très parcimonieusement médiatisé, à savoir cet autre exercice de drones dit « sans précédent » qu’Israël a organisé à partir de 12 juillet sur la base de Palmachim, au sud de Tel-Aviv, cette base qui s’est fait parler d’elle en mai, quand la Résistance l’a visée à coup de ses roquettes et de ses missiles sans que le système de DCA, Arrow y présent, ne soit capable de lever ne serait-ce qu’un instant le petit doigt. A Palmachim, site de campement de Hermès- 450, ce sont encore les éléments de l’EUCOM, à savoir les USA, la Grande Bretagne, la France, l’Italie et l’Allemagne  qui se sont entraînés à piloter des drones, à simuler des opérations de soutien aux troupes terrestres, des exercices de repérage et de frappe d'unités ennemies, et des opérations conjointes avec des avions pilotés ou contrôlés à distance, l’ennemi étant évidemment l’axe de la Résistance.

Déjà un premier niveau d’analyse se dégage : Après sa tonitruante défaite en mai face à l’une des plus complexe opérations balistiques jamais réalisée dans l’histoire conjuguant 4000 missiles et roquettes des dizaines de drone, Israël est de facto supprimé de CentCoM, là où son armée de l’air, seule composante de toute son armée qui fonctionne encore, il est diagnostiqué militairement mort,  pour être à nouveau placé sous perfusion de l’OTAN qui s’est mobilisée dans son complet pour faire face à la fois à la toute-puissance dronesque de la Résistance mais aussi ses capacités balistiques, car "Juniper Falcon 2021" est essentiellement axé sur la menace des « missiles balistique ». Mais voici que tout ce branle le bas de combat fait dès le début un très bruyant pschitt !

Le raid aérien contre le sud d’Alep sur quoi l’entité sioniste avait travaillé et retravaillé depuis 25 mai, en y activant ses F-35 et en prenant toutes les précautions nécessaires puisque le coup a été lancé sous la protection US depuis al-Tanf, c’est-à-dire de l’est vers le nord, jusqu’ici quasi dépourvue du bouclier défensif puisque la Russie s’en foutait qu’Israël frappe la Syrie ou la Résistance. Mais c’était sans compter avec de très rapides évolutions qui se font  dans le ciel du levant où les missiles anti US, anti Israël, de croisière ou balistiques, ainsi que les drones de la Résistance,  repoussent et mettent au pas  les avions israéliens, américains et otaniens et où  Buk, Pantsir-S, Khordad-3 Khordad-15 réussissent, en opérant de façon intégrée et même sans avoir besoin de recourir aux S 300 S400 ou à Bavar 373, de ratatiner les gadgets « aériens » de l’axe US/OTAN/Israël que son complexe militaro-industriel a vendu pendant des décennies au monde entier comme arme-miracle et qu’Ansarallah, les Hachd al-Chaabi, Gaza et le Hezbollah ont ratatiné et discrédité irréversiblement.

Le 18 juillet, 7 des 8 missiles de croisière sioniste de type « Spice 1000 », tirés sous la supervision du Pentagone planté à al-Tanf,  ont été interceptés et détruits sous les yeux ahuris d’un Israël qui a raté son numéro sous les yeux réprobateurs des maîtres et alliés US/Europe qui depuis l’opération "Epée de Qods" font feu de tout bois pour rattraper le coup… sans succès. Deux jours plus tard, il a fallu une seconde frappe encore pire en termes de performance pour que le camp US comprenne et les dés sont jetés et que la donne aérienne est définitivement tourné en leur défaveur.

Le 21 juillet les 4 missiles de type « Spice 1000 », lancé conter al Quseir, à Homs ont encore loupé leur objectif, l’un ayant même été intercepté dans le ciel du Liban, confirmant la crainte de l’Entité qui a assisté ces dernières semaines à l’interception et à la destruction-éclair de ses drones les mieux vantés, Hermès-450, entre autres dans le ciel du sud Liban, d’avoir à éviter la ligne de mire anti aérienne du Hezbollah. A l’heure qu’il est, le dispositif de brouillage de « Spice 1000 » se trouve aux laboratoires de rétro-ingénierie de la Résistance.

Mais le 22 juillet, Israël n’en était pas au bout de sa surprise. Ce samedi, Avia.pro, site proche du ministère russe de la Défense écrit  :

« L'armée russe en Syrie a reçu l'ordre de repousser les attaques de l'armée israélienne en interceptant des missiles, ainsi que de détruire les avions de l'armée de l'air israélienne au cas où l'armée israélienne déciderait de répéter l'attaque depuis l'espace aérien syrien ou au-dessus des eaux neutres de la Méditerranée. Avant l'incident de cette semaine, la partie russe a ignoré les attaques des forces israéliennes, cependant, elle a reçu l'ordre inattendu d'utiliser les défenses aériennes existantes pour repousser les attaques. Selon un certain nombre de données, l'armée russe contrôle désormais entièrement l'espace aérien des républiques arabes dans les territoires contrôlés par l'armée syrienne."

Et d’ajouter : «  La Russie a changé d'attitude à l'égard des frappes aériennes israéliennes en Syrie - les officiers de l'armée de l'air russe commandant des batteries de missiles syriens auront désormais la latitude d'intercepter des missiles israéliens ou des avions israéliens s'ils franchissent la frontière et pénètrent dans l'espace aérien syrien ou même s’ils opèrent tout autour. Des sources militaires russes rapportent que lors de l'attaque du 19 juillet dans la région d'Alep, le système de défense aérienne syrien a intercepté 7 des 8 missiles de précision tirés par des avions israéliens sur des cibles.

Le raid du 22 juillet d’Israël a également été tourné au fiasco. Selon des sources militaires russes, le changement de politique russe est intervenu après que le président russe Poutine a reçu un signal de la Maison Blanche à Washington indiquant que l'administration du président Joe Biden n'accepterait plus de soutenir les attaques israéliennes en Syrie. Washington n’est pas non plus content des raids israéliens en cours. Si ce rapport est correct, après tout, ce n'est pas seulement un changement dans l'attitude de la Russie envers les attaques israéliennes, mais aussi un changement dans la politique américaine envers les opérations militaires d'Israël en Syrie, selon DEBKAfile, site proche du renseignement de l’armée israélienne ».

L’entité sioniste devra se sentir bien groggy, à l’heure qu’il est, de ce concours de la Résistance  même si la version d’Avia.pro demande quelques rectificatifs. Au fait, ce n’est pas tant un choix pour l’Amérique qu’une obligation que de frapper à la porte des Russes non pas tant pour calmer un Israël qui depuis le 21 mai date de sa capitulation face à la Résistance  est militairement mort, et géostratégiquement, inutile que pour « contrer » par Poutine interposé la guerre  déclarée de la Résistance aux yankee qui les poussant vers les portes de l’Irak est arrivé en Syrie  et qui instamment sous peu se solderait par des F-16, des F-15 voire des F-35 pulvérisés dans le ciel du Levant.

C’est curieux de voir l’empire finissant se fier à l’ennemi russe pour se mettre à l’abri des foudres de la Résistance que les Russes savent apprécier à sa juste valeur. A Saint Pétersbourg, la flotte iranienne est l’invitée de marque de Poutine et certaines sources y voient déjà une tempête navale irano-russe à venir en Méditerranée….

dimanche, 25 juillet 2021 12:36

Ansarallah: le redoutable débâcle US

Depuis une dizaine de jours, 300 officiers des forces spéciales US se trouvent stationnés à Al-Anad au sud du Yémen, là où les Émirats avaient dressé depuis quelque temps un complexe militaire avant que les Saoudiens ne les chassent en les embarquant à bord d’hélicoptères pour que les Yankees puissent y débarquer.

Selon Al-Massirah, les Yankees y sont arrivés à bord de dizaines de blindés et munis de Patriot et de drones de reconnaissance. La chaîne yéménite affirme que ces renforts arrivent sur fond de cuisantes défaites de centaines de mercenaires qaidistes et daechistes que les Américains ont formés et entraînés ces dernières semaines à l’effet de les envoyer à al-Bayda et ouvrir un front de combat permanent en parallèle à celui de Maarib où l’échec US/Riyad/GB leur sera fatal. Mais la donne militaire, les USA sauront-ils l’inverser ?

Simultanément à une opération visant à sécuriser des districts d’al-Sawma’ah et d’al-Zahir dans le sud et le sud-est de la province d’al-Bayda, les combattants yéménites ont lancé des attaques-surprises contre le nord de la province précitée afin d’en finir avec les mercenaires pro-Hadi et les qaïdistes à la solde du régime saoudien.

Au cours d’une opération visant à libérer les territoires occupés, des mercenaires de la 19e brigade de la coalition d’agression saoudienne ont été assiégés et plus de 150 d’entre eux ont été tués ou blessés et des dizaines d’autres, capturés par des combattants yéménites.

Après avoir subi de lourdes défaites et des dégâts sans précédent sur cet axe, les commandants de la 19e brigade de la coalition saoudienne ont évacué une grande partie de leurs équipements militaires du secteur Nati par crainte de nouvelles attaques avant de les transférer vers les lignes plus sûres. 

Les combattants yéménites s’emploient à consolider pleinement leurs positions dans les zones nouvellement libérées. Ils envisagent d’ouvrir la voie au nettoyage complet des territoires occupés de la présence des spires dans des zones de Numan et Nati (à al-Bayda), ce qui pourrait mettre la coalition saoudienne dans une situation difficile.

65 % de Numan et 55 % de Nati ont été repris. Que fait Ansarallah ? Transformer le front que les USA ont ouvert à al-Bayda à l’aide des terroristes takfiristes à l’effet d’enliser la Résistance en une arrière-base où mettre à l’échec non seulement les Américains, mais encore de s’en servir pour reprendre totalement le contrôle de Maarib. Ainsi, ils ont parallèlement lancé une opération depuis Numan pour pénétrer le sud-est de la province de Maarib, où ils ont déjà propagé les affrontements.

La deuxième phase de l’opération est en cours à Nati où les combattants yéménites en ont pris le contrôle à 95 %.

Au cours des première et deuxième phases des opérations dans les secteurs Numan et Nati, les forces yéménites ont pu restituer environ 525 kilomètres carrés de territoire occupé et infliger des coups mortels à la coalition saoudienne.

Après la prise de contrôle de Numan et Nati, la sécurité de la province septentrionale d’al-Bayda sera assurée. Aussi, la voie sera ouverte pour que les combattants pénètrent dans les parties sud-ouest de la province de Shebwa et la partie sud-est de la province de Maarib, ce qui sera une catastrophe pour la coalition d’agression saoudienne qui perdra un autre fief au Yémen.

 Alors à quoi servent les 300 officiers US avec à leur actif 20 ans de présence en Afghanistan ?

dimanche, 25 juillet 2021 12:35

USA: les talibans sortent leurs MANPAD

Les talibans vont se venger des récentes frappes aériennes américaines en Afghanistan, a rapporté le site d’information Southfront.

Les États-Unis ont confirmé que leurs forces avaient récemment mené des frappes aériennes contre les talibans en Afghanistan, alors que les forces étrangères dirigées par les États-Unis sont aux dernières étapes de leur retrait du pays.

Le 22 juillet, le porte-parole du Pentagone, John Kirby, a déclaré aux journalistes que les frappes aériennes avaient été menées en soutien aux forces de sécurité afghanes (ANDSF) sans fournir aucun détail.

« Sans parler de détails,…, je peux dire qu’au cours des derniers jours, nous avons agi par le biais de frappes aériennes pour soutenir l’ANDSF mais je n’entrerai pas dans les détails tactiques de ces frappes », a déclaré John Kirby.

Plus tard, le porte-parole des talibans Zabihullah Mujahid a confirmé que les frappes avaient été menées dans la nuit du 21 juillet à la périphérie de la ville méridionale de Kandahar, tuant trois de leurs effectifs et détruisant deux véhicules.

« Nous confirmons ces frappes aériennes et nous condamnons cela dans les termes les plus forts, c’est une attaque claire et une violation de l’accord de Doha, car ils ne peuvent pas avoir d’opérations après mai », a-t-il déclaré.

Mujahid a ajouté que si les forces américaines poursuivaient leur opération, elles seraient responsables des conséquences.

Ce sont les premières frappes aériennes américaines depuis que le général Scott Miller, l’ancien commandant des troupes américaines en Afghanistan, a remis son autorité au général Frank McKenzie. Ils peuvent être un signe que l’armée américaine n’arrêtera pas ses frappes contre les talibans au moins avant le 31 août.

Compte tenu des tentatives de Washington de trouver un hôte pour ses troupes dans les pays voisins de l’Afghanistan, les frappes aériennes américaines pourraient menacer les talibans même après la fin du retrait américain.

dimanche, 25 juillet 2021 12:33

Pire scénario pour Israël?

Tel-Aviv est profondément préoccupé par le rôle croissant du Hezbollah dans la gestion de la crise au Liban, d’autant plus que les estimations montrent que le Hezbollah est capable de tirer 3 000 missiles en direction des territoires occupés en un seul jour de guerre.

Suite à la proposition douteuse du ministre israélien des Affaires militaires, faite conjointement avec le plan du secrétaire général du mouvement libanais du Hezbollah pour mettre fin à la crise économique libanaise, les médias sionistes ont fait état de vives inquiétudes des responsables sionistes par rapport à la crise au Liban.

En référence aux médias sionistes, le site web de la chaîne de télévision libanaise Al-Mayadeen indique que la crise politique et économique au Liban semble être au sommet des priorités dans les territoires occupés : craignant que le rôle croissant du Hezbollah ne touche à leurs intérêts, les autorités sionistes se servent de la mauvaise conjoncture économique au Liban et proposent de prendre le contrôle du pays.

Redoutant l’effondrement économique du Liban et le vide gouvernemental qui en résulte, Tel-Aviv est en état d’alerte, souligne Al-Mayadeen.

En effet, les milieux politiques en Palestine occupée affirment que la crise libanaise pourrait conférer au Hezbollah un rôle plus important à l’intérieur du pays au prix d’une réduction du pouvoir des groupes pro-américains. Au plus fort de la crise, le Hezbollah est venu en aide au peuple libanais à travers une série de plans et d’initiatives pour résoudre la thésaurisation des médicaments, de la nourriture et du carburant. Pour les Israéliens cette aide contribuera à développer ce qu’ils appellent « l’influence iranienne au Liban » ainsi que celle du Hezbollah, car selon eux « c’est l’Iran qui offre ces alternatives ».

Alors que Washington a cessé d’aider le Liban et fait pression sur le pays en l’assignant, la crise libanaise pourrait, selon des analystes israéliens, conduire à l’entrée de la Chine et de la Russie dans le pays au détriment de l’influence d’Israël sur les évolutions dans le pays.

Se penchant sur le rôle de la Russie au Liban, les groupes de réflexion en Palestine occupée affirmant que le « Liban fait partie des zones où la Russie compte étendre son influence ». Ils soulignent que « Moscou essaie d’accroître son influence dans le pays tout en poursuivant sa présence en Syrie » : Damas et Beyrouth sont pour Moscou « deux instruments imbriqués en termes de sécurité et d’économie dont l’instabilité de l’un affectera l’autre ». À noter que la Chine et la Russie ont offert au Liban d’importants investissements tels que la reconstruction du port de Beyrouth, d’une raffinerie de pétrole et d’infrastructures électriques.

Par ailleurs, les experts dans les territoires occupés sont nombreux à croire que la crise libanaise menace le régime sioniste et augmente la probabilité d’une guerre entre Tel-Aviv et le Hezbollah. Citant les sources de sécurité, le site web Walla affirme que la chute du Liban rapprocherait Tel-Aviv de la guerre.

Tel-Aviv est préoccupé par le développement continu du programme de missiles de précision de la Résistance libanaise ; un plan qui menace généralement le front intérieur de la Palestine occupée, les installations stratégiques telles que les centrales électriques et les infrastructures hydrauliques. Le Hezbollah, quant à lui, est équipé de systèmes de défense aérienne qui menacent la liberté d’action des forces aériennes de l’armée israélienne dans l’espace aérien libanais et régional.

Selon les estimations en Palestine occupée, le Hezbollah dispose désormais de 140 000 de missiles et est capable d’en tirer environ 3 000 sur les territoires occupés en un jour de guerre, soit les deux tiers des missiles tirés lors de la guerre de 12 jours depuis la bande de Gaza en direction des colonies sionistes.

La récente agression de Tel-Aviv sur la bande de Gaza a à son tour soulevé les inquiétudes des occupants quant au scénario le plus dangereux : une confrontation avec le Hezbollah. Selon le rapport d’Al-Mayadeen, des sources sionistes affirment que les capacités du Hamas sont dix fois moins importantes que celles du Hezbollah pour une armée sioniste qui n’était pas en mesure de contrecarrer les tirs de roquettes et de mortiers du Hamas.

C’est dans ce contexte que les ministres israéliens des Affaires et des Finances lanceront des plans l’année prochaine visant à achever la construction d’un mur à la frontière libanaise dont le coût est estimé à 300 millions de dollars. Le mur est censé empêcher les menaces du Hezbollah, y compris les attaques terrestres à grande échelle contre les colonies près de la barrière frontalière libanaise, ainsi que les positions de l’armée sioniste.

Les experts à Tel-Aviv tentent de convaincre les politiciens que, contrairement à la guerre avec le Hamas, toute guerre avec le Hezbollah nécessitera une avancée terrestre au Liban. Or, les récentes analyses effectuées par des centres de réflexion dans les territoires occupés montrent qu’une telle attaque profiterait probablement au Hezbollah en raison de ses capacités offensives qui ont largement été étendues ces dernières années.

De leur côté, certains responsables de la sécurité israélienne pensent que le Hezbollah, tirant la leçon de la guerre de Gaza, se prépare à d’éventuelles tensions pour contrer toute attaque-surprise de Tel-Aviv. Ce dernier est susceptible d’approuver tous les plans opérationnels qui, élaborés par le commandant nord de l’armée sioniste au cours des trois dernières années, couvrent une variété de scénarios lors d’une guerre avec le Liban. Ce qui illustre bel et bien le niveau de préoccupation des autorités sionistes.

À l’heure qu’il est, le régime sioniste devrait se déployer à augmenter la pression sur le Liban pour forcer le Hezbollah à faire des concessions sur la question des missiles de précision. Néanmoins, la pression croissante sur le Liban aura un impact négatif sur les intérêts de Tel-Aviv et conduira le Hezbollah à prendre des mesures fondamentales pour ouvrir la porte à la Chine et à la Russie. Quoi qu’il en soit, il ne fait aucun doute que les occupants n’ont pas une vision précise de l’interaction avec le Liban qui est désormais devenu un obstacle à tous les projets de Tel-Aviv.

samedi, 24 juillet 2021 11:27

100 Su-75 en route pour l’Iran?

L'Iran envisage de moderniser son armée de l'air. Il est donc possible qu’il conclue, dans un proche avenir, un contrat avec la Russie pour acquérir de centaines d'avions de combat de cinquième génération. Les Su-75 russes sont supérieurs aux chasseurs F-35, et sont d’un coût moins élevé. Un éventuel contrat de chasseurs légers de cinquième génération ne coûtera à Téhéran que 3 milliards de dollars.

Selon certaines analystes, les autorités iraniennes prévoient d'acquérir dans un proche avenir un gros lot d'avions de combat d'une valeur d'environ 3 milliards de dollars. Dans ce cadre, les chasseurs légers russes de cinquième génération pourraient être l’une des options vu que l'armée de l'air iranienne s'intéresse à l'acquisition d'avions de combat légers.

Les Su-75 russes sont capables d'affronter l'armée de l'air israélienne. Les avions de combat légers russes de cinquième génération surpassent les F-35i Adir en termes de qualités techniques de vol et de combat. Les analystes estiment qu'Israël fera tout ce qu'il peut afin d'empêcher de toutes les manières possibles un éventuel contrat entre l’Iran et la Russie.

Somme toute, les analystes estiment que Téhéran devrait être intéressé par l’acquisition des Su-75 russes.

 

samedi, 24 juillet 2021 11:26

Talibans menacent l'US Air Force

Après de nouvelles frappes américaines, les talibans ont déclaré qu'ils abattraient tous les avions américains.

Les talibans ont déclaré qu'ils avaient l’intention de procéder à la chasse aux avions américains, a rapporté l’agence de presse russe Avia.pro.

Après que l'US Air Force eut lancé des attaques surprises sur des territoires contrôlés par les talibans, entravant ainsi l'encerclement de Kandahar, les talibans ont annoncé qu'ils commençaient désormais à chasser les avions et hélicoptères américains.

Ces propos peuvent être de vraie menace pour les États-Unis et pourraient leur infliger de très lourdes pertes, car l'armée américaine a presque évacué son équipement d'Afghanistan, prévoyant de le retirer entièrement dans un avenir proche.

Des chasseurs F/A-18C de l'US Navy ont attaqué la veille Kandahar, Arghandab et Shah Walikot dans la province de Kandahar, selon l'agence de presse Avia.pro.

Les attaques auraient causé la mort de nombreux effectifs des talibans et perturbé une opération des talibans visant à prendre le contrôle de Kandahar.

En riposte aux actions des États-Unis, les talibans ont menacé d'attaquer des avions américains, et aujourd'hui, les talibans disposent d'un grand nombre de systèmes portables de missiles anti-aériens, de canons anti-aériens, etc., ce qui peut imposer de lourdes pertes aux États-Unis.