
تقي زاده
500 militaires sionistes tués à Gaza?!!
Selon le site Panorama al Chargh al Aussat , des fuites à partir de l'office du renseignement sécuritaire israélien font état de la mort de 497 militaires israéliens au cours de l'offensive sioniste lancée contre la bande de Gaza. ces fuites avancent un bilan de blessés et de morts et de suicides bien différent du bilan annoncé officiellement. sur ces 497 militaires israéliens tués, 113 étaient officiers. toujours d'après ces fuites, 879 militaires israéliens ont été blessés et ce chiffre est réparti entre les blessés légers et les blessés graves .Parmi ces blessés 362 sont officiers. 270 militaires israéliens tués étaient en possession d' un passeport étranger . 620 militaires israéliens étrangers ont été également blessés. selon les fuites , 166 soldats sionistes ont commis une tentative de suicide pour fuir les combats . 311 autres se sont tirés une balle. Les médias israéliens avaient reconnu une multiplication de cas de suicide dans les rangs de l'armée israélienne au cours de la seconde semaine de l'offensive. les soldats israéliens "suicidaires" s'étaient tirés des balles dans les pieds ! l'ordre du retrait partiel des troupes palestiniennes de Gaza a fait suite à ce rapport qui aurait mis en colère Netanyahu!!
Ammar Ibn Yasir
Il était aussi connu sous le nom de Abu yaqzan. Le nom de sa mère était Somayyah. Lui et ses parents étaient des pionniers dans l'embrassement de l'Islam, et il était la SEPTIEME personne à avoir déclarer sa foi.
Ses parents ont été torturés et exécutés par les incroyants de la Mecque, à cause de leurs conversions à l'Islam, mais Ammar a réussi à s'échapper à Médine. Ammar a lutté au côté de l'Imam Ali dans la bataille de Jamal (Chameau) et plus tard dans la guerre de Siffin où il a été tué sur-le-champ de la bataille par les soldats de Muawiyah, à l'âge de quatre-vingt-treize ans.
Le Messager d'Allah a aussi dit :
" Chaque prophète a donné par la volonté de Dieu sept vertueux compagnons. J'ai donné quatorze vertueux compagnons ". Il inclus en ceux là Ali, al - Hassan, al-Hossayn, Hamza, Ja'far, Ammar Ibn Yasir, Abu Dhar, Miqdad, et Salman.
Ibn Majah, dans son authentique Sunnan, a écrit que l'Imam Ali a dit :
"J'étais assis dans la maison du Prophète et Ammar a demandé de Le voir. Alors le Prophète a dit : " Bien venu le bon et le purifié ".
Ibn Majah a aussi écrit que Aicha a rapporté que le Messager de Dieu a dit : " Toutes les fois qu'Ammar a donné deux alternatives, il choisit toujours la plus vertueuse des deux ".
Il y a beaucoup de récits des plus authentiques dits par le Prophète (psl&sf) à propos de Ammar, tel que " Ammar est plein de foi ".
Le Prophète a aussi dit :
" Une bande de rebelles tuera Ammar ".
" Dans la Bataille de Siffin, quand la tête d'Ammar Yasir (RA) ai été coupés et prises à Muawiyah, deux personnes se disputaient sur lui, chacun clamait qu'il l'avait tué (Ammar) ".
Il a aussi été raconté que le Messager d'Allah (psl&sf) a dit :
"Le paradis désire ardemment trois hommes, Ali, Ammar et Salman ".
Références Sunnite : Sahih al-Tirmidhi, Vol. 5, p. 332, Tradition #3884,
De plus al-Tirmidhi a raconté :
Quand le Messager de Dieu a entendu que Ammar et ses parents ont été torturés dans la Mecque, il (psl&sf) a dit : " Membres de la famille de Yasir, soyez patient. Votre destination est le paradis ".
Référence Sunnite : Sahih al-Tirmidhi, Vol. 5, p. 233.
Donc, Ammar et ses parents étaient les premières personnes habitants du paradis selon les déclarations du Prophète.
Ici nous devrions dire : Quand un Musulman sait que le Prophète a recommandé ces deux importants compagnons (Abu Dhar & Ammar Ibn Yasir) si hautement, et s'il est croyant dans la véracité de Muhammad, il ne lui est pas permit d'insulter ces deux compagnons. Une telle insulte discrédite le Prophète. Comme nous l'avons vu, dans les traditions authentiques précitées dans les collections des six Sahih Sunnite, que le Prophète a dit-il à seulement quatre ou quatorze compagnons vertueux, hors de ses 1400 compagnons. De façon assez intéressante Abu Dhar et Ammar Ibn Yasir ont été mentionnés parmi ces très peu d'individus.
Nous trouvons que l'hostilité de Sayf Ibn Omar al-Tamimi, qui vivait pendant le deuxième siècle après le Prophète, et l'hostilité de ses étudiants envers les partisans des Ahl al beit, les a motivé pour étendre à bon marché de telle propagande. Sayf savait qu'en attribuant à ibn Saba la révolte contre Othman contredisait les faits historiques qui ont démontrés que les deux compagnons, Abu Dhar et Ammar, s'étaient opposés à Othman. Parce que Sayf savait que ces deux noble compagnons c'étaient opposés à Othman, il a donc essayé de salir leurs réputations en ajoutant les noms des deux compagnons les plus éminents à la liste d'étudiants de ce Juif fictif(ibn Saba).
Si Ibn Saba avait existé, il a déclaré son Islam après que Othman ai été tué. Maintenant laissez-nous supposer que nous acceptons ce que Sayf a prétendu à propos de cet Abdulhah Ibn Saba déclaré sa foi après que Othman serait venu au pouvoir. Abu Dhar et Ammar Ibn Yasir, de l'autre côté, avait été opposé au califat de Othman avant même qu'il n'ait été au pouvoir. Les deux compagnons étaient partisans de l'Imam Ali (a.s), et ils croyaient fermement que Ali avait été nommé par le Prophète pour être son successeur. Donc c'était leur croyance bien avant que Ibn Saba apparaisse dans l'histoire, il est clair que l'histoire de Sayf qui nous fait croire en l'existence d'un certain Ibn Saba, influensseur de compagnons est sans fondement et faux.
Donc pour clarifier le troisième califat de toutes les accusations de mauvaise gestion de la trésorerie Islamique, Sayf a accusé les rebelles qui étaient les étudiants d'Ibn Saba. Il a complété son histoire en ajoutant les deux nobles compagnons dans la classe des étudiants d'Ibn Saba alors que ces deux sages compagnons sont dans les premier partisan de l'école du Prophète Muhammad (psl&sf). Ils étaient parmi les compagnons les plus importants qui ont été honorés par le Prophète. En fait, Sayf par sa fausse histoire à été amené à contredire et repousser le témoignage du Prophète. Par ce, Sayf est démenti par les faits historiques et ses conte son a réfuté en entier.
Ammâr Tombe dans la Bataille
Les pertes en vies humaines, principalement dans les rangs de l'armée de Mu'âwiyeh, étaient très lourdes dans ces combats. Dans l'armée de 'Alî on enregistra notamment la perte de certains Compagnons distingués du Prophète, perte regrettée aussi bien par les partisans que par l'ennemi.
'Ammâr Ibn Yâcir était grièvement blessé lorsque Hâchim Ibn 'Otbah, le héros de Qâdiciyyah, tomba à côté de lui en combattant. En voyant Hâchim tomber, il s'écria en direction de ses compagnons: «O Hâchim, en ce moment-même, je vois le Ciel ouvert et les vierges aux yeux noirs, vêtues de robes de mariées, t'étreignant de leurs baisers affectueux». En chantant ainsi, il se rafraîchit avec sa gorgée favorite de lait coupé d'eau, et le vieux guerrier se battit à nouveau avec l'ardeur d'un jeune homme, attaquant les rangs de l'ennemi avant de tomber et de rencontrer le sort tant envié.
Pendant longtemps, on put entendre sur les lèvres de tout un chacun, aussi bien dans la ville que dans le camp, ce que le Prophète avait dit un jour à 'Ammâr: «Tu seras tué un jour par la partie rebelle et déviée, O 'Ammâr!». En d'autres termes, on interpréta la prédiction du Prophète comme voulant dire que 'Ammâr serait tué alors qu'il combattait du côté de la bonne cause.
Ainsi sa mort était la condamnation nette de la partie contre laquelle il avait combattu, et sema la discorde dans les rangs de l'armée de Mu'âwiyeh. Lorsque 'Amr Ibn al-'Aç apprit la mort de 'Ammâr, il tenta d'innocenter son camp en disant: «Et qui d'autre a tué 'Ammâr, si ce n'est 'Alî, le rebelle, en l'amenant ici?». Cette répartie intelligente courut à travers les rangs de l'armée syrienne et effaça tout de suite le mauvais présage dû à la mort de 'Ammâr. ("Annals of the Early Caiphate" de W. Muir, p. 382).
Selon d'autres versions, les dernières paroles de 'Ammâr furent les suivantes: «L'homme assoiffé désirait ardemment de l'eau, et tout près de lui une source jaillit, il descend dans la source et boit. C'est le jour joyeux de la rencontre avec les amis, avec Muhammad et ses Compagnons». (Al-Wâqidî, cité par W. Muir, dans son "Annals of ....", p. 382).
«Par Allâh! Je ne connais pas d'action qui fasse plus plaisir à Dieu que de guerroyer contre les vagabonds hors-la-loi. Je voudrais combattre même si j'étais sûr d'être emporté par une lance, car mourir en martyr et l'assurance d'aller au Paradis de cette façon ne peuvent être acquis que dans les rangs de 'Alî. Quel que soit le courage avec lequel les ennemis peuvent se battre, la justice restera de notre côté. Ils ne veulent pas vraiment venger la mort de 'Othmân, mais c'est l'ambition qui les conduit à la rébellion.
Suivez-moi, O Compagnons du Prophète! Les portes des Cieux sont ouvertes et les houris attendent de nous accueillir. Triomphons ici, ou rencontrons Muhammad et ses amis au Paradis!» Prononçant ces mots, il brandit son arme et plongea avec une violence désespérée dans le combat jusqu'à ce qu'il fût finalement cerné par les Syriens et tombât sacrifié par son propre courage. Sa mort incita les troupes de 'Alî à le venger alors que même les Syriens regrettèrent sa perte en raison de la haute estime dans laquelle le Prophète l'avait tenu». (Weil, "Geschicte der Chalifen", cité dans "History of the Saracens" de S. Ockley, p. 314).
Voyant 'Ammâr tomber, Mu'âwiyeh s'écria à l'adresse de 'Amr Ibn al-'Aç qui était assis à côté de lui: «Vois-tu quelles précieuses vies sont perdues à cause de nos dissensions?» «Oui, je vois, répondit 'Amr. J'aurais voulu que Dieu ne me laissât pas vivre jusqu'à ce que j'assiste à une pareille catastrophe».
'Ammâr Ibn Yâcir, le patriarche de la chevalerie musulmane, était âgé de quatre-vingt treize ans. Il avait combattu sous les ordres du Prophète à Badr et dans beaucoup d'autres batailles. II était dans cette dernière bataille le Commandant de la Cavalerie de l'armée de 'Alî. Il avait été révéré de son vivant et il fut pleuré après sa mort par tout le monde. Ayant été blessé mortellement par la lance de Jowayr Oskoni, il fut ramené à sa tente où se trouvait 'Alî qui le prit dans son giron, versa des larmes de deuil et pria sur lui.
Salmân al-Fârecî
Salmân, un vénérable vieillard, un commerçant d'origine persane et de confession chrétienne, mais à présent l'esclave d'un Juif de Médine.
Il attendait avec anxiété le Prophète promis dans les Ecritures, et se présentant devant lui, il l'identifia comme étant le Prophète Promis et embrassa sans hésitation sa Foi.("Salmân al-Fârecî (Salmân le Perse) était originaire d'une bonne famille d'Isfahan, et il avait abjuré, lorsqu'il était jeune, la religion de son pays pour embrasser le Christianisme.
Alors qu'il voyageait en Syrie un moine d'Amoria lui avait conseillé d'aller en Arabie où on attendait l'apparition d'un Prophète qui devrait rétablir la religion d'Ibrâhîm, et qu'il pourrait reconnaître au Sceau de Prophétie, entre ses épaules, entre autres choses.
Alors qu'il effectuait ce voyage, il rencontra Mohammad à Qobâ - où il se reposait pendant son voyage en direction de Médine, et reconnaissant en lui la personne qu'il cherchait, il se convertit tout de suite à l'Islam").
Quelques hadiths Concernant les merites de l`Imam Ali (AS)
Quelques hadiths Concernant les mérites de 'Alî, tirés de "Târîkh al-Kholafa" de Jalâl-ul-Dîn As-Suyûtî
1- Ahmad Ibn Hanbal dit: Ce qui nous a été transmis concernant les mérites de 'Alî, n'a été égalé par les mérites d'aucun des Compagnons du Messager de Dieu. (Al-Hâkim)
2- Citant Ibn 'Abbâs, Ibn 'Asâkir atteste: Le Livre de Dieu n'a révélé à propos d'aucune autre personne autant qu'il a révélé concernant 'Alî. Trois cents versets ont été révélés au sujet de 'Alî.
3- Al-Tabarâznî et Abû Hâtam rapportent qu'Ibn 'Abbâs a dit: Jamais le Seigneur n'a révélé les termes: «Ô vrais Croyants» sans que 'Alî y soit compris comme étant leur maître et leur chef. Le Seigneur a réprouvé à divers endroits les Compagnons du Prophète, mais IL n'a jamais mentionné 'Alî sans approbation.
4- Al-Tirmithî, al-Nasâ'î et Ibn Mâjah, citant Habachi Ibn Jonada, ont rapporté que le Messager de Dieu avait dit: «'Alî est de moi et je suis de 'Alî».
5- Al-Tabarânî rapporte, dans "Awsat", citant Jâbir Ibn 'Abdullâh, que le Messager de Dieu a dit: «Les gens sont de souches diverses, mais moi et 'Alî, sommes d'une seule souche».
6- Al-Tabarânî rapporte dans "Awsat" et "Çaghîr" qu'Om Salama a relaté: J'ai entendu le Messager de Dieu dire: «'Alî est avec le Coran et le Coran est avec 'Alî. Ils
ne se sépareront pas avant qu'ils arrivent à la fontaine de Kawthar au Paradis».
7- Ibn Sa'd rapporte que 'Alî a dit: «Par Allah, jamais un verset du Coran n'a été révélé sans que je voie maintenant ce qu'il a révélé et à propos de qui il a été révélé, car mon Seigneur m'a doté d'un coeur sage et d'une langue éloquente».
8- Ibn Sa'd et d'autres rapportent d'Ibn Tofayl, que 'Alî a dit: «Interrogez-moi sur le Coran, car il n'y a pas un verset dont je ne sache pas s'il a été révélé la nuit ou le jour, dans les plaines ou sur les montagnes».
9- Al-Tirmithî et al-Hâkim rapportent de 'Alî que le Prophète a dit: «Je suis la Cité du Savoir et 'Alî en est la Porte».
10- Ibn Mas'ûd rapporte que le Prophète a dit: «Regarder 'Alî est un acte de dévotion».
11- Ibn 'Asâkir, citant le témoignage d'Abû Bakr, écrit: Le Prophète dit: «Regarder 'Alî est un acte de piété».
12- Muslim rapporte que 'Alî a dit: «Par Celui qui a fendu les graines et créé l'âme, le Prophète m'a promis que ne m'aimera qu'un vrai Croyant et que ne me détestera qu'un hypocrite».
13- Al-Tirmithî rapporte qu'Abû Sa'id al-Khudrî a dit: «Nous avions l'habitude de reconnaître les hypocrites à leur haine pour 'Alî».
14- Al-Tabarânî, citant le témoignage d'Om Salma, rapporte que le Prophète a dit: «Celui qui aime 'Alî m'aura aimé et celui qui déteste 'Alî m'aura détesté, et celui qui m'aura détesté aura détesté le Seigneur».
15- Abû Ya'lâ et al-Bazzâr, citant Sa'd Ibn Abî Waqqâç, rapportent que le Messager de Dieu (P) a dit: «Celui qui injurie 'Alî, m'injurie aussi».
16- Ahmad rapporte, et al-Hâkim le confirme, qu'Om Salma a dit: J'ai entendu le Messager de Dieu dire: «Celui qui injurie 'Alî, m'injurie aussi».
17- Sa'id Ibn al-Mussyyab rapporte que 'Omar Ibn al-Khattâb avait l'habitude d'implorer Dieu de le préserver d'une situation difficile dans laquelle le père d'al-Hassan ('Alî) n'aurait pas été présent pour la résoudre, et qu'il dit un jour: «Personne parmi les Compagnons, à part Alî, n'avait l'habitude de dire "Interrogez-moi"».
18- Al-Tabarânî rapporte dans "Al-Awsat" qu'Ibn 'Abbâs a dit: «'Alî possédait dix-huit qualités éminentes qui n'étaient communes à aucun autre de ce peuple».
19- Al-Bazzâr rapporte en citant Sa'd, que le Messager de Dieu a dit à 'Alî: «Il n'est permis à personne ayant l'obligation d'accomplir l'ablution totale d'entrer dans la mosquée, excepté moi et toi».
20- Abû Ya'lâ rapporte qu'Abû Horayrah a relaté que 'Omar Ibn al-Khattâb avait dit: «'Alî a été doté de trois choses dont si je ne possédais qu'une seule, elle me serait plus précieuse que si on m'avait donné des chameaux de haute race». Lorsqu'on lui demanda quelles étaient ces trois choses, il répondit: «Son mariage avec Fâtimah, la fille du Prophète, son autorisation de rester à la mosquée dans le cas où cela me l'est interdit, et le fait d'avoir porté l'Etendard le jour de Khaybar».
21- Les deux Cheikhs (A. Bokhârî et Muslim), se référant à Sa'd Ibn Abî Waqqâç, rapportent que le Messager de Dieu, ayant décidé de laisser derrière lui 'Alî Ibn Abî Tâlib comme son Lieutenant pendant l'expédition de Tabûk, 'Alî lui dit: «Ô Messager de Dieu! Me laisses-tu derrière, parmi les femmes et les enfants?». Le Prophète répondit: «N'es-tu pas content d'être à moi ce qu'Aaron avait été à Moïse, à cette différence près qu'il n'y aura pas de Prophète après moi?»
22- Selon Sahl Ibn Sa'd, le Messager de Dieu dit, le jour de Khaybar: «Je confierai sûrement l'Etendard, demain, à un homme entre les mains duquel le Seigneur accordera la victoire, un homme qui aime Dieu et Son Prophète et que Dieu et Son Prophète aiment». Les gens passèrent la nuit à s'interroger sur l'identité de celui d'entre eux à qui l'Etendard serait confié. Une fois que l'aube se fut levée, ils se hâtèrent chez le Prophète, chacun d'eux espérant être l'heureux élu.
«Où est 'Alî le fils d'Abû Tâlib?» demanda-t-il. Ils lui dirent: «Il souffre d'un mal aux yeux». Il dit: «Faites-le venir». Ils l'amenèrent et le Messager de Dieu projeta un peu de sa salive sur ses yeux et pria pour lui. 'Alî fut rétabli parfaitement, comme s'il ne souffrait de rien, et le Prophète lui remit l'Etendard.
23- Citant Sa'd Ibn Abî Waqqâç, Muslim relate que lorsque le verset: «Venez! Appelons nos fils et vos fils, nos femmes et vos femmes, etc...» (Sourate Âle 'Imran, verset 61) fut révélé, le Messager de Dieu convoqua 'Alî, Fâtimah, al-Hassan et al-Hussayn et dit: «Ô Mon Dieu! ils sont ma Famille».
24- Al-Tirmithî et al-Hâkim confirment, en se référant à Borayda, que le Messager de Dieu dit: «Le Seigneur m'a ordonné l'amour de quatre hommes et m'a déclaré qu'IL les aime». On lui demanda: «Ô Messager de Dieu! Nomme-les». Il répondit: «'Alî en fait partie (il le répéta trois fois), Abû Thârr, al-Miqdâd et Salmân».
25- Abû No'aym rapporte dans "Al-Dalâ'il", en se référant au père de Ja'far Ibn Mohammad que: «Deux hommes ayant eu une altercation, furent amenés devant 'Alî qui s'assit au pied d'un mur». Un homme lui ayant dit: «Le mur va tomber», il répondit: «Va au ... Dieu est le Protecteur». Il jugea entre les deux parties et s'en alla. Le mur tomba après son départ.
26- Al-Tabarânî rapporte dans "Awsat", et Abû No'aym dans "Al-Dalâ'il", en citant Zaydan, que pendant que 'Alî relatait un hadith, un homme l'accusa de parler faussement. 'Alî lui dit: «Pourrais-je appeler l'anathème sur toi, si j'ai menti?». Il répondit: «Appelle-le». 'Alî le maudit, et lorsqu'il se retira de l'endroit sa vue l'avait quitté.
27- Abûl-Qâcim al-Zajjâjî relate dans ses "Dictées" que 'Alî travailla sur les principes de la langue arabe, "La Grammaire de la Langue Arabe".
Téhéran, grand rival de Washington dans les exportations pétrolières
« L’Iran risque de devancer les Etats-Unis en vendant du brut moins cher et plus qualifié à la Chine, l’un des plus grands clients du marché énergétique du monde », selon un rapport de Reuters.
Ce rapport du dimanche 27 juillet, souligne : « Après 40 ans, les Etats-Unis envisagent d’exporter pour la première fois du brut mais ils doivent d’abord tacler un grand rival : l’Iran ». Alors que certains clients du brut comme le Japon et la Corée du Sud voudraient acheter du brut iranien aux Etats-Unis, la Chine ne veut pas les préférer à l’Iran eu égard de ses contrats annuels signés avec l’Iran.
Les exportations pétrolières de l’Iran ont connu une hausse de 30% depuis l’allégement des sanctions à son encontre. A présent, entre 1,25 millions et 1,3 millions de barils de pétrole sont exportés par jour dont la plupart vont en Chine à partir du Pars-Sud.
Le Guide suprême a évoqué les causes et les origines de la tragédie qui se déroule dans la bande de Gaza
« La résistance ferme et armée des Palestiniens et son extension en Cisjordanie sont la seule solution pour faire face au régime sioniste » a affirmé l'Ayatollah Khamenei, Guide Suprême de la Révolution islamique.
Faisant allusion aux évolutions pénibles dans la bande de Gaza, lors d'une réunion de 150 minutes le 23 juillet 2014, avec quelques 1000 étudiants de différentes universités iraniennes, le Guide Suprême de la Révolution islamique a précisé que ces crimes inconcevables dénonçaient la réalité de ce régime cruel et infanticide, et que la solution était son anéantissement.
Évoquant les raisons et les origines des souffrances que subissent les habitants opprimés de Gaza, l'Ayatollah Khamenei a fait remarquer : «Cette situation est le résultat de la politique de violence et de «poigné de fer» appliquée à maintes reprises et avec fierté, par ce régime factice et illégitime, durant les 66 ans de son existence ».
Faisant allusion aux paroles de l'imam Khomeiny (que sa demeure soit au paradis), déclarant qu' «Israël doit être rayé de la carte», le Guide suprême a rappelé que l'anéantissement d'Israël ne signifiait pas la disparition du peuple juif de la région et qu'il existait un mécanisme cohérent pour régler ce problème que la République islamique d'Iran avait présenté à la communauté internationale. D'après ce mécanisme, a noté le Guide suprême, « les populations qui vivent en Palestine et en sont originaires, participeraient à un référendum pour s'exprimer sur le modèle de gouvernement qu'elles souhaitent, mettant fin ainsi à l'existence de ce r&eacut e;gime factice et usurpateur. Bien sûr, en attendant, des réactions puissantes et la résistance résolue et armée sont les seuls moyens pour faire face à ce régime dévastateur, meurtrier et cruel qui sera par la grâce et avec l'assistance de Dieu, anéanti».
Son Éminence a fait remarquer que ce serait une erreur de supposer que sans les missiles de Gaza, le régime sioniste se serait entendu avec les Palestiniens. « Même en Cisjordanie, où les gens ne possèdent que des pierres, ce régime tue et oppresse également les habitants cisjordaniens », a-t-il souligné.
Le Guide suprême a rappelé l'humiliation et l'empoisonnement de l'ancien leader palestinien, Yasser Arafat, par les sionistes, et déclaré : « Les occupants n'ont aucune considération même envers ceux qui font des compromis. Seuls la puissance et le combat des Palestiniens pourront éventuellement les faire reculer».
Évoquant les efforts des sionistes et de leurs partisans pour négocier un cessez-le-feu, l'Ayatollah Khamenei a déclaré : « Ce régime qui commet des crimes au-delà des limites de l'imagination et des pensées humaines, face à la puissante résistance des Palestiniens, se décourage et est à la recherche d'une solution pour sortir d'un problème qu'il a lui-même engendré. Cela prouve que le seul langage que les sionistes comprennent est le langage de la force. Nous pensons que la Cisjordanie aussi, doit être armée comme Gaza, et que ceux qui sont intéressés par le sort des Palestiniens doivent travailler dans ce domaine pour que les peines et les douleurs du peuple palestinien diminuent grâce sa puissance et à la faiblesse de l'ennemi sioniste ».
Son Éminence a déclaré que le soutien politique au peuple de Gaza était un devoir pour l'ensemble des pays musulmans et non-musulmans. Se référant aux manifestations dans le monde, contre la conduite sauvage du régime sioniste, l'Ayatollah Khamenei a exprimé l'espoir que lors de la Journée internationale de Qods, la grande nation iranienne aussi, manifestera avec ferveur son appui à la nation palestinienne opprimée.
L'Ayatollah Khamenei a également évoqué un slogan « Ni Gaza, ni Liban, je sacrifie ma vie pour l'Iran», scandé par des manifestants après les élections présidentielles de 2009, et a ajouté : « Ce groupe voulait donner une image déformée de la mentalité des Iraniens mais les gens les ont arrêtés et vendredi, les Iraniens montreront qu'ils sont toujours partisans des opprimés et ennemis des oppresseurs ».
Critiquant vivement la complicité éhontée et injustifi able des puissances arrogantes mondiales dirigées par les États-Unis, dans la catastrophe humaine créée par les sionistes, le Guide suprême de la Révolution islamique a ajouté : « Les événements de Gaza sont douloureux mais plus important encore est l'analyse correcte du comportement des puissances hégémoniques dans cet évènement. Un certain nombre de gouvernements occidentaux, en particulier les États-Unis et la Grande-Bretagne, soutiennent ouvertement ces actes criminels inacceptables pour tout être humain ordinaire. A propos de ce massacre des enfants, de ces destructions et de ces tortures, le Président américain a recours à une logique ridicule en disant qu'Israël a le droit de défendre sa sécurité alors que les Palestiniens n'ont pas le droit de défendre leur sécurité et leur famille».
L'Ayatollah Khamenei a déclar&e acute; que les dirigeants des pays arrogants ne se rendaient pas compte qu'en soutenant les sionistes malfaisants et destructeurs, ils nuisaient en fait, à leur propre prestige et à celui de leurs pays, devant les nations du monde, et que l'Histoire aura un jugement sévère sur leur complicité dans ces crimes contre l'humanité.
« Le soutien aux actes criminels des sionistes a des racines dans la démocratie libérale et dans une logique dépourvue de toute valeur morale et de compassion pour les douleurs et les peines humaines », a dit le leader de la Révolution.
Son Éminence a souligné que la défense éhontée des États-Unis en particulier, et de l'Occident en général, des actes criminels du régime sioniste devait être une expérience importante dans notre connaissance, nos points de vue et notre approche de l'Occident : « Nous devons considére r cet événement comme une expérience importante pour nous-mêmes et mieux connaitre les États-Unis. Cette expérience devra influencer nos réactions, notre jugement et notre comportement à l'égard des États-Unis, devenir un critère pour notre nation, nos étudiants, nos intellectuels et l'ensemble de notre peuple, et nous aider à comprendre la réalité et la vraie nature des États-Unis. Le comportement des puissances hégémoniques doit être jugé en fonction de leur injustice envers les opprimés de Gaza qui prouve qu'ils ne croient absolument pas au respect des droits de l'homme et que tout ce qu'ils disent à ce sujet, n'est que moquerie de la liberté et des droits de l'homme », a rappelé le Guide suprême.
L'Ayatollah Khamenei a souligné qu'il n'entendait pas donner des conseils aux responsables américains mais que ces paroles avaient un usage interne pour montrer aux responsables iraniens comment ils devaient se comporter à l'égard des ennemis et comment juger et analyser la situation.
« Les slogans anti-américains et anti-occidentaux qui se font entendre dans le pays viennent de la réalité et de la vraie nature des États-Unis alors que certains pensent à tort, que ces slogans sont le signe d'un comportement fanatique et illogique », a précisé le Guide suprême avant d'ajouter que l'approche anti-américaine et anti-occidentale en Iran, est une approche « rationnelle fondée sur l'expérience et des calculs corrects ».
L'Ayatollah Khamenei s'est référé à ses commentaires dans sa récente rencontre avec les responsables du gouvernement iranien, ajoutant : « Comme je l'ai dit, l'objectif principal de l'ennemi est de perturber nos calculs car des calculs sabotés, même avec des donné es exactes, nous conduiront dans la mauvaise direction et nous empêcheront de profiter de notre expérience».
L'Ayatollah Khamenei a ensuite énuméré quelques expériences de la nation iranienne sur le comportement de l'Occident au cours des dernières décennies, à savoir les effort pour l'avènement de la dynastie des Pahlavis, l'occupation de l'Iran au cours de la Seconde Guerre mondiale, le pillage de la rente pétrolière du pays, l'organisation d'un coup d'État contre le Premier ministre Mohamad Mossadegh, le soutien à la dernière dictature monarchique iranienne, la résistance après la victoire de la Révolution islamique, l'encouragement du dictateur déchu irakien Saddam Hussein à mener une guerre dévastatrice contre l'Iran et des dizaines d'autres actes criminels et hostiles qui dans l'ensemble, ont permis à la nation iranienne de gagner une expérience précieuse et une profonde connaissance de la vraie nature des États-Unis. « Ces intellectuels intoxiqués par l'Occident, leur système de calculs étant déformé, tirent des résultats incorrects de ces expériences amères », a fait remarquer le Guide suprême de la Révolution.
Son Éminence a déclaré que la naissance d'un raisonnement approprié avait été un des principaux services rendus par la Révolution islamique à la nation iranienne, ajoutant : « Contrairement à la nation, certains veulent permettre à ces tendances pro-occidentales humiliantes de prendre le contrôle des affaires du pays. Nous devons résister à cette tendance, et cette résistance est tout à fait rationnelle et logique ».
Dakar: Un millier de manifestants pro palestiniens défilent dans les rues
Plusieurs personnes ont manifesté, après la grande prière du vendredi, dans les rues de Dakar, la capitale sénégalaise pour soutenir la Palestine.
Un millier de personnes, selon la police, ont marché, vendredi à Dakar après la grande prière. La procession partie de la grande mosquée de Dakar est arrivée à destination à la place de l’Obélisque, soit une distance de trois kilomètres. Encadré par les forces de l’ordre, les manifestants ont dénoncé les bombardements israéliens sur Gaza.
Au point de chute de la marche, des personnalités politiques, religieuses et défenseurs des droits de l’homme ont rejoint les manifestants. Parmi eux, les parlementaires Mbaye Niang, Thierno Bocoum, Cheikh Oumar Sy, Mamadou Diop Decroix, le maire de Plateau Alioune Ndoye et l’ancien ministre Landing Savané. L’ambassadeur de l’Etat de Palestine, Abdel Rahim Alfarra et plusieurs Libano-syriens résidant à Dakar ont participé à la manifestation.
L’armée israélienne poursuit ses bombardements de Gaza, malgré les efforts diplomatiques pour obtenir un cessez-le-feu dans le conflit avec le Hamas, qui a déjà fait près de 750 morts côté palestinien et 35 côté israélien selon les services d’urgence.
La situation des musulmans aux quatre coins du monde
A l’approche de la fête de Fitr, parmi 1 600 000 000 de musulmans dans le monde, de nombreux musulmans vivent dans des conditions très difficiles.
A Gaza, le régime sioniste est entrain de massacrer la population civile de cette région qui vit depuis près d’un mois, dans la terreur. Plus de 1000 palestiniens dont 1/3 constitué de femmes et d’enfants, ont été tués et 6000 personnes blessées. Un grand nombre de gens ont perdu leur maison.
En Syrie, après quatre ans de conflits, plus de 9 millions d’habitants ont été obligés de quitter leur maison pour vivre dans des camps, et beaucoup de gens ont été tués.
Au Myanmar, la minorité musulmane des Rohingyas depuis 1982, a été privée de la nationalité birmane et est devenue la cible des attaques des bouddhistes extrémistes. Ces dernières années, un nombre important de musulmans ont été tués ou obligés de fuir dans les camps situés près de la frontière où ils sont exploités ou vendus comme esclaves. Le gouvernement n’a pris jusqu’à présent, aucune mesure pour la reconnaissance de ces musulmans qui vivent au Myanmar depuis des décennies.
En Afrique centrale, après le coup d’état et la chute du Président chrétien, les musulmans sont devenus la cible de chrétiens extrémistes et des milices chrétiennes africaines qui ont détruit les maisons, les mosquées, les biens des musulmans, et ont tué des milliers de femmes et d’enfants. Parmi la population de plus de quatre millions de musulmans, un millions vit en exil dans des conditions précaires.
En Chine, la minorité musulmane des Ouighours qui représentent huit millions de personnes vivant en majorité dans la région de Xinjiang, sont victimes de pressions gouvernementales spécialement pendant le ramadan où le jeûne et les activités coraniques sont interdits.
En Inde où vivent 140 millions de musulmans, les musulmans sont victime de discriminations dans l’emploi et les activités sociales et économiques. Avec l’élection de Narinda Moudi du Front national démocratique du Bodoland au poste de Premier ministre, le mois de ramadan cette année a été témoin de quatre meurtres de musulmans par les hindous extrémistes et 45 musulmans ont été abattus pour ne pas avoir soutenu le premier ministre.
En Angola, le gouvernement a déclaré l’islam comme illégal et ordonné la fermeture des mosquées. Le ministre de la culture a présenté l’islam comme une secte et l’a déclaré illégal. Parmi les 78 mosquées de ce pays, seules quelques mosquées dans la capitale ont été épargnées, les autres ont été détruites.
Libye: 97 morts en deux semaines de combats entre milices à Tripoli
Plus de 97 personnes ont été tuées et 400 autres blessées dans les combats qui opposent depuis le 13 juillet des milices rivales pour le contrôle de l'aéroport de Tripoli, selon un bilan établi dimanche par le ministère de la Santé.
Ce bilan s'appuie sur les rapports de huit hôpitaux publics à Tripoli et de ses banlieues, et ne prend pas en compte les victimes prises en charge dans des hôpitaux de campagne ou dans d'autres villes.
Le dernier bilan, qui datait du 20 juillet, faisait état de 47 morts et 120 blessés. Des affrontements opposent depuis le 13 juillet des milices rivales pour le contrôle de l'aéroport de Tripoli, dans le cadre d'une lutte d'influence politique et régionale.
Dimanche encore, des combats faisaient toujours rage autour de l'aéroport. Des explosions résonnaient depuis la matinée dans le sud de la ville, où se concentrent les affrontements. Ces violences risquent de plonger le pays dans la guerre civile, compte tenu de la faiblesse des autorités de transition qui ont jusqu'à présent échoué à construire une armée et une police professionnelles.
Israël perdra la guerre à Gaza (The Atlantic)
Dans un article publié dans le Magazine The Atlantic, l'analyste israélien, Jeffrey Goldberg estimé que, malgré la victoire militaire apparente, Israël est le vrai perdant de la guerre à Gaza. « Les choses changent, c'est, bien entendu, quelque chose de tout à fait naturel. Mais au moment où je suis en train de rédiger cet article, Israël est en train de perdre la guerre, à Gaza, même s'il remporte la victoire dans cette bataille et même s'il arrive à détruire les tunnels d'Israël », a souligné encore cet analyste israélien. « ce ne sera pas la première fois qu'Israël sent perdre une bataille, car cela se produira encore, et ce pour ces 5 raisons ci-dessous mentionnées :
1. Dans une bataille entre un régime et un acteur non étatique, l'acteur non étatique ne peut en sortir gagnant qu'avec la résistance. La partie qui dispose et des avions est supposée de gagner, mais le groupe non étatique a besoin de résister pour annoncer la victoire. Dans une situation subjective et émotionnelle, le Hamas peut se montrer comme la partie étant assiégée, même s'il soit la partie qui rejette le cessez-le-feu.
2. La stratégie du Hamas consiste à faire tomber Israël dans le piège du massacre des civils, et Israël s'y tombe, habituellement. Toutefois, en raison de sa nature prudente, le Premier ministre israélien s'est soumis, plus tard qu'habituellement, à cette tentation, mais, il a fini par s'y tomber, en tout cas.
3. Les gens parlent, en constance, du lobby juif, mais le lobby des Musulmans est beaucoup plus important, et est constitué d'au moins 54 pays membres de l'OCI et de l'ONU qui se disent solidaires avec la cause palestinienne. Ils font entendre leur voix au monde entier et contribuent à la création d'une alliance antisioniste.
4- Si vous avez un fait un tour, ces dernières semaines, sur le Twitter et les autres réseaux sociaux, vous vous en êtes surement rendu compte de la haine qu'éprouvent les populations vis-à-vis du régime sioniste, qui constitue entre autres l'une des raisons de l'isolement international du régime sioniste. Le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan est allé de dire qu'Israël a surpassé Hitler. Un journaliste libanais a réclamé l'anéantissement atomique d'Israël. Et les manifestations de protestation contre l'offensive de Gaza ont entre Lieu en France et dans d'autres pays du monde.
5. La direction politique d'Israël a montré, au cours de ces dernières années, qu'elle a échoué à donner une image attrayante à sa cause. Il est impossible de persuader un juif qu'Israël peut faire une chose utile pour eux, si ce n'est autre chose que suicide collectif. Des millions de personnes ont braqué, partout dans le monde, leurs yeux sur le régime israélien et s'interrogent si un régime doit faire tout qui est dans son possible pour établir la paix et le calme ?