تقي زاده

تقي زاده

Le secrétaire du Conseil suprême de sécurité nationale iranien, Ali Akbar Ahmadian, a souligné la nécessité d’établir la paix et la stabilité au Soudan, rejetant toute ingérence étrangère dans le pays.

Ahmadian a fait ces remarques lors d’une réunion avec le ministre soudanais des Affaires étrangères, Ali Youssef Ahmed al-Sharif, en visite ce mardi 18 février à Téhéran.

Les deux parties ont discuté des relations bilatérales importantes ainsi que des derniers développements régionaux et internationaux.

Accueillant le ministre soudanais des Affaires étrangères et la délégation qui l’accompagnait, Ahmadian a souligné : « Nous voulons la paix au Soudan et la fin de la violence et de la guerre. Nous sommes attristés et affligés par les souffrances du peuple soudanais. »

Il a ajouté que « les relations Iran-Soudan sont historiques et profondément enracinées », ajoutant que la République islamique d’Iran a toujours « été témoin de positions révolutionnaires, antisionistes et anti-occidentales de la part du Soudan ».

Ahmadian a souligné la nécessité de développer les relations bilatérales, affirmant que « tous les Soudanais sont musulmans et nos frères, mais l’ingérence étrangère a empêché l’établissement de l’unité et de la paix au Soudan ».

« Nous soutenons le gouvernement légal du Soudan, qui est soutenu par la majorité du peuple soudanais, et nous espérons que la racine du mal sera éradiquée au Soudan dès que possible », a-t-il ajouté.

Au nom de Dieu le Très Miséricordieux le Plus Miséricordieux

*Biographie abrégée de l'imam Mahdi (que dieu hâte sa réapparition)*

*Sa lignée :*

Muhammad ibn Hasan ibn Ali ibn Muhammad ibn Ali ibn Mûsâ ibn Ja'far ibn Muhammad ibn Ali ibn Husayn ibn Ali ibn Abî Tâlib

*Ses titres :*

Le Mahdi, l'Attendu, le propriétaire du temps, le propriétaire de l'époque, la preuve, le Qaim, le souverain de l'époque.

*Sa mère :*

Elle est nommée Narjisse Khatun(Melika), fille de Yeshua, fils de César de Rome, (et d’une mère de la descendance de Siméon, l’apôtre de Jésus), tout en sachant qu'il y a un divergence sur son origine. Certaines opinions stipulent qu’elle est soudanaise.

*Sa naissance : *

Il est né le 15 Shaban 255 AH dans la ville sainte de Samarra, en Irak.

*Son âge :*

Il est toujours vivant et caché. Il réapparaîtra à la fin des temps par la volonté de Dieu Tout-Puissant.
Nous demandons au Tout-Puissant de hâter son apparition pour remplir la terre d'équité et de justice.

*Son Imamat :*

Il dure depuis le martyr de son père, le 8 Rabi al Awal de l’an 260 AH. Son imamat est long car il est vivant et durera jusqu’à sa réapparition.

*Preuves de sa naissance :*

1- Il existe de nombreux hadiths liés à cette affaire émanant du noble Messager (pslf) et de sa famille (que la paix soit sur eux).

2- Le témoignage de la sage-femme, de sa mère, de sa sœur et de la tante de l'Imam Hassan Al-Askari (as).

3- Trois cent quatre personnes ont témoigné l'avoir vu.

4- Transmission historique : de nombreux savants et spécialistes du hadith ont convenu et confirmé la date de sa naissance, comme Al-Maliki, Al-Shafi'i, Al-Hanafi et Al-Hanbali, en plus du consensus chiite.
Dans une telle situation, il est ainsi impossible que tous ces érudits se soient mis d’ accord pour mentir.

5- Les autorités au pouvoir ont surveillé la maison de l'Imam al-Askari (as), emprisonnant ses esclaves et arrêtant ses amis. Des sages-femmes furent envoyées pour rechercher celles qui étaient enceintes afin de surveiller le déroulement de leurs grossesses. Ils en sont arrivés à surveiller une femme durant deux ans !

6- La reconnaissance de sa naissance par les sunnites, en particulier leurs juristes, spécialistes des hadiths, commentateurs, historiens, investigateurs et écrivains.

*Son occultation : *

L'Imam Mahdi (as) a eu deux occultations : une mineure et une majeure.

Durant l'occultation mineure, il était à l’ abris des yeux du peuple (excepté ses ambassadeurs) et ce, depuis le martyre de son père, l'imam Hassan Al-Askari (que la paix soit sur lui), au mois de Rabi' al- Awwal 260 AH, jusqu'au décès de son dernier représentant spécial au mois de Shaban 329 AH. Ainsi, la période de son occultation mineure a duré 68 ans.

Ses liens avec ses chiites au cours de cette période se faisaient par l'intermédiaire de ses ambassadeurs spéciaux, déclarés à travers un texte et ils se nommaient :

1- Abu Amr, Othman ibn Saeed Al-Amri (que Dieu l'agrée).

2- Abu Jaafar, Muhammad ibn Othman Al-Amri (que Dieu l'agrée).

3- Abu Al-Qasim, Hussein ibn Ruh Al-Nubakhti (que Dieu l'agrée).

4- Abu Al-Hassan, Ali ibn Muhammad Al-Samri (que Dieu l'agrée).

Durant cette période, les quatre représentants le voyaient, et probablement d'autres personnes. Ils prenaient des ordres à travers des écrits signés de sa propre main et en réponse à diverses questions de ses chiites.

Au cours de la grande occultation, il disparut des yeux du public et ce, dès le décès de son dernier représentant spécial, au mois de Shaban 328 AH, et jusqu'à ce que Dieu Tout-Puissant ordonne son apparition et son soulagement.
Durant cette période, il ordonna à ses chiites de se référer aux savants jurisprudentiels en ce qui concerne les questions religieuses et jurisprudentielles, comme indiqué dans l'une de ses déclarations : « Quant aux incidents qui se produisent, référez-vous aux narrateurs de notre hadith ; Ils sont ma preuve contre vous, et je suis la preuve de Dieu contre eux. »
Dans une autre déclaration : « Celui qui est un juriste qui se protège, préserve sa religion, désobéit à ses caprices et obéit aux ordres de son maître, alors le peuple peut l'imiter».

*Les raisons de son occultation :*

Elle sont claires pour ceux qui examinent attentivement les récits rapportés à ce sujet.

L'Imam Mahdi est le dernier des douze Imams à qui le Messager de Dieu (pslf) a confié la gloire de l'Islam.

Nous savons que les gouvernements qui se disent islamiques n’ ont pas valorisés les imams (as) comme ils le méritaient, mais les ont plutôt surveillés, les jetant en prison et versant leur sang pur par l'épée ou le poison.
Si l’ Imam Mahdi (as) était visible, ils l'auraient tué afin d'éteindre sa lumière.
Pour cette raison, l'intérêt divin exigeait qu'il soit caché aux yeux des gens, de sorte qu'il les voit et que ces derniers le voient sans le reconnaitre et cela, jusqu'à ce que Dieu Tout-Puissant exige sa réapparition. Cela arrivera après la disposition particulière dans le monde à l'accepter et à  adhérer sous la bannière de l'obéissance, jusqu'à ce que Dieu Tout-Puissant accomplisse à travers lui ce qu'il a promis à toutes les nations, en léguant la terre aux opprimés.

Certains savants ont mentionné certaines raisons qui ont nécessité son occultation (que la paix soit sur lui) :

1- La crainte pour sa vie contre les dirigeants oppresseurs des Abbassides.

2- Eprouver et tester les croyants.

3- L'occultation est l'un des secrets de Dieu Tout-Puissant.

4- Afin d’éviter qu'il ne prête allégeance aux oppresseurs.

*Sa longévité :*

L'une des questions soulevées à propos de l'Imam Mahdi (as) est sa longévité durant son occultation. Il est né en l'an 255 de l'hégire et est donc âgé, à l'heure actuelle, de plus de mille cent cinquante ans.

_Est-il possible, selon la logique de la science, qu'une personne vive durant toute cette période ?!_

Nous donnerons deux types de réponse à cette question : une qui sert à réfuter la question et l'autre qui est une solution à la question :

- Quant à la réfutation : Le coran a indiqué que le Prophète Noé (as) a vécu près de mille ans : {Et en effet, Nous avons envoyé Noé vers son peuple. Il demeura parmi eux mille ans moins cinquante années.} 29.14.
La Torah a mentionné les noms d’un grand groupe qui ont vécu des centaines d'années et cela est mentionné dans le livre de la Genèse.
De même, les musulmans ont écrit des livres sur ce genre de personnes, comme le Livre de Mouammareen d'Abu Hatim al-Sijistani.
Cheikh Al-Saduq (que Dieu sanctifie son secret) a également mentionné les noms de plusieurs d'entre eux dans son livre Kamal Al-Din, et Al-Allamah Al-Karajiki (que son secret soit sanctifié) dans son traité spécial intitulé Al-Burhan sur la preuve de la longévité de Imam Sahib Al-Zaman et Al-Allamah Al-Majlisi (que son secret soit sanctifié) dans Bihar Al-Anwar, et d'autres. Sans parler de Al-khidr qui vit depuis l’époque du prophète Moussa (as).

- Quant à la solution : la question sur la possibilité de
longévité exprime un manque de connaissance de l’étendue de la puissance de Dieu Tout-Puissant : {Ils n’ont pas estimé Allah à sa juste valeur} 22.74.
Si sa vie, son occultation et toutes ses affaires étaient sous la garde de Dieu Tout-Puissant, alors, quel est le problème avec le fait que Dieu Tout-Puissant prolonge sa vie aussi longtemps qu’Il le souhaite, le protège des symptômes de la maladie et lui accorde une vie paisible ?
En d’autres termes : une longue vie est, soit possible en soi, soit impossible, et personne n’a confirmé la seconde. La première ayant été confirmée, il n’y a aucune objection à ce que Dieu Tout-Puissant prolonge la vie de son représentant sur terre afin d'atteindre l’un des objectifs de la législation.

Nous ajoutons à cela ce qui a été prouvé dans la science de la vie concernant la possibilité d’une longue vie pour une personne si elle respecte les règles de maintien de la santé. La mort d’une personne pendant une courte période n’est pas due à un manque de nécessité, mais plutôt en raison de symptômes qui empêchent la continuation de la vie. Par conséquent, s'il était possible d’immuniser une personne avec des médicaments et des traitements spéciaux, sa vie serait prolongée.

De nombreux professionnels qualifiés de la santé ont parlé de la possibilité de prolonger la durée de vie humaine, et publiés dans divers livres et revues scientifiques.
En général, les médecins s'accordent sur le fait que le respect des principes de maintien de la santé nécessite la longévité : plus on prête attention à ces principes, plus la vie sera longue. Pour cette raison, des sociétés ont été créées pour garantir la vie humaine pendant une période déterminée, dans le cadre de réglementations spéciales et de certaines limites, conformes aux lois sur la préservation de la santé.
Si toutes les nécessités de la santé sont réunies dans la vie d’une personne, sa vie sera prolongée aussi longtemps que Dieu Tout-Puissant le voudra.

En effet, si vous lisez ce que les médecins écrivent dans ce domaine, le sens de cette parole du Tout-Puissant vous apparaîtra clairement : {S’il n’avait pas été de ceux qui glorifient [DIEU]} 37. 143 {il serait resté dans le ventre [du poisson] jusqu’au jour où [les hommes] seront ressuscités.}  37.144

S'il est possible pour une personne de vivre dans le ventre d’une baleine, dans les profondeurs des océans jusqu'au Jour de la Résurrection, alors comment une personne ne peut-elle pas vivre sur terre dans l'atmosphère de la nature sous la garde et les soins de Dieu aussi longtemps qu’Il le souhaite, Gloire à Lui ?!!

Prenant la parole lors de la conférence de Munich sur la sécurité, samedi 15 février, le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a déclaré que l’Europe devra faire des sacrifices et prendre des décisions difficiles afin de faire face aux menaces qui pèsent sur elle et d’assurer sa sécurité.

« Nous devons nous préparer. Nous devrons affronter des jours difficiles, prendre des décisions compliquées et même faire des sacrifices que nous n’attendions pas jusqu’à présent, pour garantir la sécurité », a indiqué Jean-Noël Barrot, s’adressant aux journalistes lors de l’événement.

Après ses entretiens avec le secrétaire d’État américain Marco Rubio, le locataire du Quai d’Orsay a estimé que l’administration américaine était encore en train de se forger une opinion sur la manière dont les États-Unis devraient gérer la crise ukrainienne.

Ces remarques interviennent alors que les États-Unis ont rejeté l’adhésion de l’Ukraine à l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (OTAN).

 

Abdel Fattah al-Burhan a exclu toute négociation avec les Forces de soutien rapide (FSR), intensifiant son opération pour éradiquer ce groupe paramilitaire. Alors que le bilan humain s’alourdit, les appels internationaux à un cessez-le-feu restent sans réponse.

« Nous continuons sur la voie de la victoire jusqu’à ce que chaque centimètre du pays soit purgé des Forces de soutien rapide », a déclaré, le 13 février, le chef du Conseil souverain du Soudan, Abdel Fattah al-Burhan, réaffirmant son refus catégorique de toute discussion avec les FSR, en guerre contre l’armée soudanaise depuis avril 2023.

« Il n’y aura pas de négociation ni de compromis avec ceux qui ont pris les armes contre l’État et le peuple », a-t-il précisé lors d’une visite dans la zone militaire d’Omdurman, à l’ouest de Khartoum.

Il y a quelques jours, les forces de l’armée soudanaise ont fermement rejeté la proposition des Émirats arabes unis d’instaurer un cessez-le-feu durant le mois du Ramadan.

L’armée soudanaise, qui a récemment repris du terrain face aux FSR, intensifie son opération militaire, notamment dans la région de Soba, au sud de la capitale, pour tenter de sécuriser le pont stratégique reliant l’est du Nil à Khartoum.

 

Un peu plus de 70 organisations de défense des droits civiques et groupes de pression ont exhorté le président américain Donald Trump à renoncer à son plan visant à prendre le contrôle de la bande de Gaza et à relocaliser de force les Palestiniens dans des pays voisins tels que la Jordanie et l'Égypte.

Une lettre adressée à Donald Trump traduit la « profonde inquiétude » des organisations signataires quant au projet d'expulsion de près de deux millions de Palestiniens de leur pays d'origine.

Les signataires en appellent à l'administration américaine en place pour qu'elle consolide les efforts diplomatiques antérieurs qui ont conduit à un cessez-le-feu à Gaza, plutôt que de poursuivre des politiques susceptibles de déstabiliser la région de l'Asie de l'Ouest.

 

De nouveaux tests de compétence linguistique imposés par la France aux résidents étrangers et aux candidats à la citoyenneté ont suscité de nombreuses critiques, beaucoup affirmant qu’ils sont intentionnellement mis en place pour garantir l’échec, même pour les locuteurs natifs du français.

Un rapport d’enquête réalisé par les médias français a révélé que le niveau de difficulté du test est si extrême que même les citoyens français bien éduqués ont du mal à le réussir.

Pour le prouver, dix volontaires français, dont une étudiante dotée d’un bac +5 en littérature, ont été soumis au même test que celui exigé pour les candidats à la nationalité.

Les résultats du test, réalisé par FranceInfo, sont choquants : sur les dix, cinq n’ont pas eu la moyenne à l’écrit, mais compensent à l’oral, deux ont raté l’examen pour obtenir leur propre nationalité.

« C’est un niveau qui est beaucoup trop élevé pour la plupart des étrangers qui veulent demander la nationalisation ou un titre de long séjour en France », s’est indigné auprès de France 2, Félix Guyon Délégué Général de l’école THOT pour les réfugiés et demandeurs d’asile.

Les associations qui préparent aux épreuves estiment « maigres » les chances pour les étrangers dont la langue française n’est pas la langue maternelle d’obtenir la nationalité française. Et ce, quand bien même ils vivent en France depuis plusieurs années et se sont intégrés dans la société française.

 

Un haut responsable du mouvement de résistance libanais Hezbollah a exprimé son mécontentement quant à la gestion des événements survenus jeudi soir à l’aéroport de Beyrouth par le gouvernement, insistant sur la nécessité pour le Liban de maintenir des relations équitables avec l’Iran, dans le cadre de ses intérêts nationaux.

Lors d’une interview à la chaîne de télévision Al-Manar, Ghaleb Abu Zeinab, un membre officiel du bureau politique du Hezbollah, a réagi aux violences qui ont éclaté sur les routes menant à l’aéroport international de Beyrouth Rafic Hariri, après la décision du gouvernement libanais d’interdire aux vols iraniens de se poser sur le sol libanais.

« La prise de position du gouvernement libanais sur les événements survenus à l’aéroport de Beyrouth suite au refus d’atterrissage d’un avion iranien transportant des passagers libanais n’était pas correcte », a déclaré Abu Zeinab.

« Il est dans l’intérêt du Liban que ses relations avec l’Iran soient les meilleures possible », a-t-il déclaré, ajoutant : « Nous appelons le Premier ministre Nawaf Salam à agir sur la voie de relations équilibrées avec l’Iran et les États-Unis, et le gouvernement libanais ne devrait pas se soumettre aux diktats du gouvernement américain ».

La direction générale de l’aviation civile libanaise a déclaré jeudi qu’elle avait « temporairement reprogrammé » certains vols, notamment en provenance d’Iran, jusqu’au 18 février, car elle mettait en œuvre des « mesures de sécurité supplémentaires ».

Face à cette décision, une foule de Libanais en colère a bloqué les routes menant à l’aéroport international de Beyrouth et brûlé des pneus.

Des échauffourées ont éclaté à l’aéroport entre les protestataires et les forces de l’ordre. Suite à cela, les autorités libanaises ont déclaré qu’elles s’efforçaient de ramener les passagers libanais bloqués en Iran, dans des avions de la compagnie Middle East Airlines.

 

Le porte-parole de la municipalité de Gaza, Hosni Mahna, a annoncé que plus de 70 % des infrastructures de cette ville ont été détruites, entraînant la paralysie des services essentiels et aggravant une crise humanitaire sans précédent dans cette région ravagée par la guerre. 

Lors d'une conférence de presse ce vendredi 14 février, Mahna a souligné que les destructions généralisées dans la bande de Gaza ont provoqué de graves pénuries d’eau, un système d’égouts défaillant, une accumulation de déchets, la destruction du réseau routier et des rues, ainsi qu’un manque d’électricité et d’énergie, tandis que la capacité limitée des services municipaux a réduit l’aide aux habitants à son plus bas niveau.

Le porte-parole de la municipalité de Gaza a ajouté que l’armée israélienne continue d’empêcher l’entrée de machines lourdes à Gaza, entravant ainsi le déblaiement des décombres et la réouverture des rues, retardant la reprise de la circulation dans les zones résidentielles et commerciales.

Des combattants du Hamas ont libéré, ce samedi 15 février, trois nouveaux captifs israéliens dans la bande Gaza, dans le cadre de la sixième phase de l'échange contre des prisonniers palestiniens, sous la médiation du Comité international de la Croix-Rouge.

Ces trois captifs israéliens libérés par le Hamas ont été confiés aux représentants du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) à Khan Younès dans le sud de la bande de Gaza.

Sagui Dekel-Chen, l'un des captifs libérés, a appelé le cabinet du régime sioniste à faire de son mieux pour finaliser l'accord.

Par la voix du porte-parole de son ministère des Affaires étrangères, Esmaïl Baghaï, l’Iran a condamné, le vendredi 14 février, le traitement « inapproprié et humiliant » infligé par le gouvernement américain aux immigrants, y compris aux ressortissants iraniens, le qualifiant d’injustifié et de violation des normes des droits de l’homme.

En allusion au traitement inapproprié des immigrés par le gouvernent américain, M. Baghaï a souligné l’importance de respecter les normes internationales, qualifiant d’« inacceptables » les « actes inhumains » de l'administration US vis-à-vis des ressortissants iraniens.

Il a déclaré que le ministère iranien des Affaires étrangères, conformément à ses obligations légales, prendra toutes les mesures nécessaires pour protéger les droits des citoyens iraniens à l'étranger.

M. Baghaï a également noté que des instructions ont été données au Bureau de protection des intérêts iraniens à Washington, ainsi qu’aux missions diplomatiques et consulaires du pays à travers l’Amérique du Sud, pour fournir une assistance aux ressortissants iraniens expulsés des États-Unis.

« L’Iran est la patrie de tous les Iraniens, et nos compatriotes peuvent librement retourner dans leur patrie », a-t-il déclaré, réitérant la volonté du ministère des Affaires étrangères de faciliter leur retour et de résoudre les problèmes afférents à cette question. 

Ces propos interviennent alors que le premier vol transportant des migrants en provenance d'Iran, d'Afghanistan, de Chine, d'Inde, du Népal, du Pakistan, du Sri Lanka, de Turquie, d'Ouzbékistan et du Vietnam est arrivé ce mercredi au Panama.

Lors d'une conférence de presse hebdomadaire, jeudi 13 février, le président panaméen, José Raul Mulino, a confirmé l'arrivée de 119 personnes de diverses nationalités . « Hier, un vol de l'armée de l'air des États-Unis est arrivé avec 119 personnes de différentes nationalités », a indiqué M. Mulino.