تقي زاده

تقي زاده

"Ayatollah Mohsen Araki dit sa récente participation à la première Assemblée générale des oulémas (Erudits) Résistance dans la capitale libanaise de Beyrouth, en disant que la conférence était d'une grande importance compte tenu de la situation actuelle du monde musulman.

Tenue de la conférence est indiquée par le fait que les conspirations dans le Moyen-Orient ont échoué à faire de la question de la Palestine fondu dans l’oubli, dit le religieux iranien.

" Une nouvelle ère de soutien pour le peuple opprimé de la Palestine, ses territoires et la mosquée al-Aqsa a juste commencé, " a-t-il ajouté.

En Janvier, le Guide suprême de la Révolution islamique d’Iran, Ayatollah Seyed Ali Khamenei a souligné la détermination de l'Iran à continuer de soutenir la cause palestinienne.

" La République islamique d'Iran restent en suspens (à l’appui) jusqu'au jour où la cause palestinienne se matérialiser ", a déclaré Ayatollah Khamenei lors d'une réunion avec le chef du Front Populaire pour la Libération de la Palestine Commandement général (FPLP-CG) Ahmed Jibril à Téhéran.

Le chef a également noté que la question de la Palestine est l'une des questions les plus importantes à travers le monde musulman.

Assemblée mondiale de Ahlul Bayt (P), en collaboration avec des institutions académiques, culturelles et religieuses a tenu le 8e Congrès international des médecins musulmans du Monde dans différentes villes de l’Iran.

Dans ce congrès 300 médecins chiites du monde entier participeront à des réunions scientifiques, des ateliers, pèlerinage et des programmes culturels.

Imamia Médicis International, le ministère de la Santé et de l'éducation médicale, Astan Qods Razavi, Machhad municipalité et le gouverneur de la province de Fars aident l'Assemblée mondiale de Bait Ahlul (P) pour la tenue de cette conférence.

Ce congrès se tiendra 29 au 10 Août.

ABNA offrira une couverture spéciale à cet important événement international chiite.

" Nous ne garderons pas le silence (...) nous allons brûler le sol vous marchez les sionistes et leurs soldats ", a averti samedi le porte-parole pour les Brigades Ezzedine al-Qassam, Abou Obaida.

Dans sa déclaration, a mis l'accent sur " les personnes et les groupes de résistance palestiniens le droit de répondre à cet acte violent en réserve possible “.

Soulignant que l'ennemi israélien ne comprend que « le langage de la force et de la violence », il a examiné les dirigeants du régime israélien comme « la responsabilité principale » de l'assassinat brutal de petite palestinienne.

" Au cours de ces jours, l'année dernière, aussi les enfants et les Palestiniens brûlées dans la pluie de missiles et les bombardements israéliens (...) avec ce crime, les sionistes tout le monde a confirmé son attitude criminelle et ne connaissent que le langage de la force ", a-t-il souligné, se référant à l'agression israélienne contre la bande de Gaza, entre Juillet et Août ici 2014.

Les colons israéliens ont attaqué le jeudi soir avec des cocktails Molotov dans un deux maisons palestiniennes près de la ville de Naplouse en Cisjordanie, tandis que ses habitants étaient endormis.

Dans cette attaque est brûlé à mort un 18-month-old Ali Saad Daubasha, ses parents et son frère ont été grièvement blessés. Les assaillants ont également barbouillés sur les murs des slogans racistes alagunos en hébreu que l'un d'eux a dit «vengeance».

La nouvelle atrocité israélienne a généré une vague de colère parmi les Palestiniens et la communauté internationale.

Le président de l'Etat palestinienne Mahmoud Abbas a déclaré vendredi qu'il va prendre le cas du bébé palestinien devant la Cour pénale internationale (CPI) à La Haye.

Pour sa part, le porte-parole de la politique étrangère du Hamas, Hussam Badran a annoncé que " ce crime de brûler une maison et tué un enfant palestinien ne sera jamais oublié " et " devenir des soldats et des colons de l'occupation (Israël) cibles directes d'attaques de la résistance armée ".

En outre, le Front Populaire pour la Libération de la Palestine (FPLP) a condamné l'attaque et considéré comme faisant partie d'une " escalade sans précédent contre notre peuple. " " Nous déclarons la guerre sur les colons, les établissements et les assassins, " a-t-il dit dans un communiqué.

Selon un journal israélien, l’implication du Hezbollah libanais, dans la guerre, en Syrie, n’a pas eu le moindre impact sur ses capacités défensives, face à Israël.
«Ceux qui pensent que l’implication du secrétaire général du Hezbollah libanais, dans la guerre, en Syrie, l’empêcherait de réagir à une guerre totale, se trompent, complètement, et doivent réviser leurs évaluations», a écrit le journal israélien, "Yediot Aharonot".
«Le Hezbollah libanais apporte un soutien indéfectible au gouvernement Assad, et il a acheminé, en Syrie, quelque 7.000 combattants, bien formés et expérimentés, qui ont remporté de grandes victoires, durant les dernières semaines. Cependant, les forces anti-israéliennes, qui existent, au Liban, n’ont, nullement, changé, et ne se sont pas affaiblies, et les forces du Hezbollah continuent de tirer des roquettes vers Israël», continue "Yediot Aharonot".

Le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a condamné mercredi l'annonce faite plus tôt dans la journée par Israël de la construction de 300 logements dans la colonie de Beit El, en Cisjordanie, et des projets de construction de près de 500 logements dans plusieurs colonies de peuplement à Jérusalem-Est.
Le chef de l'ONU "rappelle que les colonies sont illégales en vertu du droit international, un obstacle à la paix, et ne peuvent pas aller de pair avec l'intention déclarée du gouvernement d'Israël de poursuivre une solution à deux Etats", a déclaré le porte-parole du Secrétaire général dans un communiqué de presse.

"Le Secrétaire général exhorte le gouvernement d'Israël d'arrêter et de revenir sur ces décisions dans l'intérêt de la paix et d'un accord juste sur le statut final", a-t-il ajouté.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a ordonné mercredi la construction "immédiate" de 300 logements à Beit El, qui se trouve près de Ramallah.

En outre, Ban Ki-moon s'est dit toujours préoccupé "par la menace imminente de démolitions dans le village palestinien de Susiya, dans la zone C de la Cisjordanie".

"La destruction de propriétés privées palestiniens dans les territoires occupés est interdite par le droit international humanitaire, et les responsables de tels actes devraient rendre des comptes", a indiqué son porte-parole.

C'est la chaîne Al-Mayadeen, qui tente de répondre à cette question, quelques heures après la fin de l'escale du ministre français des A.E, en Iran. "Se basant sur leurs expériences passées, les Iraniens n'ont aucune raison de faire confiance aux Français. Certes, le Président Rohani a souligné, en présence de son hôte français, Laurent Fabius, les terrains de coopération, que l'accord du 14 juillet pourrait lancer entre les deux pays, et entre l'Iran et l'Union européenne. Et ce, à la lumière de l'accord nucléaire. En effet, Fabius s'est rendu, en Iran, mettant un terme au gel des relations avec Téhéran, qui dure depuis des années. Fabius a demandé une coopération irano-française, pour combattre le terrorisme et l'extrémisme. En se référant à l'accord nucléaire, l'Iran demande à ce qu'un dialogue élargi soit établi entre lui et les pays de la région, afin de résoudre les questions litigieuses. Côté nucléaire, Fabius a tenté de justifier l'intransigeance de Paris, tout au long des pourparlers, en mettant cette intransigeance, sur le compte des soucis non proliférants de la France. Zarif, son homologue iranien, a évoqué, de son côté, les possibilités qui existent, pour davantage de coopérations entre Paris et Téhéran, en termes d'énergie fissile à usage pacifique. Est-ce pour autant un quitus au retour de la France, en Iran? Les analystes en doutent très fort. La voie ne semble pas ouverte, en effet, à un retour de la France, dans la mesure où les Iraniens ont la mémoire longue et que l'antécédent français, en Iran, est loin d'être positif. L'ex ambassadeur iranien, en France, l'a d'ailleurs souligné, lors d'un entretien accordé à Al-Mayadeen : "La Grande Bretagne, les Etats Unis, Israël, cherchent, en effet, à compromettre les relations entre Téhéran et Paris. Ceci dit, les deux parties disposent de nombreuses potentialités, qui pourraient être explorées, surtout, dans le dossier libanais, syrien et irakien". Certes, les firmes françaises tenteront de retourner, en Iran, mais le fait de reconquérir la place qu'elles ont perdues, ne sera pas facile, surtout, aux côtés des sociétés allemandes et italiennes, et ce, d'autant plus que les Iraniens ont, déjà, fait l'expérience des promesses non tenues des Français. Il faut trop de volonté et trop d'efforts à la France, pour que les pages noires des relations franco-iraniennes soient effacées de la mémoire des Iraniens ... La tâche est assez ardue, pour la France ....

Après la guerre de Jamal et la fuite des gens de Bassora, l’Imam ‘Ali (AS) déclara une amnistie générale alors que les vainqueurs en général, considéraient les biens et les femmes des vaincus comme leur propriété.
L’Imam ‘Ali (AS) a pardonné aux gens de Bassora leur violence et leurs délits, les avertissant bien sûr dans une lettre, du danger que représenterait pour eux, la moindre entorse aux règlements.

«Vous savez ce que vous avez fait avec moi, quel serment vous avez violé et de quelle hostilité vous avez fait preuve à mon égard mais je vous ai pardonnés, mon sabre a épargné les fuyards, j’ai accepté ceux qui s’étaient repentis et j’ai fermé les yeux sur vos fautes. Si vous refaites des erreurs, fomentez les mêmes projets d’opposition et d’hostilité, mon armée est prête, les généraux sont en selle et si vous nous y obligez, je vous attaquerai de telle sorte que la guerre de Jamal vous semblera minime bien que je connaisse la valeur de vos généraux et ce que vous disent les conseilleurs. Je n’autoriserai jamais l’oppression des bienfaisants ni ne briserai le serment fait avec les gens sincères».

Nahjol Balãghe, lettre 29

Quand le calme revint à Bassora, l’Imam ‘Ali (AS) désigna Abdoullah ben Abbas comme gouverneur et retourna à Koufa. On l’avertit qu’Abbas ne se comportait pas bien envers les gens de Bassora, l’Imam ‘Ali (AS) envoya sur le champ, une lettre qui est la 18ème lettre du Nahjol Balãghe disant:
«Sache que Bassora est aujourd’hui, le siège du diable et un terrain propice à la fitna, cependant conduits-toi bien avec les gens et fait disparaitre la terreur de leur cœur. On m’a rapporté ton mauvais comportement et ta violence envers la tribu de Bani Tamim. Les hommes de Bani Tamim sont des gens forts dont le courage n’a jamais cessé de se manifester dans les combats, que ce soit avant et après l’Islam, personne n’a pu les devancer. Fais donc preuve de patience»

jeudi, 30 juillet 2015 09:15

Où va Erdogan?

Le gouvernement turc a obtenu au cours de la réunion extraordinaire de l'Otan convoquée à Bruxelles le soutien politique officiel de l'alliance à sa soi disant guerre contre D'achat en Irak et e Syrie.mais Erdoğan veut plus.:le soutien militaire de l'Otan . Car il dit que so pays à été pris pour cible et que par conséquent il a le droit de se défendre. Erdoğan sait probablement que la Turquie est en danger. On ne sait de quelle attaque Erdoğan parle: celle du PKk ou celle de Daech contre les kurdes de Suruc laquelle a fait 32 morts. L'implication de Daech dans l'attentat de Suruc est entouré d'un hallo d'incertitude.au contraire à son habitude, Daech s' est refusé à le revendiquer. Seul Le PM turc confirme le rôle de Daech dans cette attaque.et c'est bizarre! Depuis 4 ans en effet, les terroristes ta firms ne tarissent pas d'éloge à l'endroit d'Ankara. La Turquie a trafiqué des milliers de jihadistes vers la Turquie.des milliards de dollars ont été transférés via les banques turques et cette générosité turque a profité pareillement aux rebelles modérés et extrémiste. La plus grosse erreur d'Erdogan aura été en effet sa fausse évaluation de vraies capacités de ses ennemis à savoir le régime syrien et de ses alliés bien que Daech, al Nora et Ah rare al Charm aient pu occuper quelques localités syriennes à l'aide du triangle Turquie/Qatar/Arabie.le cas us belle lancé par Ankara à Daech sous prétexte que ce dernier est une menace pour l'Europe, les États Unis suscite ainsi de nombreuses questions sur les vraies intentions d'Ankara. Erdoğan vient de s' engager de force dans la guerre contre Daech non pas pour combattre le terrorisme mais dans l'espoir de s' approprier le soutien us/otan dans sa guerre contre le PKK. Une organisation que la Turquie a placée depuis 40 ans en tête des organisations terroristes .Ankara veut aussi que les États Unis et l'Otan combattent les kurdes syriens qui se battent en ce moment contre Daech à Kobani .Après 15 ans de quiétude, de sécurité et de paix la Turquie glisse vers deux guerres qui la placent contre des sunnites très dures: des kurdes qui totalisent une population de 18 millions de personnes et des ta firms de Daech dont la brutalité ne connaît aucune limite. La victoire dans ces deux guerre ou dans l'une des deux reviendrait trop chère en termes financiers et humains et demanderait du temps. Et ce alors que le taux de croissance en Turquie vient de tomber de 7% à 3% et que la crise de gouvernance se complique de jour en jour avec une coalition au pouvoir des plus fragiles. Par ailleurs on entend de plus en plus les américains dire qu'en l'absence de Assai, Daech arriverait au pouvoir en Syrie. Comme ce qui s' est produit en Libye et en Irak et si ces rumeurs selon lesquelles les États Unis seraient entrés en contact avec les Russes pour leur faire part de leur souhait de voir Assad rester au pouvoir s' avèrent vraies, il faudrait dire que la Turquie est le grand perdant dans toute cette affaire. Car Erdoğan a mis tous ses oeufs dans le seul panier syrien.il a tout misé sur la chute d'Assad. et puis ces rumeurs pourraient effectivement vraies en ce qui concerne le quitus US à Assad car il y a peu Poutine a mis en avant un plan de sortie de crise impliquant la Turquie; l'Arabie saoudite, la Syrie et la Jordanie. nous ne voulons effectivement pas jouer le rôle de mauvaise augure mais la réalité est que le plan du démembrement de la région s'approche peu à peu de la Turquie , une Turquie qui se croyait le bastion imprenable, impénétrable à toutes les menaces. une Turquie qui a tout fait pour démembrer l'Irak et la Syrie à l'aide des groupes armés . le virus frappe la Turquie et il se peut qu'il contamine aussi l'Arabie saoudite ...Erdogan se trouve dans un réel imbroglio .. il se noie peu à peu dans les sables syriennes alors qu'il faudrait qu'il se batte à la fois contre les kurdes et Daech...

L’Imam ‘Ali (AS) au début de la guerre s’est adressé ainsi à ses soldats: «Ne commencez jamais le combat avant eux (les ennemis) car grâce à Dieu, vous êtes dans le droit et le fait que vous n’ayez pas commencé le combat avant eux, sera une autre preuve de votre bon droit. Si avec l’autorisation de Dieu, ils sont vaincus et s’enfuient, ne tuez pas ceux qui ont tourné le dos et ne blessez pas celui qui ne peut se défendre. Ne tuez pas les blessés et ne vous attaquez jamais aux femmes».

Nahjol Balãghe, lettre 14 et Histoire de Tabari, vol 3

Le respect des droits des femmes du camp ennemi

A l’époque de l’Imam ‘Ali (AS), beaucoup de généraux emmenaient leurs femmes avec eux et en cas de défaite, ces femmes étaient faites prisonnières. L’Imam ‘Ali (AS) veillait à ce que les droits de ces femmes soient respectés

jeudi, 30 juillet 2015 09:11

Syrie : Israël bombarde Quneitara!!

les chasseurs bombardiers israéliens ont bombardé une localité dans la banlieue de Quneitara. selon la chaine Al Mayadeen, le raid aurait provoqué la mort de trois membres des comités populaires dans cette localité où des combats opposent régulièrement les terroristes takfiris souteus par Israêl à l'armée syrienne et aux forces de la Résistance libanaise.